Posté : dim. oct. 08, 2006 1:05 pm
Page 5 sur 13
Posté : dim. oct. 08, 2006 5:03 pm
L'Agression Fachiste :
Une Traitrise Infâme !...
-
21 Juillet 1942
Une Traitrise Infâme !...
-
21 Juillet 1942
Ces gens qui, hier encore, nous proposaient de les rejoindre dans leur croisade ignoble d'asservissement des peuples, nous ont aujourd'hui lâchement attaqué!
Les troupes du Front Nord ont avancé sans rencontrer la moindre résistance. Kaliningrad, Elbing, Varsovie, Lublin et Zamosc ont été libérés sans combat. Torun fut prise avec un peu plus de mal, car nos troupes, dans leur hâte arrivaient en ordre dispersé.
Iasi, en Roumanie, fut prise puis perdue à la suite de nombreuses contre-attaques des fascistes et de leurs pions bulgares et roumains. Par la suite, nous n'avons pu maintenir notre contrôle du saillant de Stryj.
Le Sin-Kiang, petit pays misérable et imperméable à l'idéologie communiste, a rejoint les asiates dans leur agression.
Ура Товарищу Сантину! Ура Красной Армии!
Vive le camarade Sentine! Vive l'Armée Rouge!
Posté : mar. oct. 17, 2006 7:12 pm
pg[/img]
une semaine de guerre dans le monde vu
par nos correspondants de Pathe News
il est facile d'imaginer l'"implication" et la "motivation'
des Hongrois chargés de mourrir pour la défense des cotes
de la Manche et de la mer du Nord !
apres avoir dépassé tous ses objectifs la campagne d'été
des Russes se termine , les troupes couvertes du laurier
de la victoire par le camarade Sentine en personne
(qui a convoqué le commandant à Moscou )
se retirent sur leurs position d'automne préparées à l'avance !
gageons qu'ils seront de retour au Printemps !
le mauvais état des aérodromes d'Afrique du Nord est
la cause principale du mauvais taux de disponibilité de notre aviation
basée sur place !
cette situation ne peut que s'améliorer et le bombardement systematique
de l'infrastucture péninsulaire viens de commencer !
en Australie l'esprit est a la reconquete des territoires perdus !
première phase : "couper le ravitaillement des japs "
constatons la précarité de la tete de pont Jap en Nouvelle Guinée !
une semaine de guerre dans le monde vu
par nos correspondants de Pathe News
il est facile d'imaginer l'"implication" et la "motivation'
des Hongrois chargés de mourrir pour la défense des cotes
de la Manche et de la mer du Nord !
apres avoir dépassé tous ses objectifs la campagne d'été
des Russes se termine , les troupes couvertes du laurier
de la victoire par le camarade Sentine en personne
(qui a convoqué le commandant à Moscou )
se retirent sur leurs position d'automne préparées à l'avance !
gageons qu'ils seront de retour au Printemps !
le mauvais état des aérodromes d'Afrique du Nord est
la cause principale du mauvais taux de disponibilité de notre aviation
basée sur place !
cette situation ne peut que s'améliorer et le bombardement systematique
de l'infrastucture péninsulaire viens de commencer !
en Australie l'esprit est a la reconquete des territoires perdus !
première phase : "couper le ravitaillement des japs "
constatons la précarité de la tete de pont Jap en Nouvelle Guinée !
Posté : mer. oct. 18, 2006 7:42 pm
21 AOUT – 07 SEPTEMBRE 1942
Rapport du Cpt Shyoda, pilote à la 2ème escadrille de bombardiers tactiques, Karachi.
Depuis plusieurs jours nos escadrilles menaient des opérations de harcèlement contre les troupes soviéto-américaines massées sur la frontière perse. Les bombardements s’effectuaient avec une inlassable régularité, pour presque engendrer au final de la monotonie, lorsque la voix du Lt Tamagushi raisonna dans les écouteurs de chaque appareils : colonnes blindées à 2h ! Effectivement, des chars, visiblement américains, se déplaçaient l’un derrière l’autre, soulevant une épaisse poussière. Les tanks étaient suffisamment isolés pour en faire des proies faciles. Les lunettes sont abaissées sur les yeux, des ordres sont donnés : à l’attaque ! Plusieurs passes réduisent les chars en carcasses fumantes. Plusieurs centaines dégagent une épaisse fumée noire, sur toute la plaine environnante. D’après les chasseurs chinois qui nous escortaient, il semblerait que 2 divisions blindés US de chars moyens M4 aient été ainsi détruites.
Rapport du Colonel Fujimori, chef de la 5ème escadrille de bombardiers navals.
