GPO13 n°5 / Diplomatie et AARs

Aedan
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Message par Aedan »

***** Chroniques du royaume d'Angleterre 1475 - 1495 *****

La modernisation du royaume et la fin de la guerre des deux-roses

En 5 ans, l'Angleterre va définitivement quitter les ages obscures commencé par la chute de l'Empire romain d'occident.

En 1480, l'Angleterre cède finalement le comté de Caux et la ville de Calais à la France pour 800.000 ducats. La guerre de cent-an et le vieux conflit Anglais se termine et nous renouons avec le régent Français de l'époque des relations normales.

Fin 1480 sera également marqué par la découverte de nouveaux procédés artisanaux (infra 3). Le roy estime qu'il est alors temps pour la couronne d'investir les 4 millions de ducats! qui dormaient dans le trésor de la couronne et dont une bonne part provenait de la ventre de notre domaine continental. Ainsi ce seront 4 manufactures royales qui seront fondée dans le sud et le nord-Est de l'Angleterre.
Parmit elle on compte désormais une immense brasserie, deux distilleries de Wiskey et même une chaine de vinification issue d'un cépage Bordelais au moment de notre départ d'Aquitaine.

L'Impact de ces manufactures fut important. Désormais l'Angleterre importe de grandes quantités de mantières premieres de toute l'europe pour la fabrication de ses alcools ce qui dynamise notre commerce. L'Angleterre est donc devenu pour l'instant le plus grand producteur d'alcool d'Europe et les rues de Londres sont remplis d'ivrognes. Mais ceci nous attire cependant un nombre important de visiteur etranger dans les régions ou sont implantés ces distilleries.. ah le pouvoir de la boisson... :)


La 2eme vague de modernisation du royaume aura lieu en 1485 quand Henry Tudor affilié de loin à la maison des Lancastre écrase définitivement les forces de Richard III à la bataille de Bosworth Field. Cette victoire et la réconciliation qui s'ensuit provoque une renforcement considérable de la monarchie Anglaise et des structures administratives du royaume qui atteigne une niveau de centralisation inégalé. Dans le domaine des sciences également, les réforme libéralise ce secteur au grand dam des évèques d'Angleterre qui y voit la une offensive contre l'Eglise. D'autres au contraire y voit plutot une victoire sur l'obscurantisme.

Ainsi en moins de 5 ans, le royaume d'Angleterre à visiblement changé d'ère et d'époque...


L'armée se réduit, la flotte aumente ses moyens

Si la vente du domaine continental des Plantagenet rapporta beaucoup d'or qui contribua à la modernisation du royaume, elle à également réduit les capacités de recrutement du royaume en soldat de 50%. Plus que jamais avec une armée réduite à peau de chagrin, la sécurité du royaume ne peut que reposer exclusivement sur la flotte royale.

Henry Tudor lance alors un vaste programme de construction navale de 80 nouvelles galères. En 1490, la Royal Navy dispose d'environs 200 unités dont 150 galères pour garder le Channel et sa majesté estima le royaume suffisament protéger pour engager son armée sur le continent...

La guerre en Allemagne du nord, le Saint-Empire en lambeau...

Le nord de l'Allemagne aller etre touché par une grave crise qui allait durer plus de 5 ans. L'origine de cette crise nous est désormais parfaitement connue. La ville de Breme était gouvernée par une poignée de marchand ambitieux et pret à tout.
Breme commença par attaquer et annexer son voisin le duché de Meklembourg dans le seul but de s'emparer de son ancienne et vielle rivale de Lubeck qui controlait encore le commerce de toute la Baltique.

Nous attendions une réation pontificale et/ou impériale mais rien ne vint de Rome et ce crime resta impuni.

Apres avoir attaquer à l'Est sur Lubeck et l'avoir annexé, Breme décida de prendre unilatéralement les armes et de marcher sur le comté d'Oldenburg, vassal de l'angleterre depuis 60 ans. L'armée d'Oldenburg de 22.000h fut balayé par les Brémois et Oldenbourg fut annexé par ce qui devint la république de Breme. Le comte d'Oldenbourg sera alors lynché par les soudars de Breme lors de la prise de la ville.


Cela en était trop, Oldenbourg etait vassal et alliée de l'Angleterre et il fallait réagir. L'Empereur du Saint-Empire était un faible et la Chrétienté avait besoin qu'une grande maison et qu'un grand prince d'Allemagne obtienne enfin cette charge et rétablisse le droit dans le saint-Empire.
Tout les yeux se tounèrent alors vers les deux plus puissants princes d'Allemagne à savoir l'Archiduc d'Autriche et le duc du Brandebourg. Meklembourg et maintenant Oldenbourg etait terres d'empire, pouvait t'on laisser se propager la gangrène républicaine qui venait de couter la vie à 2 seigneurs investis par dieu?

Vienne ne régit pas et garda un silence absolu. Mais de Berlin la réaction ne se fit pas attendre. Le Duc de Brandebourg condamna l'agression Brémoise et entra en guerre au coté de l'Angleterre pour renverser la république de Genes et punir les assasins des duc de Meklembourg et comte du Oldenbourg.

Le Duc de Brandebourg marquait la son 1er engagement décisif dans les affaires intérieures du saint empire en lieu et place du véritable empereur incapable d'agir. Et les Habsbourgs? Aucune réactions...


Le Général Norfolk quitta Londres avec une armée de 30.000h et débarqua à Amsterdam avant de marcher sur Oldenbourg. Pendant ce temps les troupes Brandebourgeoises mirent le siège devant Lubeck.

La contre attaque Bremoise fut violente mais une charge de la cavalerie Anglaise dans ces plaines d'allemagne du nord faucha et extermina 23.000 Brémois pour assez peu de perte. Mais Breme avait des alliés et pouvait compter sur le soutien du Danemark, de Cologne et du Palatinat.
Dans cette alliance hétéroclite, c'etait le comte Palatin qui disposait des plus grandes resources en hommes et durant toute la guerre ses troupent lancèrent des offensives selon 2 aXes principaux:

Vers le nord et Oldenbourg contre l'Angleterre
Vers l'Est directement sur Berlin la capitale Brandebourgeoise.

Apres avoir écrasé une armée Danoise au Hannovre, l'Angleterre remporta une grande bataille Navale devant Copenhague. Le roi Danois compris alors son erreur de soutenir les républicains de Breme et demanda à se retirer contre des indemnités de 100.000 ducats. Sa majesté accepta et se réconcilia avec le Danemark.

En Allemagne la guerre faisait rage. Si Breme avait perdu toute armée, les armées Palatines poursuivait sans relache les offensives usantes. Norfolk ayant perdu la moitié de son corps expéditionaire préféra se réorganiser à Amsterdam et céda le siège d'Oldenbourg au Brandebourg. La population d'Oldenbourg à l'annonce de l'arrivé des forces "allemandes" du Brandebourg se souleva et offrit la ville au Duc de Brandebourg qui y fit une entrée triomphale devant une population en liesse population.

Finalement Breme également chuta et nous ne savons guerre ce que devinrent les leaders républicains de la ville une fois tombé entre les mains du nouveau maitre de l'Allemagne du nord à savoir le Duc de Brandebourg.

