Le Quartier Général

EUIII: In Nomine, mod Renaissance et Maréchal Joukov vous présentent, en couleurs: l'équipée Teutonique. La journée était froide mais claire en ce 14 octobre de l'an de grâce 1399, et l'homme qui arpentait frénétiquement les longs couloirs du château-fort de Königsberg avait toutes les raisons de croire en l'avenir.
Il se nommait Konrad von Jungingen et menait les destinées de l'ordre teutonique. Fermement implanté dans sa région, l'héritier des chevaliers croisés Teutoniques et Porte-Glaive... Courait alors des confins occidentaux de la menaçante Pologne-Lithuanie, aux portes du glacé Novgorod en passant par la fraîchement conquise Samogitie.
Arrachée l'an passé aux demi-paiens Litunaniens elle était alors en pleine christianisation, les révoltes sévèrement réprimées.
Ainsi étaient les choses alors que Konrad décida dans un éclair de rare passion de faire de son état une puissance avec laquelle il faudrait compter.

Quels changements apporte ce mod renaissance?

Bonne chance

La première image ne s'affiche pas par contre
Dommage qu'il n'y ait pas de province Marienburg d'ailleurs

Renaissance:
http://www.strategium-alliance.com/Rena ... 768.0.html
Von aasen: elle s'affiche pourtant chez moi!

Seigneur... Il faut vraiment que les rédacteurs se relisent!

Ca pique les yeux !

Emp_Palpatine a écrit :Seigneur... Il faut vraiment que les rédacteurs se relisent!

Je ne te le fais pas dire . Strategium is Strategium ...

Konrad avait toujours souffert d'une réputation de brute illuminée, qui plus est peu raffinée.
N'ayant rien fait pour la démentir... La surprise fut grande hors de ses états quand l'on apprit qu'il dépensait une part importante du trésor de l'ordre pour attirer à Marienburg plusieurs des meilleurs esprits éclairés du temps. Dans un même temps, malgré son peu d'attrait pour les méandres complexes de la diplomatie, le grand-maître compris qu'un état isolé comme le sien ne pourrait tenir seul face aux furieux appétits Polonais. Fut-il béni par Dieu il restait relié au monde des hommes.
Il mit donc un point d'honneur à se faire bien voir de ses proches voisins, susceptibles eux aussi de craindre Varsovie.

On envoya donc des émissaires en grande pompe à Stettin. Tous en livrées majestueuses et accompagnés d'une garde de chevaliers triés sur le volet. Leurs lourdes armures étincelaient d'un éclat mortel au soleil hivernal et leur port était fier: ils firent forte impression sur le duc de Poméranie...
Ainsi après seulement quelques jours de pourparlers constructifs, le traité de Stettin fut signé: il unissait les deux états dans une alliance que chaque partie espérait constructive. Apprenant rapidement la nouvelle Konrad exulta, sachant que l'affaire ne pouvait qu'être de bon augure pour son prestige à l'étranger. Un puissant Te Deum fit trembler les murs des églises de l'ordre pour sceller l'évènement.

Quelque temps après, alors que le grand maître inspectait la Basse-Livonie, un cavalier se présenta à son camp. L'homme était porteur d'une nouvelle étonnante: la Bavière lui proposait son alliance!
Konrad, revenu de sa sa surprise, ne pris même pas le temps de réfléchir. Il dit simplement au messager de revenir à Marienburg présenter un, courtois, refus à l'envoyé des Wittelsbach. Munich était bien trop éloignée des intérêts baltes... En effet le danger immédiat venait du voisin Polonais. Or celui-ci était mieux armé que ne pouvaient l'être les chevaliers : les espions teutoniques faisaient grand cas du nombre et de la discipline des troupes polonaises. Il allait donc falloir réagir, et vite.

Intéressante l'image de love and fun.com

Sinon, comment fais-tu pour supporter le français haché des jeux de paradox?

von Aasen a écrit :Intéressante l'image de love and fun.com

Sinon, comment fais-tu pour supporter le français haché des jeux de paradox?