Notre mission de surveillance des océans n’avait jusqu’ici rien donné : les eaux sont vides. Aucun navire à l’horizon. Dans ces conditions, maintenir une discipline implacable parmi nos jeunes pilotes devenait difficile, les missions confiées leur paraissant inutiles et les privant de belles victoires sur d’autres terrains de chasse. Pourtant notre patience allait finalement payer : une escadre aéronavale anglaise est repérée, au large de Java, en route vers l’Australie. Nos avions sont peu nombreux, nous avons tellement de zones maritimes à couvrir ! Mais nous passons à l’attaque tout de même. Les 3 derniers porte-avions britanniques sont là. Nous nous apercevons que 2 d’entre eux sont d’un modèle datant des années 20, tout juste bons à lancer quelques biplans. Nous allons pilonner la flotte anglaise avant qu’elle ne disparaisse hors de portée : le porte-avions le plus « moderne » de la flotte, si l’on peut dire, est sévèrement touché, bien que flottant encore…
Rapport du Cpt Shyoda, pilote à la 2ème escadrille de bombardiers tactiques, Karachi
Dans la salle des repos réservée aux pilotes, les sonneries d’alarme raisonnent tout à coup ! Nous courrons vers la salle de brieffing : les américains tentent un débarquement sur les arrières de l’armée chinoise qui fait face aux troupes soviétiques. S’ils réussissent, ils peuvent provoquer un encerclement de 50 divisions, le front pourrait s’écrouler. Nos avions prennent l’air rapidement et attaquent la flotte américaine. Sans doute effrayés par les attaques aériennes japonaises (les américains ont déjà perdu des millions de tonnes de navires), les longs-nez vont rapidement abandonner leur opération combinée pour fuir à l’abri de nos escadrilles. Opération avortée, 1 TP coulé, 1 cuirassé réduit à l’état d ‘épave : nos pilotes se sont une nouvelle fois couverts de gloire aux dépends des marins et GI de l’oncle Sam…
La sphère de coprospérité japonaise - 07 septembre 1942
Rapport du Cpt Shyoda, pilote à la 2ème escadrille de bombardiers tactiques, Karachi.
Depuis plusieurs jours nos escadrilles menaient des opérations de harcèlement contre les troupes soviéto-américaines massées sur la frontière perse. Les bombardements s’effectuaient avec une inlassable régularité, pour presque engendrer au final de la monotonie, lorsque la voix du Lt Tamagushi raisonna dans les écouteurs de chaque appareils : colonnes blindées à 2h ! Effectivement, des chars, visiblement américains, se déplaçaient l’un derrière l’autre, soulevant une épaisse poussière. Les tanks étaient suffisamment isolés pour en faire des proies faciles. Les lunettes sont abaissées sur les yeux, des ordres sont donnés : à l’attaque ! Plusieurs passes réduisent les chars en carcasses fumantes. Plusieurs centaines dégagent une épaisse fumée noire, sur toute la plaine environnante. D’après les chasseurs chinois qui nous escortaient, il semblerait que 2 divisions blindés US de chars moyens M4 aient été ainsi détruites.
Rapport du Colonel Fujimori, chef de la 5ème escadrille de bombardiers navals.
Notre mission de surveillance des océans n’avait jusqu’ici rien donné : les eaux sont vides. Aucun navire à l’horizon. Dans ces conditions, maintenir une discipline implacable parmi nos jeunes pilotes devenait difficile, les missions confiées leur paraissant inutiles et les privant de belles victoires sur d’autres terrains de chasse. Pourtant notre patience allait finalement payer : une escadre aéronavale anglaise est repérée, au large de Java, en route vers l’Australie. Nos avions sont peu nombreux, nous avons tellement de zones maritimes à couvrir ! Mais nous passons à l’attaque tout de même. Les 3 derniers porte-avions britanniques sont là. Nous nous apercevons que 2 d’entre eux sont d’un modèle datant des années 20, tout juste bons à lancer quelques biplans. Nous allons pilonner la flotte anglaise avant qu’elle ne disparaisse hors de portée : le porte-avions le plus « moderne » de la flotte, si l’on peut dire, est sévèrement touché, bien que flottant encore…
Rapport du Cpt Shyoda, pilote à la 2ème escadrille de bombardiers tactiques, Karachi
Dans la salle des repos réservée aux pilotes, les sonneries d’alarme raisonnent tout à coup ! Nous courrons vers la salle de brieffing : les américains tentent un débarquement sur les arrières de l’armée chinoise qui fait face aux troupes soviétiques. S’ils réussissent, ils peuvent provoquer un encerclement de 50 divisions, le front pourrait s’écrouler. Nos avions prennent l’air rapidement et attaquent la flotte américaine. Sans doute effrayés par les attaques aériennes japonaises (les américains ont déjà perdu des millions de tonnes de navires), les longs-nez vont rapidement abandonner leur opération combinée pour fuir à l’abri de nos escadrilles. Opération avortée, 1 TP coulé, 1 cuirassé réduit à l’état d ‘épave : nos pilotes se sont une nouvelle fois couverts de gloire aux dépends des marins et GI de l’oncle Sam…
La sphère de coprospérité japonaise - 07 septembre 1942
Posté : mar. oct. 24, 2006 4:08 pm
07 SEPTEMBRE – 08 OCTOBRE 1942
Posté : mar. oct. 31, 2006 12:16 pm
Aout - Septembre 1942 :
De l'Espoir à la Retraite!
De l'Espoir à la Retraite!
Les premières heures de guerres furent calmes, les colonnes de l'Armée Rouge avançaient sans rencontrer d'opposition jusqu'aux positions repérées le long de fleuves. En secret, la Stavka ayant piètre opinion de ses propres troupes, ne prévoyait pas d'offensives locales. Puis, un matin, l'enfer est tombé sur nos hommes...
Des bombardiers, couvrant le ciel, aux cocardes italiennes et allemandes. Des cris de joie se firent entendre à l'apparition des Yak étoilés de rouge, pour se briser et laisser place au terrible silence : presque tous les avions soviétiques se firent abattre dès le premier contact... cette flotte qui avait tant coûté en recherche, en mise au point de tactiques par équipe, tout cela fut littéralement balayé en une poignée de minutes.
Apres de furieux combats dans la région de Lvov, un calme tout relatif intervient dans le centre et le sud du front.
Mais l'offensive combinée des italiens et allemands, entraînât la désorganisation d'une partie de l'armée et de la logistique, un flottement intervient, et les troupes quittèrent leurs positions dans le nord, vers Wilno.