Les forces Brandebourgeoises petit à petit parvenait à avancer et la capitale Palatine fut même assiégée. Mais cette guerre Anglo-Bradebourgeoise n'était pas une guerre de conquete, mais une guerre de libération et de restauration de l'ordre.

Finalement la paix put etre signé avec le traité de Berlin

- Brême reconaissait être l'unique responsable de la guerre
- Brême cède les villes d'Oldenbourg, de Lubeck et de Stettin au Brabdebourg
- Le Palatinat et Cologne reconnaisse le duc de Brandebourg comme administrateur de ces trois villes et durent implorer à Berlin son pardon. En echange aucune indemnité territoriale ou financière n'est demandé.
- L'Angleterre cède ses anciens droit de suzeraineté sur Oldenbourg au duc du Brandebourg


Quelques semaines plus tard, le Duc de Brandebourg fit parvenir à Londres un coffre remplit de 300.000 ducats en remerciement de l'aide apportée par l'Angleterre pour rétablir le droit en Allemagne.

Cette guerre se termina donc par un triomphe du Duc de Brandebourg. Ses états sortaient considérablement renforcé et lui même infiniment plus riche notamùent par la possession de la riche ville marchande de Lubeck.

Surtout, le Duc de Brandebourg montra aux autres princes d'Allemagne qu'une couronne impériale n'est pas qu'un titre mais devait également se méritait par des actes. Le Brandebourg venait de faire une entrée fracassante sur la scène politique d'Allemagne...



Sir Aedan
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[align=center]Le Brandebourg, le chant du départ[/align][align=center]d'après le moine Gislemar[/align]



C'est en 1434 que la belle histoire du duché de Brandebourg commença. Feu Friedrich I, duc de Brandebourg, était un petit duc du nord de l'Europe. Son père avait malheureusement perdu une partie du territoire matrimonial, la contrée de Kustrin, face aux Saxons. Depuis ce jour, le jeune Friedrich était animé d'une haine féroce contre ces perfides voisins. Aussi, après les errements du début de sa charge, le duc, mieux entouré à partir de 1434, décida qu'il devait voué toute sa polique à la reconquête du territoire volé.
Entre temps, les terres de Kustrin étaient passées aux mains polonaises, mais la haine de Friedrich pour ces saxons ne se dissipa pas pour autant.
Après s'être joint à ces puissants voisins polonais, bohémiens et lithuaniens, le Brandebourg déclara la guerre à la saxe alors allié à Magdenbourg, terre sous notre suzeraineté et qui en prenant les armes contre nous perdait tout ces droits.
La victoire Brandebourgeoise fut éclatante, Magdenbourg fut capturé au félon vassal et dorénavant administré par le duc lui-même, quand à la Saxe elle fut réduit à prêter serment. Serment qu'elle trahira plus tard, alors Friedrich dù se résoudre à punir son nouveau vassal félon de la même manière que celui de Magdenbourg.

Ces heures glorieuses pour le duché inquièterent alors nos voisins ducaux (je pense surtout que l'envie et la jalousie les animaient), tels Breme, Pomméranie, Mecklembourg, Palatinat. Pourtant notre tréz cher duc confirma à plusieurs reprises qu'il avait toujours respecté le droit féodal et qu'il n'avait jamais eu des intentions expansionnistes. Devant le parterre de duc crédules, et surtout soucieux de provoquer un conflit, Frieidrich affirma que le Brandebourg était un duché pacifique mais soucieux du respect du droit et de l'honneur, que la guerre il ne cherhait pas et qu'aujourd'hui l'honneur du duc était sauf. Il n'y avait donc plus aucune raison à la guerre.
Et l'avenir confirma les sages paroles du duc, pendant plus de 30 ans il ne se passa aucun conflit provoqué par le duché de Brandebourg. Celui-ci resta le plus souvent en paix, ne partant à la guerre que pour honorer ses traités d'alliance et sans jamais faire de conquête territoriale.

C'est également au cours de cette période que les premiers jalons de relations amicales avec les puissants royaumes d'Europe furent mis en place. Ainsi, les ducs de Brandebourg invitèrent ou se firent inviter à des fêtes, mariages et moults activités chez les françois, les anglois, les castillans ou encore les suédois pour ne citer qu'eux. La fortification de Magdenbourg portant même le nom de son digne mécéne, le feu roi castillan Juan II, malheureusement la muraille n'existe plus aujourd'hui (appel du pied à la reine d'espagne Isabella :P ). Mais dans un 1er temps, fort logiquement, c'est vers nos proches voisins suédois que les ducs portèrent le plus leurs efforts.
Ils participèrent à d'innombrables chasses à l'ours, activité favorite de la cour suédoise, se revelant de bons chasseurs avec le temps, même si cela n'est rien à côtés de la science suédoise dans cet art. Dans les discussions, on parlait d'amitié, de soutiens éventuels, d'ennemis communs, etc...

Le temps s'écoulait paisiblement en Brandebourg jusqu'aux années 1470. Là, la perfide Brême, alliée aux Danois, Bourguignons et Palatins, se lança dans une quête folle. Quête qu'elle nous avait injustement accusé de vouloir caresser 35 ans auparavant. Non contente d'avoir fait disparaître la Pomméranie partagée entre Brêmois et Danois, elle annexa de force la riche ville portuaire du Mecklembourg. Si nous tîntes les yeux fermés la première fois, l'annexion de la ville portuaire libre et indépendante était la goutte de trop. Le Brandebourg décida alors aussitot de punir cette ville qui voulait devenir royaume. Le duc, Albrecht Achilles, déclara la guerre à Brême et appela ses alliés.

Quel jour funeste pour l'amitié et l'honneur ! Après seulement quelques semaines de guerre, la Pologne, chef de notre alliance, céda à la paix blanche contre de l'or. Cette trahison pour nos armées victorieuses, en plus de bafouer notre honneur, laissait tranquille de perfides brêmois dans leur projet diabolique. Quant on ajoute à cela, que notre alliance perdurait depuis plus de 40 ans, que nos filles et fils étaient tous mariés les uns avec les autres, le coup fut dur pour le duc du Brandebourg. De plus, la Pologne, maitre de Kustrin depuis trés longtemps, refusait toujours de nous vendre cette terre qui était pourtant nôtre avant le vol saxon. La preuve était faite que l'amitié et le secours mutuel entre deux peuples ne suffisent pas lorsque les chefs du royaume ont sang pourri.

Le duc ne pouvait se résoudre à cette paix qu'il ne voulait pas, il fallait faire quelque chose. Et quand nous savons aujourd'hui les conséquences de ces instants de doute, de réflexion, nous ne doutons pas une seule seconde que le Tout-Puissant inspira lui-même à notre trés cher duc les desseins pour lequel il le destinait. C'était le jour du départ, de l'envol pour le duché de Brandebourg...
Votre empire est une vieille catin habituée à se faire violer par tout le monde [...] Vous oubliez que la France est victorieuse (Napoléon aux plénipotentiaires autrichiens)
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[align=center]Le Brandebourg, le soleil de Bremen[/align][align=center]d'après le moine Gislemar[/align]



Le duc était prêt à entrer une nouvelle fois en guerre contre Brême, prêt à trahir un traité de paix qu'on lui avait imposé avec toutes les consèquences que cela pourrait avoir. Mais est-ce trahison que de rompre un traité issu d'une trahison lui aussi ? Nous ne le pensons pas.
Albrecht Achilles ne voulair pas non plus conduire son peuple à la ruine, seul il ne pourrait faire face aux armées ennemis.
Que fallait-il donc faire ? Le duc attendait un signe. Et qui pouvait envoyer un signe si ce n'est le Trés-Haut ?