J'avais même pas fait attention . C'est très peace and love non ?
Et pour le français c'est que je suis sur une vieille version du mod (j'ai encore des parties à finir avant de passer aux plus récentes), les textes n'y sont pas encore bien traduits. Dans les dernières c'est beaucoup mieux.
Et en règle générale: JE SUIS REFRACTAIRE A L'ANGLAIS!

En ces temps reculés l'armée de l'ordre ne comptait que quatre malheureuses unités regroupées en Prusse orientale sous le commandement d'Ulrich Von Jungingen, valeureux frère du Grand maître.
Trois groupements de piétaille diverse allant de l'archer au piquier formaient la première partie de cette force. La deuxième partie, elle, faisait la fierté et la gloire des Teutoniques. Elle consistait en une puissante troupe de chevaliers de l'ordre aux armures et boucliers frappés de la sainte croix.
Menés par leurs bannerets, armés de pied en cap, et chevauchant d'énormes montures, ils faisaient la terreur des ennemis de Marienbourg: dispensant la mort dans des charges irrésistibles. Hélas les chevaliers-moines ne pouvant se marier, leur recrutement n'en était pas facilité (-20%). C'est là qu'intervenaient les valeureux ambassadeurs et agents de l'ordre à l'étranger, attirant les futurs chevaliers de la foi sur les rives de la Baltique. Excusez le ton mystique , c'est pour faire plus "vrai".

Il était aussi un autre domaine où Konrad entendait bien donner de la voix: le lucratif commerce.
Or, sans aucun doute un don du ciel, les états dont il avait la charge étaient veinés de profondes forêts dont le bois, et la poix qu'on en tirait, se vendaient très bien en Europe. Quant à la la froide Baltique, elle rejettait généreusement sur ses côtes brumeuses celui qu'on appellait "l'or du Nord", l'ambre.
C'est pourquoi les marchands, soutenus par l'Ordre, commencèrent à élargir leurs champs d'actions en s'implantant dans les centres de commerce hanséatiques tout proches (Centre de commerce de Lübeck en termes de jeu).
L'année 1400 venait alors de débuter, dans les frimas d'un hiver persistant.

Alors que sa tournée d'inspection prenait fin et que Konrad s'apprêtait à faire volte-face vers la Prusse-Orientale, on eut vent d'une agitation en provenance des états de Novgorod.
Des éclaireurs furent envoyés en toute hâte aux nouvelles: et voilà qu'ils annoncèrent au grand-maître qu'une ambassade moscovite voulait le rencontrer!
Bien que surpris il ne put qu'accepter de recevoir ceux qui avaient fait un long chemin en ce but. Novgorod accepta avec bienveillance que l'entretien puisse se faire sur ses terres, pour préserver la neutralité des débats.
Mais si Konrad avait été surpris par la venue des Moscovites, il fut abasourdi par le Grand-Prince de Moscou qui lui fit sans circonvolutions diplomatiques une proposition d'alliance! S'allier avec des schismatiques? Jamais! Grondait son entourage, en termes bien plus durs qui ne pourront être retranscrits ici.
Konrad les fit taire de sa puissante voix de stentor et demanda le temps de la réflexion: Le moscovite opinant du chef, il se retira à sa tente.
Deux heures plus tard sa décision était prise: le traité serait signé. Cela souleva une bordée de cris et de jurons non dissimulés dans son camp (il faut dire que les boyards n'avaient pas non plus étés tendres avec l'idée de leur grand-prince).
Le grand-maître estimait pourtant qu'une alliance, qu'on pourrait toujours dénoncer par quelque prétexte fallacieux par la suite... Serait bénéfique pour l'avenir: désormais l'est de la Lithuanie serait sous le regard vigilant des farouches Moscovites. L'étau promettait de se reserrer.