La Stavka, pourtant prévenue, fut stupéfaite du peu de combativité et d'efficacité des troupes. En cette fin août, la retraite fut sonnée, pour gagner du temps, raccourcir les lignes de communications et provoquer un sursaut national.
Les troupes embarquèrent dans la plus grande confusion parfois dans les trains ... ainsi plusieurs trains furent égarés et aiguillés sur Moscou, ou furent déroutées 19 divisions.
Pourtant, plus qu'une retraite en bon ordre, ce fut une course que livra l'armée rouge : les pointes motorisées de l'ennemies menaçant de capturer en avant de nos troupes les positions d'arrivées. Apres un mois de septembre et un début octobre éprouvant, l'hiver russe commence peu à peu a s'installer, bloquant une offensive majeure des allemands à l'est de Kiev, un front se stabilise peu a peu dans le Sud, mais au nord, les combats se poursuivent toujours.
Posté : mar. nov. 21, 2006 2:40 pm
08 OCTOBRE – 08 NOVEMBRE 1942
Posté : mar. nov. 28, 2006 5:16 pm
08 NOVEMBRE – 04 DECEMBRE 1942
Posté : mar. nov. 28, 2006 9:38 pm
Posté : mar. déc. 05, 2006 10:11 pm
04 DECEMBRE – 10 DECEMBRE 1942
10 décembre au soir. L'aide de camp du Maréchal Boudi-San, Généralissime des Forces Armées Japonaises, apporte les dernières nouvelles de la guerre à son supérieur.
- Vous m'apportez déjà votre synthèse, Toshiro, s'étonne le Maître suprême des troupes japonaises. J'étais habitué à des notes mensuelles.
- Oui votre Excellence, des évènements techniques nous ont empêché de jou... de lutter plus longtemps, et par ailleurs, ces 10 jours ont été très intenses.
- Intenses ? Racontez-moi ça, Toshiro !
- Les Anglais ont tenté de débarquer à Ceylan, Excellence. Leur tentative était audacieuse, pour ne pas dire... désespérée. Ils ont tenté une opération combinée, toujours délicate, dans une province montagneuse, propice à la défense. 2 divisions défendaient l'île contre 3 divisions de marine anglaises et 2 divisions d'infanterie australiennes. L'ennemi a été massacré sur les plages, et nos avions torpilleurs sont intervenus sur zone. Les 5 navires transporteurs ennemis, sans escorte, ont été coulés rapidement. Privés de tous replis possibles, les anglais et les australiens ont déposé les armes.
- Bien très bien ! Vous féliciterez nos hommes, ainsi que les chinois ! Et ensuite ?
- L'escadre de Lord Cunningham, Excellence. Elle a été repérée dans l'océan indien. Une puissante escadre : 3 porte-avions, des cuirassés : une belle force de frappe. Cunningham s'en est pris à Nagumo, qui a du fuir pour sauver ses navires. Il a perdu toutefois un croiseur lourd, le Tone. Nos avions torpilleurs sont intervenus, puis sont repartis pour s'occuper de la flotte d'invasion ennemie à Ceylan, et enfin sont revenus bombarder la flotte de combat anglaise. Nous avons coulé 2 porte-avions et 4 croiseurs légers. Cette flotte est à l'instant où je vous parle toujours sous notre feu.
- Très bon tout ça, très très bon, Toshiro !!! Vous en avez terminé ?
- Non Excellence. 2 de nos navires transporteurs sont actuellement attaqués par la flotte aéronavale U.S., Excellence. Au large de l'Australie et de la Nelle-Zélande. Nous pouvons considérer d'ores et déjà ces navires coulés.
- Hum... Vous en avez terminé ?
- Je me permets de signaler à votre Excellence que la Nelle-Guinée est en passe d'être totalement conquise.
- Très bien Toshiro ! Un peu de thé ???
ETAT DU MONDE AU 10 DECEMBRE 1942
L'Europe sous la botte totalitaire, le front russe enfoncé :
L'Afrique, continent exclusivement allié :
A la frontière perse, Le front russo/nippo-chinois n'a pas bougé d'un kilomètre...
En Sibérie, les combats sont âpres malgré le froid intense :
Depuis plusieurs semaines, les troupes impériales sont bloquées aux portes de Sydney :
Hawaïi sous la botte japonaise :
L'Europe sous la botte totalitaire, le front russe enfoncé :
L'Afrique, continent exclusivement allié :
A la frontière perse, Le front russo/nippo-chinois n'a pas bougé d'un kilomètre...
En Sibérie, les combats sont âpres malgré le froid intense :
Depuis plusieurs semaines, les troupes impériales sont bloquées aux portes de Sydney :
Hawaïi sous la botte japonaise :
Posté : mar. janv. 09, 2007 5:05 pm
10 DECEMBRE 1942 – 23 JANVIER 1943
Le Maréchal Teraushi passe la St-Sylvestre à Sydney,
Canberra est prise dans la foulée, les matières premières australiennes, si vitales, sont pillées,
Les forces de l'Axe sont aux portes de Moscou, Les Soviétiques sont encerclés en Sibérie,
Mais les Alliés débarquent en Espagne, ouvrent un front à l'ouest : Gibraltar et Madrid sont perdues.
La guerre en Australie.
10 décembre 1942. L'objectif du Maréchal Teraushi, Cdt en Chef des troupes japonaises engagées en Australie est clair : il passera le réveillon de la St-Sylvestre dans le meilleur restaurant de la baie de Sydney. Il ne peut en aller autrement. Cela fait maintenant 3 mois qu'il piaffe d'impatience à l'entrée de la mégalopole australienne. Boudi-San exige des résultats : Sydney doit maintenant tomber ! Il ne reste que 3 semaines à Teraushi pour s'exécuter.
