Bon, la bleusaille...
Quelques conseils:
- Commencez avec un pays "facile" (car sans trop de micromanagement au début, bon potentiel économique, plutôt calme...): Belgique, Brésil, Etats-Unis (plus coton), Prusse (déjà plus ardu pour un bleu).
- Ne laissez rien faire à l'IA.
- Sur le marché mondial, n'achetez que ce dont vous avez besoin pour faire tourner vos usines ou convertir les pops. Ne vous occupez pas de la bouffe ou de ce genre de choses, votre population se débrouille toute seule.
- Victoria demande de l'endurance.

Pas la peine de se presser, une usine à la fois! Essayez de favoriser autant que possible (donc si besoin en fermant temporairement les usines pré-existantes) les usines rentables en début de partie (tissus, verre...). Les techs économiques et industrielles sont des priorités.
- Vous jouez sur révolutions, donc molo avec les impôts pour les riches si vous avez des capitalistes et que votre gouvernement est interventionniste ou laissez-faire. Les capis' s'occuperont au bout d'un certain temps d'industrialiser tout seul le pays, comme des grands.
Si vous n'avez pas de capitalistes, en convertir une petite pop est une priorité. Attention, un capitaliste ne produira d'usines que dans sa région (regroupement de provinces). Par contre, ils construisent des rails à échelle nationale.
- Toutes les pops ont leur utilité. On y reviendra.
- Si vous devez sacrifier un budget, celui des dépenses militaires est le premier (en deuxième, l'entretien -c'est toujours chiant de renflouer des unités). Education et criminalité doivent rester le plus haut possible. Le premier pour des raisons évidentes, le deuxième parce qu'un pays où la sécurité n'est pas assez financée a vite de bien désagréables événements.
Bref: en début de partie, voilà ce qu'il faut faire:
Chercher à équilibrer le budget en jouant avec les tirettes, régler ses achats et dépenses sur le marché mondial, lancer la recherche. Après, pendant les premiers mois, vous pouvez regarder de quoi est fait votre pays (pops, partis, régime politique...) et attendre, le cas échéant, que les capitalistes se réveillent.
Et surtout, posez des questions, c'est comme ça qu'on avance à ce jeu.