Diplomatie et AARS de la GPO de la rentrée 2005
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- Clavier en Or
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declaration de la couronne anglaise
nous prenons acte de l'acceptation par le royaume de france de notre proposition de reglement du conflit dont voici les règles :
l'angleterre gagne la guerre en cours
- aucune demande territoriale
- pas de prise de province envers les vassaux dependants du roy de france de la part de l'angleterre
- l'angleterre en tant que chef de l'alliance n'accorde pas de provinces à ses alliés bretons et bourguignons
- indemnité de 500 ducats en 5 mensualités dès que la santé financiére du royaume de france le permet
- vente de 3 provinces en 1450 pour 300 ducats par province
- vente de 2 provinces en 1480 pour 350 ducats par province
- l'angleterre renonce à proteger son vassal la bretagne
- l'angleterre ne protegera pas la bourgogne dans le futur, ce royaume a fait preuve par le passé de trop de manquements aux lois de la feodalité.
la france gagne la guerre en cours
- l'angleterre se retire de la france sans aucune condition et restitue les 5 provinces qu'elle détient à la couronne de france car un tel exploit merite grande récompense
- la france ne soutiendra pas son allié ecossais dans le futur
Au nom du roy d'angleterre, parole est donnée de respecter ces règles et de combattre sans haine
enfin la france peut à tout moment arreter la guerre si elle est en danger financierement
Honni soy qui mal y pense
nous prenons acte de l'acceptation par le royaume de france de notre proposition de reglement du conflit dont voici les règles :
l'angleterre gagne la guerre en cours
- aucune demande territoriale
- pas de prise de province envers les vassaux dependants du roy de france de la part de l'angleterre
- l'angleterre en tant que chef de l'alliance n'accorde pas de provinces à ses alliés bretons et bourguignons
- indemnité de 500 ducats en 5 mensualités dès que la santé financiére du royaume de france le permet
- vente de 3 provinces en 1450 pour 300 ducats par province
- vente de 2 provinces en 1480 pour 350 ducats par province
- l'angleterre renonce à proteger son vassal la bretagne
- l'angleterre ne protegera pas la bourgogne dans le futur, ce royaume a fait preuve par le passé de trop de manquements aux lois de la feodalité.
la france gagne la guerre en cours
- l'angleterre se retire de la france sans aucune condition et restitue les 5 provinces qu'elle détient à la couronne de france car un tel exploit merite grande récompense
- la france ne soutiendra pas son allié ecossais dans le futur
Au nom du roy d'angleterre, parole est donnée de respecter ces règles et de combattre sans haine
enfin la france peut à tout moment arreter la guerre si elle est en danger financierement
Honni soy qui mal y pense
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Rapport sur l'Activité de l'Etat du Duché de Moscovie
par le Ministre Berenovitch à Vassili II, Duc de Moscovie
[align=right]Au Douze de Janvier de l'An Quatorze-Cent Vingt-Six,[/align]
Monsieur le Duc,
Dès l'Avénement de votre prédécesseur, feu Vassili Ier, Duc de Moscovie, le Duché fut pris en guerre par ces traîtres du Ryazan en le 15 de Février de l'An Quatorze-Cent Dix-Neuf. La bataille fut difficile au début, mais l'arrivée du Général Yuri Patrikeev au commandement des troupes renversa la situation. Par son sens de la stratégie, l'ensemble des troupes de notre ennemi fut détruite et la ville de Ryazan fut prise. Le Ryazan a donc accepté de devenir notre Vassal, de nous accorder l'accès militaire et de payer une indemnité de 100 Ducats en le Neuf de Septembre de l'An Quatorze-Cent Vingt.
Mais rapidement, le Ryazan était aussi en guerre contre la Horde d'Or. Ce dernier l'annexa et notre Vassal disparut de la carte.
Par la suite, votre prédécesseur s'est attaché à rendre propère le pays, à développer le commerce et à envoyer des marchands de par le monde. Nos revenus augmentèrent sensiblement.
Cette période de paix fut de courte durée. En effet, quelques mois avant sa mort, en le Dix-Neuf d'Avril de l'An Quatorze-Cent Vingt-Quatre, feu Vassili Ier, Duc de Moscovie, décida de profiter d'une faiblesse relative de la Horde d'Or pour rompre sa Vassalité à cette dernière, pensant que ce pays ne répondrait pas à cette offense, ne pouvant assumer une telle guerre après de longues années de conflits avec ses voisins. Dans le doute, il s'attacha à fonder une alliance militaire avec le Suzdal au Sept de Janvier de l'An Quatorze-Cent Ving-Quatre, lui aussi fraîchement libéré du joug de notre voisin Sunnite.
La réponse ne se fit pas attendre très longtemps car en le Huit de Décembre de l'An Quatorze-Cent Vingt-Quatre, la Horde d'Or nous déclare la guerre. Les chiens du Novgorod décide de profiter de notre position de faiblesse pour eux aussi nous attaquer, en le Treize de Décembre de Quatorze-Cent Vingt-Quatre. Heureusement, notre allié le Suzdal a accepté de nous aider dans ces rudes épreuves.
C'est dans ce contexte troublé que l'on put voir votre prédécesseur mourir et vivre votre Heureux Avénement, Monsieur le Duc, sous le titre de Vassili II, Duc de Moscovie, en le Sept de Février de l'An Quatorze-Cent Vingt-Cinq.
Sur le plan militaire, le Novgorod n'a pas encore envoyé de troupes sur notre territoire, le Suzdal a tenté quelques invasions vaines de leur capitale. Contre la Horde d'Or, la situation fut au début à notre avantage. Mais notre ennemi ayant de loin de plus grandes capacités financières et de recrutement, les défaites commencèrent à venir. Nos troupes se sont retrouvées grandement réduites par la dernière bataille, notre Trésor est vide, nos revenus très faibles et nos marchands ne peuvent soutenir la concurrence. De plus, souscrir un emprunt, au vue de notre capacité financière, signifierait une banqueroute rapide, car jamais nous n'aurons le moyen de le rembourser, les intérêts mensuels dépassant la moitié de nos revenus. Il faut à tout prix éviter une telle extrêmité, notre pays ne s'en remettrait pas.
Je suis donc pessimiste sur l'issue de ces conflits. C'est pourquoi, Monsieur le Duc, il de notre devoir d'envisager de signer un traité de paix défavorable, mais reflétant la réalité, au moins sur le front de la Horde d'Or. Il sera peut-être malheureusement de notre devoir de céder une de nos provinces.
Sur le front du Novgorod, nous pouvons espérer signer une Paix Blanche avec le Chef de l'Alliance adverse, l'Oldenbourg, lointaine province de l'Europe de l'Ouest.
Par Déclaration,
Berenovitch, Ministre du Duché de Moscovie
par le Ministre Berenovitch à Vassili II, Duc de Moscovie
[align=right]Au Douze de Janvier de l'An Quatorze-Cent Vingt-Six,[/align]
Monsieur le Duc,
Dès l'Avénement de votre prédécesseur, feu Vassili Ier, Duc de Moscovie, le Duché fut pris en guerre par ces traîtres du Ryazan en le 15 de Février de l'An Quatorze-Cent Dix-Neuf. La bataille fut difficile au début, mais l'arrivée du Général Yuri Patrikeev au commandement des troupes renversa la situation. Par son sens de la stratégie, l'ensemble des troupes de notre ennemi fut détruite et la ville de Ryazan fut prise. Le Ryazan a donc accepté de devenir notre Vassal, de nous accorder l'accès militaire et de payer une indemnité de 100 Ducats en le Neuf de Septembre de l'An Quatorze-Cent Vingt.
Mais rapidement, le Ryazan était aussi en guerre contre la Horde d'Or. Ce dernier l'annexa et notre Vassal disparut de la carte.
Par la suite, votre prédécesseur s'est attaché à rendre propère le pays, à développer le commerce et à envoyer des marchands de par le monde. Nos revenus augmentèrent sensiblement.
Cette période de paix fut de courte durée. En effet, quelques mois avant sa mort, en le Dix-Neuf d'Avril de l'An Quatorze-Cent Vingt-Quatre, feu Vassili Ier, Duc de Moscovie, décida de profiter d'une faiblesse relative de la Horde d'Or pour rompre sa Vassalité à cette dernière, pensant que ce pays ne répondrait pas à cette offense, ne pouvant assumer une telle guerre après de longues années de conflits avec ses voisins. Dans le doute, il s'attacha à fonder une alliance militaire avec le Suzdal au Sept de Janvier de l'An Quatorze-Cent Ving-Quatre, lui aussi fraîchement libéré du joug de notre voisin Sunnite.
La réponse ne se fit pas attendre très longtemps car en le Huit de Décembre de l'An Quatorze-Cent Vingt-Quatre, la Horde d'Or nous déclare la guerre. Les chiens du Novgorod décide de profiter de notre position de faiblesse pour eux aussi nous attaquer, en le Treize de Décembre de Quatorze-Cent Vingt-Quatre. Heureusement, notre allié le Suzdal a accepté de nous aider dans ces rudes épreuves.
C'est dans ce contexte troublé que l'on put voir votre prédécesseur mourir et vivre votre Heureux Avénement, Monsieur le Duc, sous le titre de Vassili II, Duc de Moscovie, en le Sept de Février de l'An Quatorze-Cent Vingt-Cinq.
Sur le plan militaire, le Novgorod n'a pas encore envoyé de troupes sur notre territoire, le Suzdal a tenté quelques invasions vaines de leur capitale. Contre la Horde d'Or, la situation fut au début à notre avantage. Mais notre ennemi ayant de loin de plus grandes capacités financières et de recrutement, les défaites commencèrent à venir. Nos troupes se sont retrouvées grandement réduites par la dernière bataille, notre Trésor est vide, nos revenus très faibles et nos marchands ne peuvent soutenir la concurrence. De plus, souscrir un emprunt, au vue de notre capacité financière, signifierait une banqueroute rapide, car jamais nous n'aurons le moyen de le rembourser, les intérêts mensuels dépassant la moitié de nos revenus. Il faut à tout prix éviter une telle extrêmité, notre pays ne s'en remettrait pas.