L'amie du peuple brandebourgeois : l'angleterre
Avant d'aller plus loin, il est important de situer les relations entre la puissante angleterre et le petit brandebourg, à l'époque. Le roi Richard III, homme de clairvoyance et source de sagesse, avait fait dire au duc de brandebourg que son duché attirait toute la sympathie de la cour anglaise, qui au demeurant, serait prête à faire oeuvre de charité si le besoin s'en faisait sentir. Le Grand Roi annonça également que son royaume se portait garant de l'indépendance du duché germain.
Il est donc évident que les relations étaient franchement amicales entre les deux peuples. Les Brandebourgeois avaient alors beaucoup d'estime pour ces anglois et de gratitude pour les bonnes intentions. Les mariages des nobles brandebourgeois avec des femmes de l'aristocratie anglaise connurent un pic important dans les années 1470 (source de l'INSEE).
Les relatons étaient si bonnes qu'en 1476, le roi d'Angleterre acceptait de vendre sa suzeraineté sur Oldenburg au duc Albrecht Achilles.

Aussi, lorsque Brême déclara la guerre à Oldenburg, les brandebourgeois se sentirent outragés. Et le roi d'Angleterre ne tolérait visiblement pas ces coups de forces d'un moustique et entrait en guerre au côté de son vassal sur le champ. Brême venait de commettre la plus grave erreur de son histoire, ce n'est pas un tigre ou un ours qu'elle faisait entrait dans le conflit, oh non, c'était tout simplement..... l'envoyé, le peuple élu, de Dieu.
Le duc du brandebourg compris aussitôt que le signe qu'il espérait venait de tomber. Dieu, qui rappelons le a certainement inspiré les pensées du duc, dans sa grande miséricorde, ne laissait pas ses fidèles partir seul à la guerre. Non! il leur offrait la meilleure aide du monde, il leur offrait son Bras vengeur, son Bras rédempteur.


Le bras armé de Dieu : l'Angleterre
Le duc prit la tête de son armée et parti faire le siège de Lubeck, pendant qu'une deuxième armée faisait le siege d'Hannovre. Le Grand Roi envoya son plus brillant général, Norfolk, qui à la tête de 30000 braves terrassa les troupes brêmoises. Brême ne pouvait plus se défendre s'en en était fini d'elle.
Les rares troupes danoises furent exterminées par nos armées, le véritable soucis, l'ennemi le plus dangereux, était le Palatinat. Ses 40000 hommes divisaient en 2 armées parcourait les différents champs de batailles et harcelaient nos sièges.
Pendant ce temps, Hannovre tombé, les danois implorèrent la paix au Grand Roi qui dans sa grande bonté et sagesse accepta. Il ne restait dès lors plus que les armées palatines et de cologne a affronté.
Les sièges brandebourgeois volaient de succès en succès, et en quelques années, tout le territoire de Brême était sous notre controle. A noter que le roi Richard fit encore une fois preuve de toute sa gentillesse, que d'aucun qualifierait de divine, en nous laissant le siege d'oldenburg.
Les libérations de Mecklembourg, Oldenbourg ou Vorpommern étaient accueillis avec joie et fêtes chez les peuples libérés. Le nom du duc étaient scandé dans toutes ses villes. C'est depuis ce jour qu'on lui prête le surnom de Libérateur, surnom d'autant plus chargé en force puisqu'il émane du petit peuple. Or selon saint Augustin, Dieu aime a s'exprimer à travers la voix du peuple.

Les combats sanglants et violents commencèrent alors, le duc Albrecht décida de marcher à la rencontre des troupes palatines en plein duché ennemi. Les combats dans els bois firent couler beaucoup de sans. Le 25 mai 1584, 10000 braves brandebourgeois périrent dans la forêt de Wilfenstein. Quelques mois plus tard, leur mort était vengé, des 23000 palatins engagés dans les plaines de Hinmenheilm, seul 6000 hommes parvinrent à fuir. Anhalt était tombé au main de notre duc, Hessen et Pfaltz n'allait pas tarder aussi.
Mais les hommes étaient las de la guerre qui durait depuis plus de 5 ans, Brême offrait de céder tout ses territoires volés une décennie auparavant au duc du Brandebourg. Le Grand Roi voulait la paix, mais une paix qui mettrait les peuples libérés dans de bonnes mains, le duc était prêt à prendre ses responsabilités. La paix était signé. Le bras de Dieu avait frappé et tout rentrait dans l'ordre.

Le nouveau Brandebourg
Le territoire du duché doublé, comme ses revenus, le riche ville marchand de mecklembourg était notre, tout comme Vorpommern et Oldenburg. Les peuples étaient en paix. Brême ruiné, le palatinat terrasé, le danois fatigué, la paix nous pensions alors qu'elle durerait.
Mais trés vite, des peuples opprimés d'allemagne, tels ceux d'Hannovre, Hinterpommern et d'autres plus à l'ouest, se soulevaient et scandaient le nom du duc Libérateur. Il faisait beau alors à Berlin, de son balcon le duc avait l'impression que le soleil illuminait le Brandebourg tout entier. Il s'était passé quelque chose dans la tête du duc...
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CHRONIQUES DU GRAND DUCHE DE MOSCOVIE 1475-1495


Le grand duc observait les évènements en Europe et dans les steppes. En son fort intérieur, il savait bien que la lutte ne faisait que commencer, dans le ralliement des terres russes. Il espérait bien un regain de tension entre les géorgiens et les khanats environnants, qui lui aurait donné un prétexte pour prendre les armes à nouveau. Mais rien ne vint…
« Si ça continue, je vais finir par aller chasser l’ours avec le souverain suédois », se lamenta-t-il. D’autant qu’il craignait une riposte des khans, tôt ou tard. « C’est trop bête ! Je ne vais pas attendre ici sagement qu’on m’attaque !! ». Le grand duc ordonna la mobilisation, et quelques mois plus tard, attaqua la Horde d’Or, par surprise.

Phase 1 : L’offensive.
Le but principal du grand duc, était la capture de la mine d’or de Samara. Ensuite, si possible, capturer d’autres territoires orthodoxes russophiles. En bonus, Astrakhan, une place commerciale qui nous permettrait de soulager celle de Moscou, saturée de peaux d’ours en provenance de Suède.
Le général Kholmski se chargea de mener les sièges. Des régiments de cavalerie se tenaient en couverture. En un an, Samarra était capturée. Suivie par Orelsk. Puis ce fut la capitale, Volgograd. Enfin, Lugansk et Astrakhan. Mais le khan refusait la paix.