Ses arrières assurées Konrad ne perdit pas de temps. A peine rentré dans ses Etats, il fit lever près d'une dizaine de nouveaux régiments à grand coup d'or pour grossir ses maigres forces. Bientôt il n'y eut plus personne d'oisif dans les campagnes ou dans les tavernes frontalières!

Oulà ! Attend un peu que de nouveaux paysans et ecuyer viennent grossir les rangs de tes forteresse pour abattre l'hydre car la Pologne et ses fameux cavaliers ne sont pas des enfants de choeur !

Leaz a écrit :Oulà ! Attend un peu que de nouveaux paysans et ecuyer viennent grossir les rangs de tes forteresse pour abattre l'hydre car la Pologne et ses fameux cavaliers ne sont pas des enfants de choeur !

Eh oui, te souviens-tu, prince, de cette formidable bataille dans la steppe ukrainienne, où moults Tartares furent surpris par nos cavaliers qui avaient couché leurs chevaux dans les champs de blés pour mieux les surprendre? Ah, que nos longues lances furent trempées de sang ce soir-là, pareille victoire cherche son égale!

Leaz a écrit :Oulà ! Attend un peu que de nouveaux paysans et ecuyer viennent grossir les rangs de tes forteresse pour abattre l'hydre car la Pologne et ses fameux cavaliers ne sont pas des enfants de choeur !

Rassure toi je ne suis pas fou . (D'ailleurs ma partie est plus avancée que l'AAR)

Mais tout ardent qu'il était, Konrad allait devoir remettre ses projets d'invasion au placard pour le moment: il ne se savait tout simplement pas de taille contre la coalition que la Pologne était en droit d'ameuter contre lui. Alors, pour délier les muscles de ses hommes il les envoya, non pas sur la route de Varsovie... Mais "gambader" en Samogitie, où une jacquerie ourdie par les fourbes Lithuaniens venait d'éclater.
Toujours sous le commandement d'Ulrich il étrillèrent les bandes armées, non sans de lourdes pertes: Vilnius les avait équipées et assuré leur commandement. De plus les nouvelles recrues de l'ordre n'avaient encore aucune bataille derrière eux pour la plupart.
Toutefois quand le chef Lithuanien, un certain Mazvydas, fut capturé et dûment empalé les choses se calmèrent.

Finalement ce ne fut pas en Pologne, mais à l'Est que la situation dégénéra en premier: quand les Moscovites interceptèrent des déserteurs de Tver qui avaient pillés plusieurs de leurs villages frontaliers.
Le Grand-Prince Vassili Ier jugea que c'était là un bon prétexte pour s'arrondir aux dépents de ses petits voisins: il lança un ultimatum inacceptable aux représentants de Tver. En clair: la guerre! Promptement averti de la tournure que prenaient les évènements, Konrad décida de respecter son improbable alliance avec Moscou. Le Grand-Maître dépêcha à cet effet 5000 hommes, qui transiteraient par la république de Novgorod, sur les lieux. Ils assiègeraient Tver même, car Rjev était déjà attaquée par les Moscovites. Qui sait? L'ordre tirerait peut-être quelconque avantage de ce conflit? Même dans le pire des cas, l'expérience serait toujours bonne à prendre pour les affrontements futurs.
En attendant les hommes partaient en chantant, le coeur léger: tout bénis qu'ils étaient par Konrad.

C'est après avoir traversé au pas de charge le froid Novgorod que les hommes de Konrad se déversèrent sur les arrières même des Tveriens.
L'armée du Prince se préparait alors à marcher vers le sud, pour faire lever le siège de Rjev. Or voilà qu'il fut assailli dans son dos par plusieurs milliers de diables prêts à en découdre!
Pourtant pris entre le marteau et l'enclume, et alors même qu'il était repoussé, il trouva l'impudence de faire une humiliante proposition de paix aux teutoniques. Loin de les décourager, elle eût l'effet inverse et bientôt le Prince se replia dans les murs de sa capitale où il s'enferma, comme un rat dans son trou. Edit: j'aurais dû prendre "historique" pour les dirigeants par contre . Konrad meurt en 1407 et dans ma partie je l'ai toujours en 1425 .