Je suis donc pessimiste sur l'issue de ces conflits. C'est pourquoi, Monsieur le Duc, il de notre devoir d'envisager de signer un traité de paix défavorable, mais reflétant la réalité, au moins sur le front de la Horde d'Or. Il sera peut-être malheureusement de notre devoir de céder une de nos provinces.
Sur le front du Novgorod, nous pouvons espérer signer une Paix Blanche avec le Chef de l'Alliance adverse, l'Oldenbourg, lointaine province de l'Europe de l'Ouest.
Par Déclaration,
Berenovitch, Ministre du Duché de Moscovie
Modifié en dernier par Beren le mer. sept. 07, 2005 1:01 pm, modifié 1 fois.
Beren Erchamion
[align=center]La naissance de la liberté en Suéde[/align]
L'an de Grace 1419 a vu la naissance de la nation Suédoise. La rupture de la tutelle Danoise à provoquer de nombreux troubles dans le royaume, mais c'etait le prix de notre liberté. Nous avons été contrains d'expulser quelques membres de la cour vers le Danemark, vers leur souverain.
Toutefois, nous restons en bon terme avec notre grand voisin nordique, comme avec la grande majorité des nations européennes qui ont acceptés moult mariages royaux avec nos fils et nos filles.
L'avenir de notre peuple sera difficile mais nous mettrons avec force et courage un pied devans l'autre, comme nos ancetres l'ont toujours fait.
L'an de Grace 1419 a vu la naissance de la nation Suédoise. La rupture de la tutelle Danoise à provoquer de nombreux troubles dans le royaume, mais c'etait le prix de notre liberté. Nous avons été contrains d'expulser quelques membres de la cour vers le Danemark, vers leur souverain.
Toutefois, nous restons en bon terme avec notre grand voisin nordique, comme avec la grande majorité des nations européennes qui ont acceptés moult mariages royaux avec nos fils et nos filles.
L'avenir de notre peuple sera difficile mais nous mettrons avec force et courage un pied devans l'autre, comme nos ancetres l'ont toujours fait.
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- Clavier en Or
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Chroniques Anglaises 1419-1426
Notre bon roi Henry V, le plus grand capitaine de cette époque trouble, s'en fut donc avec son host de 30 000h pour assieger Paris et ensuite ravager le nord de la France.
Au sud, le duc de Bedford s'occupait de la guyenne avec 8000 h.
Le capitaine beauchamps se tenant en renfort en gasgogne avec 8000 h car il était fort probable que la poussée francaise se ferait là
Un renfort de 20 000h venu d'angleterre vint complèter ce dispositif et se scinda en deux, 7 000 h assiegeant la picardie, 13 000 h debarquant en gascogne
Comme prévu une vigoureuse offensive de 25 000 francais attaqua le duc de Bedford , cependant le capitaine beauchamp arriva trop tard sur le champs de bataille et Bedford dut deployer toute sa vaillance et férocité pour repousser à 1 contre 3 la furia francaise.
La guyenne se rendit devant tant de vaillance et de determination.
Paris tomba, Henry 5 s'occupa de la champagne tandis que bedford et beauchamp poursuivaient l'host francais à travers les terres des vassaux du fol Roy pour ensuite se deployer au sud
Mais le plus dur était à venir, par des chemins tortueux serpentant au milieu de la france et à travers les terres de ses vassaux, l'host francais vint mettre le siège à Paris au nez et à la barbe de Henry s'employant à assieger en champagne.
Et chose incroyable, le fol Roy battit le rappel de ses vassaux et ces derniers répondirent en envoyant moults troupes à Paris, 70 000 hommes !!
Henry V ne disposait que de 20 000h et d'un renfort de 12 000h en picardie, la champagne se rendit.
tenter une tenaille avec 32 000 h contre 70 000h était risqué mais la reprise de Paris signifiait le prolongement de la guerre, l'espoir et la dynamique changeant de camps
Henry V se rendit donc devant les murs de Paris pour livrer bataille, les archers de sa majesté plantant le pieu pour empaler les chevaliers francais et decochant maints fleches pour affaiblir l'adversaire .
Henry 5 chargea ensuite avec 5000 cavaliers, l'infanterie suivant pour achever la noblesse francaise
Ce fut une grande victoire malgré l'inferiorité numérique, des tapisseries sont d'hors et deja commandées à bayeux à l'image de notre ancêtre guillaume le conquérant (duc de normandie, roy d'angleterre à partir de 1066) pour celebrer cette grande bataille qui vit triompher le grand roy Henry V à 32 000 h contre 70 000h.
La debandade francaise commenca alors, les provinces francaises tombérent une à une (99pct de victoires)
La paix des braves
Malgré le couronnement de Henry V à Paris, une évidence s'impose : le peuple francais ne reconnait pas Henry V comme son souverrain.
Un plan de paix preparé et accepté par le fol de roy fut donc mis en application après la paix blanche (cf post anglais précedent)
A court terme, l'angleterre se retirera de France, nous souhaitons bonne chance au royaume de france et comptons sur sa parole pour respecter les termes du traité (fort généreux) sanctionant sa défaite.

Honni soy qui mal y pense
Notre bon roi Henry V, le plus grand capitaine de cette époque trouble, s'en fut donc avec son host de 30 000h pour assieger Paris et ensuite ravager le nord de la France.
Au sud, le duc de Bedford s'occupait de la guyenne avec 8000 h.
Le capitaine beauchamps se tenant en renfort en gasgogne avec 8000 h car il était fort probable que la poussée francaise se ferait là
Un renfort de 20 000h venu d'angleterre vint complèter ce dispositif et se scinda en deux, 7 000 h assiegeant la picardie, 13 000 h debarquant en gascogne
Comme prévu une vigoureuse offensive de 25 000 francais attaqua le duc de Bedford , cependant le capitaine beauchamp arriva trop tard sur le champs de bataille et Bedford dut deployer toute sa vaillance et férocité pour repousser à 1 contre 3 la furia francaise.
La guyenne se rendit devant tant de vaillance et de determination.
Paris tomba, Henry 5 s'occupa de la champagne tandis que bedford et beauchamp poursuivaient l'host francais à travers les terres des vassaux du fol Roy pour ensuite se deployer au sud
Mais le plus dur était à venir, par des chemins tortueux serpentant au milieu de la france et à travers les terres de ses vassaux, l'host francais vint mettre le siège à Paris au nez et à la barbe de Henry s'employant à assieger en champagne.
Et chose incroyable, le fol Roy battit le rappel de ses vassaux et ces derniers répondirent en envoyant moults troupes à Paris, 70 000 hommes !!
Henry V ne disposait que de 20 000h et d'un renfort de 12 000h en picardie, la champagne se rendit.
tenter une tenaille avec 32 000 h contre 70 000h était risqué mais la reprise de Paris signifiait le prolongement de la guerre, l'espoir et la dynamique changeant de camps
Henry V se rendit donc devant les murs de Paris pour livrer bataille, les archers de sa majesté plantant le pieu pour empaler les chevaliers francais et decochant maints fleches pour affaiblir l'adversaire .
Henry 5 chargea ensuite avec 5000 cavaliers, l'infanterie suivant pour achever la noblesse francaise
Ce fut une grande victoire malgré l'inferiorité numérique, des tapisseries sont d'hors et deja commandées à bayeux à l'image de notre ancêtre guillaume le conquérant (duc de normandie, roy d'angleterre à partir de 1066) pour celebrer cette grande bataille qui vit triompher le grand roy Henry V à 32 000 h contre 70 000h.
La debandade francaise commenca alors, les provinces francaises tombérent une à une (99pct de victoires)
La paix des braves
Malgré le couronnement de Henry V à Paris, une évidence s'impose : le peuple francais ne reconnait pas Henry V comme son souverrain.
Un plan de paix preparé et accepté par le fol de roy fut donc mis en application après la paix blanche (cf post anglais précedent)
A court terme, l'angleterre se retirera de France, nous souhaitons bonne chance au royaume de france et comptons sur sa parole pour respecter les termes du traité (fort généreux) sanctionant sa défaite.

Honni soy qui mal y pense
Modifié en dernier par ric novice le mar. sept. 13, 2005 11:17 am, modifié 5 fois.
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- Clavier en Or
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Declaration de L'angleterre
Henry VI prépare une expédition contre le royaume de Novgorod, ce royaume met en danger le duché de moscou.
Nous ferons notre possible pour aider le grand duc à prendre les provinces qui lui reviennent de droit.
Milles dangers attendent nos navires et nos hommes, le terrible froid du grand nord fera des ravages.
Nous sollicitons donc un financement des couronnes chrétiennes pour cette expédition qui sera couteuse et qui ne rapportera rien à l'angleterre à part la gloire des grands royaumes
Notre expédition ayant pour but d'arracher 3 provinces pour le duché de moscou en prenant à revers Novogorad.
Que dieu guide nos capitaines !
Honni soy qui mal y pense
Henry VI prépare une expédition contre le royaume de Novgorod, ce royaume met en danger le duché de moscou.
Nous ferons notre possible pour aider le grand duc à prendre les provinces qui lui reviennent de droit.
Milles dangers attendent nos navires et nos hommes, le terrible froid du grand nord fera des ravages.
Nous sollicitons donc un financement des couronnes chrétiennes pour cette expédition qui sera couteuse et qui ne rapportera rien à l'angleterre à part la gloire des grands royaumes
Notre expédition ayant pour but d'arracher 3 provinces pour le duché de moscou en prenant à revers Novogorad.
Que dieu guide nos capitaines !
Honni soy qui mal y pense
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- Humble Posteur
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- Localisation : Nantais !