Phase 2 : Piétinement
Les khans musulmans ne cessaient d’envoyer des groupes de 20 000 hommes, harceler nos sièges. Quand ce n’était pas la horde, c’était Sibir. Quand ce n’était pas Ak Koyunlu, c’était Nogaï. Chaque combat ou presque était gagné par nos armées, mais ce fut une guerre d’usure et d’épuisement à laquelle nous devions faire face. Les renforts arrivaient régulièrement, certes, mais que de souffrances et de lassitude dans nos rangs. Cette tactique de harcèlement permit à la Horde de délivrer Astrakhan.

Phase 3 : le sultan entre dans la danse.
La grand duc IVAN III fut assommé, quand il apprit que le puissant sultan Ottoman ne permettrait pas la capture d’Astrakhan. Il faillit même proposer une paix clémente aux khans, avant que la tendance ne s’inverse avec l’entrée en guerre des puissants janissaires. Mais il se ravisa, et décida de laisser une chance à ses armées. Dans un premier temps, les effectifs ottomans regroupés en Daghestan étaient faibles. Environ 15 000 cimeterres, mais commandés par le sultan Bayezid, en personne. Notre armée de siège en Astrakhan fut délogée. Notre cavalerie arriva trop tard en renfort. Mais, nos deux armées firent leur jonction à Volgograd, et contra-attaquèrent le sultan. Ce fut une première grande victoire, et nous tentâmes même de poursuivre les 3000 rescapés, en Daghestan. En vain, le sultan s’échappa.
Ce dernier ne commit pas la même erreur une deuxième fois, et une seconde armée ottomane se lança dans la reconquête. Pendant ce temps nos troupes se regroupèrent à UFA. Nous disposions alors de 41 000 hommes. De l’autre côté, les 30 000 ottomans de Bayezid, et 21 000 hommes de la Horde, qui tentaient de délivrer Volgograd…

Phase 4 : la bataille finale et la victoire
A 4 contre 5, le sort de la batille nous aurait été fatal. Nous attendions alors d’autres renforts. Mais l’armée de la Horde commit alors une erreur incompréhensible, en se retirant subitement du siège. Que s’est-il passé ? Incompatibilité d’humeur entre les chefs de la horde et le sultan ? Toujours est-il que le rapport de force était alors de alors de 4 vs 3 en notre faveur. Le grand duc y vit là, une opportunité inespérée, et lança toutes ses forces dans la bataille. Ce fut un carnage. Le siège ne fut pas levé, mais sur les 30000 ottomans, seuls 3000 restèrent en vie.
De notre côté, 16 000. Nous battîmes en retraite. Le sultan resta sur place avec ses rescapés, en pensant que l’armée de la horde stationnée de l’autre côté de la Volga, reviendrait en renfort. Il n’en fut rien, et cela nous permit d’achever ce qui restait des turcs. On raconte même que le sultan n’aurait pas survécu.

Phase 5 : la paix…ou plutôt la trêve.
Après la bataille de Volgograd, la route d’Astrakhan était libre, et un an plus tard, nous la capturions une seconde fois. Cette fois le grand duc était décidé à en finir à tout prix. Malgré une large victoire (86% PV) et des demandes de paix réitérées maintes fois, le khan refusa de lâcher plus que Samarra et Astrakhan, ce qui était déjà beaucoup, vu la richesse des deux provinces. Cela dit, Astrakhan est isolé du reste de notre patrie, et il faudra tôt ou tard remédier à ce problème.
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CHRONIQUES DU GRAND DUCHE DE MOSCOVIE 1495-1514

Il y a peu, le roi du Danemark, flanqué de la cavalerie polonaise nous déclarait la guerre. Tous les dignitaires moscovites se demandèrent quel pouvait bien être le motif de cette agression subite. Personne ne trouva la raison. Sans doute les restes d’un voyage bien arrosé d’alcool anglais. Notre armée, encore désorganisée par la dernière guerre, longue et coûteuse en vies humaines, ne pouvait en l'état se permettre une nouvelle campagne d’invasion. Le grand duc ordonna donc de simplement contenir les incursions dano polonaises, et après de multiples baffes, le roi danois implora la paix contre quelques ducats. Le grand duc, magnanime, accepta, mais se jura de se souvenir de cette félonie, un jour. Non le grand duc n’est pas rancunier (mais il se souvient).

Cette péripétie passée, le grand duc décida d’aller se ressourcer dans les fjords suédois, voir si la population ourse s’était accrue. Pendant ce temps, le grand duché économisait, et se payait une distillerie de vodka, à Novgorod. Puis le duc décida de s’occuper un peu de son punching-ball favori : le khan de la horde. Sans coup férir, nos armées raflèrent Uralsk et Lugansk. Une terre russe, et une qui nous permet de relier Astrakhan au reste de notre territoire.

1505, le grand duc Ivan III, surnommé « le grand », s’éteignit. Il restera celui qui a libéré la terre russe du joug mongol. Son fils Vassili (basile) III, lui succède sur le trône du grand duché. Pendant sept ans, le nouveau duc s’attachera à apprendre à tenir les rennes du pouvoir, à améliorer nos rapports avec les cours européennes. Cela porta ses fruits, puisqu’en 1511, Vassili eut le bonheur de signer une alliance militaire avec la Georgie.

1512, les affaires étrangères occupaient encore Vassili. Le sultan (devenu calife) ottoman, attaquait son ancien allié des moutons blancs. Le grand duc n’était pas sans savoir que la population orthodoxe arménienne, vivait encore sous le joug de ces derniers. Il décida qu’il y avait peut-être là une occasion de les en libérer. Tout d’abord, il observa les combats qui se déroulaient dans les terres musulmanes. Puis, une fois prises, une armée du calife assiégea Erevan. Les arméniens risquaient hélas de passer d'un tortionnaire à un autre, qui plus est, bien plus puissant. Les moutons blancs, étaient les alliés de nos ennemis préférés : la horde. Aussitôt, il déclara la guerre au khan, qui appela son allié à la rescousse. De notre côté, la Georgie répondit également présente à l’appel.

Malheureusement, nos troupes arrivèrent trop tard pour sauver l'arménie.
Plus tard, qui sait ?
Depuis 40 ans, le modèle économique de la France consiste à acheter de la paix sociale en distribuant de l’argent emprunté sur les marchés financiers.
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Message par loda »

Suède 1496 - 1514 : La régence, toujours la régence...




Tous les éléments du maintenant célèbre groupe "Krisproll" (le mieux pour bien prononcer est de chercher à le faire avec un exemplaire de ce petit pain grillé dans la bouche ;) ) sont maintenant morts. Au groupe qui dirigeait le pays en décidant des lois à l'unanimité il y a 75 ans a succédé au grès des années et conflits d'intérêts 2 vieux aristocrates qui passent leur temps en fêtes, chasses et inaugurations bien arrosées de manufactures d'alcool fort.
Si le prétexte est fort louable, lutter contre le froid pendant les longues heures de chasse à l'ours, il n'en reste pas moins que les régents ont du mal à viser passé 14h et que les rabatteurs, qui s'habillent en rouge vif depuis quelques temps, ne sont pas rassurés depuis la mort de 2 des leurs lors d'une chasse un peu trop arrosée. Un débat fait rage depuis en Suède pour savoir quelles sont les différences entre bons et mauvais chasseurs mais pour l'instant ne se dégage aucun consensus, les 2 camps se rejoignant sur beaucoup trop de points.


