
Il faut faire des choix et 1942 sera l'année décisive (comme à chaque fois dans ce jeu)
La simulation est intéressante, sans être prise de tête et conforme à l'impact, finalement assez mineur (à l'exception notable de la Yougoslavie peut-être). Il suffit de mettre une unité (ou une zoc d'unité) autour des différentes zones nombreuses de partisans. Ces zones peuvent être de 2 natures : avec ou sans troupe, dans le premier cas une unité apparaît dans l'hex et occupe l'ex, dans le second cas des dommages aux infrastructures sont faits.
L'Irak est faiblement défendue. Les Amerloques risquent d'arriver trop tard. Sur le front de l'Est, la situation n'est pas meilleure. L'ennemi est aux portes de Moscou, Leningrad et Stalingrad. L'infanterie soviétique est toujours au niveau 1. Je voudrais pas te saper le moral mais je le sens moyen pour les Alliés.
Il est important d'un point de vue symbolique, du moral national, pour la propagande, mais l'impact militaire est très faible. Sont mobilisés tout au plus quelques divisions légèrement armées lors des grosses opérations de "police". Dans un jeu qui simule surtout ou essentiellement l'aspect militaire, la solution choisie est simple et élégante.
Je n'ai pas lu cet ouvrage, mais j'ai pu lire une interview de l'auteur dans le n°45 de Guerre & Histoire :Boudi a écrit : ↑mer. nov. 21, 2018 1:35 pm Je pense pas qu'on puisse écrire "l'impact militaire est très faible". C'est une grosse erreur d'appréciation.
Je te renvoie au bouquin de Masha Cerovic, chez Seuil, "Les enfants de Staline, la guerre des partisans soviétiques (1941-1944) il a l'avantage d'être très récent (2018)
http://www.seuil.com/ouvrage/les-enfant ... 2021121674
Un demi-million de combattants, ce ne peut pas être un impact militaire très faible.