Un jeune homme, Aelric de Jagmastrie, vient d'atteindre la majorité et le droit de commander qui va avec (un peu efféminé quand même le bougre). Avec quelques hommes il se faufile vers Carnuntum, toujours entre les mains de séparatistes boudant la protection de l'Empire Romain. L'expédition punitive arrangée par l'empereur lui-même a échoué lamentablement, il est temps pour les Saxons de mettre un peu d'ordre dans la région!
Plus au Sud les Huns s'apprêtent à ravager le Nord de l'Italie, ils ont amené assez de monde pour détruire toutes les armées romaines ... espérons qu'il en restera un peu pour les Saxons! Kandak le Hun n'a pas l'air d'être quelqu'un avec qui l'on peut parler de partages de territoires autour d'un tonneau de bière et d'une cuisse de cerf
Carnuntum tombe rapidement, le pillage donne de bons résultats. Nous voilà dans notre première cité vraiment romanisée, eh bien vous me direz, ils construisent solidement ces Romains

Dur d'incendier toutes ces maisons en pierre, il faut y aller au marteau et au pic! Mais plus étrange encore est le comportement d'Aelric de Jagmastrie, qui s'empresse de construire ... une académie

Le savoir des Anciens ne lui suffit-il donc plus?

Aux Romains ce savoir n'aura rien apporté en tous cas ...
Trêve de bavardages, l'Hibernie est tombée. La Brittanie est donc maintenant sûre, une solide armée y campe pour effrayer d'éventuels rebelles. Les revenus provenant de ces îles sont gigantesques, ses tissus et son fer se vendent très bien!
Les Sarmates, qui campent plus à l'Est, nous assurent leur amitié. C'est toujours ça de pris. Les Goths eux ont enfin fini de marauder dans nos terres, Gundioc d'Ijmlorbie peut se lancer à l'assaut de la Colonia Agrippina!
Les Romains y ont concentré de nombreuses troupes ...
les hommes des deux camps sont tellement remontés qu'ils se chargent mutuellement à l'instant même où leurs regards se croisent!
Leur courage fait honneur aux Romains mais leurs qualités laissent à désirer. Le fer de leurs armes à dû rouiller tellement ils se montrent gauches dans leur maniement; contre de braves Saxons, l'écume à la bouche et les haches brandies vers le soleil, ils perdent vite leur enthousiasme intial! Les pillards des mers et la cavalerie de Gundioc achèvent de faire tomber leur moral en des profondeurs abyssales!
Pas de pitié pour les lâches!
Le monde connu dans sa totalité nous craint désormais