Etant donné qu'il est difficile de régner lorsqu'on se trouve à plusieurs milliers de km de la capitale, la régence a délégué le pouvoir à un noble nommé Erik Vasa, farouche indépendantiste, et en qui la régence a entièrement confiance.

Ce dernier décide de quitter l'isolationisme des régents et de s'allier avec le Brandebourg en 1496 dont les derniers succès militaires ont fortement impressionnés les dirigeants suèdois. L'alliance avec le brandebourg n'est pas fortuit, ces 2 pays ont des comptes à régler avec leur voisin polonais. Ce dernier occupe des terres germaniques anciennement propriétés du duché brandebourgeois. Concernant la Suède, les reproches viennent principalement des marchands suèdois, obligés de s'acquitter de taxes injustes pour accéder au centre de commerce de Dantzig alors que la Suède est membre de la hanse à part entière. Nos marchands subissent le mépris quotidien des polonais qui les traitent de bucherons ou bien d'ours des forêts vu la part très importante de peaux que nos marchands amènent avec eux : de ce fait les ventes de peaux se font beaucoup plus difficilement voire carrément à des prix misérables aux revendeurs polonais qui, eux, font des bénéfices énormes en revendant les-dites fourrures au sud de l'europe.


La guerre est déclarée en 1497 par le Brandebourg bientôt suivie par toute l'alliance. la suède se trouve confrontée à 2 fronts car le danois, ce félon, fait partie de l'alliance polonaise. Le général suèdois fait le pari de partir pour Dantzig en laissant les danois s'épuiser dans de vains sièges dans des provinces enneigées.

L'armée part pour Dantzig et assiège la ville aussitôt. L'armée polonaise est absente, il faut dire que tout le nord de l'allemagne est à feu et à sang. D'après les espions suèdois, elle serait en train de se reconstituer sur la capitale polonaise et partirait dans la foulée pour la silésie : tout va bien pour nous. La flotte fait des aller et retour avec la Suède pour ravitailler l'armée tout en coulant les quelques barques faisant office de flotte pour la pologne.

Dans le courant de 1498, Dantzig tombe entre nos mains et le pillage est de règle. De son côté la Lithuanie a pris hinterpommern au danois et ce dernier cède la province avec de l'argent contre la paix. Nous saurons nous souvenir du lithuanien en temps voulu pour cette trahison de notre pacte d'alliance, les suèdois n'ont pas la mémoire courte...

L'armée part alors pour la silésie ou nos alliés de Bohème sont en difficulté, leur propre armée étant occupée au palatinat. Les polonais sont surpris par l'arrivée des cavaliers suèdois et le combat se transforme rapidement en boucherie dans la plaine de silésie. 2 à 3 000 hommes survivront aux 20 à 25 000 du départ... Cette grande victoire permet à notre alliance de prendre définitivement le dessus sur l'ennemi : il est maintenant temps de venir s'occuper de notre voisin danois qui a capturé Berschlagen et s'en prend maintenant aux villes du nord d'ou il reviendra piteusement, décimé par le froid.

Le retour se fait sans problème et nos troupes vont assiéger Berschlagen qui tombera quelques mois plus tard sans coup férir. Les soldats danois ont été invisibles, il faut dire que l'aura acquise par les armées suèdoises sur le continent a largement dépassé nos frontières... Le roi danois signe la paix quelques semaines plus tard en cédant Hannovre à notre allié Brandebourgeois, ce dernier oubliant de demander des indemnités de guerre ce qui provoquera l'agacement de notre côté car notre pays a été pillé sauvagement et nous savions que les caisses danoise étaient pleines.


En 1501, la pologne à bout de souffle et anéantie signe la paix cède Kustrin au Brandebourg et Dantzig à la Suède. nous allons enfin pouvoir maitriser le commerce de l'est de la baltique et nos marchands pourront accèder sans problème au centre de commerce. Le rapport de force s'est inversé et nos douaniers mettent beaucoup de zèle à controler les marchandises polonaises...


En 1503, le palatinant cède 2 provinces au brandebourgeois et brême une somme considérable en indemnités de guerre. Le pape signera une paix blanche quelques mois plus tard après plusieurs refus bien difficiles à expliquer.



La Suède est en paix et profite de son nouvel essor commercial pour envoyer des marchands dans l'europe entière. La dernière décennie verra les revenus suèdois passer grosso-modo de 23.5 à 43.5 ducats par mois, l'apport de Dantzig étant non négligeable dans ces 20 ducats d'augmentation.
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Scarabee
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Message par Scarabee »

[align=center]L’aventure de la toute récente Espagne, de la vieille Europe vers le Nouveau Monde[/align]

[align=justify]Depuis la découverte de Bartolomé Dias, devenu Espagnole après la chute tragique de la couronne Portugaise, la cour d’Espagne a la preuve qu'il est possible de contourner le continent africain par le sud pour gagner l'océan Indien et l'Asie des épices. Nous avons d’ailleurs implanté un centre de commerce, certes faible, mais montrant notre présence sur cette route maritime. Il porte le nom de Cap de bonne Espérance. Les Ottomans ne contrôlent plus la seule et unique voie d’accès aux richesses d’Asie.

C’est une grande victoire pour la couronne catholique espagnole, surtout depuis la venue sur le trône de Ferdinand et Isabelle. Les musulmans sont chassés de la péninsule et nos frères Aragonais ont annexés et convertis à notre foi les tunisiens. Les impies reculent vers les bouchent de l’Enfer, près de Constantinople.

Dans l’euphorie de la victoire du Christ, de Grenade à Tunis, les souverains Isabelle et Ferdinand décident de soutenir un génois, un peu fou, pour finir en beauté la Reconquista. Ce génois, nommé Christophe Colomb, a l’objectif d’atteindre les Indes, sans passer par le Cap de Bonne Espérance, mais en partant plein Ouest. Par les capitulations de Santa Fé, nos souverains accordent au navigateur intrépide le titre prestigieux d’Amiral, habituellement réservé à un membre royal. Avec ce titre, il aura le droit d’exercer la justice sur toutes les terres découvertes.

Ainsi, à l’aube du 3 Août 1492, les navires quittent la barre de Saltes, en Andalousie, à l’embouchure du Rio Tinto et à proximité des villes de Huelva et Palos de Moguer. Après une escale dans l’archipel des Canaries servant de base avancée, la flottille de 3 vaisseaux fonce vers le sud-ouest en suivant les alizés. Mais tous les membres de l’équipage s’inquiètent rapidement de cette navigation hauturière où l’on ne voit que la mer et le ciel à l’horizon.

Après 36 jours de navigation et d’espoir, de risque et de peur, les navires accostent sur une petite île. La nudité des indigènes habitants sur l’île montrait bien que ces peuples étaient très inférieurs, proche des animaux. Enfin, pour certains marins, la nudité féminine était un cadeau de Dieu… Colomb les baptisa « indiens », puisque ils sont sur le continent de l’Inde.