Pas terribles les icônes du mod Renaissance, les uniformes fin XVIIIe pour représenter toute la période 1399-1821, bof bof

je me disais la meme chose !

von Aasen a écrit :Pas terribles les icônes du mod Renaissance, les uniformes fin XVIIIe pour représenter toute la période 1399-1821, bof bof

Ben . J'espère que mon texte rattrape, un peu, l'affaire alors.

Konrad étant resté sur ses terres, où la guerre n'était guère plus qu'un écho assourdi et lointain, il pouvait se consacrer corps et âme à d'autres problèmes. Car problèmes il y avait: voilà qu'un beau matin une délégation de marchands de l'ordre fit irruption dans Marienbourg. Ils se répandirent dans les couloirs aux cris exécédés de: "Justice! Justice!"
Résistant à l'envie d'offrir un aller simple pour les geôles à cette masse voriférante, Konrad décida d'écouter leurs griefs. Et ils étaient nombreux! On se plaignait, outre des taxes qui se doublaient par chevauchement , des nombreuses douanes intérieures et surtout des monopoles de l'état contrôlés par quelques puissants...

Or le Grand-Maître, qui savait l'importance des revenus que lui fournissaient les marchands, se rendit compte de ses erreurs passées. Mais cette fois il ne se laissa pas guider par ses fielleux conseillers qui l'adujraient "d'écraser ses insectes". Balayant d'un revers de la main les gémissements de ces larves mercantiles, qui avaient beaucoup d'intérêts dans l'affaire, il accéda en bloc aux suppliques des marchands. On se s'y attendait pas...
L'enthousiasme fut donc général, et on se souvint longtemps par la suite de la hauteur qu'atteignirent les chapeaux lancés vers le ciel, en signe de félicité!

Salauds de capitalistes ultra-libéraux!
Organise un G-20 pour empecher l'attribution de bonus aux marchands.

GA_Thrawn a écrit :Salauds de capitalistes ultra-libéraux!
Organise un G-20 pour empecher l'attribution de bonus aux marchands.

Ben quoi on ne peux plus vendre nos icônes bénies par la sueur des pieds du grand-maître ?
D'ailleurs en parlant de lui, il n'est toujours pas mort en 1440 . Si ca continue j'en fait un immortel-par-la-volonté-divine
Je sens que ma prochaine partie se fera sans mod !

S'il pensait avoir vu juste en favorisant ses marchands, Konrad ne put se défaire d'un amer goût hantant sa bouche quand l'évènement suivant arriva: un représentant de la Hanse vint lui faire une proposition.
Jusque là replié dans l'ombre d'une colonnade l'homme avait excité l'ardeur de ses collègues par quelques mots biens sentis. Et à présent que les choses avaient pris un tour autrement plus favorable, il était venu faire ce pour quoi il avait été envoyé: faire rentrer l'ordre dans la ligue Hanséatique!

S'il avait le sentiment d'avoir été manipulé, le grand-maître n'en fit pas montre: il savait qu'il ne pouvait revenir en arrière sous peine de graves troubles.
Feignant donc d'étudier avec soin la proposition du représentant hanséate il avait en fait secrétèment pris sa décision: l'ordre allait se joindre à la grande aventure. Il n'en pourrait retirer que du bien.
Nous étions alors le 4 juillet de l'an de grâce 1401 lorsque l'accord fut trouvé.

Si tu a modifié les options de leader (historique, event) il se peut que tu ait des dirigeant immortels car le jeu n'en a pas prévus d'autres pour ton pays.. Mieux vaut jouer en "normale" a EU ca évite ce genre de désagrément.

J'ai mis "event" pour voir en effet!
Pourtant c'est idiot... Même sur wikipedia il ya la liste de tout les grands-maîtres de l'ordre jusqu'à aujourd'hui!!!

