Je vais saisir au bond la perche tendue sur l'obligation de résultat:
L'event Vichy est arrivé, ne s'est pas bien passé et nous préférons nous assurer que l'on soit sûr de pouvoir obtenir des résultats en AF nord avant de s'y engager. Cette réflexion est à mettre en relation avec le projet en Perse où l'objectif doit clairement être la destruction des 100 divs présentes en face des forces russes.
Aussi, estimez bien vos besoins et coordonnez bien vos actions sur ces théâtres qui vous appartiennent.
Les USA sont, comme précédemment, prêts à mettre des forces au bout pour vous permettre de réussir ces entreprises et ce, malgré les difficultés que nous rencontrons.
Cependant, pour être assurer que tout le monde est bien concentré sur l'enjeu et les choix à faire maintenant, soyons clairs: en cas de nouvel échec, nous reprendrons une position protectionniste et nous concentrerons sur nos objectifs nationaux !
Inutile d'en vouloir au humble joueur que je suis (et pardonnez lui son ton très professionnel

)

, c'est un état qui parle. Le joueur, lui, espère juste prendre sa revanche sur ce mod par une victoire de son camp dans cette GPO.
En report de la session précédente, la perte de la Papouasie, de Marshall (on reparlera reconstruction de l'Europe) et d'une 10aine de DIs, principalement australiennes et dépassées et encore des événements étranges (sur les retraites des troupes notamment).
Les navs II sont là (du moins la tech), l'IJN a pu voir qu'elle aurait fort à faire pour débarquer au nord de l'Australie mais, pour autant, nous ne pourrons garantir l'intégrité totale de ce trop vaste territoire désormais à portée de l'ennemi.
Côté stratégie, il est hors de question que nous nous replions totalement de Bornéo. Il aurait été acceptable de le faire pour prendre l'ascendant en Papouasie, ce que n'était pas garanti vu la maitrise des routes de communication de l'ennemi, et qu'il nous était logistiquement impossible à réaliser d'un point de vue temporel.
Enfin, nous fixons des forces qui, si elles étaient laissées libre de leur champ d'action, se retrouveraient en Australie et mettrait clairement ce continent en danger.
Aussi, si nous devons alléger notre dispositif, cela ne sera certainement pas pour nous mettre en mode défensif sur une année 1942 sans garantie de réaliser notre objectif de sauvegarde de l'Australie.
Sur l'aspect pragmatique, une flotte, même obsolète pour fixer l'IJN pendant que nous la bombardons seraient des plus appréciées; la navy étant au port pour un moment.
Voili voilou

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