En face, il n'y a pas rien : Aux côtés des Australiens, Patton et les britanniques ont aligné des masses de blindés IV, des troupes d'élite de marine. On ne peut pas affronter ça avec n'importe quoi, au risque d'une déroute qui nous renverrait à Brisbane. C'est donc avec patience que Teraushi rassemble ses troupes, recevant jours après jours de nouveaux renforts. Durant ces longs mois, sydney est pilonnée par notre aviation : troupes au sol, port, aérodorme, tout y passe pour affaiblir les défenses ennemies. Et le 23 décembre, l'avant-veille de Noël, période de relâchement bien connue chez les long-nez, nos armées donnent l'assaut ! Avec l'appui de l'aviation, notre infanterie, nos fusiliers-marins, nos troupes de montagne balayent en quelques heures les lignes qui défendaient la ville : le 26 décembre, la dernière tentative alliée de réorganisation d'un front est un échec : nos hommes marchent sur Sydney, la voie est libre. Le 31 décembre 1942, en baie de Sydney, le Maréchal Teraushi lève le verre avec son état-major, tout en faisant parvenir ses meilleurs voeux au palais Impérial.
La suite des opérations n'ira pas sans quelques contre-attaques ennemies, qui n'auront qu'une conséquence : la mise en pièces de nombreuses unités alliées par nos bombardiers. 2 DI australiennes, ainsi qu'une division mécanisée et 3 divisions de Marines U.S. sont hâchées menues par nos bombes.
Dans la foulée, les pointes japonaises s'emparent de Canberra, la capitale australienne. Les premières unités sont rapidement consolidées : la ville est tenue fermement. Dès lors, le pillage des richesses australiennes commence : Des millions de tonnes de charbon, d'acier, de matériaux précieux prennent la route de Tokyo, ce qui permettra d'alimenter l'industrie de guerre nippone pour de longs mois à venir.
La guerre en Sibérie.
Grâce à un débarquement chinois sur ses arrières, le Front soviétique en Extrême Sibérie est maintenant encerclé. Si l'on en juge par nos informations recueillies durant les combats, les armées russes prises dans la poche ne sont pas approvisionnées : il y a là une quizaine de divisions prêtes à s'écrouler. Encerclés au nord par les chinois, au sud par les Mandchous et les Japonais, les troupes de Staline n'auront d'autre choix que de se rendre : seul le froid extrême et la nature hostile du terrain donnent un répis à nos ennemis.
Front de l'Est.
Sur le front de l'Est, la glorieuse Whermacht, secondée par la vaillante armée italienne, est arrivée aux portes de Moscou, malgré une météo épouvantable. L'Armée rouge est parvenue pour l'instant à sauver sa capitale, luttant avec courage, sous la neige, par des températures polaires, mais la chute du Kremlin est inéluctable. Au sud du front, la Crimée est occupée, Sébastopol est tombée.
Front de l'Ouest.
Cependant, les anglo-américains sont parvenus à débarquer en Espagne, un peu au nord de Gibraltar. C'est un coup sévère porté au dispositif de l'Axe en Europe, puisqu'Allemagne et Italie se trouvent pris à revers. Cruelle déception, Gibraltar, une des clefs de la Méditerrannée, retombe aux mains de l'ennemi. Les troupes Anglaises entrent dans Madrid quelques jours plus tard.
Moyen-orient
Forts de leurs succès sur d'autres fronts, les armées chinoises, sur la foi d'informations faisant état d'un affaiblissement du dispositif défensif ennemi, donnent l'assaut sur la Perse. C'est un succès, les américano-soviétiques reculent ! Il semble toutefois que la percée n'ait pu être complètement exploitée. La jonction des forces de l'Axe, entre Europe et Moyen-Orient, risque encore de demander de longs mois d'efforts.
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Le Maréchal Teraushi passe la St-Sylvestre à Sydney,
Canberra est prise dans la foulée, les matières premières australiennes, si vitales, sont pillées,
Les forces de l'Axe sont aux portes de Moscou, Les Soviétiques sont encerclés en Sibérie,
Mais les Alliés débarquent en Espagne, ouvrent un front à l'ouest : Gibraltar et Madrid sont perdues.
La guerre en Australie.
10 décembre 1942. L'objectif du Maréchal Teraushi, Cdt en Chef des troupes japonaises engagées en Australie est clair : il passera le réveillon de la St-Sylvestre dans le meilleur restaurant de la baie de Sydney. Il ne peut en aller autrement. Cela fait maintenant 3 mois qu'il piaffe d'impatience à l'entrée de la mégalopole australienne. Boudi-San exige des résultats : Sydney doit maintenant tomber ! Il ne reste que 3 semaines à Teraushi pour s'exécuter.
En face, il n'y a pas rien : Aux côtés des Australiens, Patton et les britanniques ont aligné des masses de blindés IV, des troupes d'élite de marine. On ne peut pas affronter ça avec n'importe quoi, au risque d'une déroute qui nous renverrait à Brisbane. C'est donc avec patience que Teraushi rassemble ses troupes, recevant jours après jours de nouveaux renforts. Durant ces longs mois, sydney est pilonnée par notre aviation : troupes au sol, port, aérodorme, tout y passe pour affaiblir les défenses ennemies. Et le 23 décembre, l'avant-veille de Noël, période de relâchement bien connue chez les long-nez, nos armées donnent l'assaut ! Avec l'appui de l'aviation, notre infanterie, nos fusiliers-marins, nos troupes de montagne balayent en quelques heures les lignes qui défendaient la ville : le 26 décembre, la dernière tentative alliée de réorganisation d'un front est un échec : nos hommes marchent sur Sydney, la voie est libre. Le 31 décembre 1942, en baie de Sydney, le Maréchal Teraushi lève le verre avec son état-major, tout en faisant parvenir ses meilleurs voeux au palais Impérial.
