GPO13 n°5 / Diplomatie et AARs
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- Serenissimus augustus a Deo coronatus magnus pacificus imperator
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Réponse à l' Ambassadeur d'Angleterre :
Votre étonnement quant au vocabulaire que nous utilisons est sans aucun doute dû à la grande richesse de langue française, en comparaison de la langue anglaise, et d'ailleurs ne parle t'on point francais à la cour de Londres.
Vous même reconnaissez que les duchés de Normandie et d'Aquitaine sont soumis naturellement à l'autorité de la couronne de France, mais qu'aujourd'hui occupés par vos forces vous nous proposez de les rendre contre paiement. En Francais, nous appelons ça une rançon, peut etre auriez vous un autre mot à nous proposer ?
Cependant, le roi de France ne souhaite pas de morts inutiles pour la récupération de ses terres, et est prêt à engager les négociation en ce sens.
Aussi voici nos suggestions pour l'aménagement d'un traité entre nos deux royaumes :
- Retour des Duchés d'Aquitaine et Normandie à la couronne de France :
- Aquitaine en 1450 pour la somme de 450D
- Normandie et Calais en 1475 pour la somme de 1200D
- Nous saurions renoncer à une alliance, pendant 150 ans avec le royaume d'Ecosse si l'Angleterre garantit en retour la totale intégrité territoriale écossaise.
Concernant, le félon Duc de Bourgogne, une fois de plus l'Angleterre tente de s'introduire dans les affaires intérieures du royaume de France. La Bourgogne, tout comme l'Aquitaine et la Normandie, sont des sujets de la couronne de France, et toutes attaques contre ceux ci se réveleront être des attaques contre le Roi de France.
La situation dans laquelle se trouve notre pays est le résultat des revendications, que vous avez vous même reconnues comme illégitimes, de vos ancêtres. Il est désormais tant que le Roi d'Angleterre se préoccupe de ces sujet sur son île, et nous vous ferons remarquer que nous ne venons pas, nous, vous y donner des leçons et oublie ses rêves d'égémonie sur le continent européen.
Hier la France, aujourd'hui les Flandres, demain la Péninsule Ibérique ?, les provinces d'Allemagne ?, que sais je encore....
Roi d'Angleterre, revenez à la raison et comportez vous comme un homme de paix...
Grand Connétable Elvis,
Votre étonnement quant au vocabulaire que nous utilisons est sans aucun doute dû à la grande richesse de langue française, en comparaison de la langue anglaise, et d'ailleurs ne parle t'on point francais à la cour de Londres.
Vous même reconnaissez que les duchés de Normandie et d'Aquitaine sont soumis naturellement à l'autorité de la couronne de France, mais qu'aujourd'hui occupés par vos forces vous nous proposez de les rendre contre paiement. En Francais, nous appelons ça une rançon, peut etre auriez vous un autre mot à nous proposer ?
Cependant, le roi de France ne souhaite pas de morts inutiles pour la récupération de ses terres, et est prêt à engager les négociation en ce sens.
Aussi voici nos suggestions pour l'aménagement d'un traité entre nos deux royaumes :
- Retour des Duchés d'Aquitaine et Normandie à la couronne de France :
- Aquitaine en 1450 pour la somme de 450D
- Normandie et Calais en 1475 pour la somme de 1200D
- Nous saurions renoncer à une alliance, pendant 150 ans avec le royaume d'Ecosse si l'Angleterre garantit en retour la totale intégrité territoriale écossaise.
Concernant, le félon Duc de Bourgogne, une fois de plus l'Angleterre tente de s'introduire dans les affaires intérieures du royaume de France. La Bourgogne, tout comme l'Aquitaine et la Normandie, sont des sujets de la couronne de France, et toutes attaques contre ceux ci se réveleront être des attaques contre le Roi de France.
La situation dans laquelle se trouve notre pays est le résultat des revendications, que vous avez vous même reconnues comme illégitimes, de vos ancêtres. Il est désormais tant que le Roi d'Angleterre se préoccupe de ces sujet sur son île, et nous vous ferons remarquer que nous ne venons pas, nous, vous y donner des leçons et oublie ses rêves d'égémonie sur le continent européen.
Hier la France, aujourd'hui les Flandres, demain la Péninsule Ibérique ?, les provinces d'Allemagne ?, que sais je encore....
Roi d'Angleterre, revenez à la raison et comportez vous comme un homme de paix...
Grand Connétable Elvis,
The King Rocks Da Place !!
"-À mon avis, dans la guerre, il y a une chose attractive : c'est le défilé de la victoire. L'emmerdant, c'est tout ce qui se passe avant. Il faudrait toucher sa prime d'engagement et défiler tout de suite. Avant que ça se gâte…"
(Michel Audiard, Un Taxi pour Tobrouk)
"-À mon avis, dans la guerre, il y a une chose attractive : c'est le défilé de la victoire. L'emmerdant, c'est tout ce qui se passe avant. Il faudrait toucher sa prime d'engagement et défiler tout de suite. Avant que ça se gâte…"
(Michel Audiard, Un Taxi pour Tobrouk)
Nous ne reconaissons rien du tout. Le duché de Normandie fait partie de la couronne d'Angleterre depuis le XIeme siècle. Quand au duché d'Aquitaine, elle fut apporté en dot à la maison d'Anjou par la duchesse Alliénor en épousant Henry II Plantagenet, duc d'Anjou et roi d'angleterre.
Ces deux duchés bien que se trouvant en France apartiennent légalement et de droit au roi d'Angleterre et à ses succésseurs.
Quand à nos demandes sur l'Ecosse et la rupture de votre alliance, ceci n'est qu'un gage de paix que la france pourait donner à l'Angleterre. Encore une fois votre geste sur l'Ecosse etait la contre partie de l'abandon en votre faveur du vasselage Breton. Le duchée de Bretagne ne faisant des terres de France.
Enfin concernant la Bourgogne vous vous contredisez car vos dernieres déclaration stipulait :Pour finir, nous n’avons nul estime pour le Duc de Bourgogne, lui aussi félon à la couronne de France, et son avenir en dehors des terres de France nous est des plus insignifiant.
Il semble donc que la position Française soit versatile.
La position de l'Angleterre elle n'est pas versatile et visiblement vos avez prit par erreur notre volonté de conciliation pour de la faiblesse. Certainement également, la défaite de 1419 et son cout enorme ne vous que trop étranger étant donnée que vous n'aviez pas encore le pouvoir royal entre vos mains.
Voici notre position définitive.
- Nous ne changerons pas le termes du traité de Paris que nous vous soumetons pour terminer la guerre de cent-ans.
- Si vous annexez la moindre terre de notre vassal Breton, l'Angleterre considérera cela comme un Cassus Belli. Nous retirerons imméditament notre proposition de traité et notamment notre volontée de vous revendre à terme les Duchés D'Aquitaine, de Normandie ainsi que de la ville de Calais. Vous serez alors obligez de remporter de manière éclatante 3 guerre contre l'Angleterre pour nous arracher ces terres. Non seulement cela sera difficile, mais vous pourez constater à quel point financierement vous risquerez de provoquer la ruine et pour longtemps de la monarchie Française. Enfin évidement si dieu voulait nous offrir une nouvelle fois la victoire, la France ne beneficiera plus de notre clémence de 1422. Nous annexerons des terres Françaises et certain de ses grands vassaux!
Nous conserverons également notre volonté de Punir la félonne Bourgogne de sas tratrise de 1419
Au dela du renoncement de l'Angleterre à sa proposition de traité, si la France annexe des terres Bretonnes, l'Angleterre se reservera le droit d'entrer en guerre contre la France quand elle le désirera. Quand à l'Ecosse si elle commet une nouvelle fois l'erreur de prendre les armes contre nous, son sort sera rapidement scéllé.
Comprenez bien que si l'Angleterre souhaite depuis longtemps un reglement amiable de la fin de la guerre de Cent-Ans, c'est nous qui fixons le prix de la vente de nos propres domaines et personne d'autres.
Pour conclure:
Les propositions Anglaises pour terminer la guerre de cent-ans demeureront tant que:
- La date de 1450 qui prévois la vente du Duché d'Aquitaine ne sera pas atteinte
soit
- La France annexe des terres de notre vassal Breton
C'est désormais au Roi de France de faire ses choix: La guerre ou la paix de compromis avec l'Angleterre
Sir Aedan
Ces deux duchés bien que se trouvant en France apartiennent légalement et de droit au roi d'Angleterre et à ses succésseurs.
Quand à nos demandes sur l'Ecosse et la rupture de votre alliance, ceci n'est qu'un gage de paix que la france pourait donner à l'Angleterre. Encore une fois votre geste sur l'Ecosse etait la contre partie de l'abandon en votre faveur du vasselage Breton. Le duchée de Bretagne ne faisant des terres de France.
Enfin concernant la Bourgogne vous vous contredisez car vos dernieres déclaration stipulait :Pour finir, nous n’avons nul estime pour le Duc de Bourgogne, lui aussi félon à la couronne de France, et son avenir en dehors des terres de France nous est des plus insignifiant.
Il semble donc que la position Française soit versatile.
La position de l'Angleterre elle n'est pas versatile et visiblement vos avez prit par erreur notre volonté de conciliation pour de la faiblesse. Certainement également, la défaite de 1419 et son cout enorme ne vous que trop étranger étant donnée que vous n'aviez pas encore le pouvoir royal entre vos mains.
Voici notre position définitive.
- Nous ne changerons pas le termes du traité de Paris que nous vous soumetons pour terminer la guerre de cent-ans.
- Si vous annexez la moindre terre de notre vassal Breton, l'Angleterre considérera cela comme un Cassus Belli. Nous retirerons imméditament notre proposition de traité et notamment notre volontée de vous revendre à terme les Duchés D'Aquitaine, de Normandie ainsi que de la ville de Calais. Vous serez alors obligez de remporter de manière éclatante 3 guerre contre l'Angleterre pour nous arracher ces terres. Non seulement cela sera difficile, mais vous pourez constater à quel point financierement vous risquerez de provoquer la ruine et pour longtemps de la monarchie Française. Enfin évidement si dieu voulait nous offrir une nouvelle fois la victoire, la France ne beneficiera plus de notre clémence de 1422. Nous annexerons des terres Françaises et certain de ses grands vassaux!
Nous conserverons également notre volonté de Punir la félonne Bourgogne de sas tratrise de 1419
Au dela du renoncement de l'Angleterre à sa proposition de traité, si la France annexe des terres Bretonnes, l'Angleterre se reservera le droit d'entrer en guerre contre la France quand elle le désirera. Quand à l'Ecosse si elle commet une nouvelle fois l'erreur de prendre les armes contre nous, son sort sera rapidement scéllé.
Comprenez bien que si l'Angleterre souhaite depuis longtemps un reglement amiable de la fin de la guerre de Cent-Ans, c'est nous qui fixons le prix de la vente de nos propres domaines et personne d'autres.
Pour conclure:
Les propositions Anglaises pour terminer la guerre de cent-ans demeureront tant que:
- La date de 1450 qui prévois la vente du Duché d'Aquitaine ne sera pas atteinte
soit
- La France annexe des terres de notre vassal Breton
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Sir Aedan
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- Foudre de Guerre
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CHRONIQUES MOSCOVITES 1434-1454
(suite de l'épisode précédent)…
il fut finalement décidé en haut lieu de ne pas fragiliser d’avantage l’économie, et de garder le rapport de forces actuel, à savoir : effectifs ennemis = effectifs moscovie + suzdal.
L’espoir résidait donc fortement dans les capacités de notre allié, à opérer de concert avec nous.
Les armées ennemies mirent le siège à moscou. Seuls nous n’étions pas assez puissants pour les repousser, et notre allié ne semblait pas bouger. Dés lors, puisque toute l’armée adverse était chez, nous, eh bien allons chez eux !!. Nous mettions donc le siège à novgorod, et là, les armées du Suzdal, nous y rejoignirent. L’ennemi fut un peu décontenancé, et abandonna la siège de Moscou pour essayer de nous déloger. Finalement la bataille décisive allait avoir lieu, qui plus est, à égalité numérique. Mais nous avions 2 avantages. Un très bon général (Dmitry Shemienka 4/3/4) et une cavalerie très largement supérieure en nombre. La bataille fut donc logiquement gagnée, et l’ennemi perdit la moitié de ses effectifs. Novgorod tomba quelques mois plus tard, et la paix fut signée contre une somme dérisoire par un jeune capitaine moscovite ayant usurpé l’identité du grand duc. (mauvais clic grgrgrmmmbbblll). Démasqué, il lui fut proposée une baignade dans la Volga, paré du traité de paix autour du cou, et d’une enclume attachée aux chevilles…
Novgorod, une paix précaire.