[align=center]Chronique Portugaise 1419-1426[/align]
1419 : La guerre contre Fez fait rage, le siège de Tanger est en place, combien de temps tiendra la vilel barbare ?
16 Janvier 1419 : Une alliance militaire est signé avec Castille.
Février 1419 : Les renforts Putugais mettaient le siège autour de la capital de FEZ
Fin de l'année 1419 : La capital de FEZ est tombé mais la ville de Tanger résiste encore
Février 1420 : Les flottes de FEZ et ALGER sont annihilés dans le Golf d'Almeria. 15 Navires de guerres FEZ-ALGER contre plus de 30 Navires Portos-Castillan.
Printemps 1420 : Les forces Castillanes débarquent à Orania et mettent le siège à la ville.
Eté 1420 : Le siège est mis à la capital d'Alger ainsi que sur l'ensemble des provinces Algériennes !
8 Octobre 1420 : Tanger tombe enfin sous nos coups ! La paix est signé immédiatement. FEZ est vassalisé et une indemnité de 50 ducats est exigée.
Eté 1421 : La capital d'Alger tombe ainsi que l'ensemble des provinces limitrofs.
27 Décembre 1421 : La dernière province Algérienne tombe, la paix est immédiatement signée. Une petite indemnitée pécunière et la vassalisation sont exigées.

Les années suivantes ont été consacrées à la diplomatie. De nombreux mariages Royaux ont été conclus :

1419 : La guerre contre Fez fait rage, le siège de Tanger est en place, combien de temps tiendra la vilel barbare ?
16 Janvier 1419 : Une alliance militaire est signé avec Castille.
Février 1419 : Les renforts Putugais mettaient le siège autour de la capital de FEZ
Fin de l'année 1419 : La capital de FEZ est tombé mais la ville de Tanger résiste encore
Février 1420 : Les flottes de FEZ et ALGER sont annihilés dans le Golf d'Almeria. 15 Navires de guerres FEZ-ALGER contre plus de 30 Navires Portos-Castillan.
Printemps 1420 : Les forces Castillanes débarquent à Orania et mettent le siège à la ville.
Eté 1420 : Le siège est mis à la capital d'Alger ainsi que sur l'ensemble des provinces Algériennes !
8 Octobre 1420 : Tanger tombe enfin sous nos coups ! La paix est signé immédiatement. FEZ est vassalisé et une indemnité de 50 ducats est exigée.
Eté 1421 : La capital d'Alger tombe ainsi que l'ensemble des provinces limitrofs.
27 Décembre 1421 : La dernière province Algérienne tombe, la paix est immédiatement signée. Une petite indemnitée pécunière et la vassalisation sont exigées.
Les années suivantes ont été consacrées à la diplomatie. De nombreux mariages Royaux ont été conclus :
Nantais d'un jour, Nantais toujours !
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- Seigneur du Spam
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- Enregistré le : jeu. août 25, 2005 9:23 am
- Localisation : Grenoble
- Contact :
[align=center]
[/align]
[align=center]France, Charles VII, récit des ans 1419 à 1426
[/align]
Malgré ses accés de demence, mon père, Charles VI, a combattu courageusement contre les anglais. Mais leurs capitaines sont des hommes exceptionnels et nous avons dû admettre notre défaite.
Nous tentâmes dans un premier temps, devant la puissance des armées marchant sur Paris, menées par leur Roi, de nous replier sur les terres de notre fidèle vassal, le Duc d'Auvergne. Paris était perdu mais nous souhaitions, de cette situation stratégique, epuiser les anglais par des contre-attaques sur les armées anglaises qui ne manqueraient pas de se disperser. Une tentative pour lever le siègle de Bayonne fut un echec. Parallèllement, il fallait amener le traître Duc de Bourgogne à se retirer de cette guerre, ce qui fut fait en échange du paiement d'une indemnité, qui n'honora pas, infamie supplémentaire. Nous avons cru l'hure de la Revanche venue lorsque nous menâmes avec nos alliés une puissante offensive coordonnée sur Paris. 60000 hommes se battaient ardemment pour reprendre la Ville lorsque Henri V, revenu de Champagne, se porta contre nos armées. La bataille eut lieu à St Coud et fut un nouveau désastre. La guerre était perdue alors que les anglais deferlaient sur la vallée du Rhône et le Nivernais.
[align=center]
La bataille de Saint Cloud[/align]
Nous acceptâmes la paix honorable offerte par Henri V, un homme d'honneur. Il s'était rendu compte à Paris que les Français ne l'accepteraient jamais comme Souverain. Le tribut est lourd, mais juste, telles sont les lois de la guerre. Nos compliments à ses capitaines, nous aurions aimé avoir de tels soldats à notre service. Afin de sceller cette réconciliation, Béatrice de France est promise en Mariage au successeur de Henri V.
Mon père ne tarda pas à mourir. Une longue maladie m'éloignait durablement du pouvoir mais par chance, un excellent ministre venu de Pologne s'occupât de la reconstruction du pays avec sagesse. L'administration dans nos provinces fut renforcée, les armées rationnalisées. Un chef de guerre exceptionnel emergait enfin en la personne de Richemond.
Malgré la trêve, la guerre doit continuer avec les traîtres Ducs de Bourgogne et de Bretagne. Le roi de France ne saurait tolérer leurs affronts.
Pendant la guerre, le Duc de Berri insulta sur le champ de bataille à plusieurs reprise le Duc d'Auvergne, pourtant très valeureux, l'accusant de couardise. Mes turbulents vassaux se firent ensuite la guerre. Les lois de l'honneur m'ont amené à prendre position pour le Duc d'Auvergne. Le Duc de Berri doit maintenant être considéré comme Rebelle, et son territoire revenir dans le domaine Royal.
A tous les souverains chrétiens:
Nous avons été extrémement attristés par la conquête de Constantinople par les infidèles. Nous vous pressons de surveiller cet aggressif sultanat, qui semble effrayer même ses plus proches voisins.
Au Rois du Portugual et de Castille:
Toutes nos félicitations pour vos victoire sur les sarassins. Espérons que celà pourra ramener un peu de paix en Méditerranée. Merci encore au Roi de Castille pour son soutien moral, le roi de France s'en souviendra.
Au Duc D'Autriche:
Nous avons été très choqués par le ton employé à notre égard dans votre étrange insistance à vous meler de nos relations avec le Duc de Bourgogne et nos relations en souffriront longtemps. Néanmoins, dans un souci de ne pas compromettre initialement ces relations, nous avions fait preuve de bonne volonté en ne demandant au Duc de Bourgogne que des compensations financières. Des 100 Ducats sur lesquels nous nous étions mis d'accord, il n'a que laborieusement extrait de ses coffres 16 Ducats, ce qui est un felonie supplémentaire et ce qui est loin, très loin, des dommages qu'il a infligés ainsi que de l'affront enduré. N'esperez surtout pas que nous ayons fait cela par crainte, le Roi de France est empereur en son royaume. La prochaine fois que souhaiterez sauver les provinces de votre protégé, vous paierez vous-même. En tout état de cause, rien ne saurait nous dissuader de reprendre les provinces d'Artois et de Flandres, liées à notre lignée.
Nous aurions voulu nous entendre, mais votre propention à alterner menaces et impostures a eu raison de notre bienveillance. Pour que les souverains d'Europe sachent à quoi s'en tenir, je décide de publier la missive que je vous avait fait parvenir, qu'ils constatent le contraste entre vos menaces et la déférence dont mes émissaires avaient fait preuve:
Albert II, vous êtes encore jeune, pas même 30 ans, ne soyez donc pas si préssé. Si vous consentez à changer de ton, c'est avec joie que nous ouvrirons à nouveau avec bienveillance nos portes à vos ambassades.

[align=center]France, Charles VII, récit des ans 1419 à 1426
[/align]
Malgré ses accés de demence, mon père, Charles VI, a combattu courageusement contre les anglais. Mais leurs capitaines sont des hommes exceptionnels et nous avons dû admettre notre défaite.
Nous tentâmes dans un premier temps, devant la puissance des armées marchant sur Paris, menées par leur Roi, de nous replier sur les terres de notre fidèle vassal, le Duc d'Auvergne. Paris était perdu mais nous souhaitions, de cette situation stratégique, epuiser les anglais par des contre-attaques sur les armées anglaises qui ne manqueraient pas de se disperser. Une tentative pour lever le siègle de Bayonne fut un echec. Parallèllement, il fallait amener le traître Duc de Bourgogne à se retirer de cette guerre, ce qui fut fait en échange du paiement d'une indemnité, qui n'honora pas, infamie supplémentaire. Nous avons cru l'hure de la Revanche venue lorsque nous menâmes avec nos alliés une puissante offensive coordonnée sur Paris. 60000 hommes se battaient ardemment pour reprendre la Ville lorsque Henri V, revenu de Champagne, se porta contre nos armées. La bataille eut lieu à St Coud et fut un nouveau désastre. La guerre était perdue alors que les anglais deferlaient sur la vallée du Rhône et le Nivernais.
[align=center]

La bataille de Saint Cloud[/align]
Nous acceptâmes la paix honorable offerte par Henri V, un homme d'honneur. Il s'était rendu compte à Paris que les Français ne l'accepteraient jamais comme Souverain. Le tribut est lourd, mais juste, telles sont les lois de la guerre. Nos compliments à ses capitaines, nous aurions aimé avoir de tels soldats à notre service. Afin de sceller cette réconciliation, Béatrice de France est promise en Mariage au successeur de Henri V.
Mon père ne tarda pas à mourir. Une longue maladie m'éloignait durablement du pouvoir mais par chance, un excellent ministre venu de Pologne s'occupât de la reconstruction du pays avec sagesse. L'administration dans nos provinces fut renforcée, les armées rationnalisées. Un chef de guerre exceptionnel emergait enfin en la personne de Richemond.