La suite des opérations n'ira pas sans quelques contre-attaques ennemies, qui n'auront qu'une conséquence : la mise en pièces de nombreuses unités alliées par nos bombardiers. 2 DI australiennes, ainsi qu'une division mécanisée et 3 divisions de Marines U.S. sont hâchées menues par nos bombes.
Dans la foulée, les pointes japonaises s'emparent de Canberra, la capitale australienne. Les premières unités sont rapidement consolidées : la ville est tenue fermement. Dès lors, le pillage des richesses australiennes commence : Des millions de tonnes de charbon, d'acier, de matériaux précieux prennent la route de Tokyo, ce qui permettra d'alimenter l'industrie de guerre nippone pour de longs mois à venir.
La guerre en Sibérie.
Grâce à un débarquement chinois sur ses arrières, le Front soviétique en Extrême Sibérie est maintenant encerclé. Si l'on en juge par nos informations recueillies durant les combats, les armées russes prises dans la poche ne sont pas approvisionnées : il y a là une quizaine de divisions prêtes à s'écrouler. Encerclés au nord par les chinois, au sud par les Mandchous et les Japonais, les troupes de Staline n'auront d'autre choix que de se rendre : seul le froid extrême et la nature hostile du terrain donnent un répis à nos ennemis.
Front de l'Est.
Sur le front de l'Est, la glorieuse Whermacht, secondée par la vaillante armée italienne, est arrivée aux portes de Moscou, malgré une météo épouvantable. L'Armée rouge est parvenue pour l'instant à sauver sa capitale, luttant avec courage, sous la neige, par des températures polaires, mais la chute du Kremlin est inéluctable. Au sud du front, la Crimée est occupée, Sébastopol est tombée.
Front de l'Ouest.
Cependant, les anglo-américains sont parvenus à débarquer en Espagne, un peu au nord de Gibraltar. C'est un coup sévère porté au dispositif de l'Axe en Europe, puisqu'Allemagne et Italie se trouvent pris à revers. Cruelle déception, Gibraltar, une des clefs de la Méditerrannée, retombe aux mains de l'ennemi. Les troupes Anglaises entrent dans Madrid quelques jours plus tard.
Moyen-orient
Forts de leurs succès sur d'autres fronts, les armées chinoises, sur la foi d'informations faisant état d'un affaiblissement du dispositif défensif ennemi, donnent l'assaut sur la Perse. C'est un succès, les américano-soviétiques reculent ! Il semble toutefois que la percée n'ait pu être complètement exploitée. La jonction des forces de l'Axe, entre Europe et Moyen-Orient, risque encore de demander de longs mois d'efforts.
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Posté : mer. janv. 10, 2007 1:32 pm
10 DECEMBRE 1942 – 23 JANVIER 1943
Posté : mar. févr. 13, 2007 4:18 pm
23 JANVIER – 28 MARS 1943
BOUDI-SAN : AN EMPIRE UNDER THE SUN.
L'Australie, la Nelle-Zélande et le sultanat d'Oman sont annexés,
Les forces japonaises débarquent en Irak,
Les troupes chinoises s'enfoncent en Perse,
Mais nos alliés germano-italiens reculent en URSS et en Espagne.
La guerre en Océanie.
Après la chute de Canberra, nos armées engagent une marche forcée vers Melbourne, tandis qu'une pointe nord fait mouvement en direction d'Adélaïde, par l'intérieur des terres. Cette manoeuvre aurait du permettre l'encerclement du corps expéditionnaire américain en Australie (USEFA : United States Expeditionary Force in Australia). mais l'ennemi n'est pas dupe, et profitant de sa puissance motorisée s'enfuit vers Adelaïde, abandonnant les Australiens à leur sort, en défense sur Melbourne. Ces derniers sont rapidement balayés, Melbourne est occupée. Les Australiens donneront leur reddition quelques jours plus tard : l'armée australienne a vécu. Melbourne tombée, il ne reste plus alors qu'Adelaïde et Perth pour maintenir un semblant de pouvoir australien sur l'île. Mais si Adelaïde ne se situe qu'à quelques jours de marche de nos armée, Perth est à 1500 miles, à la pointe sud-ouest du pays. Celà aurait pu nous poser un sérieux problème si nous n'avions anticipé la chose, en envoyant, depuis Darwin, une division attaquer la ville. Celle-ci a parcouru à pied une distance impressionnante, longeant la côte ouest, depuis de longs mois. Mi février 1943 la ville est en vue, elle n'est défendue que par la dernière garnison australienne.
Un premier assaut aboutit à un échec, nos hommes étant exténués par leur périple. Un second assaut se prépare, dès que nos hommes seront reposés. Mais l'USEFA, encore une fois, n'est pas dupe. Découvrant la menace, et après de violents combats dans la région d'Adelaïde (24/02/43) , Patton fonce de toute la puissance de ses blindés, espérant reculer l'inéluctable en se positionnant sur Perth. C'était sans compter sur notre aviation, qui tout au long de cet interminable voyage, va pilloner les DB américaines dans des missions d'interdiction. Lorsque les blindés US finissent par échapper au rayon d'action de nos bombardiers tactiques, c'est pour mieux entrer dans celui de nos bombardiers navals à long rayon d'action, qui pour l'occasion équipés de bombes à la place des torpilles, prennent le relais des bombardiers tactiques. A l'est, Teraushi continue de presser ses hommes, toujours plus loin vers l'ouest.
