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GPO 13 N° 6 - AARs & Diplomatie
Posté : mar. janv. 10, 2006 5:53 pm
par ric novice
Posté : mar. janv. 10, 2006 5:54 pm
par ric novice
Proclamation du Pape Martin V
Fils de Dieu ! le concile de Constance a mis fin au Grand Schisme d'Occident, le temps des divisions entre «urbanistes» et «clémentistes» appartient au passé tout comme l’anti- pape était une héresie.
A l’aube de mon pontificat, je souhaite inscrire mon action que me commande Dieu dans 2 directions essentielles
- Organiser la 10 eme croisade d’Orient pour retablir le royaume du Christ, ce combat du bien est essentiel pour refouler les forces du mal
Les barbares avancent sans cesse dans la chretieneté, brûlant les eglises, occupant nos terres, il est temps que cela cesse
J’en appelle à la noblesse de tous les pays chrétiens, c’est un ordre de notre seigneur que de se croiser
Soyez les hérauts du Christ, combattons les infideles !
N’ayez pas peur de la mort pour ce juste combat car la rémission de vos péchés sera accordée aux justes
- La deuxième priorité est de reconcillier les orthodoxes et chrétiens, mais la croisade n’est possible qu’avec l’aide du patriarche de Bysance, c’est pourquoi une conference avec le Basilius est envisageable dans un but commun de repousser les barbares turcs et mamelouks.
J’en appelle donc le patriarche à un grand concile pour traiter des deux grands sujets qui occupent la chretienneté : la X eme Croisade et la reconciliation entre orthodoxes et chétiens.
Le chemin vers dieu est tortueux, les voies du seigneur sont impénétrables mais le coeur des hommes doit être tourné vers l’amour de Dieu.
Le pape Martin V
prions ensemble, mes frères
In nomine Patris, et Filii, et Spiritus Sancti. Amen.
Ave, Maria, gratia plena, Dominus tecum, benedicta tu in mulieribus, et benedictus fructus
ventris tui, Jesus. Sancta Maria, Mater Dei, ora pro nobis peccatoribus, nunc et in hora mortis
nostrae, Amen.
Pater noster, qui es in coelis, sanctificetur nomen tuum; adveniat regnum tuum; fiat voluntas
tua sicut in coelo et in terra. Panem nostrum quotidianum da nobis hodie; et dimitte nobis
debita nostra, sicut et nos dimittimus debitoribus nostris; et ne nos inducas in tentationem; sed
libera nos a malo.
Amen.
Posté : mer. févr. 01, 2006 10:19 am
par loda
Moscovie 1419 :
Le temps de la vassalité est terminé! Le prince moscovite a décidé de s'affranchir de la tutelle tatar et l'envoyé qui osera se présenter devant lui sera renvoyé chez lui manu militari avec une bouteille de vodka
(dans le cul
) en guise de cadeau. Notre voisine, la fière
(plus pour très longtemps) Novgorod ne sera plus la seule représentente des peuple russes indépendants.
Le prince Vasily 1er entend développer son pays afin de le rendre plus fort contre ses voisins et, pourquoi pas, libérer les peuples russes encore asservis. A cette fin a été construit une fabrique de vodka qui nous rendra moins dépendant de novgorod et permettra de remplir les caisses avec les exportations vers nos voisins proches. Deux caisses ont d'ailleurs été envoyée spécialement à l'attention du Basileus et du patriarche de Constantinople : puisse t'elle réchauffer le corps et donner de la force et du courage aux bras byzantins dans leur difficiles combats contre leurs voisins musulmans.
Politique extérieure : le prince Vasily sera l'ami de tous ceux qui aident et protègent les peuples russes, ou qu'ils soient, et sera un ennemi éternel pour tous ceux qui oseraient asservir ces mêmes peuples. A bon entendeur, salut! une terre russe ne peut être gouvernée que par un prince russe, que ceci soit clair!
Posté : mer. févr. 01, 2006 1:28 pm
par lemarseillais
Un jour de janvier 1419...
Oyez oyez bourgeois de Reims,
conformément à la volonté de Monsieur (le futur Charles VII) la proclamation suivante est faîte en jour sur le parvis de la cathédrale.
A savoir que suite aux derniers événements, c'est-à-dire les tractations menées par le traitre duc de Bourgogne avec les Anglais profitant de l'absence de notre roi et père Charles VI, nous, héritier légitime du trône de France par la grâce de Dieu, demandons à nos bonnes villes du royaume de nous soutenir dans notre lutte contre les traitres et les anglais.