Toujours était-il que cette paix ne faisait pas le bonheur de notre trésorier. Malgré tout, ce moment de répit nous permit d’assainir nos finances et de payer notre dette. Il était temps, car le fou de Novgorod (qui venait encore de guerroyer avec l’alliance teutonique), ne digérait vraiment pas l’occupation de Suzdal en Archangelsk, et remit le couvert. Les mêmes causes eurent les mêmes effets, à ceci près que cette fois, le grand duc, lui-même, suivit de près les négociations de paix. Novgorod dû céder trois provinces (2 pour nous 1 pour Suzdal). Espérons qu’il ait compris la leçon.
Horde d’or : qui tape du russe, finit minus…
1447 : au sud, l’agitation était grande dans les provinces russophiles de la Horde d’or. Il vint aux oreilles du grand duc, que le khan était en train de réprimer fortement les populations non-mongoles. Les révoltes succédaient aux révoltes, et nous constatâmes que le pouvoir en place chancellait (stab -3, RR 9). De plus, les alliés du khan étaient également durement malmenés par de nombreux pays, inquiets de la frénésie expansionniste du puissant sultan ottoman. Le grand Duc réunit ses plus proches conseillers, et il fut décidé de passer à l’attaque au printemps, pour défendre les opprimés.
3 généraux moscovites étaient chargés de mener la bataille. Le vétéran Dmitry Shemienka, les jeunes Fedor Basenok (4/3/4) et Ivan Obolenski-Striga(3/2/4). Les deux premiers à la tête de 20 000 hommes chacun, le dernier un petit contingent de réservistes.
Malgré un siège brisé à Samarra, les succès s’enchaînèrent rapidement. Le principal obstacle, étant la durée des sièges, qui l’hiver arrivé, taillait des coupes sombres dans nos rangs. Il fallait donc maintenir des fantassins en réserves, et que l’armée de Basenok, principalement montée, stoppât les contingents ennemis susceptibles de briser les sièges. Obloenski-Stringa, avec ses faibles effetifs, se contentant de prendre la direction des sièges enclenchés par nos alliés, voire ceux de la lituanie, qui un peu plus tard, se mêla au conflit en attaquant l’empire Ottoman. Si bien qu’au bout de 3 ans, tous les territoires au nord de Volgograd, sauf samarra, étaient sous contrôle Moscovite. Pour ne rien arranger, les rebelles russophiles s’étaient emparés de la capitale et le grand duc décida de négocier directement avec eux, plûtot qu’avec le gouvernement du Khan, qui n’avait plus aucune légitimité. Il n’eut aucun mal à imposer la paix, contre la cession des territoires susnommés(gouvernement renversé).La Horde d’Or implosa…
Novgorod : Acte III
Le fou de Novgorod est décidément incorrigible. Non content d’avoir essuyé deux revers, contre nos armées, d’avoir récemment cédé l’ingermanland, à la prusse, voilà que celui-ci nous attaque de nouveau, avec beaucoup moins de moyens qu’auparavant. Ce ne fut qu’une formalité de le stopper, et cette fois-ci, il ne fut fait aucun quartier. Les deux malheureux territoires restant furent envahis, et la paix fut octroyée moyennant un serment d’allégeance.
Suzdal : dans mes bras mon frère
La paix retrouvée, la moscovie se retrouvait avec un territoire vaste du double de ce qu’il était 15 ans auparavant. Ayant désormais à diriger un si large domaine, le grand Duc proposa au prince de Suzdal, de rejoindre notre glorieuse patrie. Les succès obtenus main dans la main, tendaient à faire penser que notre destinée était commune.Le charisme du Grand Duc, et une belle promesse de domaine réservé au prince, firent le reste…
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- Foudre de Guerre
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- Localisation : Bourgogne
Suède 1434-1454 :
"Les suédois parlent aux suédois" tome 2.
Il ne se passe pas grand chose en temps normal en Suède et ces 20 années ne dérogeront pas à la règle. Seul changement, l'alliance avec le voisin danois n'est pas reconduite. Nous préférons rester complètement indépendant militairement et vivre en bonne harmonie avec nos voisins.
De chasse à l'ours en chasse à l'ours, le régent s'amuse follement. Les finances du pays ne sont pas dans le rouge mais enfin elles pourraient être mieux si ce dernier y consacrait un peu plus de temps. La seule chose qui l'intéresse est la politique extérieure et notamment les guerres qui ravagent la france et ses voisins.
Le régent ne comprend pas la position française qui consiste à revendiquer des terres qui sont anglaises depuis plusieurs siècles. L'angleterre, malgrès des prétentions légitimes sur le trone de France, a préféré faire des propositions de paix honnêtes qui sont toujours ignorées ou contestées par la France. Pourquoi refuser la main tendue et les propositions anglaises? La France est un pays aussi puissant que l'angleterre et refuser ces propositions ne peut qu'amener une guerre ruineuse pour les 2 pays...
Au vu de la position française qui consiste toujours à refuser la paix, la Suède se range donc au côté de l'angleterre et l'aidera de tout son possible en cas d'agression française ou de ses alliés.
Hans Grüüt Lodasson.
"Les suédois parlent aux suédois" tome 2.
Il ne se passe pas grand chose en temps normal en Suède et ces 20 années ne dérogeront pas à la règle. Seul changement, l'alliance avec le voisin danois n'est pas reconduite. Nous préférons rester complètement indépendant militairement et vivre en bonne harmonie avec nos voisins.
De chasse à l'ours en chasse à l'ours, le régent s'amuse follement. Les finances du pays ne sont pas dans le rouge mais enfin elles pourraient être mieux si ce dernier y consacrait un peu plus de temps. La seule chose qui l'intéresse est la politique extérieure et notamment les guerres qui ravagent la france et ses voisins.
Le régent ne comprend pas la position française qui consiste à revendiquer des terres qui sont anglaises depuis plusieurs siècles. L'angleterre, malgrès des prétentions légitimes sur le trone de France, a préféré faire des propositions de paix honnêtes qui sont toujours ignorées ou contestées par la France. Pourquoi refuser la main tendue et les propositions anglaises? La France est un pays aussi puissant que l'angleterre et refuser ces propositions ne peut qu'amener une guerre ruineuse pour les 2 pays...
Au vu de la position française qui consiste toujours à refuser la paix, la Suède se range donc au côté de l'angleterre et l'aidera de tout son possible en cas d'agression française ou de ses alliés.
Hans Grüüt Lodasson.
***** Chroniques du royaume d'Angleterre*****
1434, Le Duché de Bretagne
En ce début d'année 1434, les négociations avec les Valois de France semblait au point mort car l'Angleterre n'avait eu que fort peu d'echos à ses propositions pour un traité mettant fin à la guerre de cent-an hormis des chicaneries verbales françaises concernant la définition des terres Anglaises sur le continent.
Cependant le jeune Charles VII héritait d'une guerre en cours contre le duché de Bretagne que son oncle et ancien régent le duc Ric d'Orléans avait plus subit que provoqué. En effet le Duc de Bretagne, égaré dans de sombres alliances avec le félon Duc de Bourgogne était entré en guerre contre le royaume de France des Valois de son propre chef mettant en péril la politique de son suzerain Henry VI de Lancastre de recherche d'appaisement avec les Valois. Si les forces royales Françaises menaient une campagne assez facile en Bretagne, cette guerre pouvait déboucher sur une nouvelle guerre franco-Anglaise si une solution n'etait pas trouvée.
Mais le nouveau pouvoir à Paris, conscient des réalités, n'était pas pret à de nouvelles tragédies et ainsi un compromis devint possible. Conformément aux propositions Anglaises de 1419, le roi d'Angleterre devant le comportement inqualifiable du duc de Bretagne destitua le duc felon de son duché et annula les liens de vassalité qui existait entre le royaume d'Angleterre et le duché de Bretagne.
Cela revenait donc de laisser aux Valois toutes liberté d'action désormais en Bretagne.
En contrepartie, la France acceptait de retirer son soutien aux écossais ennemis de l'Angleterre.
L'affaire de Bretagne se terminait donc sur une ebauche de dialogue et de collaboration entre la France et l'Angleterre. Les Valois semblaient avoir bien besoin de calme et de temps pour resoudre leurs problèmes internes, les grands vassaux du royaumes de France se battant constament les uns contre les autres manipulés par le nouveau grand duc d'occident à savoir le puissant duc de Bourgogne.
1437 La guerre contre le grand duc d'occident
Henry VI de Lancastre n'avait pas oublié la trahison 20 ans plus tot du duc de Bourgogne envers son père le roi Henry V. Le duc de Bourgogne etait devenu un homme extremement puissant dont l'ambition semblait sans limite. Le duché de Bourgogne était devenu aussi riche et puissant que le royaume d'Angleterre ou que le domaine des Valois de France en s'etandant des marais de hollande aux vignobles du Beaujolais.
Sa majesté Henry VI etait donc fermement décidé à abattre la puissance du Bourguignon et lui déclara la guerre en 1437.
Sir Jonh Talbot etait le meilleur commandant militaire d'Angleterre et débarqua à Calais avec 35.000h dont 20.000 cavaliers. Il prit imméditamement la route des Flandres et alla assieger la puissante ville d'Anvers. Mais en pénétrant en Flandres, Talbot comprit alors que la partie serait difficile. Talbot escomptait ne pas rencontrer de forces Boourguignones trop puissante car les etats Bourgiognons etait coupés en deux et la partie Sud de Bourgogne autour de Dijon était isolés par les terres des Valois qui disposaint au moins d'autant de grief contre la Bourgogne que l'Angleterre et donc qu'il n'accepetrait jamais de livrer passage sur leurs terres de Champagne.
Mais stupeur, rien que dans ses etats du nord, le duc de Bourgogne disposait de plus de 80.000h en armes pret à marcher sur l'armée de Talbot et ses 35.000h. Heureusement l'armée anglaise fut sauvé par des disputes au sein du commandement bourguignon de hollande et jamais les forces Bourguignones ne s'unirenent pour anehantir les forces Anglaises en une seule bataille. Au lieu de cela, la Bourgogne lança ses forces par vagues de 30 à 35.000h. Les forces Anglaises engluées par le siège à mener perdirent de nombreuses batailles et par 3 fois le Siège d'Anvers du être pour une retraite sur Calais. Il faut dire qu'a la 3eme contre attaque et disposant de forces affaiblit, Talbot dut subir l'assaults de 40.000 frisons alliés de la Bourgogne. Defait à Anvers, Talbot remporta une victoire éclatante devant Calais, apres avoir reçu 20.000h en renforts d'Angleterre, qui laissa 35.000 frisons morts sur le champs de bataille. De retour devant Anvers Talbot pu enfin mener le siège et s'emparer de la ville les contre attaque Bourguignone devenant sporadiques. En 1 an de campagne, Talbot avait perdu 40.000 h en tout mais avait infligé des pertes de 80.000h à la Bourgogne et 40.000h à son allié frisons.
La campagne n'etait cempendant pas terminée car le duc de Bourgogne se montrait intraitable. Talbot prit la route du Hainaut et mis le siège devant Bruxelle. Au nord le Duc d'York debarqua à Oldenburg et força le duc à reconaitre la suzeraineté de l'Angleterre et à verser 200D d'indemnités de guerre. Restait une nouvelle fois la Frise qui avait levé 2 nouvelles armées de 20.000h chacune. Le duc d'York écrasa la 1ere en Frise même et vint mettre le siège devant le palais ducal. La 2eme armée frison sera finalement également écrasée dans les marais de Gueldre.
Sa majesté Henry VI était fermement décidé à abattre le pouvoir de la Frise et de la Bourgogne et se fit ceder le comté de Gueldre de la Frise et le comté de Flandres de la Bourgogne qui du ceder au moment de la chute de Bruxelle.
Malgré des pertes importantes, l'Angleterre remportait une superbe revanche sur la Bourgogne dont la puissance en sortait considérablement affaiblit.... c'est du moins ce que l'on pensait à Londres... mais visiblement également à Paris
Le Duché de Bourgogne au centre des affaires françaises
La Bourgogne sortait vaincue de sa guerre contre l'Angleterre et les Valois de France pensait certainement qu'il était temps de faire rentrer la Bourgogne dans le rang et d'obliger son duc à reconaitre la suzerainté de Charles VII de Valois. La France entra donc en guerre contre la Bourgogne et ses alliés de Frise et de Cologne. Ce sera aux clercs français de relater la terrible guerre qui devait alors ensanglanter une nouvelle fois le royaume de France, mais voici notre analyse.
Les forces royales Françaises lancèrent une vaste offensive vers le nord et malgré certain succés initiaux, ils se rendirent compte a quel point l'ost bourguignons etait vigoureux. Malgré la perte de 80.000h contre l'Angleterre, les forces bourguignones etaient encore inombrable et il devenait dangereux pour les forces royales de pousser plus en avant.