Malgré la trêve, la guerre doit continuer avec les traîtres Ducs de Bourgogne et de Bretagne. Le roi de France ne saurait tolérer leurs affronts.
Pendant la guerre, le Duc de Berri insulta sur le champ de bataille à plusieurs reprise le Duc d'Auvergne, pourtant très valeureux, l'accusant de couardise. Mes turbulents vassaux se firent ensuite la guerre. Les lois de l'honneur m'ont amené à prendre position pour le Duc d'Auvergne. Le Duc de Berri doit maintenant être considéré comme Rebelle, et son territoire revenir dans le domaine Royal.
A tous les souverains chrétiens:
Nous avons été extrémement attristés par la conquête de Constantinople par les infidèles. Nous vous pressons de surveiller cet aggressif sultanat, qui semble effrayer même ses plus proches voisins.
Au Rois du Portugual et de Castille:
Toutes nos félicitations pour vos victoire sur les sarassins. Espérons que celà pourra ramener un peu de paix en Méditerranée. Merci encore au Roi de Castille pour son soutien moral, le roi de France s'en souviendra.
Au Duc D'Autriche:
Nous avons été très choqués par le ton employé à notre égard dans votre étrange insistance à vous meler de nos relations avec le Duc de Bourgogne et nos relations en souffriront longtemps. Néanmoins, dans un souci de ne pas compromettre initialement ces relations, nous avions fait preuve de bonne volonté en ne demandant au Duc de Bourgogne que des compensations financières. Des 100 Ducats sur lesquels nous nous étions mis d'accord, il n'a que laborieusement extrait de ses coffres 16 Ducats, ce qui est un felonie supplémentaire et ce qui est loin, très loin, des dommages qu'il a infligés ainsi que de l'affront enduré. N'esperez surtout pas que nous ayons fait cela par crainte, le Roi de France est empereur en son royaume. La prochaine fois que souhaiterez sauver les provinces de votre protégé, vous paierez vous-même. En tout état de cause, rien ne saurait nous dissuader de reprendre les provinces d'Artois et de Flandres, liées à notre lignée.
Nous aurions voulu nous entendre, mais votre propention à alterner menaces et impostures a eu raison de notre bienveillance. Pour que les souverains d'Europe sachent à quoi s'en tenir, je décide de publier la missive que je vous avait fait parvenir, qu'ils constatent le contraste entre vos menaces et la déférence dont mes émissaires avaient fait preuve:
Et pour la dernière fois, cessez de vous prévaloir du titre d'Empereur. Vous avez en effet épousé Elisabeth de Luxembourg, mais à ce jour, c'est son père, Sigismond de Luxembourg, qui est Empereur. Ce qui est la base de votre bancale et ressasée argumentation est une imposture: vous n'êtes pas empereur.Au Souverain d'Autriche:
La négociation est bien sûre la voie que nous privilégions également. Mais que les choses soient claires: que la question ne se pose pas immédiatement ne signifie absolument pas que nous renoncions à nos droits sur ce duché.
Le Duc de bourgogne est vassal du roi de France. Il est vassal de l'Empereur pour la Franche-Comté uniquement, mais il doit également cette terre à Jean Le Bon, ne tout Etat de cause ses liens sont plus fort avec notre maison. Marguerite de France, capétienne, Fille de Philippe V, lui a apporté l'Artois. Et voilà ce qu'il fait de ces terres acquises par les soins de notre famille. Celà fait des décennie qu'il nous fait la guerre maintenant. Nos affaires avec les anglais se seraient mieux portés sans ses innombrables coups de dague.
Et plus encore, vous n'êtes pas Empereur à ce jour.
C'est pourquoi nous ne comprenons pas votre insistance à intervenir dans nos droits légitîmes.
Néanmoins, nous prêtons un oreille attentive à vos remarques et requêtes, et nous la preterons toujours, quelque soient les différends qui peuvent nous opposer, nous sommes des gens de raison. C'est pourquoi, de raison , nous vous avons invité à reformuler votre requête, c'est-à-dire à nous présenter d'autres raisons qu'un droit de regard sur un lointain vassal qui en fait ne l'est pas pour vous et l'est très certainement pour moi. Vous ne l'avez pas fait et vous êtes contentés de répéter vos affirmations. Ce n'est pas parce que nous vous écoutons avec bienveillance que nous sommes des enfants de coeur. Il ne suffit pas d'affirmer une chose pour qu'elle soit vrai, ni de la répéter pour qu'elle soit convaincante. Vous aurez de plus je l'espère l'heur de reconnaître que je prends bien plus de peine à reformuler mes arguments que vous ne le faites vous-même. Je le répète donc encore une fois: veuillez m'expliquer avec d'autres raisons pourquoi vous tenez tant à l'intégrité territoriale de la lointaine Bourgogne, alors que tout, lois de la féodalité, morale, justice et loi de la guerre, m'y autorise et que rien ne me l'interdit.
A l'heure actuelle, je ne me satisfait pas des raisons évoquées et ne me contenterai pas, si les armes me sont favorables, des quelques pièces qu'il n'aura pas dépensé pour agresser son souverain, et reprenderai mes droits sur la l'Artois et la Flandre, à protéger ainsi Paris et priver de ressources ce traître.
Albert II, vous êtes encore jeune, pas même 30 ans, ne soyez donc pas si préssé. Si vous consentez à changer de ton, c'est avec joie que nous ouvrirons à nouveau avec bienveillance nos portes à vos ambassades.
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EMPIRE OTTOMAN (1402-1426)
Après la défaite de Bayezid Ier devant Tamerlan à Ankara (1402), l'Empire ottoman est sur le point d'exploser. Les enfants de Bayezid se disputent la succession. Suleyman à Edirne, Isa à Brousse, Mehmed à Amasya et Mousa à Balikesir se déclarent chacun sultan dans son fief. Mehmed et Mousa s'allient d'abord contre Isa qui est tué. Mousa envahit la Bulgarie et prend Edirne. Mehmed s’allie alors avec l’Empereur byzantin et vainc Mousa. Il se proclame Sultan à Edirne dont il fait sa capitale (1413).
Mehmed Ier (1389-1421)
Un nouveau danger ne tarde pas à mettre en péril le pouvoir du sultan. Son frère Mustapha le fourbe, disparu dans la déroute qui a suivi la bataille d'Angora, rentre en Anatolie avec le projet de le détrôner. Battu à Salonique, Mustapha doit se réfugier à Byzance (1419). Mehmed assiège la ville et force l’Empereur à lui céder le Péloponnèse (1420). Il meurt l’année suivante. Le nouveau sultan, Murad, n'a que 17 ans. L’Empereur Manuel encourage alors Mustafa, héritier légitime, à engager une guerre civile contre son neveu. Abandonné par ses troupes, Mustafa est fait prisonnier et exécuté.
Murad II (1404-1451)
Durant la période d'interrègne, un certain nombre de territoires de l'Anatolie ont été perdus. Murad se fait un devoir de les récupérer au plus vite. Il annexe Teke, Candar et Trebizond. Après cette consolidation en Anatolie, Murad part mettre le siège devant Constantinople qui est à l’origine des troubles avec son oncle. L'Empereur doit se rendre et la ville est prise (1425). Constantinople devient Istanbul et la capitale de l'Empire ottoman.
La prise de Constantinople
Les gazis, se frayant de force un passage à travers les brèches ouvertes par les canons, pénétrèrent de tous les côtés dans la ville et passèrent les infidèles au fil de l’épée. Le sultan ordonna le pillage. Tout ce qui était à prendre fut ainsi pris. Et les richesses amassées à Istanbul depuis sa fondation furent le butin des gazis. Cette vaste région, cette grande et puissante ville, autrefois repaire de l’erreur, devint la capitale de la gloire et de l’honneur. Les temples des idoles devinrent les mosquées de l’Islam et la prière cinq fois répétées retentit.
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Modifié en dernier par stratcom le lun. oct. 03, 2005 8:14 am, modifié 4 fois.
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Réactions diplomatiques de Vienne :
Au roquet de France : Cessez donc d'ennuyez nos diplomates avec votre ridicule pavoisement. Nous vous avions invité à négocier entre gens de bonne intelligence pour trouver un arrangement mutuellement profitable concernant la Bourgogne, pas pour laisser libre cours à la folie du Dauphin de France.
Comme tout roi sachant lire ou ayant un scribe compétent le sait, le Duc d'Autrche est mandaté par l'Empereur pour défendre les vassaux de l'Empire en cas de nécessité.
Informez donc vos généalogistes et cartographes que plutôt que de soucier de l'Empire, ils s'intéressent au royaume de France.
Nous sommes surpris de voir que vous reconnaissez devant tous les grands souverains votre inaptitude à négocier la paix en mentionnant votre affaire d'avec la Bourgogne, doublement surpris d'ailleurs, puisqu'effectivement, nous avions voulu y voir la volonté d'établir une amitié durable avec l'Autriche, amitié qui se serait immédiatement vu récompensée par nos yeux fermés en cas de prise de quelques territoires sur la remuante Bourgogne, territoires préalablement déterminés par nos ambassadeurs respectifs. Mais puique plutôt que d'envoyer des diplomates, vous préférez nous envoyer des déclarations de guerres, fort bien, vous aurez tôt ou tard cette guerre que vous semblez vouloir à tout prix.
Au roquet de France : Cessez donc d'ennuyez nos diplomates avec votre ridicule pavoisement. Nous vous avions invité à négocier entre gens de bonne intelligence pour trouver un arrangement mutuellement profitable concernant la Bourgogne, pas pour laisser libre cours à la folie du Dauphin de France.
Comme tout roi sachant lire ou ayant un scribe compétent le sait, le Duc d'Autrche est mandaté par l'Empereur pour défendre les vassaux de l'Empire en cas de nécessité.
