Effectivement, c'est un jeu qui pardonne peu l'erreur lourde.
Automne 1941
WE US 23/40. Le WE soviet est passé à 45, mais je n'ai pas compris, je ne suis pas passé au niveau x3 pour la production. Sans doute au prochain tour.
L'adversaire commence par une campagne de bombardements, il sait que la Luftwaffe est un outil apte à épuiser, à la longue, l'effort de guerre russe.
Les centres de ressources (rappel, ce qui alimente les usines en matières premières) sont "out of order" à Grozny.
les capacités ferroviaires de Gorki sont anéanties :
La Royal Navy cette fois subit des dommages dans la mer de Barents, ravitailler les Russes a un prix :
Par contre à Smolensk la DCA rouge obtient un hit :
L'ennemi n'engage par contre aucune bataille terrestre. Le dispositif défensif soviétique semble lui poser problème, selon son dernier mail :
Jon Pyle : I'm getting nowhere fast
Néanmoins ce tour la recherche allemande franchit un cap, ça va être dur... Et les sous-marins japonais vont être invincibles, de nôtre côté, faute de besoin, nos destroyer ont des grenades sous-marines en carton...
Le saligaud a toutefois apporté des renforts, surtout sur la Mer noire. Il me contraint à abandonner Rostov S/ Don, non sans avoir reculé puis reconstruit l'usine au Kazakhstan (j'ai horreur de ces noms soviétiques où on sait jamais où caser le h ?)
Qu'il chope Rostov, la province n'a plus aucun intérêt économique, par contre nous ne pouvons plus reculer le long de la Mer noire : derrière c'est Grozny, un gros centre de ressources qu'il serait problématique de perdre. Sans parler du pétrole de Bakou, juste derrière Grozny.
La situation du front, au terme du tour :
Notre armée principale, à Smolensk, devenue le verrou de Moscou :
L'URSS produit peu en automne 1941, puisqu'il n'y a pas eu de de dommages terrestres ce tour. Aussi commençons-nous à miser sur des productions plus longues, chars et chasseurs. Ces productions pourront être interrompues au profit de productions plus courtes, infanterie et artillerie, en cas d'urgence :
L'espionnage fonctionne encore mais chez nos Alliés, l'Allemagne a du relever son contre-espionnage... La défense de nos Sturmoviks gagne un niveau :
Côté Alliés, les bombardements sont une réussite.
Les bombardiers lourds frappent les usines en France, 3 pas de perte, pour un bombardier touché par la flak. Ensuite nos bombardiers tactiques détruisent 50% des voies ferrées en France occidentale.
Nos chasseurs en Norvège endommagent le BF109 au Danemark pour un Hurricane endommagé aussi. Cela libère la route de la Baltique et nos CVs coulent un cargo allemand en mer baltique (c'est maigre toutefois).
Enfin des troupes sont concentrées en Angleterre, pour, pourquoi pas, un débarquement au printemps 42 :
L'autre réussite c'est la fourniture de pas loin de 50 supplies (10 points de prod !) via le grand nord et la Perse ! L'OOB générale montre 77 supplies en URSS, c'est comme si les Alliés avaient livré les pâtisseries avec le corned-beef :
Des pâtisseries, Camarade ?