D'autant que les alliés de la Bourgogne aller accomplir des exploits. Les forces de Cologne percèrent les lignes Françaises et vinrent mettre le Siège devant Lyon en ecrasant d'apres nos sources une armée Française conduite par Dunois..lequels serait mort dans la bataille.
La frise , encore elle, aller frapper encore plus fort. Apres avoir contourné Paris, l'armée Frisone mit le siège devant la ville hautement symbolique d'orléans, s'en empara et destitua le duc pourtant oncle de Charles VII. L'orleanais annexée devenant alors terre Frisone.
Dans cette période troublée, on poura également souligne la destitution du duc de Provence et l'annexion de Marseille par la Savoie. Les guerres multiples touchant le Bourbonnais et l'Auvergne tantot l'un contre l'autres, tantot contre les Valois eux-même... Le royaume de France semblait en pleine guerre civile...
Finalement les valois obtinrent l'Artois de la Bourgogne et la situation se stabilisa enfin un temps...
Mais tout ceci reste extrement complexe à apréhender et surtout trés instable
La fin de la menace Ecossaise. Vers une union dynastique de la Grande-Bretagne
Apres sa victoire en Flandres contre la Bourgogne, Sa majesté Henry VI de Lancastre etait décidé à apporter la sécurité à l'Angleterre en sécurisant un fois pour toute sa frontière nord. En effet en 1420, les écossais apres avoirs franchit les marches etait venu piller et s'emparer de la ville anglaise d'York pendant que les forces Anglaises combatait en France.
Sir John Talbot assisté du nouveau général Warwick furent chargé de la campagne. Warwick marcha alors sur Glasgow pendant que Talbot se dirigeait sur Edimbourg defendu par une armée de 30.000 ecossais. Une 1ere bataille et une 1ere defaite contraignit Talbot à rentrer en Angleterre réorganiser ses forces. La seconde bataille fut un immense succés. Apres la chute d'Edimbourg, les villes ecossaises se rendirent les une apres les autres. L'Angleterre annexa alors Glasgow et Aberdeen ce qui devait affaiblit pour longtemps l'Ecosse et apporter la sécurité à l'Angleterre sur son sol.
Mais le duc de Savoie méritait bien son sobriquet de "Charognard". Apres avoir détruit le duché de Provence en s'emparant de Marseille alors que celui-ci sortait à peine d'une grave défaite contre la Bretagne.... revoiçi le Duc de Savoie qui tente la même opération sur l'Ecosse. A peine l'encre du traité de paix entre l'Ecosse et l'Angleterre est t'elle sèche, qu'une armée savoyarde de 15.000h débarquent dans les highlands et s'empare de la forteresse d'Inverness dans la foullée. Imméditament les forces Savoyarde enchaine et debarque à Edimbourg dont les murs ne sont pas encore reconstruit apres le siège de Talbot. Le gouvernement Ecossais dépose immédiatament les armes et cede donc les Highlands à la Savoie.
Le roi d'Ecosse dont les terres se limite désormais à campagne environant Edimbourg prit la route de Londre implorer le pardon d'Henry VI de Lancastre pour avoir prit les armes cnontre son père en 1419 et avoir piller York. Il implora également à ce que l'Angleterre prennent soin et assure la sécurité dorénavent des écossais.
Un traité fut alors signé:
Traité Anglo-Ecossais de 1445
- Le roi d'Ecosse accepte de se placer en tant que vassal de l'Angleterre et reconnait Henry VI de Lancastre comme son suzerain
- En echange, l'Angleterre offre sa protection au peuple écossais et intégrera l'Ecosse dans l'Alliance Anglaise
- Le jeune prince Edward de Lancastre, héritier du trone d'Angleterre épousera la princesse Elisabeth d'Ecosse
- A la mort du roi d'Ecosse actuel, le Roi d'Angleterre heritera du royaume d'Ecosse qui sera alors intégré à la couronne d'Angleterre.
James II king of Scotland Henry VI roi d'Angleterre
Le conflit avec l'Irlande
Les brigands Irlandais menaient depuis de trop nombreuses années de raids sur le comté de Mealth et comme l'Angleterre n'avait jamais reconus l'indépendance de l'Irlande, il etait temps pour Henry VI d'y remettre bon ordre. Talbot et warwick à peine revenu d'Ecosse, embarquaient à Liverpool pour Dublin à la tete de 25.000h hommes d'armes. La campagne d'Irlande fut rapide et les révoltés furent mis en prisons avant d'etre pendu à Dublin. L'Angleterre annexa alors les comtés de Leinster et Munster qui rejoignirent la couronne d'Angleterre et sa pax Anglica
La vision d'un roi. Le grand dessein d'Henry VI
Ce roi qui avait tant fait pour la grandeur de l'Angleterre avait un grand dessein. Depuis sa jeunesse et marqué par la duré de la guerre de cent-ans, il etait persuadé que le destin de l'Angleterre ne serait jamais sur le continent. Et c'est bien pour cela qu'il avait poursuivit le projet de son père de ceder à bon prix à terme les possessions continentales de l'Angleterre pour que le royaume puisse se concentrer sur le domaine maritime. Henry VI lança un vaste programme de construction de 70 galères qui sont désormais opérationelles. Sa majesté Henry VI à depuis envoyé au Pape un courier officiel l'informant qu'il tient cette flotte de galère à la disposition du souverain pontife en cas de nouvelle croisade.
Naturellement Henry VI offrit en premier les duchés d'Aquitaine et de Normandie aux valois. Mais ceux-ci etrangement sont toujour restés vagues dans leurs décisions d'acérir ces terres qui leurs sont pourtant proposés.
La proposition de traité avec la France etait valable jsqu'a un accord soit trouvé sur la Bretagne ET que la date de 1450 ne serait pas dépassé date prévue de la vente de l'aquitaine.
La date etant révolue, la proposition Anglaise est terminée. Cependant sa majesté a toujour la volontée de vendre ces terres.
Ainsi des à présent, le roi d'Angleterre met en vente ses possessions d'Aquitaine à quiconque souhaite les acheter (ce qui inclue toujour le roi de France si celui-ci accpete mais plus eulement lui).
Le duché d'Aquitaine est en vente pour 300 D
Le duché du Poitou est en vente pour 300 D
Il est evident qu'avec les terres, les titres de noblesses seront également cédé.
A partir de 1475, le Duché de Normandie ainsi que le compté de Caux seront également placé en vente pour 400 Ducats pièces.
Enfin la Ville de Calais sera placée en vente pour 500 D en 1500.
Concernant le comté de Gueldre, la couronne souhaite à terme s'en débarasser également. Nous attendons d'éventuelles proositions d'aquereur.
Enfin concernant la déclaration Suédoise, il nous est agréable de constater que même la Suède s'etonne du comportement etrange des Valois qui serait parfoir tenter d'obtenir par la guerre ce que quelques ducats pouraaient obtenir par la paix ce qui prouve bien la justesse de la position anglaise.
Que la Suède veuille bien recevoir nos amitiés. Nous pensons qu'une solution pacifique est possible, la France ayant montré quelques gestes de bonnes volontés durant la crise Bretonne. Cependant votre offre d'aide nous honnore et nous saurons nous en souvenir...
Sir Aedan
1434, Le Duché de Bretagne
En ce début d'année 1434, les négociations avec les Valois de France semblait au point mort car l'Angleterre n'avait eu que fort peu d'echos à ses propositions pour un traité mettant fin à la guerre de cent-an hormis des chicaneries verbales françaises concernant la définition des terres Anglaises sur le continent.
Cependant le jeune Charles VII héritait d'une guerre en cours contre le duché de Bretagne que son oncle et ancien régent le duc Ric d'Orléans avait plus subit que provoqué. En effet le Duc de Bretagne, égaré dans de sombres alliances avec le félon Duc de Bourgogne était entré en guerre contre le royaume de France des Valois de son propre chef mettant en péril la politique de son suzerain Henry VI de Lancastre de recherche d'appaisement avec les Valois. Si les forces royales Françaises menaient une campagne assez facile en Bretagne, cette guerre pouvait déboucher sur une nouvelle guerre franco-Anglaise si une solution n'etait pas trouvée.
Mais le nouveau pouvoir à Paris, conscient des réalités, n'était pas pret à de nouvelles tragédies et ainsi un compromis devint possible. Conformément aux propositions Anglaises de 1419, le roi d'Angleterre devant le comportement inqualifiable du duc de Bretagne destitua le duc felon de son duché et annula les liens de vassalité qui existait entre le royaume d'Angleterre et le duché de Bretagne.
Cela revenait donc de laisser aux Valois toutes liberté d'action désormais en Bretagne.
En contrepartie, la France acceptait de retirer son soutien aux écossais ennemis de l'Angleterre.
L'affaire de Bretagne se terminait donc sur une ebauche de dialogue et de collaboration entre la France et l'Angleterre. Les Valois semblaient avoir bien besoin de calme et de temps pour resoudre leurs problèmes internes, les grands vassaux du royaumes de France se battant constament les uns contre les autres manipulés par le nouveau grand duc d'occident à savoir le puissant duc de Bourgogne.
1437 La guerre contre le grand duc d'occident
Henry VI de Lancastre n'avait pas oublié la trahison 20 ans plus tot du duc de Bourgogne envers son père le roi Henry V. Le duc de Bourgogne etait devenu un homme extremement puissant dont l'ambition semblait sans limite. Le duché de Bourgogne était devenu aussi riche et puissant que le royaume d'Angleterre ou que le domaine des Valois de France en s'etandant des marais de hollande aux vignobles du Beaujolais.
Sa majesté Henry VI etait donc fermement décidé à abattre la puissance du Bourguignon et lui déclara la guerre en 1437.
Sir Jonh Talbot etait le meilleur commandant militaire d'Angleterre et débarqua à Calais avec 35.000h dont 20.000 cavaliers. Il prit imméditamement la route des Flandres et alla assieger la puissante ville d'Anvers. Mais en pénétrant en Flandres, Talbot comprit alors que la partie serait difficile. Talbot escomptait ne pas rencontrer de forces Boourguignones trop puissante car les etats Bourgiognons etait coupés en deux et la partie Sud de Bourgogne autour de Dijon était isolés par les terres des Valois qui disposaint au moins d'autant de grief contre la Bourgogne que l'Angleterre et donc qu'il n'accepetrait jamais de livrer passage sur leurs terres de Champagne.
Mais stupeur, rien que dans ses etats du nord, le duc de Bourgogne disposait de plus de 80.000h en armes pret à marcher sur l'armée de Talbot et ses 35.000h. Heureusement l'armée anglaise fut sauvé par des disputes au sein du commandement bourguignon de hollande et jamais les forces Bourguignones ne s'unirenent pour anehantir les forces Anglaises en une seule bataille. Au lieu de cela, la Bourgogne lança ses forces par vagues de 30 à 35.000h. Les forces Anglaises engluées par le siège à mener perdirent de nombreuses batailles et par 3 fois le Siège d'Anvers du être pour une retraite sur Calais. Il faut dire qu'a la 3eme contre attaque et disposant de forces affaiblit, Talbot dut subir l'assaults de 40.000 frisons alliés de la Bourgogne. Defait à Anvers, Talbot remporta une victoire éclatante devant Calais, apres avoir reçu 20.000h en renforts d'Angleterre, qui laissa 35.000 frisons morts sur le champs de bataille. De retour devant Anvers Talbot pu enfin mener le siège et s'emparer de la ville les contre attaque Bourguignone devenant sporadiques. En 1 an de campagne, Talbot avait perdu 40.000 h en tout mais avait infligé des pertes de 80.000h à la Bourgogne et 40.000h à son allié frisons.
La campagne n'etait cempendant pas terminée car le duc de Bourgogne se montrait intraitable. Talbot prit la route du Hainaut et mis le siège devant Bruxelle. Au nord le Duc d'York debarqua à Oldenburg et força le duc à reconaitre la suzeraineté de l'Angleterre et à verser 200D d'indemnités de guerre. Restait une nouvelle fois la Frise qui avait levé 2 nouvelles armées de 20.000h chacune. Le duc d'York écrasa la 1ere en Frise même et vint mettre le siège devant le palais ducal. La 2eme armée frison sera finalement également écrasée dans les marais de Gueldre.
Sa majesté Henry VI était fermement décidé à abattre le pouvoir de la Frise et de la Bourgogne et se fit ceder le comté de Gueldre de la Frise et le comté de Flandres de la Bourgogne qui du ceder au moment de la chute de Bruxelle.
Malgré des pertes importantes, l'Angleterre remportait une superbe revanche sur la Bourgogne dont la puissance en sortait considérablement affaiblit.... c'est du moins ce que l'on pensait à Londres... mais visiblement également à Paris
Le Duché de Bourgogne au centre des affaires françaises
La Bourgogne sortait vaincue de sa guerre contre l'Angleterre et les Valois de France pensait certainement qu'il était temps de faire rentrer la Bourgogne dans le rang et d'obliger son duc à reconaitre la suzerainté de Charles VII de Valois. La France entra donc en guerre contre la Bourgogne et ses alliés de Frise et de Cologne. Ce sera aux clercs français de relater la terrible guerre qui devait alors ensanglanter une nouvelle fois le royaume de France, mais voici notre analyse.