Les navires ne s'attardent pas et poursuivent vers une île où nous retrouvâmes d’autres occidentaux, en l’occurrence dans Anglais, déjà présent. Cette île, en accord avec notre couronne sera terre anglaise, à commencer par Fort William. Par ailleurs, plus au Nord, la présence de la couronne d’Angleterre est déjà importante, montrant que la conquête d’un Monde Nouveau demande un effort constant. Peu de temps après son retour à Madrid, Colomb apportant les preuves des ces découvertes (dont une douzaine de femmes qui seront envoyées aux différentes cours européennes pour leur plaisir) convaincu nos souverains de lancer 4 flottes à l’aventure.

Depuis toutes les fortunes d’Espagne sont utilisées pour la conquête, pour la colonisation, pour l’édification de nouvelles villes, etc… Et surtout pour porter la foi catholique au extrémité connue et toujours repoussée du Monde.[/align]
Aedan
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Message par Aedan »

***** Chronique du royaume d'Angleterre 1495 - 1514 *****

Le nouveau monde. La fondation de la Nouvelle-Angleterre

En ce printemps 1495, des nouvelles nous parviennent d'Espagne. Les marins Espagnols aurait découvert une nouvelle voie vers les Indes. Sa Majesté Henry VII convoqua son conseil: l'Angleterre ne devait t'elle pas également trouver pour son compte une nouvelle voie commerciale vers les Indes.

Un jeune Lord du nom de Cabot proposa alors son projet: armer des navires et partir en expédition droit vers l'Ouest. Le roi séduit donna son accord et finança l'expédition.

La prépation prendra plus de 18 mois. Sir Aedan s'embarqua tout d'abord pour Copenhague. Il s'agissait de renouer de bonnes relations avec le Danemark malgré une précédente guerre malheureuse que l'Angleterre n'avait pas souhaité. Pour 300.000 ducats de subside, le Danemark devenait le plus fervent dévoué de l'Angleterre.

Le roi Danois ouvrit alors aux géographes de la couronne l'accé à l'amirauté Danoise. De précieuses cartes des régions maritimes les plus septentrionales de l'Atlantique furent offertes à l'Angleterre.

Ainsi le Danemark disposait de comptoir sur la cote du "Groënland" et d'un précieux port en Islande. Ce port serait vital pour mener à bien l'expédition et le DAnemark ouvrit l'accé à ce port au royaume d'Angleterre.

L'amiral Cabot etait fin pret pour le départ au début de l'année 1497. Apres avoir quitté Londres en Janvier, il faisait escale en Islande fin mars. Puis enfin en Aout 1497, il accostait un nouveau rivage qu'il prit possession au non de sa majesté Henry VII et fut baptisé "Nouvelle-Angleterre"

Les navires avait souffert et l'amiral Cabot du retourner en Islande pour se ravitailler avant de reprendre ses explorations 3 mois plus tard. Debut 1498, il entrait en contact avec une tribu "indigène" appelée "Lenapes". Les relations furent trés amicales et aprés quelques cadeaux et autres vérroterie, les Lenapes offrirent l'accé à une sorte d'embarcadère et acceptait de ravitailler la flotte de l'amiral Cabot. Dorénavent Cabot ne perdrait plus son temps à revenir en Islande et redoubla son activité d'exploration.

En deux ans il découvrit pour l'Angleterre toute la cote comprise entre la "Caroline" et la cote du Labrador découverte 5 siècle plus tot par les Danois.

Le général Norfolk s'embarqua d'Angleterre pour debarquer chez nos amis Lenapes avec 15.000 h dont la moitier de cavalerie. En quelques mois il pacifia toute les zones découvertes. On parle de milliers de victimes indigènes mais le compte fut difficile.

Début 1499, l'amiral Cabot mourait de maladie. Grace à une trés bonne préparation initiale, son expédition avait été un succé immense. En seulement 3 ans il avait découvert non seulement plusieurs milliers de cotes mais également des millions d'hectare de terre.

La colonisation de la nouvelle Angleterre pouvait commencer afin de rendre tangible et définitive la proprieté et la présence Anglaise sur ces terres.

Une dizaine de colonie furent fondée en une dizaine d'année et presque autant de comptoir destinée au commerce de la Morue et de la fourure. Enfin en 1510 fut fondée la 1ere ville de Nouvelle Angleterre, au fond de la baie de Cheasepeak qui fut baptisée "Philadelphie" Un bailli y fut nommé et déjà l'activité de cette ville rapporte à la couronne de substanciels revenus.

Ainsi des 1510, des forces du général Norfolk pouvait parcourir par voie de terre toute la Nouvelle Angleterre, du nord de la Caroline jusqu'a la Toundra arctique


En 1508, le jeune Frere de l'amiral Cabot monta une nouvelle expédition. Qu'elle ne fut pas sa stupéfaction de découvrir une implantation Espagnole dans le sud des Carolines. Le roi d'Espagne n'avait t'il donc pas su que l'Angleterre etait fortement implantée dans cette zone? Le monde à évangéliser n'était t'il pas assez vaste que les Espagnols viennent ainsi aux frontière sud de la Nouvelle-Angleterre.

Une protestation officielle fut donc transmise à Madrid et il fut répondu que l'Angleterre pouvait si elle le voulais s'installer en zone Espagnole à sa guise. Que cela ne tienne, l'Amiral Cabot reçu imméditament l'ordre de mettre le cap vers le Sud et la zone Caraïbe. L'Angleterre ne voulait pas s'immicer sans cette zone mais si on la provoquait et l'y inviter..qu'a cela ne tienne.

L'amiral Cabot découvrit une vaste île que les Espagnols appelaient "Cuba". Immédiatement Norfolk et ses hommes débarquèrent et pacifièrent l'île. Des colonies Anglaises y furent implantée.

Cette fois-ci ce fut l'Angleterre qui reçu une missive Espagnole reconnaissant la présence et la propriété de Cuba à l'Angleterre et demandant une mise au point de zone d'influence.

Nous etions enchanté de la proposition de l'Espagne, royaume amis depuis si longtemps. Il etait vraiment inutile de se lancer dans ces courses à la découverte inutile car cela ne pouvait qu'entrainer des imbrications de colonies complexes et sourcent de frictions futures. L'Affaire de Caroline etait terminé et l'Amiral Cabot reçu l'ordre de rentrer en Nouvelle Angleterre. L'exploration de la zone Caraïbe était terminée.
Scarabee
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Message par Scarabee »

[align=center]Déclaration du royaume unifié d'Espagne[/align]

[align=justify]Nous comprenons maintenant mieux pourquoi les Anglais ont refusé un accord sur la colonisation et pourquoi les Suédois ont rejettés sans ménagement nos demandes répétées de mariage royal.

Depuis peu certaines nations catholiques ont renoncées au pouvoir supreme du Pape. Ces peuples traitres à l'Eglise se nomment eux même « protestant ». L'autorité de l'Eglise est incontestable et n'a besoin d'aucune réforme. Nous avons déjà envoyé une délégation à Rome pour demander au Pape d'excommunier les rois et leurs peuples qui trahissent l'Eglise catholique.

Aprés la gangrène luthérienne du début du siécle, nos « amis » anglais ont plongé dans anglicanisme. Depuis peu, on parle d'un certain francais, Jean Calvin, qui essaye de propoger cette hérésie. Nous ésperons que la fille ainée de l'eglise sera se montrer très ferme face à ceux qui se surnomment déjà les « huguenots ». Nos bonnes relations en dépendent.

