
Quizz du forum histoire (Google interdit)
- aheuc
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Oui ce sont Burton et Speeke qui ont découvert les sources du Nil !Il a découvert les sources du Nil
David Livingstone était parti depuis Zanzibar pour explorer l'Afrique Centrale lorsqu'à un moment il ne donna plus signe de vie.
C'est alors qu'un journaliste du Herald Tribune, Morton Stanley décida de monter une expédition pour le secourir, une grande affaire pour l'éapoque. c'est comme si de nos jours on organisait une expédition pour secourir des astron autes conicés sur la lune !
Finalement apres de nombrexu périples, stanley retrouva Livingstone en loque dans une tribu près du lac Tanganika
En F1, il y a deux positions importantes sur la grille de départ : La première, qui est la pole position; Et la dernière, qui est la Paul Belmondo.
Murray Walker (Apocryphe)
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Le journaliste c'était Stanley. Né dans la famille misérable d'une servante de ferme, au Pays de Galles, John Rowlands s'embarque à 14 ans comme mousse pour l'Amérique. Il est adopté par un commerçant du nom de Stanley de la Nouvelle-Orléans dont il prend le nom et, pendant la guerre de Sécession, mène aux États-Unis une vie d'aventurier.
Il devient journaliste et au cours d'un reportage en Abyssinie, assiste en 1868 à une victoire des Anglais sur le roi local. Il en informe son journal avant tous ses confrères après avoir soudoyé le télégraphiste de Suez. Ce succès lui vaut d'être embauché par le New York Herald Tribune. Le journal l'envoie peu après sur les traces de Livingstone.
Parti de Zanzibar, sur la côte de l'océan Indien, Stanley retrouve Livingstone après une marche de 3500 km et 411 jours !
L'aventurier sans scrupules est bouleversé par la rencontre du pieux missionnaire.
Avec lui, il explore pendant cinq mois les rives du lac Tanganyika avant de regagner Londres et d'y cueillir la récompense de son succès. Livingstone, quant à lui, reste en Afrique où il ne tarde pas à mourir d'épuisement.
Stanley, gagné par le virus de l'exploration, repart en 1874 de Zanzibar pour l'embouchure du Congo avec une impressionnante caravane de 350 hommes, dont trois Européens seulement, ainsi qu'un bateau en pièces détachées, le Lady Alice.
Au fil du parcours, l'expédition combat les populations locales, massacres et pillages sont à inscrire au passif de l'explorateur.
C'est à bout de forces que Stanley arrive trois ans plus tard au pied des chutes gigantesques qui barrent l'embouchure du fleuve Congo, il ne lui reste plus que 114 hommes et il est le seul Européen survivant.
Mais il a accumulé d'innombrables informations sur les fleuves et les lacs africains et démontré en particulier l'absence de relation entre le Nil, grand fleuve du nord du continent, et les fleuves du sud.
Le roi des Belges Léopold II l'embauche en 1878 pour le compte de l'«Association internationale pour l'exploration et la civilisation de l'Afrique centrale», financée sur sa cassette personnelle.
Entouré de nombreux mercenaires européens et de supplétifs africains, Stanley remonte cette fois le fleuve Congo depuis son embouchure, il obtient sans trop de difficulté la soumission des chefs locaux.
Avant de prendre sa retraite, il part encore au secours d'Emin Pacha, un aventurier allemand converti à l'islam et parti explorer la région des lacs africains.
Rentré à Londres, Stanley reprend la nationalité britannique, homosexuel, il ne se mariera que sur le tard et sur la pression de la bien pensante époque Victorienne. Il est élu à la Chambre des Communes et anobli.
Il devient journaliste et au cours d'un reportage en Abyssinie, assiste en 1868 à une victoire des Anglais sur le roi local. Il en informe son journal avant tous ses confrères après avoir soudoyé le télégraphiste de Suez. Ce succès lui vaut d'être embauché par le New York Herald Tribune. Le journal l'envoie peu après sur les traces de Livingstone.
Parti de Zanzibar, sur la côte de l'océan Indien, Stanley retrouve Livingstone après une marche de 3500 km et 411 jours !
L'aventurier sans scrupules est bouleversé par la rencontre du pieux missionnaire.
Avec lui, il explore pendant cinq mois les rives du lac Tanganyika avant de regagner Londres et d'y cueillir la récompense de son succès. Livingstone, quant à lui, reste en Afrique où il ne tarde pas à mourir d'épuisement.
Stanley, gagné par le virus de l'exploration, repart en 1874 de Zanzibar pour l'embouchure du Congo avec une impressionnante caravane de 350 hommes, dont trois Européens seulement, ainsi qu'un bateau en pièces détachées, le Lady Alice.
Au fil du parcours, l'expédition combat les populations locales, massacres et pillages sont à inscrire au passif de l'explorateur.
C'est à bout de forces que Stanley arrive trois ans plus tard au pied des chutes gigantesques qui barrent l'embouchure du fleuve Congo, il ne lui reste plus que 114 hommes et il est le seul Européen survivant.
Mais il a accumulé d'innombrables informations sur les fleuves et les lacs africains et démontré en particulier l'absence de relation entre le Nil, grand fleuve du nord du continent, et les fleuves du sud.
Le roi des Belges Léopold II l'embauche en 1878 pour le compte de l'«Association internationale pour l'exploration et la civilisation de l'Afrique centrale», financée sur sa cassette personnelle.
Entouré de nombreux mercenaires européens et de supplétifs africains, Stanley remonte cette fois le fleuve Congo depuis son embouchure, il obtient sans trop de difficulté la soumission des chefs locaux.
Avant de prendre sa retraite, il part encore au secours d'Emin Pacha, un aventurier allemand converti à l'islam et parti explorer la région des lacs africains.
Rentré à Londres, Stanley reprend la nationalité britannique, homosexuel, il ne se mariera que sur le tard et sur la pression de la bien pensante époque Victorienne. Il est élu à la Chambre des Communes et anobli.
"Là où des hommes sont condamnés à vivre dans la misère,
les droits de l'homme sont violés. S'unir pour les faire respecter est un devoir sacré."
les droits de l'homme sont violés. S'unir pour les faire respecter est un devoir sacré."
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- Clavier en Or
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