Les forces royales Françaises lancèrent une vaste offensive vers le nord et malgré certain succés initiaux, ils se rendirent compte a quel point l'ost bourguignons etait vigoureux. Malgré la perte de 80.000h contre l'Angleterre, les forces bourguignones etaient encore inombrable et il devenait dangereux pour les forces royales de pousser plus en avant.
D'autant que les alliés de la Bourgogne aller accomplir des exploits. Les forces de Cologne percèrent les lignes Françaises et vinrent mettre le Siège devant Lyon en ecrasant d'apres nos sources une armée Française conduite par Dunois..lequels serait mort dans la bataille.
La frise , encore elle, aller frapper encore plus fort. Apres avoir contourné Paris, l'armée Frisone mit le siège devant la ville hautement symbolique d'orléans, s'en empara et destitua le duc pourtant oncle de Charles VII. L'orleanais annexée devenant alors terre Frisone.
Dans cette période troublée, on poura également souligne la destitution du duc de Provence et l'annexion de Marseille par la Savoie. Les guerres multiples touchant le Bourbonnais et l'Auvergne tantot l'un contre l'autres, tantot contre les Valois eux-même... Le royaume de France semblait en pleine guerre civile...
Finalement les valois obtinrent l'Artois de la Bourgogne et la situation se stabilisa enfin un temps...
Mais tout ceci reste extrement complexe à apréhender et surtout trés instable
La fin de la menace Ecossaise. Vers une union dynastique de la Grande-Bretagne
Apres sa victoire en Flandres contre la Bourgogne, Sa majesté Henry VI de Lancastre etait décidé à apporter la sécurité à l'Angleterre en sécurisant un fois pour toute sa frontière nord. En effet en 1420, les écossais apres avoirs franchit les marches etait venu piller et s'emparer de la ville anglaise d'York pendant que les forces Anglaises combatait en France.
Sir John Talbot assisté du nouveau général Warwick furent chargé de la campagne. Warwick marcha alors sur Glasgow pendant que Talbot se dirigeait sur Edimbourg defendu par une armée de 30.000 ecossais. Une 1ere bataille et une 1ere defaite contraignit Talbot à rentrer en Angleterre réorganiser ses forces. La seconde bataille fut un immense succés. Apres la chute d'Edimbourg, les villes ecossaises se rendirent les une apres les autres. L'Angleterre annexa alors Glasgow et Aberdeen ce qui devait affaiblit pour longtemps l'Ecosse et apporter la sécurité à l'Angleterre sur son sol.
Mais le duc de Savoie méritait bien son sobriquet de "Charognard". Apres avoir détruit le duché de Provence en s'emparant de Marseille alors que celui-ci sortait à peine d'une grave défaite contre la Bretagne.... revoiçi le Duc de Savoie qui tente la même opération sur l'Ecosse. A peine l'encre du traité de paix entre l'Ecosse et l'Angleterre est t'elle sèche, qu'une armée savoyarde de 15.000h débarquent dans les highlands et s'empare de la forteresse d'Inverness dans la foullée. Imméditament les forces Savoyarde enchaine et debarque à Edimbourg dont les murs ne sont pas encore reconstruit apres le siège de Talbot. Le gouvernement Ecossais dépose immédiatament les armes et cede donc les Highlands à la Savoie.
Le roi d'Ecosse dont les terres se limite désormais à campagne environant Edimbourg prit la route de Londre implorer le pardon d'Henry VI de Lancastre pour avoir prit les armes cnontre son père en 1419 et avoir piller York. Il implora également à ce que l'Angleterre prennent soin et assure la sécurité dorénavent des écossais.
Un traité fut alors signé:
Traité Anglo-Ecossais de 1445
- Le roi d'Ecosse accepte de se placer en tant que vassal de l'Angleterre et reconnait Henry VI de Lancastre comme son suzerain
- En echange, l'Angleterre offre sa protection au peuple écossais et intégrera l'Ecosse dans l'Alliance Anglaise
- Le jeune prince Edward de Lancastre, héritier du trone d'Angleterre épousera la princesse Elisabeth d'Ecosse
- A la mort du roi d'Ecosse actuel, le Roi d'Angleterre heritera du royaume d'Ecosse qui sera alors intégré à la couronne d'Angleterre.
James II king of Scotland Henry VI roi d'Angleterre
Le conflit avec l'Irlande
Les brigands Irlandais menaient depuis de trop nombreuses années de raids sur le comté de Mealth et comme l'Angleterre n'avait jamais reconus l'indépendance de l'Irlande, il etait temps pour Henry VI d'y remettre bon ordre. Talbot et warwick à peine revenu d'Ecosse, embarquaient à Liverpool pour Dublin à la tete de 25.000h hommes d'armes. La campagne d'Irlande fut rapide et les révoltés furent mis en prisons avant d'etre pendu à Dublin. L'Angleterre annexa alors les comtés de Leinster et Munster qui rejoignirent la couronne d'Angleterre et sa pax Anglica
La vision d'un roi. Le grand dessein d'Henry VI
Ce roi qui avait tant fait pour la grandeur de l'Angleterre avait un grand dessein. Depuis sa jeunesse et marqué par la duré de la guerre de cent-ans, il etait persuadé que le destin de l'Angleterre ne serait jamais sur le continent. Et c'est bien pour cela qu'il avait poursuivit le projet de son père de ceder à bon prix à terme les possessions continentales de l'Angleterre pour que le royaume puisse se concentrer sur le domaine maritime. Henry VI lança un vaste programme de construction de 70 galères qui sont désormais opérationelles. Sa majesté Henry VI à depuis envoyé au Pape un courier officiel l'informant qu'il tient cette flotte de galère à la disposition du souverain pontife en cas de nouvelle croisade.
Naturellement Henry VI offrit en premier les duchés d'Aquitaine et de Normandie aux valois. Mais ceux-ci etrangement sont toujour restés vagues dans leurs décisions d'acérir ces terres qui leurs sont pourtant proposés.
La proposition de traité avec la France etait valable jsqu'a un accord soit trouvé sur la Bretagne ET que la date de 1450 ne serait pas dépassé date prévue de la vente de l'aquitaine.
La date etant révolue, la proposition Anglaise est terminée. Cependant sa majesté a toujour la volontée de vendre ces terres.
Ainsi des à présent, le roi d'Angleterre met en vente ses possessions d'Aquitaine à quiconque souhaite les acheter (ce qui inclue toujour le roi de France si celui-ci accpete mais plus eulement lui).
Le duché d'Aquitaine est en vente pour 300 D
Le duché du Poitou est en vente pour 300 D
Il est evident qu'avec les terres, les titres de noblesses seront également cédé.
A partir de 1475, le Duché de Normandie ainsi que le compté de Caux seront également placé en vente pour 400 Ducats pièces.
Enfin la Ville de Calais sera placée en vente pour 500 D en 1500.
Concernant le comté de Gueldre, la couronne souhaite à terme s'en débarasser également. Nous attendons d'éventuelles proositions d'aquereur.
Enfin concernant la déclaration Suédoise, il nous est agréable de constater que même la Suède s'etonne du comportement etrange des Valois qui serait parfoir tenter d'obtenir par la guerre ce que quelques ducats pouraaient obtenir par la paix ce qui prouve bien la justesse de la position anglaise.
Que la Suède veuille bien recevoir nos amitiés. Nous pensons qu'une solution pacifique est possible, la France ayant montré quelques gestes de bonnes volontés durant la crise Bretonne. Cependant votre offre d'aide nous honnore et nous saurons nous en souvenir...
Sir Aedan
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- Serenissimus augustus a Deo coronatus magnus pacificus imperator
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De l’adversité dans la réunification du Royaume de France
Foi dans sa destinée, et du soutien de Dieu, Charles VII après avoir signé la paix avec l’Angleterre, s’attacha à réunir les provinces du royaume de France sous l’autorité légitime de sa couronne.
La Bretagne fut rapidement pacifiée et notre attention se reporta sur le Duc de Bourgogne dont le pouvoir grandissait aussi vite que son hostilité à notre égard.
Le Royaume d’Angleterre, sous prétexte de laver son honneur, si tant est qu’elle en ait un, étendit son pouvoir en capturant la riche région commerçante des Flandres.
Nous lançâmes également nos hosts contre le duc félon, qui appela à la rescousse ses alliées bataves et leurs immenses armées.
Les batailles se suivirent, et finalement nous pûmes reprendre l’Artois tandis que notre vassal orléanais succombait aux assauts frisons.
Finalement la paix fut signée, mais traîtrise infâme, une bande d’assassin allemands traversa le pays, alors que nos pays étaient en paix, et occire notre bon général Gilles de Rais lors de son sommeil. Acte qui demandera vengeance.
Profitant du trouble, le duc de Bourgogne rattacha à son Duché la Lorraine, le Luxembourg et l’Alsace, en une nouvelle provocation à la couronne de France.
Ces guerres eurent un effet néfaste sur notre trésor mais notre déficit, ainsi que notre inflation furent maîtrisée.
Au Roi d’Angleterre :
Une nouvelle fois, nous ne saurons supporter votre ton arrogant, et il semble donc désormais que vous ayez un sévère problème auditif. L’Angleterre n’a en aucune façon à commander, ordonner, ou même menacer quelque royaume que ce soit, surtout quand vous vous adressez à la couronne de France avec laquelle vous êtes en dettes.
Nous avons, en vertu de notre parole donnée, payer les dommages de guerre après ce conflit perdu. Les duchés d’Aquitaine et de Normandie, vassaux de la couronne de France, sont encore sous votre contrôle et nous avons concéder à payer la rançon de ces terres pour leur légitime retour à la France.
Quelle est donc cette attitude arrogante et méprisante à notre égard.
De plus afin de répondre à l’avance à vos futures extravagantes proclamations, si ces Duchés étaient réellement anglais, seriez vous donc prêts la brader comme n’importe quel lot d’étoffe au premier venu. Preuve s’il en est que l’Aquitaine et la Normandie ne sont pas plus anglaise que ne l’est l’Andalousie, la Bavière ou Byzance.
La politique de rançonnage de l’Angleterre se confirmera donc quand après avoir annexer le Comté de Gueldre, elle affirme vouloir la vendre à tout acheteur potentiel.
Définitivement, si la chevalerie ne règne pas à Londres, ce sont bien les banquiers qui siègent sur le trône.
Concernant nos affaires, nous paierons la somme demandée afin d’éviter toute effusion de sang, à notre convenance et au date que nous choisirons. Il est temps que l’Angleterre oublie ses rêves de diriger le royaume de France et qu’elle revienne à la réalité. Ou alors qu’elle affiche réellement ses désirs de guerre ouverte comme il semble l’être à la suite de ses provocations incessantes.
Au Roi de Suède, nous sommes des plus surpris de votre attitude qui semble résulter d’une totale mésinformation de la situation, ou d’une oreille trop attentive aux divagations anglaises.
Nous n’oserions penser qu’en recherchant un soutien ou un éventuelle alliance avec l’Angleterre, vous seriez prêt à y oublier et à troquer votre honneur de suzerain.
Nous sommes heureux de la victoire des troupes moscovites dans ces lointaines steppes enneigées et souhaitons fortune à votre royaume en construction.
Nous avons également la plus grande admiration pour l’Archi-duc d’Autriche que l’on dit le suzerain le plus érudit d’Europe. Même passant son temps dans les bibliothèques à étudier, il ne put recevoir les ambassades qui lui furent envoyer retournant bredouilles vers leur royaume respectif.
Connétable Elvis
Foi dans sa destinée, et du soutien de Dieu, Charles VII après avoir signé la paix avec l’Angleterre, s’attacha à réunir les provinces du royaume de France sous l’autorité légitime de sa couronne.
La Bretagne fut rapidement pacifiée et notre attention se reporta sur le Duc de Bourgogne dont le pouvoir grandissait aussi vite que son hostilité à notre égard.
Le Royaume d’Angleterre, sous prétexte de laver son honneur, si tant est qu’elle en ait un, étendit son pouvoir en capturant la riche région commerçante des Flandres.
Nous lançâmes également nos hosts contre le duc félon, qui appela à la rescousse ses alliées bataves et leurs immenses armées.
Les batailles se suivirent, et finalement nous pûmes reprendre l’Artois tandis que notre vassal orléanais succombait aux assauts frisons.
Finalement la paix fut signée, mais traîtrise infâme, une bande d’assassin allemands traversa le pays, alors que nos pays étaient en paix, et occire notre bon général Gilles de Rais lors de son sommeil. Acte qui demandera vengeance.