Pour l'heure, Carlos I, roi d'Espagne, demande aux traitres de revenir à la vrai foi et d'aller demander le pardon du Pape. Si cela n'est pas fait immédiatement, l'Espagne rompra toutes les relations avec ces nations, que ce soit diplomatique ou commerciale. Nous engagons toutes les autres grandes nations catholiques à faire de meme, notament la France et l'Autriche.[/align]
loda
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Message par loda »

SUEDE 1514 - 1539 : La fracture.


1514 - 1521 : La fin de la Régence.


Les 2 régents décèdent en quelques années dans l'indifférence générale tant ces derniers étaient absent des décisions de l'état suèdois. Toutes les décisions étaient prises par Erik Vasa qui gouvernait de fait le pays.

En 1520, à la mort du dernier régent, de graves troubles sèment l'effroi à Stockholm. Si Erik Vasa gouverne le pays et a l'appui de la population, il n'a pas la moindre légitimité, du moins pour notre voisin danois. Le roi Christian II essaye à nouveau de reprendre la main en Suède et fomente un coup d'état à Stockholm avec l'appui de notables danois restés en Suède : lors de ce qu'on appelle le "bain de sang de Stockholm", 82 notables suèdois sont assassinés par les comploteurs dont Erik Vasa et les principaux batiments d'état occupés par les insurgés.
Gustav Vasa, son père Erik agonisant dans ses bras, jure de le venger et, avec un groupe de jeunes rescapés du massacre, part à la chasse aux putschistes. Gustav connait bien les arcanes du pouvoir pour l'avoir cotoyé avec son père et les putschistes sont rapidement isolés, enfermés au palais, et privés de toute sortie par les suèdois légitimistes. Leur réddition viendra quelques semaines plus tard, une fois leurs vivres épuisées : ils seront rapidement jugés par un tribunal révolutionnaire et tous executés sans exception. Leurs têtes seront expédiées au roi Christian II pour lui rappeller de se meller de ce qui le regarde.


Au début, de l'année 1521, Gustav Vasa prend officiellement le pouvoir en Suède et devient ainsi le premier roi suèdois depuis 130 ans.



1521 - 1539 : début de règne pour Gustav dominé par la question religieuse.



Depuis quelques années, la révolte couve en Suède à propos des "marchands d'indulgences" qui parcourent les régions suèdoises. Ces marchands délivrent des certificats à la population, qui s'acquitte d'une certaine somme correspondant à son statut social, et amassent ainsi des sommes colossales en quelques semaines. Quand le peuple sut plus tard que cet argent devait quitter la Suède et partir pour l'Italie et servir à construire une basilique gigantesque à Rome, beaucoup de ces "marchands" furent rattrapés et l'argent récupéré. Malheureusement ces cas furent bien isolés et la majorité des sommes partit pour l'Italie...


Aussi quand des textes réformateurs d'un certains Luther arrivèrent en Suède, ils eurent tout de suite un écho favorable dans l'ensemble du pays. On rapportait aussi beaucoup de choses sur la moralité plus que douteuse du pape et il se disait que les nonnes dans son entourage ne l'étaient plus vraiment...
Gustav Vasa essaya de négocier avec le pape des réformes qui devaient passer en douceur et permettre au peuple de reprendre confiance dans une institution qui avait perdu beaucoup de son aura. Malheureusement, le pape et sa clique étaient aussi butés que dépravés et ils ne cédèrent sur rien, tout juste s'il admirent que certains marchands d'indulgence avaient "un peu exagéré".


En 1530, G Vasa franchit le Rubicon et déclara le protestantisme religion officielle du pays. La Suède fut ainsi le premier pays à officialiser le protestantisme comme religion d'état. L'espagne proteste mais sans plus et l'Angleterre nous "comprends", Henry VIII ayant quelques déboires avec ce buté de pape.

Le diplomate qui vint apporter l'acte d'excommunication au roi fut renvoyé rapidement chez lui. Espérons pour lui qu'il ait une constitution solide, la baltique en Février n'est pas des plus chaude.

De fait Henry VIII ne met que 3 ans et demi à se décider à passer au protestantisme. C'est un coup rude pour le catholicisme : autant le protestantisme en Suède pouvait passer pour un cas isolé, autant avec l'Angleterre, l'impact fut dur pour la papauté.

La Suède accueille avec joie l'angleterre dans la vrai foi et espère que les quelques troubles qui sont survenus seront rapidement éliminés.



L'espagne, qui se veut garante du catholicisme pur et dur (surtout dur!) dans le monde, peut toujours rêver : jamais nous n'irons à Rome et encore moins pour implorer pardon.
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Aedan
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Message par Aedan »

Réponse au roi d'Espagne.


Sa majesté Henry VIII ne souhaitait pas la rupture avec Rome. Nous rapellerons que sa majesté fort logiquement ne souhaitais que se debarasser de sa derniere femme qui n'etait pas du tout bonne au lit , ce qu'un grand monarque comme sa majesté ne pouvait souffrir plus longtemps.

Sa majesté est actuellement en attente d'une réponse du Pape concernant sa demande de divorce. Cependant force est de constater ces dernières années le manque d'aptitude de l'Eglise à engager les réformes nécéssaire pour purger ses corruptions internes.

En attendant sa majesté continuera à garder la haute main sur l'investiture des eveques en Angleterre. Nous ne sommes pas fermés au dialogue et nous attendrons de Rome des signes de bonnes volontés.

Nous regrettons la violente condamnation Espagnole de la Suède. Le Roi Gustav Wasa semble avoir eu de légitimes raison d'avoir prit ses distances avec la papauté. L'Angleterre ne peut que soupçonner l'Espagne de vouloir saisir ce pretexte pour assoir davantage sa suprématie financière et commerciale en europe.

Si l'Espagne etait si dévote à l'Eglise, pourquoi ne tente t'elle pas de reprendre les lieux saint de palestine sous occupation Ottomane plutot que de s'occuper de querelles sur les investitures dans le royaume Scandinave Suédois ou en Angleterre?


Sir Aedan
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Message par Elvis »

PARIS VAUT BIEN UNE MESSE

Henri IV accède au Trône :
La France est enfin dirigée par un suzerain fort et doué d’une réelle vision d’une France forte et indépendante sur la scène internationale.
Ainsi, nos colonies furent fortement renforcées aux Amériques, en rattachant à notre royaume les plaines centrales de ce nouveau continent, ainsi que le rachat de possessions brandebourgeoises en Afrique Occidentale, région que nous proclamons sous zone unique d’influence française.
Concernant, le conflit entre la très respectueuse Espagne et une coalition d’Etats Protestants d’Europe du Nord, nous avouons avec grande peine, avoir peu suivi les raisons de ce conflit, dans lequel la France n’a pas pris part. Nous soutenons, et continuerons à soutenir, le très catholique royaume d’Espagne avec lequel nous avons tissé de forts liens d’amitiés.
La France rappelle, également, que si elle défendra la paroles de la sainte Eglise de Rome au sein de ses frontières, elle ne s’engagera dans aucun conflit sous prétexte de Croisades, cela à l'image pragmatique de notre bon suzerain Henri IV. Cependant, notre amitié restera fidèle aux nobles royaumes qui continueront à, humblement, soutenir le Saint Père, unique et véritable, représentant de Dieu sur Terre….
Afin de clamer les esprits, nous vous faisons parvenir la recette d'un mets des plus délicats, très apprécié par le Roi de France :


Poule au pot farcie Henri IV
Ingrédients (pour 6 personnes)
1 ) Mettre à tremper 150 g de mie de pain en miette avec 10 cl de lait.

