Tour 5
Le troisième hussard poursuit sa progression dans le camps italien mais l'offensive marque le pas. En effet, sous les directive du commandant du fort, toute une batterie menacé est évacué en direction du cœur du dispositif italien. Mais ce n'était pas la seule et la seconde, étonnamment, décide de poursuivre le combat après le premier choc, au contraire des précédentes. Était-ce parce que les artilleurs savaient que leur commandant avait rejoint le combat? Parce qu'ils étaient plus courageux et motivé que les autres? Ou bien que la destruction des chars anglais embourbés dans le salar leur avait donné le gout du sang? Toujours est-il que cet instant fut décisif pendant la bataille de Buq Buq.
Pendant ce temps, la batterie la plus à l'ouest, toujours à la traque des ombres dans les dunes, donnaient, sans le savoir, le coup de grâce à l'escadron de char qu'elle poursuivait

Je pose une carte reconnaissance afin de donner de l'air à ma main de plus en plus réduite (de même que mes troupes). Je pioche entre-autre une autre carte reconnaissance que je conserve afin de garder de l'air (l'autre carte était pas très intéressante). Je pioche surtout une carte décisive dans le paquet aérien: roquette anti-char, l'âme des carte est avec moi
Tour 6
La poussée de courage fut néanmoins éphémère: la batterie Est-centre se rendit finalement aux anglais, aggravant la situation italienne dans le fort. Le groupe "qg" fut lui aussi pris à partie par les char britanniques, mais tinrent courageusement face aux mitrailleuse et aux canons, empêchant les cruisers d'avancer d'avantage dans le dispositif italien. Le commandant lança intérieurement une prière à la vierge Marie quand il entendit les vrombissement. Il en était persuadé: le commandement avait eut vent de son appel radiophonique et avait envoyé des secours aériens. En effet, trois Breda Ba.88, du même type que ceux de Maktila, arrivaient au dessus de Buq Buq, équipée de rockettes à charge creuse, conformément aux indications du commandant. Ils piquèrent l'un après l'autre sur les chars anglais embourbées, faisant un massacre parmi eux… Les survivants, surmotivé par la menace volante, parvinrent à dégager les chars avant un second passage et pris la fuite en direction du désert...

J'espérai mieux des roquettes mais je maintiens mon avantage grâce à elles. Et je me donne encore de l'air avec cette carte reconnaissance qui me donne le choix entre deux carte (car si besoin de le rappelé je n'ai plus que 2 cartes en mains)
Tour 7
L'escadron B progressait toujours dans le fort. Bien décidé a se débarrassé du commandement italien, les chars prirent l'escadron du qg pour cible et malgré une tentative audacieuse mais infructueuse du commandant pour contre-attaquer (carte embuscade qui ne donne rien) ce dernier, constatant la perte de la moitié de ses hommes, ordonna la retraite à l'extrémité nord du fort. Là il appris que la batterie ouest avait été détruite par l'ennemie. Il ne restait désormais plus grand chose dans le fort... A l'est, la dernière batterie, appuyer par les Ba88, parvint à détruire les derniers chars de l'escadron A qui venaient d'échapper au griffe du désert de sel.

(oui, il y a qu'une seule photo cette fois ci… j'ai oublié de prendre l'autre :s)
Victoire très serré à 1 point d'écarts. L'opération Compass ne se passe décidément pas très bien pour les britanniques...
Je me rend compte que de toute les parties que j'ai joué a mémoire 44, je n'ai du en perdre que 3 ou 4 sur environs une 50ainnes. Mes adversaires - et parfois moi même- invoquent beaucoup la chance, mais quand on arrive à ce bilan, soit je suis très très chanceux, soit il y a suffisamment de stratégie dans le jeu pour que la maitrise que j'en ai soit systématiquement décisif.
Oui c'est un peu auto-congratulatoire, mais après un match comme ça, ça fait plaisir.
Le fort de Buq Buq tomba une heure plus tard. Sa prise avait couté cher aux hussard qui durent attendre le corp principal des troupes charger d'encercler les italiens. Repartant en avant avec plus d'une demi-journée de retard, ils tombèrent sur le reste de la division italienne qui s'était repositionné. Celle-ci fut finalement détruite par les britanniques mais, entre-temps, les autres forces italiennes s'étaient échappé, renforçant la Cyrénaïque. Comme promis, O'Connor fut démis et remplacé par Selby. Wawell reçut des félicitations glacés pour son opération qui avait couté si cher. Inquiet de la situation et désireux de redorée son blason, il décida de monter une nouvelle opération en coopération avec l'amiral Cuningham qui y prendra une importance toute particulière. L'humiliation de Sidi Barani devait être lavé et le sera avec la capture d'une des plus importantes forteresses italiennes de Libye: Bardia, le verrou de Libye et l'entrée de la Marmarique italienne.