Profitant du trouble, le duc de Bourgogne rattacha à son Duché la Lorraine, le Luxembourg et l’Alsace, en une nouvelle provocation à la couronne de France.
Ces guerres eurent un effet néfaste sur notre trésor mais notre déficit, ainsi que notre inflation furent maîtrisée.
Au Roi d’Angleterre :
Une nouvelle fois, nous ne saurons supporter votre ton arrogant, et il semble donc désormais que vous ayez un sévère problème auditif. L’Angleterre n’a en aucune façon à commander, ordonner, ou même menacer quelque royaume que ce soit, surtout quand vous vous adressez à la couronne de France avec laquelle vous êtes en dettes.
Nous avons, en vertu de notre parole donnée, payer les dommages de guerre après ce conflit perdu. Les duchés d’Aquitaine et de Normandie, vassaux de la couronne de France, sont encore sous votre contrôle et nous avons concéder à payer la rançon de ces terres pour leur légitime retour à la France.
Quelle est donc cette attitude arrogante et méprisante à notre égard.
De plus afin de répondre à l’avance à vos futures extravagantes proclamations, si ces Duchés étaient réellement anglais, seriez vous donc prêts la brader comme n’importe quel lot d’étoffe au premier venu. Preuve s’il en est que l’Aquitaine et la Normandie ne sont pas plus anglaise que ne l’est l’Andalousie, la Bavière ou Byzance.
La politique de rançonnage de l’Angleterre se confirmera donc quand après avoir annexer le Comté de Gueldre, elle affirme vouloir la vendre à tout acheteur potentiel.
Définitivement, si la chevalerie ne règne pas à Londres, ce sont bien les banquiers qui siègent sur le trône.
Concernant nos affaires, nous paierons la somme demandée afin d’éviter toute effusion de sang, à notre convenance et au date que nous choisirons. Il est temps que l’Angleterre oublie ses rêves de diriger le royaume de France et qu’elle revienne à la réalité. Ou alors qu’elle affiche réellement ses désirs de guerre ouverte comme il semble l’être à la suite de ses provocations incessantes.
Au Roi de Suède, nous sommes des plus surpris de votre attitude qui semble résulter d’une totale mésinformation de la situation, ou d’une oreille trop attentive aux divagations anglaises.
Nous n’oserions penser qu’en recherchant un soutien ou un éventuelle alliance avec l’Angleterre, vous seriez prêt à y oublier et à troquer votre honneur de suzerain.
Nous sommes heureux de la victoire des troupes moscovites dans ces lointaines steppes enneigées et souhaitons fortune à votre royaume en construction.
Nous avons également la plus grande admiration pour l’Archi-duc d’Autriche que l’on dit le suzerain le plus érudit d’Europe. Même passant son temps dans les bibliothèques à étudier, il ne put recevoir les ambassades qui lui furent envoyer retournant bredouilles vers leur royaume respectif.
Connétable Elvis
The King Rocks Da Place !!
"-À mon avis, dans la guerre, il y a une chose attractive : c'est le défilé de la victoire. L'emmerdant, c'est tout ce qui se passe avant. Il faudrait toucher sa prime d'engagement et défiler tout de suite. Avant que ça se gâte…"
(Michel Audiard, Un Taxi pour Tobrouk)
"-À mon avis, dans la guerre, il y a une chose attractive : c'est le défilé de la victoire. L'emmerdant, c'est tout ce qui se passe avant. Il faudrait toucher sa prime d'engagement et défiler tout de suite. Avant que ça se gâte…"
(Michel Audiard, Un Taxi pour Tobrouk)
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- Foudre de Guerre
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Réponse de la régence suèdoise au connétable Elvis :
La Suède est très bien informée. Certes, vous n'avez jamais fait de déclaration de guerre mais vous n'avez jamais approuvé le plan de paix (plutôt à votre avantage) du roi anglais non plus.
Vos dernières déclarations ont donc été bien accueillies à Stockholm et nous espérons que la paix règnera bientôt sur toute la France et ses environs.
Hans Grüüt Lodasson
La Suède est très bien informée. Certes, vous n'avez jamais fait de déclaration de guerre mais vous n'avez jamais approuvé le plan de paix (plutôt à votre avantage) du roi anglais non plus.
Vos dernières déclarations ont donc été bien accueillies à Stockholm et nous espérons que la paix règnera bientôt sur toute la France et ses environs.
Hans Grüüt Lodasson
Nous n'avons jamais pretendue que les terres d'Aquitaine, du Poitou et de Normandie etaient anglaises mais qu'elle étaient propriété légitime par héritage de la couronne d'Angleterre ce qui est trés différent.
En tant que propriétaire légitime, il est de notre droit de les mettre en vente si tel est notre bon plaisir, de choisir leurs prix de vente et de choisir parmis les postulant à l'aquisition à qui nous les vendront.
La couronne de France elle, est libre de les acheter ou non et de choisir la date d'achat à sa convenance tant que ces duchés seront toujours proposés à la vente par la couronne d'Angleterre.
Si vous parveniez à convenir de cela, une meilleur detente serait possible entre le royaume des Lancastre et celui des Valois. Il serait alors de bon aloi que la diplomatie Française evite de traiter la monarchie anglaise d'arogante alors que depuis longtemps nous ne recherchons que la paix et surtout un eclaircissement de la situation, la ou les Valois semble preferer le doute et l'incertitude.
Nous aprenons ainsi que finalement vous envisagiez l'achat de ces terres. Il aurait été sage de nous en informer plus avant au lieu de protester aujourd'hui. Il est etrange tout de meme que la diplomatie Française se montra aussi agressive alors qu'elle souhaite pourtant traiter avec l'Angleterre. Ne vous etonnez donc pas qu'un royaume comme la Suède ai pu s'en inquiéter.
Nous tenons donc à votre disposition ces terres. Sachez cependant que la France n'en dispose plus de la priorité et que si un autre acheteur se présentait, nous ne pourions vous retenir ces terres. Concernant le comté de Gueldre, si aucun acheteur ne devait se presenter, celui-ci sera offert en fief à un noble local, l'Angleterre ne souhaitant pas l'administrer.
Votre diatribe sur l'agressivité de l'Angleterre et sa recherche de la guerre ne trompera personne. L'angleterre cherche la paix et a se retirer de France et elle le clame haut et fort. Nous sommes persuadé que les autres grandes puissances européennes et sa sainteté le pape l'auront également bien compris en ce sens...
Sir Aedan
En tant que propriétaire légitime, il est de notre droit de les mettre en vente si tel est notre bon plaisir, de choisir leurs prix de vente et de choisir parmis les postulant à l'aquisition à qui nous les vendront.
La couronne de France elle, est libre de les acheter ou non et de choisir la date d'achat à sa convenance tant que ces duchés seront toujours proposés à la vente par la couronne d'Angleterre.
Si vous parveniez à convenir de cela, une meilleur detente serait possible entre le royaume des Lancastre et celui des Valois. Il serait alors de bon aloi que la diplomatie Française evite de traiter la monarchie anglaise d'arogante alors que depuis longtemps nous ne recherchons que la paix et surtout un eclaircissement de la situation, la ou les Valois semble preferer le doute et l'incertitude.
Nous aprenons ainsi que finalement vous envisagiez l'achat de ces terres. Il aurait été sage de nous en informer plus avant au lieu de protester aujourd'hui. Il est etrange tout de meme que la diplomatie Française se montra aussi agressive alors qu'elle souhaite pourtant traiter avec l'Angleterre. Ne vous etonnez donc pas qu'un royaume comme la Suède ai pu s'en inquiéter.
Nous tenons donc à votre disposition ces terres. Sachez cependant que la France n'en dispose plus de la priorité et que si un autre acheteur se présentait, nous ne pourions vous retenir ces terres. Concernant le comté de Gueldre, si aucun acheteur ne devait se presenter, celui-ci sera offert en fief à un noble local, l'Angleterre ne souhaitant pas l'administrer.
Votre diatribe sur l'agressivité de l'Angleterre et sa recherche de la guerre ne trompera personne. L'angleterre cherche la paix et a se retirer de France et elle le clame haut et fort. Nous sommes persuadé que les autres grandes puissances européennes et sa sainteté le pape l'auront également bien compris en ce sens...
Sir Aedan
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- Foudre de Guerre
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Missive du grand duc de Moscovie, Vassily II
Le grand duc adresse ses salutations aux souverains de ce monde.
Les suites du conflit anglo-français ne cessent de rebondir en chamailleries puériles.
La moscovie reconnaît l'attitude conciliante du souverain anglais, qui a su faire preuve de magnanisme dans ses propositions de paix. Tout comme il lui reconnaît le droit d'exercer pleinement ses prérogatives en tant qu'administrateur de terres sur le continent, fussent-elles obtenues par le truchement échoeurant de coucheries royales, princières ou même ducales.
Toutefois, pour l'amour de dieu, qu'on laisse le jeune souverain Français gérer son royaume comme il l'entend. La situation dont il a héritée(malgré les efforts surhumains de son prédécesseur) n'autorise guère une grande marge de manoeuvre; la plan anglais étant particulièrement bien ficellé, il est aisé de comprendre que l'égo français doit en pâtir.
Aussi, le grand duc n'a qu'un seul conseil à lui donner : faites comme bon vous semble.
Le grand duc adresse ses salutations aux souverains de ce monde.
Les suites du conflit anglo-français ne cessent de rebondir en chamailleries puériles.
La moscovie reconnaît l'attitude conciliante du souverain anglais, qui a su faire preuve de magnanisme dans ses propositions de paix. Tout comme il lui reconnaît le droit d'exercer pleinement ses prérogatives en tant qu'administrateur de terres sur le continent, fussent-elles obtenues par le truchement échoeurant de coucheries royales, princières ou même ducales.
Toutefois, pour l'amour de dieu, qu'on laisse le jeune souverain Français gérer son royaume comme il l'entend. La situation dont il a héritée(malgré les efforts surhumains de son prédécesseur) n'autorise guère une grande marge de manoeuvre; la plan anglais étant particulièrement bien ficellé, il est aisé de comprendre que l'égo français doit en pâtir.
Aussi, le grand duc n'a qu'un seul conseil à lui donner : faites comme bon vous semble.
Note secrete de Don Scaraban, Conseiller de Juan II de Castille
Nos dernieres informations nous indique une rebellion dans le royaume de France. Apparement, la ville de Brest est tombée dans les mains de troupes independantistes bretonnes. Ils auraient meme osé, selon les rumeurs persistantes, déclarer l'union de cette terre, avec le duché de Bretagne.
Pour l'heure, tout le monde attent l'intervention du Roi de France. En effet, ce genre de revoltes doit etre maté au plus tot, pour eviter de donner des idées à d'autres groupes félons, en France comme dans toutes l'Europe.
Nous proposons à notre roi Juan II de faire quelques exemples avec les peuplades de Navarre, montrant ainsi sa force, et le sort reservé aux petits ducs, rebelle à leur souverain.
Nos dernieres informations nous indique une rebellion dans le royaume de France. Apparement, la ville de Brest est tombée dans les mains de troupes independantistes bretonnes. Ils auraient meme osé, selon les rumeurs persistantes, déclarer l'union de cette terre, avec le duché de Bretagne.
Pour l'heure, tout le monde attent l'intervention du Roi de France. En effet, ce genre de revoltes doit etre maté au plus tot, pour eviter de donner des idées à d'autres groupes félons, en France comme dans toutes l'Europe.
Nous proposons à notre roi Juan II de faire quelques exemples avec les peuplades de Navarre, montrant ainsi sa force, et le sort reservé aux petits ducs, rebelle à leur souverain.
Evènements en Castille de 1454 à 1474 sous le règne de Henri IV
Cette période de notre histoire ne restera pas dans les mémoires. Peu avant sa mort, Juan II réussit à convaincre le Roi du Portugal de renoncer au trône pour ne former plus qu’un et unique royaume. Mais la mort faucha notre bon roi comme un lapin en plein vol…
Lorsque Henri IV monta sur son strapontin, le Pape vit l’occasion de montrer son autorité sur un roi dont la réputation de « simple » était déjà connue de toutes les cours européennes. Certains savants proposent qu’à l’avenir on évite de marier les cousins entre eux. Les résultats sur les chevaux avaient démontrés de bien meilleure qualité en sortant du cercle familial. Mais qui va oser comparer nos rois divins à de vulgaires ruminants ?
Le Pape a donc ordonné à Henri IV de rendre la liberté aux peuples Portugais, car seul Dieu (et lui-même) ont le pouvoir de déterminer les places de chacun sur cette terre. Et pour se repentir, un petit don de 400 000 pièces d’or servira à dorer tous les plafonds des appartements papaux. Apres avoir été humilié ainsi, notre Roi a cherché un moyen de regagner un peu d’honneur. Une guerre est le plus sure de moyen. Mais on ne l’appelle pas Henry le peureux pour rien.