2 ) Hacher le foie, le coeur, le gésier de la poule. Hacher 300 g de jambon cru. Ajouter la mie de pain sans excédents de lait. Ajouter 6 gousses d'ail hachées, 3 oeufs entiers, 1/4 de botte de persil plat, une pincée de noix de muscade, 3 cl d'Armagnac, sel de guérande et poivre du moulin. Bien mélanger à la spatule.

3 ) Saler et poivrer l'intérieur de la poule (3 kg) et garnir d'une partie de la farce. Coudre soigneusement et brider. Réserver au froid quelques heures.

4 ) Posez la poule dans une grande marmite avec le cou et les ailerons de la poule. Couvrir d'eau froide, porter à ébullition et écumer. Ajouter un bouquet garni, du gros sel de guérande et quelques grains de poivre blanc.

5 ) Après 40 mn de cuisson, ajouter 250 g d'oignons, cloutés de 4 clous de girofle. Ajouter 500 g de carottes, 500 g de navets, 250 g de panets (navets jaunes), 2 coeurs de céleri branche, 1 kg de poireau en botte. Laisser cuire 30 minutes environ à petit bouillon.

6 ) Blanchir fortement un chou vert. Reconstituer 8 mini-choux, avec un peu de farce à coeur. Teminer la cuisson avec un peu de bouillon gras.

7 ) Cuire 1 kg de pommes de terre à l'anglaise dans un peu de bouillon.

8 ) Servir la poule avec tous les légumes autour de moutarde à l'ancienne, cornichons et gros sel. La bouillon de poule est servi en première entrée avec des vermicelles.
The King Rocks Da Place !!

"-À mon avis, dans la guerre, il y a une chose attractive : c'est le défilé de la victoire. L'emmerdant, c'est tout ce qui se passe avant. Il faudrait toucher sa prime d'engagement et défiler tout de suite. Avant que ça se gâte…"
(Michel Audiard, Un Taxi pour Tobrouk)
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Message par Scarabee »

Déclaration de l'empire Espagnole

L'Espagne reconnait le soutien Autrichien et Francais. Mais elle ne peut que constater -comme le dit explicitement le roi de France- que les autres nations catholiques restent chez eux, sans prendre garde à l'extension dramatique du protestantisme.

L'Espagne pouvait s'opposer aux Suedois et Brandebourgeois, mais l'arrivée des anglais dans leurs alliances a coulé nos espoirs comme nos navires. Les riches terres mexicaines sont entre leurs mains et maintenant les protestants sont plus influants que les catholiques. Regardez la puissance de l'angleterre, sa richesse vaut la notre. Nous la trouvons dans tous les centres de commerce du monde, de l'amerique à l'asie.

Que doit faire l'Espagne ? Restez seule face à toutes les menaces qui pesent sur le Monde catholique ? Ou s'occuper seulement de son commerce et de son developpement, en ne s'occupant en rien des affaires du Monde ? Jerusalem est libre mais ceci ne nous rapporte rien.

Nous allons reflechir à notre destinée, et peut etre que nous agirons comme le reste de la communauté, c'est à dire vivre tranquillement sur nos terres, sans conflit.
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Message par vince »

Déclaration du tzar de toutes les russies

A propos du nouveau monde, que nous ne connaissons guère, il se dit qu'un conflit y a opposé les armées espagnoles aux forces suèdo-brandebourgeoises.
Soit.
Mais il se dit également qu'une puissante armada anglaise est venue prêter main forte, aux forces protestantes.

Résultat, les suédo-brandebourgeois ont prid pied sur le nouveau continent. Ce dernier se dessine de manière assez hétéroclite. Le tzar s'en félicite car il ne souhaite pas que celui-ci soit trusté par les seuls royaumes d'Angleterre et d'Espagne.

Cepedant, même si le résultat lui convient, le tzar ne peut s'empêcher de condamner la décision anglaise de prendre part à un conflit qui lui était étranger. Cet interventionisme qui a indubitablement fait pencher la balance, était déplacé. Que va-t-on répondre à Londres, pour jusitifer cet acte ? Va-t-on nous (re)faire le coup du général qui agit de sa propre initiative, sans l'assentiment de son suzerain ?

Sans préjuger de sa bonne foi, nous espérons que Londres aura des explications convaincantes à fournir, faute de quoi, la russie ne pourra qu'aprouver toutes éventuelles représailles de la part des pays catholiques.
Depuis 40 ans, le modèle économique de la France consiste à acheter de la paix sociale en distribuant de l’argent emprunté sur les marchés financiers.
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Message par Aedan »

Nous pouvons répondre aux questionnements Russe sans le moindre embaras.

Il y a bien longtemps, alors que nous echangions des discutions avec l'Espagne alors notre amie, il nous fut répondu que l'Espagne se disinteressait du Mexique. Soit nous en prîmes note.

Plus tard nous avions proposé à la France notre aide pour qu'elle évangélise à son compte le Mexique. Paris nous répondit que cela ne l'interessait pas.

Nous avons finalement proposé l'évangélisation du Mexique à La Suède et Au Danemak qui eux ne se sont pas fait prié. L'angleterre s'est alors engagé à leurs apporter toute l'aide necessaire notamment en leurs cédant gratuitement Cuba. Comme aucune nation Catholique dont l'Espagne ne voulait du Mexique...cela semblait ne pas poser de problème.

Cependant l'Espagne préferait visisblement que les Maya restent dans leurs cultes inhumains sacrificiel plutot que de devenir Chrétien même de tendance protestante. Sans aucun CB, l'Espagne attaqua sauvagement les protestants qui sans flottes étaient sans defense dans ces terres loingtaines.

L'Angleterre avait donnée sa parole d'aider les protestants à évangéliser le Mexique, nous ne nous atendions pas à une attaque Espagnole qui jusque la se desinteressait du Mexique. Conformement à notre engagement, nous sommes intervenu de la manière la plus limitée possible. Notre Flotte a neutralisé la flotte Espagnole dans les Caraibes. Aucun soldat Anglais ne fut engagé nul part et aucun subside anglais ne fut versé aux protestants.


Dans cette histoire, l'Espagne à TOUT les tords. Elle pouvait évalgéliser le Mexique, elle ne l'a pas fait. Elle a attaqué sans CB les protestants sans défense outre-mer dans le seul but de faire capoter l'expédition Mexicaine.

Enfin l'Angleterre est intervenue aupres de la Suède et du Brandebourg pour que malgré la défaite Espagnole devenue évidente, le camps Protestant ne réclame aucun gain et conclu une paix blanche de type "paix des braves " avec l'Espagne.


L'Angleterre n'a pas eu à rougir de son attitude et se montra généreuse envers ses amis, sans appetis pour elle même et magnanime dans la victoire contre une Espagne isolée et devenue sans defense.

Nous esperons que le Tsar sera convaincu de notre bonne foi.


Sir Aedan
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