Isolé et à bout de forces, l'infortuné prince de Tver avait tout de même résisté plus de 250 jours au siège patient des teutoniques.
Car galvanisés par la fureur du noir désespoir, ses hommes avaient repoussé assaut sur assaut, excités qu'ils étaient par les exhorations des popes de la ville, processionnant en longues files sombres sur les murailles.
L'armée de siège avait alors tout simplement cessé ces inutiles assauts frontaux et commencé à affamer en règle la place, qui n'avait rien prévu pour faire face à cela.
C'est ainsi que 250 interminables jours plus tard les portes s'ouvrirent sur le dernier carré de fidèles du Prince encore capables de soulever leurs lourdes armes. Exterminée proprement fut leur sortie.
On s'apprêta alors à rentrer dans la ville, quand des cavaliers en provenance du sud répandirent dans le camp la nouvelle de la chute de Rjev. S'en remettant à la clémence des vainqueurs le prince de Tver accepta de faire la paix. Et rudes furent les conditions! Bien que n'ayant rien obtenu d'autre que l'estime des Moscovites , Konrad se savait satisfait: l'armée qu'il avait reforgé avait passé avec succès le terrible test de la guerre.

La paix revenue dans les rudes steppes russes, les vaillants soldats de l'ordre teutonique s'attachèrent aux préparatifs du départ.
Bientôt les troupes furent rassemblées en de longues colonnes disciplinées, suivies par le ravitaillement et les chariots de butin pris dans les campagnes ravagées de Tver.
Mais à peine avaient-ils fait quelques lieues qu'une nouvelle les frappa, telle un coup de tonnerre: Moscou, continuant sur sa lancée, était entrée en guerre contre les principautés de Ryazan et Smolensk.
Vassili n'avait même pas cru bon de trouver un prétexte!
Il allait donc falloir faire contre mauvaise fortune bon coeur, ressortir les lourdes épées du fourreau et bander à nouveaux les arcs.

par contre cette fois ci y a moyen de moyenner un ch'ti bout d'terrain m'est avis vindiou !

Urial a écrit :par contre cette fois ci y a moyen de moyenner un ch'ti bout d'terrain m'est avis vindiou !

C'est ce que je comptais faire mais...

La guerre se portait bien: Smolensk était sous les tirs des catapultes de l'ordre, alors même que Briansk était déjà tombée entre ses mains, telle un fruit mûr. Le Grand-Maître demanda alors la pleine possession de ces terres, comme condition à la fin des hostilités.
Hélas! Encore tout bouffi d'orgueil était le prince de Smolensk: les messagers revenant sans leur langue, on comprit l'intensité de son refus. Qu'à cela ne tienne! On poursuivrait le siège de son misérabe hameau! Lorsqu'il serait le dos à son trône miteux, entouré par de nombreux et braves soldats de l'ordre il reviendrait à la raison!
C'est là que Moscou déçut profondément le grand-maître, qui avait pourtant cru en Vassili... La paix fut en effet, quelques jours à peine après cette altercation, conclue à leur profit: sans que l'ordre n'en soit informé ni ne reçoive la moindre compensation. Il saurait s'en souvenir.
Konrad arpentant furieusement les couloirs de Marienbourg, hors de lui, s'aperçut à peine que les adversaires de l'alliance avec le schismatique redressaient sournoisement la tête à ces nouvelles.

J'ai un problème. Ayant choisit "évènement" pour les dirigeants, pour voir ce que cela faisait, j'ai la mauvaise surprise de constater qu'aucun ne meurt!
Alors si ce n'est pas trop gênant pour l'AAR (je peux toujours les faire mourir à leur vraie date), ça l'est plus pour la partie car les unions personelles sont bloquées depuis le début. De plus je viens de me faire excommunier et traîner ça jusqu'en 1820 ne me tente pas trop...
Qu'est-ce que je fais en ces conditions??

Il n'y a qu'une seule solution dans ce cas là.. vraiment dommage cette option event, si encore il y avait éffectivement des event pour changer de monarque, mais non on peut jouer 300 ans avec le même !