Nous considèrons notre roi et père incapable d'assurer la direction du royaume et dénonçons la dictature exercée par les bourguignons à la tête du royaume. Aussi, fort de cela, nous, premier prince de sang, fils de roi, intimons nos bonnes villes de rester fidèle au vrai sang de la maison fleur de lysée.
Le royaume de France est en péril mais si Dieu le veut alors nous triompherons pour le bien du peuple des francs. Prions le Seigneur, restez moi fidèle et la victoire viendra.
Sachez que le Dauphin est dans l'attente d'une déclaration de sa Sainteté. Il a bon espoir que sa sainteté se positionne sur les troubles qui ravagent le royaume. Le Dauphin a promis de se croiser si il avait les moyens de mener la lutte sur de la paix en son royaume (ce qui n'est pas du tout le cas).
Posté : mer. févr. 01, 2006 2:09 pm
par vince
Message de Juan II, le catholique, roi de Castille et de Leon, à sa sainteté le Pape Martin V
Oui votre sainteté, par qui parle le très haut, le temps est venu. L'occupation des infidèles mahométans n'a que trop duré. Ô, saint père, parlez et nous obéirons. Nous serons les hérauts du Christ, dont la volonté s'exprime par votre bouche.
Omeyades, Almohades, Gromalades et autre Ben Yusuf !! Tremblez !
A nos frères catholiques, nous disons ceci : souvenons-nous de la bataille de Las Navas de Tolosa, où Castillans, Leonais, Aragonais, Portugais, Français et Navarrais anéhantirent les infidèles, sous la banière du christ.
Combattons à nouveau, et que dieu nous vienne en aide.
Posté : mer. févr. 01, 2006 2:09 pm
par Scarabee
[align=center]
Albert V de Habsbourg[/align]
[align=justify]Ayant succédé à mon père depuis 1404, je me félicite de l'élection d'un pape unique Martin V depuis 1417. La peste, les errements de la gestion pontificale et les guerres ont causé beaucoup de tord à la chrétienté, jusqu'à avoir plusieurs papes, notamment en Avignon. Aujourd'hui l'unité est revenu à Rome et nous prions pour que Martin V est la force de redonner grandeur à la communauté chrétienne européenne.
L'Autriche souhaite unir les peuples allemands en suivant au mieux la volonté des peuples et sous la stricte bénédiction papale. Le développement de nos mines de sel notamment à Salzbourg devrait nous permettre de nous faire une place dans l'économie du transport de marchandise, principalement sur le Danube. La métallurgie devra suivre le même chemin vers la modernisation.[/align]
Posté : mer. févr. 01, 2006 4:34 pm
par LeRenard
Dans un coin sombre de Suède 1419
En ces lieux et en cette heure, nous, membre de la confrérie des
Aigles du Nord, faisons serment de fidélité au peuple et au blason
de Suède. Nous jurons de défendre les hommes libres de Suède contre
leurs opresseurs quel qu'ils soient. Nous et nos descendants mettrons
tout en oeuvre pour que la fraternité, la justice et l'honneur rêgnent
sur les terres immémoriales de scandinavie.
Que le seigneurs soit avec nous et que le Roi du Danemark et ses baillis
brûlent en enfer.
.....
.....
......
.......
****Quelques heures plus tard sur une route enneigée****
- Ha ! Vraiment nous voilà bien maintenant, mais qu'est ce qui t'as pris
Jimried d'accepter de venir aider ces espèces d'extrémistes....?
On était pas bien en POlogne ?
Il y avait de la bière, il faisait moins froid qu'ici et nous étions
du côté du pouvoir pas de quelques fanatiques ahuris....
-Cher ami, saches que si nous sommes ici c'est parce que Lord Danton
un amis de longue date m'a demander de ne pas laisser le peuple
Suédois face face a ses bourreaux et comme tu sais que j'adore les difficultés
je n'ai pas su dire non.....mais vois le bon côté des choses si
le pays est froid est hostile. Il n'en n'est pas moins superbe
et les gens d'ici ont dans le coeurs une flamme semblable a celle
de nos Vallées Suisses...qui leur donne une force d'esprit incroyable
et aux femmes de ces contrées un tempérament que je n'ose pas qualifier ici.
- haaaaha....voilà qui devient intéressant...!!!
...arffffffff, tu ne changera donc jamais mon amis.
Pense d'abord au travail qui nous attend, on a du pain sur la Planche
et du Danois a broyer.
Alors ne traînons pas, range ta bouteille de pinard et en route cher Marseillas.
Posté : mer. févr. 01, 2006 4:44 pm
par lemarseillais
edit
Posté : sam. févr. 04, 2006 1:10 pm
par Danton
« Votre majesté, votre majesté ! » »Eh quoi, Lord Danton, vous ne voyez donc pas que je suis fort occupé ! Je me prépare ! Cette après-midi, j’affronte deux sangliers à mains nues… Que voulez-vous, contre un seul, c’est vraiment trop facile