Le second assaut a été le bon, la garnison de Perth est dispersée aux 4 vents. Nous sommes le 5 mars. Le 21 mars 1943, la ville sera conquise, permettant ainsi l'annexion de toute l'Australie. Mais l'USEFA entre dans Perth quelques heures avant nous ! La bataille s'engage, les 9 divisions "lourdes" de l'USEFA contre seulement 2 DI japonaises, bien isolées pour le coup. Mais notre aviation a fait son oeuvre : les forces U.S. sont incapables de combattre et de défendre la ville. Perth est à nous ! A 22h00, les dernières autorités australiennes signent l'acte de capitulation : l'Australie est entrée dans la sphère de coprospérité japonaise ! Complètement encerclé, l'USEFA en pleine retraite n'a d'autre choix que de se rendre. 9 divisions lourdes U.S. sont ainsi anéanties. La tête de Patton, échappé par miracle, est aussitôt mise à prix.
Dans les semaines qui suivront, d''aucun diront avoir aperçu un homme blanc, sale et dépenaillé, en slip, caché dans le bush australien. Il semble plus sûr que l'individu ait pu s'échapper sur une coquille de noix, en direction de l'Afrique. Quant aux anglais, disparus subitement du champ de bataille, leurs unités auraient été retrouvées dans les carcasses fumantes de trains australiens, leur fuite éperdue ayant été stoppée nette à l'annonce de la capitulation australienne. La campagne d'Australie vient de s'achever : elle aura duré 8 mois, d'août 1942 à mars 1943. Outre l'anéantissement de l'armée et de la flotte australienne dans son ensemble, les anglo-américains auront perdu en Australie, selon nos estimations, une trentaine de divisions, l'écrasante majorité étant de coûteuses divisions mécanisées ou blindées, ou bien des troupes de marine entrainées.
La chute de l'Australie aura été précédée par la déconfiture néo-zélandaise. L'écrasement du dispositif défensif allié en Australie, fin 42-début 43, a permis un petit allègement de notre propre front , 3 divisions affectées à l'opération "Kiwis au saké". Début février 1943, l'invasion de la Nelle-Zélande commence : les plages d'Auckand, faiblement défendues par une garnison néo-zélandaise, servent de point de départ à notre opération. Surprise : l'île n'est pratiquement pas défendue ! Une autre garnison est rapidement balayée, il ne reste plus aucun défenseur sur l''île. La population de Wellington assiste dans la douleur à notre défilé triomphal le 27 février 1943. Le 1er mars 1943, la Nelle-Zélande est annexée à l'Empire : une promenade de santé.
La guerre au Moyen-Orient.
La situation en Sibérie ayant permis de dégager quelques forces, les puissantes armées chinoises enfoncent le front perse. La progression est cependant lente, le dispositif ennemi étant conséquent, et les contre-attaques sont nombreuses. Cependant, Téhéran serait en vue. Pour la première fois, l'armée de terre nippone est intervenue sur ce front, à l'occasion d'un débarquement dans la péninsule arabique. Après avoir une nouvelle fois pris d'assaut l'île de Diego Garcia (opération Zorro II, 27/01/1943) un petit corps expéditionnaire débarque dans le sultanat d'Oman le 9 février 1943. Le sultan est rapidement déposé, la région est annexée. Ce n'est certes pas un grand progrès stratégique, mais l'intérêt est ailleurs. L'annexion du pays, suivie par celle de l'Australie et de la Nelle-Zélande, permet de faire main basse sur les stocks stratégiques, et donne à l'Empire du Soleil Levant de quoi alimenter son industrie. Le spectre de la pénurie, si présent fin 1942, est désormais loin de nous début 1943.
Ceci étant fait, nos hommes débarquent en Irak, à Bassorah, après avoir remonté le golfe persique sur nos navires. Abandan, en Perse, est conquise dans la foulée, mais la réaction des Américains détachés en Perse conjuguée à celle des Irakiens nous oblige à abandonner rapidement cette zone de conflit.
Front de l'Est.
Alors que Moscou était si proche, les forces de l'Axe ont du renvoyer en France un nombre conséquent de divisions afin de créer une opposition aux Alliés, qui se sont profondément enfoncé en Espagne. En conséquence de quoi, l'armée rouge est parvenue à regagner du terrain, mais italiens et allemands reculent en bon ordre, faisant cher payer à l'Union Soviétique chaque km² regagné.
Front de l'Ouest.
Les armées alliées, toujours plus nombreuses chaque jours, n'ont pu être stoppées en Espagne. Pire, après de violents combats où la "bravitude" des forces de l'Axe s'est illustrée, la frontière française est franchie : l'Aquitaine et le Landegoc-Roussillon sont aux mains de l'ennemi. Mais nous sommes convaincus que la glorieuse Whermacht, épaulée par les fiers Bersaglieri saura mener une guerre retardatrice jusqu'a l'arrivée des secours venus d'Asie.
BOUDI-SAN : AN EMPIRE UNDER THE SUN.
L'Australie, la Nelle-Zélande et le sultanat d'Oman sont annexés,
Les forces japonaises débarquent en Irak,
Les troupes chinoises s'enfoncent en Perse,
Mais nos alliés germano-italiens reculent en URSS et en Espagne.
