Pas Memnon, surtout si c'est Memnon de Rhodes. Le général de cavalerie était un carthaginois de naissance. Voici un extrait de Tite Live qui raconte le soir de la bataille de Cannes :
[22,51] LI. - Alors que tous les chefs carthaginois, entourant Hannibal victorieux, le félicitaient, et lui conseillaient, après avoir terminé une guerre si importante, de prendre, pendant le reste du jour et la nuit suivante, du repos pour lui-même et d'en donner à ses soldats fatigués, M , commandant de la cavalerie, pensant qu'il ne fallait pas tarder un instant, lui dit : "Ah ! sache plutôt ce que te vaut cette bataille ! Dans quatre jours, vainqueur, tu dîneras au Capitole. Suis-moi ; avec les cavaliers, de façon qu'on apprenne mon arrivée avant de la savoir prochaine, je te précéderai." Hannibal trouva ce dessein trop beau et trop grand pour pouvoir l'adopter aussitôt. Aussi dit-il à M qu'il louait son intention, mais qu'il fallait du temps pour peser son conseil. Alors M : "Les dieux - ce n'est pas étonnant --- n'ont pas tout donné au même homme ; tu sais vaincre, Hannibal ; tu ne sais pas profiter de la victoire." On croit bien que ce retard d'un jour sauva Rome et l'empire.
« Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités » (Benjamin Parker)
Magon était le plus jeune frère d'Hannibal qui fut blessé à Milan en 203 et mourrut ensuite en mer après son rappel à Carthage, suite au débarquement de Scipion en Afrique.
Je ne pensais pas qu'elle était si dure cette question
« Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités » (Benjamin Parker)
Bravo Coelio, je retrouve la mon petit génie bordelais, à toi la main
Maharbal était le général carthaginois qui fut le plus proche d'Hannibal, son second lors des campagnes d'Italie. IL sera je crois l'un des seuls à rester fidèle à Hannibal après sa disgrace et sa fuite chez les séleucides
« Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités » (Benjamin Parker)
Un de mes personnages historiques préférés est Julie ,fille d'Auguste,qui fut exilée pour adultère.
Lequel de ses amants présomptifs appartenait à la famille impériale?
Tu confond ami Athax...
Ovide fut accusé d'etre l'amant de Julie la Jeune , elle aussi condamnée pour infidélité ,mais seulement petite fille d'Auguste ,car fille de la Julie de monénigme et d'Agrippa...
Pourquoi tu m'appelles toujour "ami athax" quand tu t'addresses à moi dans te posts ???? Serai-ce une moquerie moqueuse ou l'expression d'une affection intense ?
Pour la question,je sèche,je me souvenais juste d'une histoire entre Ovide et une Julie. Par contre,je vais dire un bétise mais Césarion,le fils d'Asterix ... euh ... non,le fils de Cizar et de Cléopatre,il aurait pas fait des galippettes avec la petite fille de auguste qui était le neveu de Cizar ? Ou il est mort avant,je sais plus....
N'y vois aucune moquerie...
Entre girondins amateurs d'histoire ,d'échecs et d'AAr je mepermets desfamiliarités
Pour Ovide, on pense qu'il n'a jamais eu de relation avec Julie la jeune ,c'était juste unnprétexte pour se debarasser d'un poete choquant le puritanisme romain...
Et non Cesarion ,qui mourut jeune , ne fut pas amant de Julie l'Ainée
En F1, il y a deux positions importantes sur la grille de départ : La première, qui est la pole position; Et la dernière, qui est la Paul Belmondo.
Murray Walker (Apocryphe)
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En 2 avant Jésus-Christ, Julia approche de la quarantaine : le début de la vieillesse pour la femme romaine. Trois fois mariée, sans doute contre son gré ou du moins sans être consultée, deux fois veuve et alors pratiquement répudiée, elle se jette dans les excès pour s’étourdir, mais elle ne se rend même plus compte que sa conduite est scandaleuse et suicidaire.
Selon le récit de Dion Cassius, lorsqu’ Auguste découvrit, tardivement, que sa fille Julia menait une vie scandaleuse au point de faire la fête et de participer à des beuveries toute la nuit jusque sur le forum, et même jusque sur la tribune aux harangues, il entra dans une colère folle.
Il est vrai que les gens au pouvoir sont informés de tout bien mieux que de ce qui les touche personnellement, rien de ce qu’ils font n’échappe à leur entourage, mais ils ne savent pas exactement ce que fait cet entourage.
Lorsque donc Auguste eut appris ses agissements, il agit dans une telle colère qu’au lieu de tout garder pour lui il alla mettre aussi le sénat au courant. En conséquence, Julia fut exilée dans l’île de Pandateria (actuellement Ventotene) au large de la Campanie, et sa mère Scribonia l’y accompagna volontairement.
Quant à ceux qui avaient eu des relations avec elle, Iullus Antonius, accusé de s’être conduit ainsi parce qu’il ambitionnait la monarchie, fut mis à mort en même temps qu’un certain nombre d’hommes en vue, les autres furent exilés dans des îles. Et comme parmi eux se trouvait un tribun en exercice, on attendit sa sortie de charge pour mener son procès.
Le récit que fait Velleius Paterculus, précise et éclaire celui de Dion Cassius :
C’est alors que Iulus Antonius, un remarquable exemple de la clémence de César, profanateur de sa maison, châtia de sa main le crime qu’il avait commis (après la défaite de son père, non seulement Auguste lui avait donné d’avoir la vie sauve, mais aussi lui avait accordé les honneurs d’un sacerdoce, de la préture, du consulat, de gouvernements de provinces, mais encore l’avait admis dans sa très proche parenté en lui donnant en mariage la fille de sa sœur. Quintius Crispinus, un remarquable voyou qui se faisait passer pour farouchement austère, Appius Claudius et Sempronius Gracchus, ainsi que Scipion et d’autres noms moins illustres des deux ordres reçurent le châtiment qu’ils auraient reçu pour avoir déshonoré la femme de n’importe quel citoyen, alors qu’ils avaient déshonoré la fille de l’empereur et l’épouse de Tibère. Julie fut reléguée dans une île et soustraite aux regards de sa patrie et de son père. Elle fut pourtant accompagnée par sa mère Scribonia qui resta sa compagne jusqu’à la fin dans un exil volontaire.
Mon choix se porte sur Iulus Antonius, de plus il était le dernier fils vivant de Marc Antoine et le parti d’Antoine pouvait toujours renaître de ses cendres. Sa mise à mort est une belle manoeuvre politique.
, commandant de la cavalerie, pensant qu'il ne fallait pas tarder un instant, lui dit : "Ah ! sache plutôt ce que te vaut cette bataille ! Dans quatre jours, vainqueur, tu dîneras au Capitole. Suis-moi ; avec les cavaliers, de façon qu'on apprenne mon arrivée avant de la savoir prochaine, je te précéderai." Hannibal trouva ce dessein trop beau et trop grand pour pouvoir l'adopter aussitôt. Aussi dit-il à M 
Bravo Coelio, je retrouve la mon petit génie bordelais, à toi la main 