Informez donc vos généalogistes et cartographes que plutôt que de soucier de l'Empire, ils s'intéressent au royaume de France.
Cela leur permettra de savoir combien ceci relêve au mieux d'une totale incompétence, au pire, et c'est sans doute le cas, d'une de ces "impostures" dont vous criez partout être , telle la vierge effarouchée, la victime.Il est vassal de l'Empereur pour la Franche-Comté uniquement
Nous sommes surpris de voir que vous reconnaissez devant tous les grands souverains votre inaptitude à négocier la paix en mentionnant votre affaire d'avec la Bourgogne, doublement surpris d'ailleurs, puisqu'effectivement, nous avions voulu y voir la volonté d'établir une amitié durable avec l'Autriche, amitié qui se serait immédiatement vu récompensée par nos yeux fermés en cas de prise de quelques territoires sur la remuante Bourgogne, territoires préalablement déterminés par nos ambassadeurs respectifs. Mais puique plutôt que d'envoyer des diplomates, vous préférez nous envoyer des déclarations de guerres, fort bien, vous aurez tôt ou tard cette guerre que vous semblez vouloir à tout prix.
Modifié en dernier par univerzz le ven. oct. 14, 2005 6:38 am, modifié 1 fois.
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Chronique Castillanes MCDXIX-MCDXXVI
De 1419 à 1426, la politique du Roi de Castille se
focalise sur ses relations avec le Portugal et la
lutte contre les Royaume arabes d'afrique du Nord.
L'objectif de cette lutte étant le démembrement
des Alliances Arabes autour du Royaume de Grenade,
afin d'affaiblir ce dernier en prévision d'une
reconquète futur. Dans le même ordre d'idée,
de nombreux missionnaires furent envoyé clandestinement
dans le Royaume de Grenade afin de préparer le terrain
au retour de la Foi Chrétienne...le temps de Maures
était compté.....
De 1419 à 1426, la politique du Roi de Castille se
focalise sur ses relations avec le Portugal et la
lutte contre les Royaume arabes d'afrique du Nord.
L'objectif de cette lutte étant le démembrement
des Alliances Arabes autour du Royaume de Grenade,
afin d'affaiblir ce dernier en prévision d'une
reconquète futur. Dans le même ordre d'idée,
de nombreux missionnaires furent envoyé clandestinement
dans le Royaume de Grenade afin de préparer le terrain
au retour de la Foi Chrétienne...le temps de Maures
était compté.....
Le vrai moyen d'être trompé, c'est de se croire plus fin que les autres. [François de La Rochefoucauld]
Les moyens qui rendent un homme propre à faire fortune sont les mêmes qui l'empêchent d'en jouir. [Rivarol]
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Action Humanitaire
Participez à l'action humanitaire dans le grand nord est de l'europe en aidant le duché de moscovie en prise contre la horde d'or et Novogorad.
Envoyez vos dons à L'OAAPAD (Organisation des Amis Anglais Pour l'Aide au Developpement) pour financer les braves soldats et marins anglais qui vont affronter le terrible froid de ces contrées eloignées
L'OAAPAD est une confrererie à but non interessé dans le respect des preceptes du Christ : aimez vous les uns et les autres et aide ton prochain
c'était un message de l'OAAPAD, la confrererie à but humanitaire
OAAPAD
opération moscovie
CCP 12 LONDRES
Participez à l'action humanitaire dans le grand nord est de l'europe en aidant le duché de moscovie en prise contre la horde d'or et Novogorad.
Envoyez vos dons à L'OAAPAD (Organisation des Amis Anglais Pour l'Aide au Developpement) pour financer les braves soldats et marins anglais qui vont affronter le terrible froid de ces contrées eloignées
L'OAAPAD est une confrererie à but non interessé dans le respect des preceptes du Christ : aimez vous les uns et les autres et aide ton prochain
c'était un message de l'OAAPAD, la confrererie à but humanitaire
OAAPAD
opération moscovie
CCP 12 LONDRES
[align=center]La fierté retrouvée de la toute jeune Suède[/align]
[align=justify]En effet, depuis la fin de l'union de Kalmar, notre jeune nation est dirigée par différents régents, loin d'être des chefs charismatiques. Mais pour montrer notre existence aux autres nations européennes, le conseil décida de prendre le contrôle du centre de commerce de Lübeck, qui nous nargue depuis longtemps avec ces richesses.
Mais pour une tel expédition, il est absolument nécessaire d'avoir un chef militaire digne de ce nom, même s'il faut aller le chercher à l'autre bout de la terre. Après de longues négociations, et l'accord de la couronne de Castille, nous pûmes enrôler le Comte Don Scaraban de Navarre. Son contrat était simple : La Suède lui fourni les hommes et le matériel nécessaire, charge à lui de prendre le contrôle de la ville commerciale, allié avec de nombreuses nations. Pour son « indemnité », il pourra se servir sur la bête vaincu.
La tache était très difficile, surtout avec seulement 20 000 suédois. Mais l'intelligence et la tactique allaient être plus décisif que le fer...
Dés la déclaration de guerre, le Danemark et Hanovre déshonorèrent l'alliance comme des lâches, nous laissant seul face à toutes les nations de la mer baltique. Mais beaucoup de leurs troupes étaient parties combattre au loin, du coté de Novgorod. Pourtant quelques 20 000 mercenaires de Lübeck étaient restés derrière les murs de leur ville forteresse. Le Comte Don Scaraban décida alors de déplacer le débarquement vers la province de Jutland, possédé par le Holstein... La ville fut prise rapidement, puis peu de temps après leur capitale Hanovre.
Toutefois, notre objectif n'était pas atteint. Nous décidâmes de reformer une alliance avec ces félons de Danois, sauf qu'à partir de ce jour, nous sommes la Suède est le chef de l'alliance. Grâce à leur aide, et après de nombreux sièges rompus à cause des mercenaires de Brème, de Poméranie, de Prusse et de Lûbeck, la ville tomba...
La paix fut signé ! Pour ces mérites, le Comte Don Scaraban a obtenu le fief de la province de Jutland, avec le titre de Duc... Quand à la ville de Lübeck, il fut décidé de ne pas l'incorporer de force à notre nation, mais de la vassaliser. C'est la première conquête de notre jeune nation ![/align]
[align=justify]En effet, depuis la fin de l'union de Kalmar, notre jeune nation est dirigée par différents régents, loin d'être des chefs charismatiques. Mais pour montrer notre existence aux autres nations européennes, le conseil décida de prendre le contrôle du centre de commerce de Lübeck, qui nous nargue depuis longtemps avec ces richesses.
Mais pour une tel expédition, il est absolument nécessaire d'avoir un chef militaire digne de ce nom, même s'il faut aller le chercher à l'autre bout de la terre. Après de longues négociations, et l'accord de la couronne de Castille, nous pûmes enrôler le Comte Don Scaraban de Navarre. Son contrat était simple : La Suède lui fourni les hommes et le matériel nécessaire, charge à lui de prendre le contrôle de la ville commerciale, allié avec de nombreuses nations. Pour son « indemnité », il pourra se servir sur la bête vaincu.
La tache était très difficile, surtout avec seulement 20 000 suédois. Mais l'intelligence et la tactique allaient être plus décisif que le fer...
Dés la déclaration de guerre, le Danemark et Hanovre déshonorèrent l'alliance comme des lâches, nous laissant seul face à toutes les nations de la mer baltique. Mais beaucoup de leurs troupes étaient parties combattre au loin, du coté de Novgorod. Pourtant quelques 20 000 mercenaires de Lübeck étaient restés derrière les murs de leur ville forteresse. Le Comte Don Scaraban décida alors de déplacer le débarquement vers la province de Jutland, possédé par le Holstein... La ville fut prise rapidement, puis peu de temps après leur capitale Hanovre.
Toutefois, notre objectif n'était pas atteint. Nous décidâmes de reformer une alliance avec ces félons de Danois, sauf qu'à partir de ce jour, nous sommes la Suède est le chef de l'alliance. Grâce à leur aide, et après de nombreux sièges rompus à cause des mercenaires de Brème, de Poméranie, de Prusse et de Lûbeck, la ville tomba...
La paix fut signé ! Pour ces mérites, le Comte Don Scaraban a obtenu le fief de la province de Jutland, avec le titre de Duc... Quand à la ville de Lübeck, il fut décidé de ne pas l'incorporer de force à notre nation, mais de la vassaliser. C'est la première conquête de notre jeune nation ![/align]
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[align=center]
[/align]
[align=center] L'Autriche en 1421 [/align]
Douce était la vie à Vienne. Une population toujours plus importante pouvait se laisser inspirer par le bleu du Danube et inventer toujours plus de danses pour ravir l’Europe entière. Le Duc lui-même, ne songeait qu'à se détendre en organisant les 24 heures de calèches de Zeltweg.
Mais hélas, il était écrit que le soleil, arrivant sur nos douces vallées, échaufferait les esprits au point que nombre de soulèvements éclateraient dans les contrées de l’ouest du pays.
« Guillaume, criaient ils ! »
Pourtant bien traités par l’Archiduc, les paysans de Schwyz jalousaient les populations urbaines voisines et étaient prêt à prendre fourches et bâtons pour déferler sur nos villes au moindre prétexte.
La ligne souabe, cette méphitique rébellion sécessionniste, l’avait bien compris et quelques uns de ses infâmes agitateurs furent diligenté pour avoir raison des esprits éclairés qui appelaient au calme et à la fidélité envers l’Empire.
Pire, encore une fois, le pitoyable complot cherchait à étendre la non soumission à la bulle d’or en se liguant avec la Bavière et le Wurtemberg.
C’en était trop ! Prenant conscience de l’imminence du danger, le Duc lui-même, décida d’étouffer la révolte dans l’œuf. La guerre fût déclarée.