La guerre en Océanie.
Après la chute de Canberra, nos armées engagent une marche forcée vers Melbourne, tandis qu'une pointe nord fait mouvement en direction d'Adélaïde, par l'intérieur des terres. Cette manoeuvre aurait du permettre l'encerclement du corps expéditionnaire américain en Australie (USEFA : United States Expeditionary Force in Australia). mais l'ennemi n'est pas dupe, et profitant de sa puissance motorisée s'enfuit vers Adelaïde, abandonnant les Australiens à leur sort, en défense sur Melbourne. Ces derniers sont rapidement balayés, Melbourne est occupée. Les Australiens donneront leur reddition quelques jours plus tard : l'armée australienne a vécu. Melbourne tombée, il ne reste plus alors qu'Adelaïde et Perth pour maintenir un semblant de pouvoir australien sur l'île. Mais si Adelaïde ne se situe qu'à quelques jours de marche de nos armée, Perth est à 1500 miles, à la pointe sud-ouest du pays. Celà aurait pu nous poser un sérieux problème si nous n'avions anticipé la chose, en envoyant, depuis Darwin, une division attaquer la ville. Celle-ci a parcouru à pied une distance impressionnante, longeant la côte ouest, depuis de longs mois. Mi février 1943 la ville est en vue, elle n'est défendue que par la dernière garnison australienne.
Un premier assaut aboutit à un échec, nos hommes étant exténués par leur périple. Un second assaut se prépare, dès que nos hommes seront reposés. Mais l'USEFA, encore une fois, n'est pas dupe. Découvrant la menace, et après de violents combats dans la région d'Adelaïde (24/02/43) , Patton fonce de toute la puissance de ses blindés, espérant reculer l'inéluctable en se positionnant sur Perth. C'était sans compter sur notre aviation, qui tout au long de cet interminable voyage, va pilloner les DB américaines dans des missions d'interdiction. Lorsque les blindés US finissent par échapper au rayon d'action de nos bombardiers tactiques, c'est pour mieux entrer dans celui de nos bombardiers navals à long rayon d'action, qui pour l'occasion équipés de bombes à la place des torpilles, prennent le relais des bombardiers tactiques. A l'est, Teraushi continue de presser ses hommes, toujours plus loin vers l'ouest.
Le second assaut a été le bon, la garnison de Perth est dispersée aux 4 vents. Nous sommes le 5 mars. Le 21 mars 1943, la ville sera conquise, permettant ainsi l'annexion de toute l'Australie. Mais l'USEFA entre dans Perth quelques heures avant nous ! La bataille s'engage, les 9 divisions "lourdes" de l'USEFA contre seulement 2 DI japonaises, bien isolées pour le coup. Mais notre aviation a fait son oeuvre : les forces U.S. sont incapables de combattre et de défendre la ville. Perth est à nous ! A 22h00, les dernières autorités australiennes signent l'acte de capitulation : l'Australie est entrée dans la sphère de coprospérité japonaise ! Complètement encerclé, l'USEFA en pleine retraite n'a d'autre choix que de se rendre. 9 divisions lourdes U.S. sont ainsi anéanties. La tête de Patton, échappé par miracle, est aussitôt mise à prix.
Dans les semaines qui suivront, d''aucun diront avoir aperçu un homme blanc, sale et dépenaillé, en slip, caché dans le bush australien. Il semble plus sûr que l'individu ait pu s'échapper sur une coquille de noix, en direction de l'Afrique. Quant aux anglais, disparus subitement du champ de bataille, leurs unités auraient été retrouvées dans les carcasses fumantes de trains australiens, leur fuite éperdue ayant été stoppée nette à l'annonce de la capitulation australienne. La campagne d'Australie vient de s'achever : elle aura duré 8 mois, d'août 1942 à mars 1943. Outre l'anéantissement de l'armée et de la flotte australienne dans son ensemble, les anglo-américains auront perdu en Australie, selon nos estimations, une trentaine de divisions, l'écrasante majorité étant de coûteuses divisions mécanisées ou blindées, ou bien des troupes de marine entrainées.
La chute de l'Australie aura été précédée par la déconfiture néo-zélandaise. L'écrasement du dispositif défensif allié en Australie, fin 42-début 43, a permis un petit allègement de notre propre front , 3 divisions affectées à l'opération "Kiwis au saké". Début février 1943, l'invasion de la Nelle-Zélande commence : les plages d'Auckand, faiblement défendues par une garnison néo-zélandaise, servent de point de départ à notre opération. Surprise : l'île n'est pratiquement pas défendue ! Une autre garnison est rapidement balayée, il ne reste plus aucun défenseur sur l''île. La population de Wellington assiste dans la douleur à notre défilé triomphal le 27 février 1943. Le 1er mars 1943, la Nelle-Zélande est annexée à l'Empire : une promenade de santé.
La guerre au Moyen-Orient.
La situation en Sibérie ayant permis de dégager quelques forces, les puissantes armées chinoises enfoncent le front perse. La progression est cependant lente, le dispositif ennemi étant conséquent, et les contre-attaques sont nombreuses. Cependant, Téhéran serait en vue. Pour la première fois, l'armée de terre nippone est intervenue sur ce front, à l'occasion d'un débarquement dans la péninsule arabique. Après avoir une nouvelle fois pris d'assaut l'île de Diego Garcia (opération Zorro II, 27/01/1943) un petit corps expéditionnaire débarque dans le sultanat d'Oman le 9 février 1943. Le sultan est rapidement déposé, la région est annexée. Ce n'est certes pas un grand progrès stratégique, mais l'intérêt est ailleurs. L'annexion du pays, suivie par celle de l'Australie et de la Nelle-Zélande, permet de faire main basse sur les stocks stratégiques, et donne à l'Empire du Soleil Levant de quoi alimenter son industrie. Le spectre de la pénurie, si présent fin 1942, est désormais loin de nous début 1943.
