Posté : mar. déc. 06, 2005 10:29 am
Nous remercions l'Espagne de sa perseverance. Cet accord n'est pas tardif, nous avons discuté à bâtons rompus toute cette semaine et il reprend tous les ponts d'équilibre atteints. De plus, comme dans toute négociation, nous devons nous fixer une limite et ne pouvons prolonger sine die cette conférence. Nous apportons notre soutien à cette proposition, et sommes heureux de voir les nations non dominantes vouloir unir, dans la mesure du possible, leurs interêts économiques et moraux.
En ce qui concerne la Louisianne et le Canada, ainsi que nous l'avons tous compris ici ces ensemble ne sont viables que si ils sont joints. Voilà pourquoi il nous a semblé nécessaire de clarifier ce point avec l'Angleterre, dans la cadre de contacts bilatéraux, mais elle ne nous a pas encore répondu.
Cependant, malgré les remerciements que nous offrons à l'Espagne, il ne nous semble pas correct, dans le cadre d'un accord global, de demander aux autres nations de se ranger derrière nous. Il est enfin tout à fait possible que l'Angleterre soit d'accord avec cette nécessité de jonction de nos posséssions mais n'a pas encore eu l'occasion de s'exprimer.
En ce qui concerne la Louisianne et le Canada, ainsi que nous l'avons tous compris ici ces ensemble ne sont viables que si ils sont joints. Voilà pourquoi il nous a semblé nécessaire de clarifier ce point avec l'Angleterre, dans la cadre de contacts bilatéraux, mais elle ne nous a pas encore répondu.
Cependant, malgré les remerciements que nous offrons à l'Espagne, il ne nous semble pas correct, dans le cadre d'un accord global, de demander aux autres nations de se ranger derrière nous. Il est enfin tout à fait possible que l'Angleterre soit d'accord avec cette nécessité de jonction de nos posséssions mais n'a pas encore eu l'occasion de s'exprimer.