Ainsi, gonflant le torse, chevauchant fièrement son âne royal, il partit défier les Anglais et leur alliance. Mais il se murmure déjà dans la suite du roi que cette guerre n’est qu’une illusion pour le peuple. En effet, il semblerait que la Castille est acheté le duché d’Aquitaine au royaume d’Angleterre… Quoiqu’il en soit, le peuple gardera à l’esprit la prise de ce duché, ainsi que la province du Béarn. Ce fut le seul fait peu glorieux de notre roi.
Le rapprochement temporaire avec le Portugal nous a tout de même appris l’existence de terre lointaine, non habité, en tout cas pas par des chrétiens. Pour le moment, l’intérêt de ces terres reste très limité. La récente montée sur le trône d’Isabelle I va peut être changer l’avenir du royaume de Castille, que nous espérons tous plus glorieux que le règne du défunt Henry IV.
Cette période de notre histoire ne restera pas dans les mémoires. Peu avant sa mort, Juan II réussit à convaincre le Roi du Portugal de renoncer au trône pour ne former plus qu’un et unique royaume. Mais la mort faucha notre bon roi comme un lapin en plein vol…
Lorsque Henri IV monta sur son strapontin, le Pape vit l’occasion de montrer son autorité sur un roi dont la réputation de « simple » était déjà connue de toutes les cours européennes. Certains savants proposent qu’à l’avenir on évite de marier les cousins entre eux. Les résultats sur les chevaux avaient démontrés de bien meilleure qualité en sortant du cercle familial. Mais qui va oser comparer nos rois divins à de vulgaires ruminants ?
Le Pape a donc ordonné à Henri IV de rendre la liberté aux peuples Portugais, car seul Dieu (et lui-même) ont le pouvoir de déterminer les places de chacun sur cette terre. Et pour se repentir, un petit don de 400 000 pièces d’or servira à dorer tous les plafonds des appartements papaux. Apres avoir été humilié ainsi, notre Roi a cherché un moyen de regagner un peu d’honneur. Une guerre est le plus sure de moyen. Mais on ne l’appelle pas Henry le peureux pour rien.
Ainsi, gonflant le torse, chevauchant fièrement son âne royal, il partit défier les Anglais et leur alliance. Mais il se murmure déjà dans la suite du roi que cette guerre n’est qu’une illusion pour le peuple. En effet, il semblerait que la Castille est acheté le duché d’Aquitaine au royaume d’Angleterre… Quoiqu’il en soit, le peuple gardera à l’esprit la prise de ce duché, ainsi que la province du Béarn. Ce fut le seul fait peu glorieux de notre roi.
Le rapprochement temporaire avec le Portugal nous a tout de même appris l’existence de terre lointaine, non habité, en tout cas pas par des chrétiens. Pour le moment, l’intérêt de ces terres reste très limité. La récente montée sur le trône d’Isabelle I va peut être changer l’avenir du royaume de Castille, que nous espérons tous plus glorieux que le règne du défunt Henry IV.
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Diplomates Français et Marchands Anglais
Notre bon Charles VII continuait d’oeuvrer sous la protection divine pour le bien de la France, en réunifiant les provinces légitimes sous sa royale couronne.
Notre Trésor était au plus bas, après avoir payer, rubis sur l’ongle les dommages de guerre qui avait été agréées avec l’Angleterre. Paiement qui avait même excédé de quelques de ducats le montant demandé.
Malgré les provocations anglaises, nous souhaitions toujours trouver une situation pacifique au retour de nos provinces d’Aquitaine et de Normandie.
Cependant, alors que nous respections notre accord, et tachions de relâcher la tension entre nos deux royaume, en fermant les yeux sur l’affaires écossaise. Une nouvelle fois, nous devions faire face aux avides et irrespectueuse prétentions anglaise.
Sachant que nous ne pouvions proposer la somme demandée en 1450, l’Angleterre vendit la Gascogne à Madrid prétextant une libre disposition de cette province . La légitimité de l’Angleterre sur la Gascogne mise à part, l’Europe entière connaissez l’attachement de la France à cette région, mais Londres n’en fit guère égard et, céda délibérément la Gascogne à la Castille, sachant pertinemment la colère provoquée en France.
Mais soit, nous ne répondrons pas à cette provocation, et ne tiendrons rigueur à la Castille pour cette acte, même si nos ambassades sont restées lettres mortes quand nous demandions au Castillan des informations sur sa conduite dans cette affaire.
L’attitude de l’Angleterre est évidente en recherchant à provoquer une crise entre la France et la Castille tout en s’enrichissant des ducats ibériques. Mais nous ne tomberons pas dans ce grossier piège, et nous résoudrons donc à ne pouvoir considérer que des relations minimales et stricto commerciales avec l’Angleterre, et ce afin d’éviter de nouvelles guerres.
Nous reprîmes donc le Poitou et la Normandie, que dans sa grande générosité, l’Anglais voulait toujours nous céder pour la somme de 600 ducats. (payés une nouvelle fois rubis sur l’ongle et avec des excédents)
Aussitôt, des fonctionnaires royaux furent envoyés dans ces provinces établissant le pouvoir du roi de France.
La foule accueillit avec joie l’arrivée des étendarts du roi de France et le départ des garnisons anglaises. (0% de révolte), montrant ainsi le véritable attachement des populations locales…
Nous avons aussi présenté la somme demandée pour le rachat de Caux et de Calais, mais il nous a été répondu que cette affaire ne pouvait se réaliser qu’en 1580 et pas avant. Soit, nous attendrons donc.
Cependant, il serait fait trop d’honneur à l’Anglois que de prétendre qu’il est le centre des affaires françaises. Charles VII devait également reprendre sa légitimité sur des provinces qui avait été perdue suite à la défaite de la guerre de cent ans.
Brest fut reprise au breton, l’Orléanais fut repris au Bourguignon, et ainsi que la Provence au savoyard.
Après tant d’efforts et de d’adversité, la santé de Charles VII se faisait de plus en plus précaires. Il finit donc par s’éteindre, mais heureux du travail accomplit ces dernières 50 années.
Le Roi est mort ! Vive le Roi !
Louis XI s’assied sur le trône de France, portant son attention sur félon duc de Bourgogne….
Notre bon Charles VII continuait d’oeuvrer sous la protection divine pour le bien de la France, en réunifiant les provinces légitimes sous sa royale couronne.
Notre Trésor était au plus bas, après avoir payer, rubis sur l’ongle les dommages de guerre qui avait été agréées avec l’Angleterre. Paiement qui avait même excédé de quelques de ducats le montant demandé.
Malgré les provocations anglaises, nous souhaitions toujours trouver une situation pacifique au retour de nos provinces d’Aquitaine et de Normandie.
Cependant, alors que nous respections notre accord, et tachions de relâcher la tension entre nos deux royaume, en fermant les yeux sur l’affaires écossaise. Une nouvelle fois, nous devions faire face aux avides et irrespectueuse prétentions anglaise.
Sachant que nous ne pouvions proposer la somme demandée en 1450, l’Angleterre vendit la Gascogne à Madrid prétextant une libre disposition de cette province . La légitimité de l’Angleterre sur la Gascogne mise à part, l’Europe entière connaissez l’attachement de la France à cette région, mais Londres n’en fit guère égard et, céda délibérément la Gascogne à la Castille, sachant pertinemment la colère provoquée en France.
Mais soit, nous ne répondrons pas à cette provocation, et ne tiendrons rigueur à la Castille pour cette acte, même si nos ambassades sont restées lettres mortes quand nous demandions au Castillan des informations sur sa conduite dans cette affaire.
L’attitude de l’Angleterre est évidente en recherchant à provoquer une crise entre la France et la Castille tout en s’enrichissant des ducats ibériques. Mais nous ne tomberons pas dans ce grossier piège, et nous résoudrons donc à ne pouvoir considérer que des relations minimales et stricto commerciales avec l’Angleterre, et ce afin d’éviter de nouvelles guerres.
Nous reprîmes donc le Poitou et la Normandie, que dans sa grande générosité, l’Anglais voulait toujours nous céder pour la somme de 600 ducats. (payés une nouvelle fois rubis sur l’ongle et avec des excédents)
Aussitôt, des fonctionnaires royaux furent envoyés dans ces provinces établissant le pouvoir du roi de France.
La foule accueillit avec joie l’arrivée des étendarts du roi de France et le départ des garnisons anglaises. (0% de révolte), montrant ainsi le véritable attachement des populations locales…
Nous avons aussi présenté la somme demandée pour le rachat de Caux et de Calais, mais il nous a été répondu que cette affaire ne pouvait se réaliser qu’en 1580 et pas avant. Soit, nous attendrons donc.
Cependant, il serait fait trop d’honneur à l’Anglois que de prétendre qu’il est le centre des affaires françaises. Charles VII devait également reprendre sa légitimité sur des provinces qui avait été perdue suite à la défaite de la guerre de cent ans.
Brest fut reprise au breton, l’Orléanais fut repris au Bourguignon, et ainsi que la Provence au savoyard.
Après tant d’efforts et de d’adversité, la santé de Charles VII se faisait de plus en plus précaires. Il finit donc par s’éteindre, mais heureux du travail accomplit ces dernières 50 années.
Le Roi est mort ! Vive le Roi !
Louis XI s’assied sur le trône de France, portant son attention sur félon duc de Bourgogne….
The King Rocks Da Place !!
"-À mon avis, dans la guerre, il y a une chose attractive : c'est le défilé de la victoire. L'emmerdant, c'est tout ce qui se passe avant. Il faudrait toucher sa prime d'engagement et défiler tout de suite. Avant que ça se gâte…"
(Michel Audiard, Un Taxi pour Tobrouk)
"-À mon avis, dans la guerre, il y a une chose attractive : c'est le défilé de la victoire. L'emmerdant, c'est tout ce qui se passe avant. Il faudrait toucher sa prime d'engagement et défiler tout de suite. Avant que ça se gâte…"
(Michel Audiard, Un Taxi pour Tobrouk)
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CHRONIQUES DU GRAND DUCHE DE MOSCOVIE 1454-1474
Las de ces conflits, le grand duc Vassily II se retira dans une réplique Geogienne de la basilique sainte-sophie, pour méditer. Il y finit sa vie, et mourut 8 ans plus tard, la barbe longue de 50 cm, aveugle et en tongs. Avant de partir, il avait pris soin de confier à son fidèle ami, l'ex-prince de Suzdal, la charge de préparer son fils à régner. En 1462, IVAN III devenait grand duc de moscovie.
Tres rapidement, le nouveau duc prit des mesures énergiques. Il annexa la vieille et fière Novgorod. Les activités commerciales furent déplacées à Moscou. Les jeunes couples moscovites furent incités à s'implanter en Karelie et Archangelsk, y fonder des villes, et développer le commerce de la fourrure.
Le duc lorgnait également vers la mer baltique. Narva, une ancienne cité de Novgorod, avait été honteusement raflée par la Prusse. Le grand duc en était déjà fort courroucé. Mais lorsque des prêtres romains y batirent des églises, son sang ne fit qu'un tour, et il décida d'entreprendre sa première campagne militaire. Son inexpérience lui valut quelques déboires. Il n'avait pris soin de consulter ses consillers militaires avant de lancer l'attaque, et s'aperçut plus tard que la Prusse ne faisait plus partie de l'alliance teutonique. Il fallut verser moults ducats pour obetnir le droit de passage sur les terres des chevaliers, mais finalement, toute la Prusse fut envahie. Narva nous fut restituée, et la prusse paya cette forfaiture d'un serment de vassalité au duc.
La moscovie avait désormais un accès à la mer.
***** Chroniques du royaume d'Angleterre 1454 - 1475*****
1454, l'Angleterre cède ses terres d'Aquitaine et de Normandie
L'Angleterre était disposée à vendre ses terres sur le continent au roi de France et ce projet datait de 1419 et des premiere décision d'Henry V de Lancastre.
Cependant la diplomatie française ne voulant peut-être pas paraitre dépendante de l'Angleterre se montra évasive concernant ce projet pendant plus de 30 ans sans jamais confirmer sa volonté de recheter ces terres à la couronne d'Angleterre.
La chancellerie Anglaise rapella alors que la vente exclusive de la 1ere tranche de terre à la France expirerait en 1450 et au dela de cette date, l'Angleterre se reserverait le droit de vendre ces terres à tout acheteur potentiel et non plus exclusivement à la couronne de France.
Des les années 1445, la Castille se montra désireuse d'aquérir pour son roi le duché d'Aquitaine. L'angleterre expliqua alors aux envoyés du roi de Castille que l'Aquitaine était réservée aux Valois de France jusqu'en 1450 et que si ceux-ci n'exprimait pas alors leurs volontés claires d'acheter le duché à cette date, la vente redeviendrait libre et la Castille pourait se porter candidate.