Ceci étant fait, nos hommes débarquent en Irak, à Bassorah, après avoir remonté le golfe persique sur nos navires. Abandan, en Perse, est conquise dans la foulée, mais la réaction des Américains détachés en Perse conjuguée à celle des Irakiens nous oblige à abandonner rapidement cette zone de conflit.
Front de l'Est.
Alors que Moscou était si proche, les forces de l'Axe ont du renvoyer en France un nombre conséquent de divisions afin de créer une opposition aux Alliés, qui se sont profondément enfoncé en Espagne. En conséquence de quoi, l'armée rouge est parvenue à regagner du terrain, mais italiens et allemands reculent en bon ordre, faisant cher payer à l'Union Soviétique chaque km² regagné.
Front de l'Ouest.
Les armées alliées, toujours plus nombreuses chaque jours, n'ont pu être stoppées en Espagne. Pire, après de violents combats où la "bravitude" des forces de l'Axe s'est illustrée, la frontière française est franchie : l'Aquitaine et le Landegoc-Roussillon sont aux mains de l'ennemi. Mais nous sommes convaincus que la glorieuse Whermacht, épaulée par les fiers Bersaglieri saura mener une guerre retardatrice jusqu'a l'arrivée des secours venus d'Asie.
Posté : mer. févr. 14, 2007 9:41 am
L'EUROPE, 28 MARS 1943 :
Posté : sam. févr. 17, 2007 7:56 pm
L'OFFENSIVE D'HIVER CHINOISE
L'opération Gueule d'Amour
Au cours de l'hiver 42/43, l'Armée Nationale Chinoise (ANC) a mené une vaste offensive en Extrème Orient.
Cette opération a opposé pendant 6 semaines un total de 41 divisions Chinoises, Japonaises et Mandchoues à 38 divisions soviétiques.
L'objectif de Gueule d'Amour était de détruire les forces soviétiques positionnées au Sud de la province de Tynda, soit l'élimination de l'aile gauche ennemie. A cet effet, une offensive terrestre, menée par les forces d'élites de l'ANC devait assurer la possession de la ville de Tynda et de ses aérodromes. Solidement établies dans la vallée, ces forces devaient tendre la main aux 6 divisions de la réserve générale, spécialement détachée à cet effet, qui par un audacieux coup de main amphibie devaient débarquer à Chumikan.
Une fois la jonction effectuée, l'ANC devait anéantir les forces soviétiques aventurées en Mandchourie, coupées de leurs communications et empêcher les soviétiques de monter une opération de dégagement.
Malgré le froid, malgré la neige, le blizzard et la résistance ennemie qui fut parfois héroïque, l'ANC informe le Monde que Gueule d'Amour a été un succès éclatant qui a entrainé la conquête de 9 provinces et la destruction d'au moins 18 divisions soviétiques.
L'ANC a, une nouvelle fois, démontré sa supériorité sur l'Armée Rouge.
Mal nourris, battus par les commissaires politiques, le soldat soviétique n'est qu'un pauvre hère, mené à l'abattoir par ses chefs.
Pas plus que sur l'Amour ou sur Baïkal, il ne pourra résister au formidable élan de l'ANC qui, tel un gigantesque raz de marée, déferle sur l'Asie.
L'offensive de printemps verra la défaite définitive des soviétiques en Asie
Sun Marius Tsen
Généralissime de l'ANC
L'opération Gueule d'Amour
Au cours de l'hiver 42/43, l'Armée Nationale Chinoise (ANC) a mené une vaste offensive en Extrème Orient.
Cette opération a opposé pendant 6 semaines un total de 41 divisions Chinoises, Japonaises et Mandchoues à 38 divisions soviétiques.
L'objectif de Gueule d'Amour était de détruire les forces soviétiques positionnées au Sud de la province de Tynda, soit l'élimination de l'aile gauche ennemie. A cet effet, une offensive terrestre, menée par les forces d'élites de l'ANC devait assurer la possession de la ville de Tynda et de ses aérodromes. Solidement établies dans la vallée, ces forces devaient tendre la main aux 6 divisions de la réserve générale, spécialement détachée à cet effet, qui par un audacieux coup de main amphibie devaient débarquer à Chumikan.
Une fois la jonction effectuée, l'ANC devait anéantir les forces soviétiques aventurées en Mandchourie, coupées de leurs communications et empêcher les soviétiques de monter une opération de dégagement.
Malgré le froid, malgré la neige, le blizzard et la résistance ennemie qui fut parfois héroïque, l'ANC informe le Monde que Gueule d'Amour a été un succès éclatant qui a entrainé la conquête de 9 provinces et la destruction d'au moins 18 divisions soviétiques.
L'ANC a, une nouvelle fois, démontré sa supériorité sur l'Armée Rouge.
Mal nourris, battus par les commissaires politiques, le soldat soviétique n'est qu'un pauvre hère, mené à l'abattoir par ses chefs.
Pas plus que sur l'Amour ou sur Baïkal, il ne pourra résister au formidable élan de l'ANC qui, tel un gigantesque raz de marée, déferle sur l'Asie.
L'offensive de printemps verra la défaite définitive des soviétiques en Asie
Sun Marius Tsen
Généralissime de l'ANC