Posté : mer. mars 22, 2006 11:48 am
[align=center]Espagne, 1496-1515, par Juan Vincel Villalobos Ramirez, chroniqueur officiel de la cour.
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La découverte du nouveau monde.

Le génois Colomb quitta séville, direction le Senegal portugais pour ravitailler, puis mis cap plein ouest. Après des semaines de navigation, alors que l'eau douce commençait à manquer à bord de la Santa Maria, et que les matelots titubaient quand il ne gisaient pas sur le pont surchauffé, un vibrant "TERRE!!!" vint briser la torpeur dans laquelle était plongée l'équipage. Colomb se précipita à la proue, dégaina sa longue vue pour s'assurer que la vigie n'était pas sujette à hallucination. Miraculeusement ce n'était pas le cas.
Quelle pouvait donc être cette terre en ces latitudes ? Pas l'inde assurément, comme l'attesta son Grand et Précieux Sextan (GPS). Colomb consigna cette découverte dans son journal de bord, mis pied à terre, emporta des échantillons de la faune et la flore locale, captura même des indigènes, et repartit pour Séville rendre dompte des ses découvertes à la reine Isabel. Il espérait bien obtenir les fonds nécessaires à pousser ses découvertes plus avant, fort du succès de ce premier périple.

La reine fut littéralement conquise. Non seulement elle octroya moults subsides à colomb pour une nouveau voyage, mais elle alla même jusqu'à enrôler d'autres explorateurs.

C'est ainsi qu'au bout de plusieurs années, un vaste continent dont les limites ne sont toujours pas connues fut découvert, mais également une ribambelle impressionnante d'iles fort fertiles.

La découverte du nouveau monde.
Le génois Colomb quitta séville, direction le Senegal portugais pour ravitailler, puis mis cap plein ouest. Après des semaines de navigation, alors que l'eau douce commençait à manquer à bord de la Santa Maria, et que les matelots titubaient quand il ne gisaient pas sur le pont surchauffé, un vibrant "TERRE!!!" vint briser la torpeur dans laquelle était plongée l'équipage. Colomb se précipita à la proue, dégaina sa longue vue pour s'assurer que la vigie n'était pas sujette à hallucination. Miraculeusement ce n'était pas le cas.
Quelle pouvait donc être cette terre en ces latitudes ? Pas l'inde assurément, comme l'attesta son Grand et Précieux Sextan (GPS). Colomb consigna cette découverte dans son journal de bord, mis pied à terre, emporta des échantillons de la faune et la flore locale, captura même des indigènes, et repartit pour Séville rendre dompte des ses découvertes à la reine Isabel. Il espérait bien obtenir les fonds nécessaires à pousser ses découvertes plus avant, fort du succès de ce premier périple.
La reine fut littéralement conquise. Non seulement elle octroya moults subsides à colomb pour une nouveau voyage, mais elle alla même jusqu'à enrôler d'autres explorateurs.
C'est ainsi qu'au bout de plusieurs années, un vaste continent dont les limites ne sont toujours pas connues fut découvert, mais également une ribambelle impressionnante d'iles fort fertiles.

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