Ainsi en 1450, la Castille offrit 300.000 ducat pour le rachat de l'Aquitaine et la couronne d'Angleterre lui céda ses droit. Il fallut cependant 4 ans et 1454 pour que le transfert de souveraineté puisse s'effectuer.
La France en 1452 déclara enfin sa volonté d'aquérir les duchés d'Aquitaine et de Poitou de l'Angleterre. Mais il était trop tard, la date de 1450 étant dépassée, le duché d'Aquitaine n'etait plus en vente car déjà réservé au rouyaume de Castille.
Le roi de France s'en montra étonnament courroucé. Pourtant une nouvelle fois l'Angleterre n'avait fait que respecter sa parole. Sans engagement ferme de la France, la vente de ces territoires ne serait plus réservé aux Valois à partir de 1450 .... les choses nous semblait donc clair.
Cependant sa majesté Henry VI dans son eternel recherche de la paix et de la concorde avec le royaume de France, accepta de vendre le duché de Normandie en lieu et place de l'Aquitaine au royaume de France.
Ainsi en 1455, le royaume d'Angleterre cedait:
- Le duché d'Aquitaine pour 300.000 ducats au royaume de Castille
- Les duchés de Poitou et de Normandie au royaume de France pour 600.000 ducats
La guerre des deux-roses
( c'est extrement compliqué comme situation....)
Les origines de la querelle sont à rechercher un siècle plus tot.
Le puissant roi Edward III plantagenet (victorieux à Crecy et Poitier contre les Français) avait eut 4 fils. Mais Edward III devait avoir un des regne les plus long de l'histoire de l'Angleterre.
Son fils ainé, Duc et prince d'Aquitaine surnomé "Le prince noir" mouru avant son père. A la mort d'Edward III, la couronne d'Angleterre echut à Richard II Plantagenet petit-fils d'ewdard III et fils du prince noir.
Pendant ce temps, le 2eme fils d'Edward III Lionel d'Anvers décédait également en laissant une fille qui épousa le duc d'York et fonda ainsi la Maison d'York
Le 3eme fils d'Edward III était Jean de Gand qui en épousant la duchesse de Lancastre devint duc de Lancastre et fonda la Maison de Lancastre. Son fils ainé se nomma Henry de Lancastre
Richard II plantagenet étant faible et subissant des revers dans la guerre contre Charles V de Valois, son cousin Henry de Lancastre le fit déposer et vertainement assasiner. Henry de Lancastre devint roi d'Angleterre sous le nom d'Henri IV
Son fils Henry V de Lancastre devint un grand roi et fut notamment l'auteur de la victoire d'Azincourt. Il se maria en 1420 avec Catherine de Valois et fille du roi Charles VI. Au traité de Troyes, Charles VI de Valois promis au fils d'Henri V et de Catherine de Valois, la couronne de France.
Quand Henry V mourru en 1422, son fils Henry n'avait que 2 ans. Il monta sur le trone d'Angleterre sous le nom d'Henry VI de Lancastre et son oncle le duc de Bedford frère assura la régence.
Il faut noter que pendant ce temps, la veuve d'Henri V, Catherine de Valois et mère d'Henri VI, se remaria en secret avec un courtier gallois du nom d'Owen Tudor et fonda ainsi la future maison des Tudor
Le règne d'Henry VI de Lancastre ne fut pas trés glorieux et sa défaite finale dans la guerre de cent ans face aux Valois fini de le discréditer. Quand la folie commença à le frapper en 1455, la Maison d'York se souleva et ce fut le début de la guerre des deux roses
Le duc Richard d'York etait le petit fils par une femme de Lionel d'Anvers fils Cadet du roi Edward III. Or la maison de Lancastre était elle issue uniquement d'homme mais du 3eme fils d'Edward III. Les York considérèrent que leurs branche étant issue d'un 2eme fils et non d'un 3eme fils comme les Lancastre était prioritaire. Pour les Lancastre, la branche d'York était intéroompu par une femme et n'avait donc pas la priorité.
La Branche ainé des Plantagenets étant intérrompu apres richard II mort sans enfant. Richard'York pour assoir sa légitimité récupéra ce nom en sa faveur.
Richard d'York dont les partisant étaient surtout du nord de l'Angleterre remporta une 1ere grande bataille contre les troupes d'Henry VI à SAint-Albans.
Cependant si Henry VI paraissait de plus en plus faible, sa femme Marguerite d'Anjou rétablissa la situation et ses troupes écrasèrent les Yorkistes à Wakefiels et fit décapiter le duc Richard d'York.
Cependant le fils ainé de Richard d'York, Edouard reprit le flambeau du combat et parvint à entrer dans Londres en 1461 et se faire couronner roi d'Angleterre sous le nom d'Edward IV d'York avec l'aide de son ami, Richard Neuville comte de Warwick (le faiseur de roi).
La Reine marguerite d'Anjou parvint cependant à réatablir la situation et son fils Henry VI sur le trone.
Edward IV York parti se refugier aupres de son beau frère le duc de Bourgogne Charles le Téméraire puis revins avec l'aide des Bourguignons en Angleterre ou il récupéra son trone et fit jeter la reine Marguerite et Henry VI dans un cachots de la Tour de Londres.
Mais pendant ce temps, Warwick s'était brouillé avec Edouard IV et sa fille Anne avait épousé le Prince de Galles Edouard fils d'Henry VI de Lancastre. Trés logiquement Warwick délivra Henry VI et le replaça sur le trone pour assurer l'héritage de sa fille qui devait normalement devenir reine d'Angleterre au coté d'un roi Lancastre.
Mais en 1471, WArwick fut batut par les Yorkistes et trouva la mort. Henry VI et la reine Marguerite furent tué à leurs tour.
Edouard IV semblait avoir définitivement gagné et la Maison d'York installé pour logtemps sur le trone.
En 1483 Edouard IV mouru et son fils Edouard V d'York monta sur le Trone. Mais les coups bas et les traitrises n'était pas terminé.
Le duc Richard d'York avait plusieurs fils et si Edouard IV était son ainé, il avait également eu comme fils Richard duc de Gloucester. Richard épousa la fille de Warwick et veuve du prince Edouard de Lancastre et fils Henry VI.
Richard duc de Gloucester s'empara alors d'Edouard V (son neveu) et le fit périr en prison. Il devint le nouveau roi d'Angleterre sous le nom de Richard III d'York. Sa femme Anne de Warwick qui aurait pu devenir 12 ans plus tot une reine Lancastriene, devenait une reine Yorkiste.
Mais l'histoire ne devait pas en rester la. Henry TUDOR affilié à la maison des Lancastre trés indirectement (Il était le petit-fils de Catherine de Valois et de son remariage avec Owen Tudor mais également le fils de Marguerite de Beaufort descendante de Jean de Gand duc de Lancastre et fils d'Edward III).
En 1485, à la bataille de Botworth Field, Henry Tudor écrasa les troupes de Richard III et fut couronné roi sous le nom d'Henry VII Tudor
La guerre des deux-roses se terminait apres 30 ans de guerres civiles. Bien que descendant des Lancastre par les femmes, Henry Tudor n'était plus un Platagenet, cette famille qui gouvernait l'Angleterre depuis qu'Henry II d'Anjou avait épousé la duchesse Aliénor d'Aquitaine 3 siècles plus tot...
Les années 1470...
Un accord fut finalement trouvé avec la couronne de France. La ville de Calais et le comté de Caux seront finalement prochainement cédé en 1480 pour la somme de 800.000 ducats.
Malgré la guerre des deux-roses en Angleterre, la paix à l'extérieur permit au royaume de contenir l'inflation et de renforcer le trésor royal. De nombreux investissements dans l'infrastructure du royaume purent également être opéré.
Sir Aedan
1454, l'Angleterre cède ses terres d'Aquitaine et de Normandie
L'Angleterre était disposée à vendre ses terres sur le continent au roi de France et ce projet datait de 1419 et des premiere décision d'Henry V de Lancastre.
Cependant la diplomatie française ne voulant peut-être pas paraitre dépendante de l'Angleterre se montra évasive concernant ce projet pendant plus de 30 ans sans jamais confirmer sa volonté de recheter ces terres à la couronne d'Angleterre.
La chancellerie Anglaise rapella alors que la vente exclusive de la 1ere tranche de terre à la France expirerait en 1450 et au dela de cette date, l'Angleterre se reserverait le droit de vendre ces terres à tout acheteur potentiel et non plus exclusivement à la couronne de France.
Des les années 1445, la Castille se montra désireuse d'aquérir pour son roi le duché d'Aquitaine. L'angleterre expliqua alors aux envoyés du roi de Castille que l'Aquitaine était réservée aux Valois de France jusqu'en 1450 et que si ceux-ci n'exprimait pas alors leurs volontés claires d'acheter le duché à cette date, la vente redeviendrait libre et la Castille pourait se porter candidate.
Ainsi en 1450, la Castille offrit 300.000 ducat pour le rachat de l'Aquitaine et la couronne d'Angleterre lui céda ses droit. Il fallut cependant 4 ans et 1454 pour que le transfert de souveraineté puisse s'effectuer.
La France en 1452 déclara enfin sa volonté d'aquérir les duchés d'Aquitaine et de Poitou de l'Angleterre. Mais il était trop tard, la date de 1450 étant dépassée, le duché d'Aquitaine n'etait plus en vente car déjà réservé au rouyaume de Castille.
Le roi de France s'en montra étonnament courroucé. Pourtant une nouvelle fois l'Angleterre n'avait fait que respecter sa parole. Sans engagement ferme de la France, la vente de ces territoires ne serait plus réservé aux Valois à partir de 1450 .... les choses nous semblait donc clair.
Cependant sa majesté Henry VI dans son eternel recherche de la paix et de la concorde avec le royaume de France, accepta de vendre le duché de Normandie en lieu et place de l'Aquitaine au royaume de France.
Ainsi en 1455, le royaume d'Angleterre cedait:
- Le duché d'Aquitaine pour 300.000 ducats au royaume de Castille
- Les duchés de Poitou et de Normandie au royaume de France pour 600.000 ducats
La guerre des deux-roses
( c'est extrement compliqué comme situation....)
Les origines de la querelle sont à rechercher un siècle plus tot.
Le puissant roi Edward III plantagenet (victorieux à Crecy et Poitier contre les Français) avait eut 4 fils. Mais Edward III devait avoir un des regne les plus long de l'histoire de l'Angleterre.
Son fils ainé, Duc et prince d'Aquitaine surnomé "Le prince noir" mouru avant son père. A la mort d'Edward III, la couronne d'Angleterre echut à Richard II Plantagenet petit-fils d'ewdard III et fils du prince noir.
Pendant ce temps, le 2eme fils d'Edward III Lionel d'Anvers décédait également en laissant une fille qui épousa le duc d'York et fonda ainsi la Maison d'York
Le 3eme fils d'Edward III était Jean de Gand qui en épousant la duchesse de Lancastre devint duc de Lancastre et fonda la Maison de Lancastre. Son fils ainé se nomma Henry de Lancastre
Richard II plantagenet étant faible et subissant des revers dans la guerre contre Charles V de Valois, son cousin Henry de Lancastre le fit déposer et vertainement assasiner. Henry de Lancastre devint roi d'Angleterre sous le nom d'Henri IV
Son fils Henry V de Lancastre devint un grand roi et fut notamment l'auteur de la victoire d'Azincourt. Il se maria en 1420 avec Catherine de Valois et fille du roi Charles VI. Au traité de Troyes, Charles VI de Valois promis au fils d'Henri V et de Catherine de Valois, la couronne de France.
Quand Henry V mourru en 1422, son fils Henry n'avait que 2 ans. Il monta sur le trone d'Angleterre sous le nom d'Henry VI de Lancastre et son oncle le duc de Bedford frère assura la régence.
Il faut noter que pendant ce temps, la veuve d'Henri V, Catherine de Valois et mère d'Henri VI, se remaria en secret avec un courtier gallois du nom d'Owen Tudor et fonda ainsi la future maison des Tudor
Le règne d'Henry VI de Lancastre ne fut pas trés glorieux et sa défaite finale dans la guerre de cent ans face aux Valois fini de le discréditer. Quand la folie commença à le frapper en 1455, la Maison d'York se souleva et ce fut le début de la guerre des deux roses
Le duc Richard d'York etait le petit fils par une femme de Lionel d'Anvers fils Cadet du roi Edward III. Or la maison de Lancastre était elle issue uniquement d'homme mais du 3eme fils d'Edward III. Les York considérèrent que leurs branche étant issue d'un 2eme fils et non d'un 3eme fils comme les Lancastre était prioritaire. Pour les Lancastre, la branche d'York était intéroompu par une femme et n'avait donc pas la priorité.
La Branche ainé des Plantagenets étant intérrompu apres richard II mort sans enfant. Richard'York pour assoir sa légitimité récupéra ce nom en sa faveur.