Si dans un premier temps, les rebelles prirent l’avantage en annexant nos alliés de Bade et de Lombardie, ce fût de courte durée : les fiers soldats autrichiens, galvanisés par leur juste cause, arrachèrent les forteresses ennemies tout en repoussant les contre-attaques ennemis sans grande difficulté. C’est donc fort logiquement que le Wurtemberg déclara hommage à l’Empereur en amenant des coffres remplis d’or. Peu après la Bavière fit de même, ajoutant Bade et l’Ans Bach aux provinces régies par Vienne.
Pensant avoir à nouveau apporté paix et prospérité dans la région, le Duc s’en retournait à la tête de ses hommes pour organiser un grand bal dans sa capitale quand la nouvelle arriva : ivre de haine et de vengeance, la ligue souabe, qui avait cette fois entièrement pris le contrôle de la Suisse, venait d’annexer notre nouveau vassal wurtembergeois sous le fallacieux prétexte que celui avait trop rapidement reconnu son erreur en nous prêtant allégeance.
Le sang du Duc ne fit qu’un tour. Oubliant rapidement le faste de la grande salle du palais, il harangua ses hommes qui répondirent d’une seule voix : « Sus aux Suisses !»
Aussi, après un bref repos, la guerre fût à nouveau déclaré … pour ne s’achever que 3 ans plus tard, après la mise à sac de Bern, avec le rattachement du wurtemberg et la vassalisation de notre remuant voisin .
[align=center]
[/align]
[align=center] La populaire Autriche en 1437 [/align]
Désormais, l’Autriche est une puissance conséquente dans le sud du Saint Empire et sa volonté de protéger à tout prix ce dernier désigne le Duc comme successeur naturel de l’Empereur, celui-ci ne cachant plus l’affection et l’estime qu’il éprouve pour son voisin.
Puisse le jour du couronnement arriver rapidement et permettre au peuple autrichien de répondre présent aux défis que lui impose, par le biais de ses minions qui ne respectent pas les lois les plus élémentaires de notre temps, le malin.

[align=center] L'Autriche en 1421 [/align]
Douce était la vie à Vienne. Une population toujours plus importante pouvait se laisser inspirer par le bleu du Danube et inventer toujours plus de danses pour ravir l’Europe entière. Le Duc lui-même, ne songeait qu'à se détendre en organisant les 24 heures de calèches de Zeltweg.
Mais hélas, il était écrit que le soleil, arrivant sur nos douces vallées, échaufferait les esprits au point que nombre de soulèvements éclateraient dans les contrées de l’ouest du pays.
« Guillaume, criaient ils ! »
Pourtant bien traités par l’Archiduc, les paysans de Schwyz jalousaient les populations urbaines voisines et étaient prêt à prendre fourches et bâtons pour déferler sur nos villes au moindre prétexte.
La ligne souabe, cette méphitique rébellion sécessionniste, l’avait bien compris et quelques uns de ses infâmes agitateurs furent diligenté pour avoir raison des esprits éclairés qui appelaient au calme et à la fidélité envers l’Empire.
Pire, encore une fois, le pitoyable complot cherchait à étendre la non soumission à la bulle d’or en se liguant avec la Bavière et le Wurtemberg.
C’en était trop ! Prenant conscience de l’imminence du danger, le Duc lui-même, décida d’étouffer la révolte dans l’œuf. La guerre fût déclarée.
Si dans un premier temps, les rebelles prirent l’avantage en annexant nos alliés de Bade et de Lombardie, ce fût de courte durée : les fiers soldats autrichiens, galvanisés par leur juste cause, arrachèrent les forteresses ennemies tout en repoussant les contre-attaques ennemis sans grande difficulté. C’est donc fort logiquement que le Wurtemberg déclara hommage à l’Empereur en amenant des coffres remplis d’or. Peu après la Bavière fit de même, ajoutant Bade et l’Ans Bach aux provinces régies par Vienne.
Pensant avoir à nouveau apporté paix et prospérité dans la région, le Duc s’en retournait à la tête de ses hommes pour organiser un grand bal dans sa capitale quand la nouvelle arriva : ivre de haine et de vengeance, la ligue souabe, qui avait cette fois entièrement pris le contrôle de la Suisse, venait d’annexer notre nouveau vassal wurtembergeois sous le fallacieux prétexte que celui avait trop rapidement reconnu son erreur en nous prêtant allégeance.
Le sang du Duc ne fit qu’un tour. Oubliant rapidement le faste de la grande salle du palais, il harangua ses hommes qui répondirent d’une seule voix : « Sus aux Suisses !»
Aussi, après un bref repos, la guerre fût à nouveau déclaré … pour ne s’achever que 3 ans plus tard, après la mise à sac de Bern, avec le rattachement du wurtemberg et la vassalisation de notre remuant voisin .
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[align=center] La populaire Autriche en 1437 [/align]
Désormais, l’Autriche est une puissance conséquente dans le sud du Saint Empire et sa volonté de protéger à tout prix ce dernier désigne le Duc comme successeur naturel de l’Empereur, celui-ci ne cachant plus l’affection et l’estime qu’il éprouve pour son voisin.
Puisse le jour du couronnement arriver rapidement et permettre au peuple autrichien de répondre présent aux défis que lui impose, par le biais de ses minions qui ne respectent pas les lois les plus élémentaires de notre temps, le malin.
Modifié en dernier par univerzz le ven. oct. 14, 2005 6:39 am, modifié 1 fois.
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- Contact :
[align=center]
[/align]
[align=center]France, Charles VII, récit des ans 1426 à 1437
[/align]
Alors que notre royaume se rétablissait à grand peine de la longue guerre nous ayant opposés à l'Angletterre, et qu'il avait une lourde dette à honorer, nous souhaitions consacrer ces années à l'amélioration de notre économie, de la circulation des idées, de la stabilité dans nos contrés éprouvées, et ce malgré les affronts subis, qui restaient à laver. Nous comptions encourager nos marchands à prendre part aux opporunités qui se déssinaient dans cette Europe qui semblait reprendre vie.
Les évenements en décidèrent autrement.
Nous avons dû faire face à l'instabilité de nos vassaux d'abord, et de nos voisins ensuite. Il fallait ré-ensemencer les riches terres de France et tous ne pensaient qu'à la guerre. Les Valois-Anjou d'abord: Louis III est intenable. Il déclara rapidement la guerre au Duc de Bretagne, Jean V, dit le Sage. Certes, ce dernier ne reçevait que la monnaie de sa pièce, de n'avoir su choisir son camp, mais nous avions d'autres dépenses à faire que renforcer une armée "économique", ainsi que nos plus ironiques courtisans la qualifiaient. Néanmoins, le roi de France est un allié qui honore ces engagements. Avec peu d'hommes, notre fidèle connétable Richemond fit des miracles, d'autant qu'il connaissait bien les terres qui étaient celles de son frère. Rapidement l'Armor et la Bretagne furent conquises, tandis que la chute de Rennes devant les Armées Du duc d'Anjou n'était qu'une question de jours. Le Duc de Bretagne nous offrit des indemnités pécunières, ainsi que l'Armor et la Bretagne, en juillet 1427, esperant reprendre Rennes à Anjou. Ce fut ce dernier qui allait bientôt se flatter de placer encore une couronne sur sa tête, celle d'un duché de Bretagne diminué, tandis que nous nous empressions d'envoyer nos baillis moderniser l'administration bretonne.
Nous n'eûmes qu'un court répit et au début de l'année suivante, en 1428, Anjou, enhardi, déclara la guerre à Gênes et à la Savoie. Grand Dieux, rien que cela. Nous honorèrent à nouveau notre alliance mais il allait devoir se débrouiller seul au début car Richemond avait de grandes difficultés avec des Révoltés Vendéens, particulièrement coriaces et enflammés par un complot de nobles à la cour, que nous avions réussi à déjouer mais qui créa une grande agitation dans le pays. De plus, nous avions accordé de nouveaux privilièges aux Universités afin de favoriser un esprit nouveau, qui nous permetterait d'eviter les erreurs ayant failli mener les pays à sa perte, mais celà excita également les esprits les plus réactionnaires du lieu.
Richemond, maître d'une armée proprement, il faut bien le dire, dépeuplée, en profitait pour terminer la formation d'un jeune et talentueux capitaine, un enfant de la guerre contre l'Angleterre, qui allait bientôt réveler d'extraordinaires talents: Dunois.
Le temps que cette affaire soit réglée et que Dunois parte chercher quelques troupes Fraîches levées à Paris, et Anjou avait appris la modestie. Il signa une paix ruineuse mais il était hors de question que son souverain se soit déplacé pour rien. Surtout il était hors de question de laisser les marches du Sud Est dans une telle instabilité vu l'Etat du Royaume. Il fallait faire la guerre, encore. Dunois et Richemond firent des miracles en Savoie mais nous sombrions dans une grande lassitude, toujours tapie au fond de notre âme, prête à resurgir. Le Royaume de connaîtrait jamais la paix. C'est alors qu'une jeune fille de Lorraine, Jeanne, se présenta à nous. Elle nous expliqua que depuis la guerre c'était la France entière qui avait un roi, que celui-çi était présent dans le coeur de chacun de ses sujets, et que chacun de ses sujets voulaient que la grandeur, l'unité et la paix du Royaume furent enfin établie, que les épreuves seraient longues et douloureuses, mais que toujours tête haute il fallait garder, que la Couronne et la France entière ne faisait qu'une dorénavant.
Même les plus dépravés de mes seigneurs virent leur âme se régenerer. Gilles de Rais sorti de ses fêtes décadentes pour aller secouer hommes d'armes égarés et chevaliers éteints dans tout Paris, et se porta immédiatement, avec Jeanne, au secours de Richemond et Dunois, qui malgré tous leurs talents avaient des forces bien faibles. La guerre fut gagnée et le Duc de Savoie Amedée VII se reconnut comme notre vassal en juin 1430. Nous lui fîmes par la suite cadeau de plusieurs domaines en Languedoc pour sceller notre amitié. La frontière était stabilisée et Anjou calmé, mais nous n'étions pas au bout de nos épreuves.
