L'armée russe à l'Est de Kiev se replie comme prévue. La poursuite est engagée entrainant son lot de perte des deux côtés, mais l'état des russes est déplorable contrairement à celui-ci des autrichiens. Plus au Sud, le statu quo est de rigueur malgré une tentative insensée du Russe de repasser le fleuve sans aucune supériorité numérique.
En Grèce, les premiers combats s'engagent et permettent de couper Péloponnèse d'Athènes. A noter l'arrivée de renforts anglais dans la capitale grecque. L'arrivée d'un QG ne laisse aucun doute, ils tiendront la ville jusqu'au bout.
L'Etat-Major ottoman, persuader de la qualité de leur position malgré la défaite du mois précédent, décide de conserver leur position. Ca ne rate pas et l'attaque alliée est un nouveau un carton. Notre armée retraverse le Nil en ayant perdu la quasi totalité de son artillerie et une quantité irremplaçable d'hommes ...
Heureusement, l'engagement allié en Grèce devrait distraire les ressources d'Alexandrie.
En parlant de la Grèce, l'Autriche envoie un télégramme prioritaire à Constantinople. Les troupes autrichiennes ont repérés les transports de troupes alliés en pleine mer Egée et sans escorte ! La flotte ottomane quitte le port de Constantinople immédiatement et fonce vers la cible.
5 cargos, soit le tiers des transports présents sont coulés. Le bilan aurait pu être meilleur mais la flotte préfère rejoindre un port et ne pas se risquer à une confrontation navale avec les cuirassés ennemis.
En Roumanie, le siège de Bucarest continue ...