Richard d'York dont les partisant étaient surtout du nord de l'Angleterre remporta une 1ere grande bataille contre les troupes d'Henry VI à SAint-Albans.
Cependant si Henry VI paraissait de plus en plus faible, sa femme Marguerite d'Anjou rétablissa la situation et ses troupes écrasèrent les Yorkistes à Wakefiels et fit décapiter le duc Richard d'York.
Cependant le fils ainé de Richard d'York, Edouard reprit le flambeau du combat et parvint à entrer dans Londres en 1461 et se faire couronner roi d'Angleterre sous le nom d'Edward IV d'York avec l'aide de son ami, Richard Neuville comte de Warwick (le faiseur de roi).
La Reine marguerite d'Anjou parvint cependant à réatablir la situation et son fils Henry VI sur le trone.
Edward IV York parti se refugier aupres de son beau frère le duc de Bourgogne Charles le Téméraire puis revins avec l'aide des Bourguignons en Angleterre ou il récupéra son trone et fit jeter la reine Marguerite et Henry VI dans un cachots de la Tour de Londres.
Mais pendant ce temps, Warwick s'était brouillé avec Edouard IV et sa fille Anne avait épousé le Prince de Galles Edouard fils d'Henry VI de Lancastre. Trés logiquement Warwick délivra Henry VI et le replaça sur le trone pour assurer l'héritage de sa fille qui devait normalement devenir reine d'Angleterre au coté d'un roi Lancastre.
Mais en 1471, WArwick fut batut par les Yorkistes et trouva la mort. Henry VI et la reine Marguerite furent tué à leurs tour.
Edouard IV semblait avoir définitivement gagné et la Maison d'York installé pour logtemps sur le trone.
En 1483 Edouard IV mouru et son fils Edouard V d'York monta sur le Trone. Mais les coups bas et les traitrises n'était pas terminé.
Le duc Richard d'York avait plusieurs fils et si Edouard IV était son ainé, il avait également eu comme fils Richard duc de Gloucester. Richard épousa la fille de Warwick et veuve du prince Edouard de Lancastre et fils Henry VI.
Richard duc de Gloucester s'empara alors d'Edouard V (son neveu) et le fit périr en prison. Il devint le nouveau roi d'Angleterre sous le nom de Richard III d'York. Sa femme Anne de Warwick qui aurait pu devenir 12 ans plus tot une reine Lancastriene, devenait une reine Yorkiste.
Mais l'histoire ne devait pas en rester la. Henry TUDOR affilié à la maison des Lancastre trés indirectement (Il était le petit-fils de Catherine de Valois et de son remariage avec Owen Tudor mais également le fils de Marguerite de Beaufort descendante de Jean de Gand duc de Lancastre et fils d'Edward III).
En 1485, à la bataille de Botworth Field, Henry Tudor écrasa les troupes de Richard III et fut couronné roi sous le nom d'Henry VII Tudor
La guerre des deux-roses se terminait apres 30 ans de guerres civiles. Bien que descendant des Lancastre par les femmes, Henry Tudor n'était plus un Platagenet, cette famille qui gouvernait l'Angleterre depuis qu'Henry II d'Anjou avait épousé la duchesse Aliénor d'Aquitaine 3 siècles plus tot...
Les années 1470...
Un accord fut finalement trouvé avec la couronne de France. La ville de Calais et le comté de Caux seront finalement prochainement cédé en 1480 pour la somme de 800.000 ducats.
Malgré la guerre des deux-roses en Angleterre, la paix à l'extérieur permit au royaume de contenir l'inflation et de renforcer le trésor royal. De nombreux investissements dans l'infrastructure du royaume purent également être opéré.
Sir Aedan
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Suède 1454-1495 :
"Les suédois parlent aux suédois" tome 3 et 4.
Introduction : les longs hivers se suivent et se ressemblent à Stockholm. La régence nationale suédoise se contente de faire le minimum pour régler les affaires de l'état, en témoigne une stabilité globalement positive.
Les chasses à l'ours se suivent et le palais se couvre régulièrement de peaux d'ours aussi surement que la neige qui recouvre le pays...
Le peuple ne dit mot mais commence à s'inquiéter de cet immobilisme et il se dit que si un homme fort venait à donner un bon coup de balai au palais, peu de monde pleurerait cette régence aussi fade qu'un petit déjeuner sans petits pains grillés....
Les grandes chasses à l'ours intéressant peu nos aimables lecteurs, nous enleverons donc ces passages de notre résumé et ce dernier sera donc amputé de près de 500 pages. Les lecteurs qui le souhaitent peuvent acheter les éditions complètes en 257 volumes éditées chez Plon (bien sûr).
Résumé des chapitres 3 et 4 :
L'année 1454 commence en fanfare puisque notre voisin danois nous attaque par surprise alors que la régence est en pleine chasse, pour changer, près du pôle nord. Cette guerre durera un peu plus de 2 ans sans que la Suède ne soit vraiment débordée par les soudards danois.
Le principal fait d'arme de cette guerre est le passage de nuit d'une flotte suèdoise entre les navires danois pour aller assiéger Malmö alors que ces derniers faisaient un blocus serré de nos côtes. La ville, sans renforts danois, tombera quelques mois plus tard et comme les forces danoises présentes sur la péninsule suédo-norvégienne ont été annihilées, la paix est signée contre les 2 provinces conquises de Skäne et Jutland.
C'est la fête à Stockholm et la régence décide de s'offrir une grande chasse à l'ours (je suis lourd là?
).
Dans les années qui suivent, l'argent issu des différents pillages des villes danoises est investi dans une superbe manufacture et Stockholm peut s'enorgueillir de devenir la capitale européenne des arts et lettres. Malheureusement peu de gens feront le déplacement et braver le froid pour voir les oeuvres de la culture suédoise. La régence aura beau inviter diverses princes étrangers et leur promettre à l'issue de la visite une grande chasse à l'ours, personne ne daignera se déplacer et la régence, de dépit, ira chasser toute seule... (je sens que le truc de la chasse à l'ours commence à vous gaver, non?)
Suite à cette guerre et dès que les finances le permettent, c'est à dire longtemps après, la régence décide d'investir dans une flotte pouvant rivaliser avec celle de nos voisins danois. Les enseignements de cette guerre ont été tirés et la chance de la dernière fois ne se réitérera sans doute pas : la Suède a besoin d'une flotte! Contrairement aux lourds bateaux danois pouvant aller au large, les chantiers navals suédois construisent des galères, légères mais plus maniables dans la baltique.
Dans un premier temps, 50 galères flambant neuves dressent leur mat dans le port de Stockholm et font la fierté du pays : les bateaux danois peuvent venir, ils seront bien accueillis!
Dans un 2ème temps, 20 autres galères viendront compléter et monter à 70 le nombre de bateaux de guerre.
Le voisin danois ne l'entend cependant pas de cette oreille et voulant sans doute couler cette flotte qui le menace, nous déclare la guerre en 1488. Cette fois-ci le suspens durera encore moins longtemps : la flotte danoise étrangement absente au début de la guerre, permet à nos troupes de mettre le siège devant la capitale danoise, au Holstein et à Visby. Ces villes tomberont quelques mois plus tard sans avoir reçu la moindre aide danoise...
La flotte danoise se montre alors et l'amiral suédois décide d'attaquer : la bataille sera perdue à cause de la désorganisation mais 10 navires de guerre danois gisent au fond de la baltique contre 5 galères seulement. L'amiral danois, mal inspiré, poursuit la flotte suédoise : mal lui en prend, il est annéanti...
En tout, 17 navires de guerres et 10 navires de transport sont coulés contre seulement 5 galères de notre côté, c'est une très grande victoire pour nous et un changement radical du rapport de force en baltique. C'est aussi la première grande victoire navale de la (jeune) histoire suédoise.
La paix ne tarde pas et les provinces du Holstein et de Gotlant rejoignent notre pays. Le Holstein sera immédiatement vendu à notre voisin Brandebourgeois en signe d'amitié et d'apaisement suite à notre avancée en pays germanique.
De même qu'après la première guerre dano-suédoise, les pillages (et l'argent Brandebourgeois) serviront à construire une maison des commerçants". Cette manufacture construite selon des plans anglais, ces derniers étant très avancés dans ce domaine
, permettra à nos marchands d'être plus compétitifs sur les différents COTs européens.
Hans Grüüt Lodasson.
"Les suédois parlent aux suédois" tome 3 et 4.
Introduction : les longs hivers se suivent et se ressemblent à Stockholm. La régence nationale suédoise se contente de faire le minimum pour régler les affaires de l'état, en témoigne une stabilité globalement positive.
Les chasses à l'ours se suivent et le palais se couvre régulièrement de peaux d'ours aussi surement que la neige qui recouvre le pays...
Le peuple ne dit mot mais commence à s'inquiéter de cet immobilisme et il se dit que si un homme fort venait à donner un bon coup de balai au palais, peu de monde pleurerait cette régence aussi fade qu'un petit déjeuner sans petits pains grillés....
Les grandes chasses à l'ours intéressant peu nos aimables lecteurs, nous enleverons donc ces passages de notre résumé et ce dernier sera donc amputé de près de 500 pages. Les lecteurs qui le souhaitent peuvent acheter les éditions complètes en 257 volumes éditées chez Plon (bien sûr).
Résumé des chapitres 3 et 4 :
L'année 1454 commence en fanfare puisque notre voisin danois nous attaque par surprise alors que la régence est en pleine chasse, pour changer, près du pôle nord. Cette guerre durera un peu plus de 2 ans sans que la Suède ne soit vraiment débordée par les soudards danois.
Le principal fait d'arme de cette guerre est le passage de nuit d'une flotte suèdoise entre les navires danois pour aller assiéger Malmö alors que ces derniers faisaient un blocus serré de nos côtes. La ville, sans renforts danois, tombera quelques mois plus tard et comme les forces danoises présentes sur la péninsule suédo-norvégienne ont été annihilées, la paix est signée contre les 2 provinces conquises de Skäne et Jutland.
C'est la fête à Stockholm et la régence décide de s'offrir une grande chasse à l'ours (je suis lourd là?

Dans les années qui suivent, l'argent issu des différents pillages des villes danoises est investi dans une superbe manufacture et Stockholm peut s'enorgueillir de devenir la capitale européenne des arts et lettres. Malheureusement peu de gens feront le déplacement et braver le froid pour voir les oeuvres de la culture suédoise. La régence aura beau inviter diverses princes étrangers et leur promettre à l'issue de la visite une grande chasse à l'ours, personne ne daignera se déplacer et la régence, de dépit, ira chasser toute seule... (je sens que le truc de la chasse à l'ours commence à vous gaver, non?)
Suite à cette guerre et dès que les finances le permettent, c'est à dire longtemps après, la régence décide d'investir dans une flotte pouvant rivaliser avec celle de nos voisins danois. Les enseignements de cette guerre ont été tirés et la chance de la dernière fois ne se réitérera sans doute pas : la Suède a besoin d'une flotte! Contrairement aux lourds bateaux danois pouvant aller au large, les chantiers navals suédois construisent des galères, légères mais plus maniables dans la baltique.
Dans un premier temps, 50 galères flambant neuves dressent leur mat dans le port de Stockholm et font la fierté du pays : les bateaux danois peuvent venir, ils seront bien accueillis!
Dans un 2ème temps, 20 autres galères viendront compléter et monter à 70 le nombre de bateaux de guerre.
Le voisin danois ne l'entend cependant pas de cette oreille et voulant sans doute couler cette flotte qui le menace, nous déclare la guerre en 1488. Cette fois-ci le suspens durera encore moins longtemps : la flotte danoise étrangement absente au début de la guerre, permet à nos troupes de mettre le siège devant la capitale danoise, au Holstein et à Visby. Ces villes tomberont quelques mois plus tard sans avoir reçu la moindre aide danoise...
La flotte danoise se montre alors et l'amiral suédois décide d'attaquer : la bataille sera perdue à cause de la désorganisation mais 10 navires de guerre danois gisent au fond de la baltique contre 5 galères seulement. L'amiral danois, mal inspiré, poursuit la flotte suédoise : mal lui en prend, il est annéanti...
En tout, 17 navires de guerres et 10 navires de transport sont coulés contre seulement 5 galères de notre côté, c'est une très grande victoire pour nous et un changement radical du rapport de force en baltique. C'est aussi la première grande victoire navale de la (jeune) histoire suédoise.
La paix ne tarde pas et les provinces du Holstein et de Gotlant rejoignent notre pays. Le Holstein sera immédiatement vendu à notre voisin Brandebourgeois en signe d'amitié et d'apaisement suite à notre avancée en pays germanique.
De même qu'après la première guerre dano-suédoise, les pillages (et l'argent Brandebourgeois) serviront à construire une maison des commerçants". Cette manufacture construite selon des plans anglais, ces derniers étant très avancés dans ce domaine

Hans Grüüt Lodasson.