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[/align]
Au Nord de notre domaine, la frontière devenait agitée également. Le Duc de Bourgogne dans son impéritie avait été incapable de tenir ses provinces de Brabant et d'Artois, qui s'en étaient affranchis. Nous tentâmes d'établir de bonnes relations avec l'Artois mais ils réfusèrent à trois reprises nos propositions d'alliance dynastique, leur compte ne souhaitant pas même entendre parler de Marguerite de Donnai, pourtant fort jolie.Pendant ce temps, norte inquiétude croissait face au Duc D'auvergne. Il avait annexé en juillet 1429 sans autre forme de jugement les terres de son viel ennemi le Duc de Berri, soit, leur querelle était bien connue et bien que nous eûmes pris parti pour Le Duc de Berri dans une antérieure querelle, il n'y avait pas encore lieu de se mêler de cette affaire.
C'était la première et la dernière fois que j'allais négliger le conseil de Jeanne. Le Roi n'est jamais étranger à la destinée de la France, à laquelle il est offert. Car tout juste deux années plus tard, alors que nous tentions de remettre nos finances en ordre et de nous affranchir des prêts anciennement contractés, il aggressait notre plus difèle vassal, le Duc
D'orléans, après avoir renié sa vassilisation envers la couronne de France, en août 1432, à la tête de la moitié du Royaume non-encore occupée par l'Angleterre. On ne joue pas avec le destin de la France et s'en était fini de notre naïveté. Mais les armées était bien faibles: Dunois, Gilles de Rais et Richemond se partageaient 20000 hommes Nous n'étions pas prêt pour une guerre contre notre puissant ancien vassal.
Nos alliances étaient disloquées depuis que, conformément à nos accords, nous n'avions pas assisté l'Ecosse dans sa guerre contre l'Angleterre. Nous décidâmes de jouer notre meilleure atout: la Richesse de notre domaines, et de le renforçer. Nos capitaines fondirent sur l'Artois que nos aîeux avaient toujours considéré comme faisant parti de notre domaine, et qui avait à son grand péril refusé nos avances généreuses. Celui-çi fut annexé en novembre 1432 mais, loin de rétablir la paix, cela entrâina le brabant dans la guerre.
La situation fut extrement tendue mais le Duc d'Auvergne n'en profita pas, occupé par Anjou et Orléans. Nos capitaines sauvèrent encore le royaume et le Brabant, finalement battu malgré ses ressources, offrit la Flandres et une indemnité de guerre. Dunois périt dans cette guerre et nous perdîmes avec une immense tristesse un des nos meilleurs geurriers et Richemond, presque un fils.
Mais le combat doit continuer. Immédiatement des baillis furent missionés pour tirer le meilleur parti de ces nouvelles provinces. Soucieux de stabiliser enfin la frontière Nord, nous signâmes plusieurs alliances avec Cologne, la Lorraine, Strasbourg, au prix d'une coûteuse diplomatie, et en concluant également de nombreuses alliances dynastiques en Allemagne du Nord. Mais l'Orléanais finit par tomber entre les mains du Duc D'Auvergne et depuis, un paix armée subsiste tandis que nous renforçons nos armées. Malgré les réformes et les efforts, la situation reste délicate, le royaume éclaté, ce qui nuit gravement à l'efficacité de notre administration, les dettes lourdes, le danger toujours présent. Mais nous n'oublieront pas la leçon de Jeanne.
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[align=center]France, Charles VII, récit des ans 1426 à 1437
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Alors que notre royaume se rétablissait à grand peine de la longue guerre nous ayant opposés à l'Angletterre, et qu'il avait une lourde dette à honorer, nous souhaitions consacrer ces années à l'amélioration de notre économie, de la circulation des idées, de la stabilité dans nos contrés éprouvées, et ce malgré les affronts subis, qui restaient à laver. Nous comptions encourager nos marchands à prendre part aux opporunités qui se déssinaient dans cette Europe qui semblait reprendre vie.
Les évenements en décidèrent autrement.
Nous avons dû faire face à l'instabilité de nos vassaux d'abord, et de nos voisins ensuite. Il fallait ré-ensemencer les riches terres de France et tous ne pensaient qu'à la guerre. Les Valois-Anjou d'abord: Louis III est intenable. Il déclara rapidement la guerre au Duc de Bretagne, Jean V, dit le Sage. Certes, ce dernier ne reçevait que la monnaie de sa pièce, de n'avoir su choisir son camp, mais nous avions d'autres dépenses à faire que renforcer une armée "économique", ainsi que nos plus ironiques courtisans la qualifiaient. Néanmoins, le roi de France est un allié qui honore ces engagements. Avec peu d'hommes, notre fidèle connétable Richemond fit des miracles, d'autant qu'il connaissait bien les terres qui étaient celles de son frère. Rapidement l'Armor et la Bretagne furent conquises, tandis que la chute de Rennes devant les Armées Du duc d'Anjou n'était qu'une question de jours. Le Duc de Bretagne nous offrit des indemnités pécunières, ainsi que l'Armor et la Bretagne, en juillet 1427, esperant reprendre Rennes à Anjou. Ce fut ce dernier qui allait bientôt se flatter de placer encore une couronne sur sa tête, celle d'un duché de Bretagne diminué, tandis que nous nous empressions d'envoyer nos baillis moderniser l'administration bretonne.
Nous n'eûmes qu'un court répit et au début de l'année suivante, en 1428, Anjou, enhardi, déclara la guerre à Gênes et à la Savoie. Grand Dieux, rien que cela. Nous honorèrent à nouveau notre alliance mais il allait devoir se débrouiller seul au début car Richemond avait de grandes difficultés avec des Révoltés Vendéens, particulièrement coriaces et enflammés par un complot de nobles à la cour, que nous avions réussi à déjouer mais qui créa une grande agitation dans le pays. De plus, nous avions accordé de nouveaux privilièges aux Universités afin de favoriser un esprit nouveau, qui nous permetterait d'eviter les erreurs ayant failli mener les pays à sa perte, mais celà excita également les esprits les plus réactionnaires du lieu.
Richemond, maître d'une armée proprement, il faut bien le dire, dépeuplée, en profitait pour terminer la formation d'un jeune et talentueux capitaine, un enfant de la guerre contre l'Angleterre, qui allait bientôt réveler d'extraordinaires talents: Dunois.
Le temps que cette affaire soit réglée et que Dunois parte chercher quelques troupes Fraîches levées à Paris, et Anjou avait appris la modestie. Il signa une paix ruineuse mais il était hors de question que son souverain se soit déplacé pour rien. Surtout il était hors de question de laisser les marches du Sud Est dans une telle instabilité vu l'Etat du Royaume. Il fallait faire la guerre, encore. Dunois et Richemond firent des miracles en Savoie mais nous sombrions dans une grande lassitude, toujours tapie au fond de notre âme, prête à resurgir. Le Royaume de connaîtrait jamais la paix. C'est alors qu'une jeune fille de Lorraine, Jeanne, se présenta à nous. Elle nous expliqua que depuis la guerre c'était la France entière qui avait un roi, que celui-çi était présent dans le coeur de chacun de ses sujets, et que chacun de ses sujets voulaient que la grandeur, l'unité et la paix du Royaume furent enfin établie, que les épreuves seraient longues et douloureuses, mais que toujours tête haute il fallait garder, que la Couronne et la France entière ne faisait qu'une dorénavant.
Même les plus dépravés de mes seigneurs virent leur âme se régenerer. Gilles de Rais sorti de ses fêtes décadentes pour aller secouer hommes d'armes égarés et chevaliers éteints dans tout Paris, et se porta immédiatement, avec Jeanne, au secours de Richemond et Dunois, qui malgré tous leurs talents avaient des forces bien faibles. La guerre fut gagnée et le Duc de Savoie Amedée VII se reconnut comme notre vassal en juin 1430. Nous lui fîmes par la suite cadeau de plusieurs domaines en Languedoc pour sceller notre amitié. La frontière était stabilisée et Anjou calmé, mais nous n'étions pas au bout de nos épreuves.
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Au Nord de notre domaine, la frontière devenait agitée également. Le Duc de Bourgogne dans son impéritie avait été incapable de tenir ses provinces de Brabant et d'Artois, qui s'en étaient affranchis. Nous tentâmes d'établir de bonnes relations avec l'Artois mais ils réfusèrent à trois reprises nos propositions d'alliance dynastique, leur compte ne souhaitant pas même entendre parler de Marguerite de Donnai, pourtant fort jolie.Pendant ce temps, norte inquiétude croissait face au Duc D'auvergne. Il avait annexé en juillet 1429 sans autre forme de jugement les terres de son viel ennemi le Duc de Berri, soit, leur querelle était bien connue et bien que nous eûmes pris parti pour Le Duc de Berri dans une antérieure querelle, il n'y avait pas encore lieu de se mêler de cette affaire.
C'était la première et la dernière fois que j'allais négliger le conseil de Jeanne. Le Roi n'est jamais étranger à la destinée de la France, à laquelle il est offert. Car tout juste deux années plus tard, alors que nous tentions de remettre nos finances en ordre et de nous affranchir des prêts anciennement contractés, il aggressait notre plus difèle vassal, le Duc
D'orléans, après avoir renié sa vassilisation envers la couronne de France, en août 1432, à la tête de la moitié du Royaume non-encore occupée par l'Angleterre. On ne joue pas avec le destin de la France et s'en était fini de notre naïveté. Mais les armées était bien faibles: Dunois, Gilles de Rais et Richemond se partageaient 20000 hommes Nous n'étions pas prêt pour une guerre contre notre puissant ancien vassal.