Alors vos avis.... Je continue (la partie est bien avancée et le territoire bien aggrandi) et je trouve des facilités d'écriture pour balayer ces fâcheux problèmes?
Ou j'arrête et recommence une partie, sans mods ni events et avec un autre pays?

C'est normal sous EU3: le jeu n'est pas fait pour les monarques et chefs historiques. Si tu les choisis, tu garderas le même pour un pays qui a survécu plus longtemps qu'historiquement.

Euh l'ordre teutonique en tant qu'état a disparu en 1454 (je n'y suis pas) et même sans cela on a la liste des grands-maîtres jusqu'à aujourd'hui.. Et que dire de la France qui se traîne un Charles VI depuis le début de la partie?
Bref... Je continue ou pas?

En tout cas je crois que je vais attendre la nouvelle mouture d'EU2

Bah c'est comme tu le sens : un monarque ne fait pas tout.

Maintenant, je ne sais plus si ce choix te bloque également sur les généraux, les conseillers etc. Si c'est le cas, condamné à ne plus avoir de ces précieux adjuvants, arrêtes de suite.

C'est vraiment dommage parce qu'il suffirait que le jeu prévoit un mode randomisé pour les pays disparus et conserve les dirigeants historiques pour les autres. Un mode mixte en quelque sorte.

Non les généraux et conseillers se renouvellent... Je continue alors. et je suis d'accord pour ton idée de mixité....
Peut-être avec la pochaine extension?
La suite ce soir.
Konrad mourra donc dans l'AAR en 1407... Après n'ayant pas les stats des autres maîtres je les inventerais suivant ma partie, ne m'en veuillez pas.

Certains traîtres n'avaient pas perdu leur temps! Alors que les armées teutoniques étaient empêtrées dans les inutiles conflits russes, la Samogitie se rebella une nouvelle et terrible fois. Toujours aguillonée par le démon Lithuanien tout proche, ses villages s'illuminèrent des feux maléfiques de la révolte.
Heureusement cette misérable contestation de l'autorité teutonique fut bien vite étouffée dans l'oeuf. C'est alors que "Nos braves Lithuaniens", comme les appellaient Konrad, en eurent assez. Ne désirant que vivre en paix ils décidèrent de couper les ponts avec leurs frères de Vilnius.

Rien ne dure en ce bas-monde: en ce début de l'an de grâce 1407 Konrad fut pris d'une méchante fluxion de poitrine, qui dégénéra rapidement.
C'est donc un homme très affaibli, mais non sans majesté, qui signa un traité d'alliance avec l'ambassadeur du roi de Hongrie, désireux de s'allier avec les ennemis des Lithuaniens. Ce fut son dernier acte officiel et il rendit l'âme peu après, dans la plus grande dignité et sans plaine aucune. Il laissait un état renforcé et prêt à aller de l'avant. Son frère Ulrich lui succéda, emportant avec lui les derniers mots de Konrad: "Va! Tout est prêt pour notre triomphe".

Pff non la partie était complètement bloqué... Excommunié, avec aucun souvenrain au monde ne mourrant...
Non j'arrête et je recommence un autre AAR de ce pas, avec tout en normal.
Voilà quand même où j'en étais arrivé. Et encore désolé... Bientôt la relève. Avec qui je ne sais pas encore...

Ah c'est con il commencait a avoir une bonne gueulle ton empire Prussiens !

Oui...
Tant pis, les Mamelouks prennent la relève.

pas grave " Herr Hochmeister "

j'adore ce titre on devrait le décerner à Von !

griffon a écrit :pas grave " Herr Hochmeister "

j'adore ce titre on devrait le décerner à Von !

Ca sonne bien en effet.
Qu'en dit l'intéressé ?

Merci bien, mais je préfère garder le titre d'un miteux margrave du Brandebourg. Me passer Grand-Maître me paraitrait un peu ... prétentieux

Pis vous avez vu la tête des armes que j'aurai?

je trouve ca classe moi

La classe américaine quoi