Nos alliances étaient disloquées depuis que, conformément à nos accords, nous n'avions pas assisté l'Ecosse dans sa guerre contre l'Angleterre. Nous décidâmes de jouer notre meilleure atout: la Richesse de notre domaines, et de le renforçer. Nos capitaines fondirent sur l'Artois que nos aîeux avaient toujours considéré comme faisant parti de notre domaine, et qui avait à son grand péril refusé nos avances généreuses. Celui-çi fut annexé en novembre 1432 mais, loin de rétablir la paix, cela entrâina le brabant dans la guerre.
La situation fut extrement tendue mais le Duc d'Auvergne n'en profita pas, occupé par Anjou et Orléans. Nos capitaines sauvèrent encore le royaume et le Brabant, finalement battu malgré ses ressources, offrit la Flandres et une indemnité de guerre. Dunois périt dans cette guerre et nous perdîmes avec une immense tristesse un des nos meilleurs geurriers et Richemond, presque un fils.
Mais le combat doit continuer. Immédiatement des baillis furent missionés pour tirer le meilleur parti de ces nouvelles provinces. Soucieux de stabiliser enfin la frontière Nord, nous signâmes plusieurs alliances avec Cologne, la Lorraine, Strasbourg, au prix d'une coûteuse diplomatie, et en concluant également de nombreuses alliances dynastiques en Allemagne du Nord. Mais l'Orléanais finit par tomber entre les mains du Duc D'Auvergne et depuis, un paix armée subsiste tandis que nous renforçons nos armées. Malgré les réformes et les efforts, la situation reste délicate, le royaume éclaté, ce qui nuit gravement à l'efficacité de notre administration, les dettes lourdes, le danger toujours présent. Mais nous n'oublieront pas la leçon de Jeanne.
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Rapport sur l'Activité de l'Etat du Duché de Moscovie
par le Ministre Berenovitch à Vassili II, Duc de Moscovie
[align=right]Au Trente de Mars de l'An Quatorze-Cent Trente-Sept,[/align]
Monsieur le Duc,
En l'An Quatorze-Cent vingt-Six, le Duché était au plus mal. La guerre contre la Horde d'Or semblait perdue, celle contre le Novgorod restait équilibrée mais notre économie ne nous permettait pas d'espérer une victoire si elle s'éternisait trop.
Mais c'était sans compter sur la générosité des couronnes européennes. C'est ainsi que le Bon Roi d'Angleterre déclara la guerre au Novgorod pour nous soutenir. L'Autriche, elle, nous aida financiérement, et je ne compte pas les Nations ayant soutenu l'Angleterre dans sa périlleuse expédition. De notre côté, grâce à l'aide promise par l'Autriche pour son recouvrement, nous avons souscrit un emprunt nous permettant de reformer une armée digne de ce nom.
Sur le front de la Horde d'Or, notre adversaire a montré son incapacité à gérer un conflit. En effet, sa maladresse dans la stratégie, face aux compétences de notre Général Yuri Patrikeev, ne lui permit pas prendre l'avantage sur nos armées, pourtant bien inférieures en nombre. C'est ainsi qu'en le Vingt de Mars de l'An Quatorze-Cent Vingt-Huit, la Horde d'Or nous proposa la paix offrant une maigre indemnité. Nous l'avons accepté immédiatement, l'occasion était trop belle de libérer le front de l'Est.
Nos forces se sont alors concentrées contre le Novgorod, où la situation s'améliorait grandement. Grâce au soutien incommensurable des troupes anglaises, nous prîmes possession de quasiment toutes les villes novgorodiennes. La situation était maîtrisée, mais notre Nation dû alors subir un deuil, en la mort de notre Général Yuri Patrikeev en le Onze de Juillet de l'An Quatorze-Cent Vingt-Neuf.
Mais la Guerre se poursuivait. Notre ami l'Anglais commençait à subir les affres d'une guerre loin de chez lui dans un climat hostile, ses forces s'amenuisant inéxorablement. De notre côté, une grave crise politique en Mars de l'An Quatorze-Cent Trente mit à mal le moral de nos troupes. Il nous fallait signer la Paix maintenant, de peur que nos troubles internes ne nous fassent perdre l'avantage durement gagné contre notre ennemi. C'est ainsi qu'en le Dix-Neuf de Juin de l'An Quatorze-Cent Trente, le Novgorod capitula, nous abandonnant les provinces d'Arkhangelsk et d'Olonets, offrant de plus une petite indemnité.
Le problème étant désormais que l'Oldenbourg, Chef de l'Alliance adverse, qui avait refusé de nous offrir les provinces prises séparément au Novgorod par la suite, était toujours en conflit armé contre nous. Or, ils refusaient une Paix Blanche, bien qu'aucun combat n'avait eu lieu entre eux et nous. Notre pays étant en guerre depuis trop longtemps, la population commençait à se soulever. L'Angleterre nous aida de nouveau en nous prêtant une jolie somme dont nous offrîmes une partie à l'Oldenbourg en échange de la Paix en le Trois de Mai de l'An Quatorze-Cent Trente-Un.
Nous alors avons pu commencer la reconstruction du pays. Le plus urgent étant évidemment de rembourser nos dettes envers l'Autriche et l'Angleterre. Mais cette stabilisation de notre pays fut brisée par une tentative d'un coup d'Etat du Prince Yuri, en le Vingt-Sept de Mars de l'An Quatorze-Cent Trente-Trois. Certes notre Gouvernement tînt bon, mais le pays sombra dans la Guerre Civile. Il nous fallut de longues années pour faire revenir le calme et l'équilibre en notre Duché.
Finalement, en n'ayant d'autres choix que de laisser l'inflation monter, nous pûmes rembourser nos amis et stabiliser le pays. C'est donc vers une nouvelle ère de prospérité vers laquelle nous nous dirigeons désormais.
Par Déclaration,
Berenovitch, Ministre du Duché de Moscovie
par le Ministre Berenovitch à Vassili II, Duc de Moscovie
[align=right]Au Trente de Mars de l'An Quatorze-Cent Trente-Sept,[/align]
Monsieur le Duc,
En l'An Quatorze-Cent vingt-Six, le Duché était au plus mal. La guerre contre la Horde d'Or semblait perdue, celle contre le Novgorod restait équilibrée mais notre économie ne nous permettait pas d'espérer une victoire si elle s'éternisait trop.
Mais c'était sans compter sur la générosité des couronnes européennes. C'est ainsi que le Bon Roi d'Angleterre déclara la guerre au Novgorod pour nous soutenir. L'Autriche, elle, nous aida financiérement, et je ne compte pas les Nations ayant soutenu l'Angleterre dans sa périlleuse expédition. De notre côté, grâce à l'aide promise par l'Autriche pour son recouvrement, nous avons souscrit un emprunt nous permettant de reformer une armée digne de ce nom.
Sur le front de la Horde d'Or, notre adversaire a montré son incapacité à gérer un conflit. En effet, sa maladresse dans la stratégie, face aux compétences de notre Général Yuri Patrikeev, ne lui permit pas prendre l'avantage sur nos armées, pourtant bien inférieures en nombre. C'est ainsi qu'en le Vingt de Mars de l'An Quatorze-Cent Vingt-Huit, la Horde d'Or nous proposa la paix offrant une maigre indemnité. Nous l'avons accepté immédiatement, l'occasion était trop belle de libérer le front de l'Est.
Nos forces se sont alors concentrées contre le Novgorod, où la situation s'améliorait grandement. Grâce au soutien incommensurable des troupes anglaises, nous prîmes possession de quasiment toutes les villes novgorodiennes. La situation était maîtrisée, mais notre Nation dû alors subir un deuil, en la mort de notre Général Yuri Patrikeev en le Onze de Juillet de l'An Quatorze-Cent Vingt-Neuf.
Mais la Guerre se poursuivait. Notre ami l'Anglais commençait à subir les affres d'une guerre loin de chez lui dans un climat hostile, ses forces s'amenuisant inéxorablement. De notre côté, une grave crise politique en Mars de l'An Quatorze-Cent Trente mit à mal le moral de nos troupes. Il nous fallait signer la Paix maintenant, de peur que nos troubles internes ne nous fassent perdre l'avantage durement gagné contre notre ennemi. C'est ainsi qu'en le Dix-Neuf de Juin de l'An Quatorze-Cent Trente, le Novgorod capitula, nous abandonnant les provinces d'Arkhangelsk et d'Olonets, offrant de plus une petite indemnité.
Le problème étant désormais que l'Oldenbourg, Chef de l'Alliance adverse, qui avait refusé de nous offrir les provinces prises séparément au Novgorod par la suite, était toujours en conflit armé contre nous. Or, ils refusaient une Paix Blanche, bien qu'aucun combat n'avait eu lieu entre eux et nous. Notre pays étant en guerre depuis trop longtemps, la population commençait à se soulever. L'Angleterre nous aida de nouveau en nous prêtant une jolie somme dont nous offrîmes une partie à l'Oldenbourg en échange de la Paix en le Trois de Mai de l'An Quatorze-Cent Trente-Un.
Nous alors avons pu commencer la reconstruction du pays. Le plus urgent étant évidemment de rembourser nos dettes envers l'Autriche et l'Angleterre. Mais cette stabilisation de notre pays fut brisée par une tentative d'un coup d'Etat du Prince Yuri, en le Vingt-Sept de Mars de l'An Quatorze-Cent Trente-Trois. Certes notre Gouvernement tînt bon, mais le pays sombra dans la Guerre Civile. Il nous fallut de longues années pour faire revenir le calme et l'équilibre en notre Duché.
Finalement, en n'ayant d'autres choix que de laisser l'inflation monter, nous pûmes rembourser nos amis et stabiliser le pays. C'est donc vers une nouvelle ère de prospérité vers laquelle nous nous dirigeons désormais.
Par Déclaration,
Berenovitch, Ministre du Duché de Moscovie
Modifié en dernier par Beren le lun. sept. 19, 2005 9:35 pm, modifié 1 fois.
Beren Erchamion