» »C’est que… la révolte gronde dans vos provinces continentales » »Pfff, ces gens là ne sont vraiment pas comme nous, mais ce sont nos sujets. Allons, que se passe t-il encore ? » »Un ducaillon ridicule, un certain Charles, se prétend Roi de France… » »Oh, oh, oh, comme c’est drôle. Le fol ignore donc que JE suis Roi de France, moi, Henry V de Lancastre » »Eh bien, il semble contester cela justement… Oui, je sais, c’est ridicule, mais que voulez-vous… c’est la guerre là bas » »Une rébellion contre l’autorité légitime voulez-vous dire. Bon, s’il faut couper des têtes, pourquoi pas, mais je doute fort que ces petits français, mes sujets, soient plus féroces que des sangliers

» »Le ducaillon a envoyé un émissaire » »Bien, bien, nous allons le recevoir »
« Alors, très cher, quoi de neuf sur le continent ? » »Mon maîtrrrrre est rrrroi de France…grande France, glorieuse France » »Voyons, le Roi, c’est moi ! Mais ces terres continentales, pfff, que des ennuis. Tenez, je pourrais les louer à votre maître, il sera content et pourra se prétendre roi, qu’en dites-vous ? » »Nooooon ! France à mon maître, touuute la France ! A lui ! Pas payer pour ce qui lui appartient du droit du plus grand sauvage ! » »Ah, cela, je ne nie pas, votre maître est un sauvage, mais qu’il veille à ne pas m’irriter ! Nous pouvons trouver un accord, mais si je dois me rendre personnellement sur le continent pour mettre fin à cette rébellion contre mon légitime pouvoir, je… » »Pas d’Anglais sur le continent ! Mon maîtrrrrrrre veut toute la France, grande France… D’abord provinces anglaises continentales puis provinces aragonaises puis de la Bourgogne puis Italie puis provinces hollandaises puis…

» »Oui, oui, d’accord, c’est entendu, votre maître veut le monde à ses pieds, mais cela ne sera pas. Il faut négocier un peu que diable, vous n’êtes pas seul au monde »
« Prroposition du maîtrrrrre : lui prendre toute la France puis au-delà » »Oh, rien que cela ? Et en échange ? » »Maîtrrrre laisser vivre Angleterre… sur son île uniquement… Lui se tourner alors vers le Sud… Arrragon….Italie…. » »Euh, il pense quand même à compenser un peu la perte de nos provinces ? » »Nooooon ! France a lui, rien qu’à lui ! »Lord Danton ? » »Votre majesté ? » »Veuillez chasser ce drôle à coups de bâton » »Maîtrrrre saura ! Maîtrrre vous retrouvera ! » »Ce rebelle n’aura pas à me chercher, je pars à sa rencontre ! Rassemblement général de l’armée, je pars châtier ce fol. Les crânes vont voler, on va voir si ces gueux tiennent la comparaison avec nos sangliers. Et avertissez votre maître qu’il devra payer pour notre dérangement : notre facture sera de 1000 ducats + 300 ducats par année de guerre. Qu’il se prépare à payer de longues années puisqu’il a choisit la voie du meurtre et du pillage. Qui sait, cela laissera peut-être assez de temps à l’Aragon pour se renforcer contre ce sauvage… Nous ne serons peut-être pas toujours là pour corriger cet impudent faquin de France

»
Posté : sam. févr. 04, 2006 1:36 pm
par lemarseillais
Pendant ce temps à la cour du vrai héritier de la couronne de France...
- Monsieur ! Le duc de Gueldre qui conduisait l'ambassade envoyé en Angleterre est de retour.
-
Bien qu'il entre !
-
Monsieur je suis porteur de mauvaises nouvelles et profondémment outré et déshonoré par l'attitude de ce roi d'Angleterre. J'en appelle à vous Monsieur.
-
(La mine grave) Racontez moi tout beau Cousin...
Et là le duc de Gueldre fit par de son mauvais traitement. Le roi d'Angleterre singeant ses paroles pour le faire passer pour un sauvage. L"humiliant de la sorte et encore plus en le faisant chasser d'Angleterre. Le futur roi de France était outré de ce traitement, même si le roi d'Angleterre était un ennemi, nous le pensions civilisé et courtois. "Cette honte sera lavé mon ami, je vous le jure sur mon sang" s'exclama celui qui allait devenir le Grand Roi.
Faites annoncer à mon trés aimé cousin de Bourgogne qu'avant même la signature du traité, qu'avant même la réunion prévu à troyes pour l'année 1420, le roi d'Angleterre se considère déjà roi de France. Faisans donc peu du cas de mon père, Charles VI (tjrs vivant) roi de France. Ah si mon père pouvait retrouver la raison, il chasserait ces fous. Il réalisera avec qui il négocie comme ça.
Pour ma part, je vais donc me préparer à la guerre. Ah oui et je ne répondrais meme pas à sa demande de guerre. 1000 ducats plus 300 par année de guerre. lol ridicule et comment je fais pour payer ???? Le seul moyen qui me serait possible c'est d'étaler cela sur des dizaines d'années or si je perds en 1420, je reviendrais à la charge des 1425....je ne payerais donc plus. Il est vraiment fou cet anglais

Posté : sam. févr. 04, 2006 2:41 pm
par Leaz
[align=center]

[/align]
[align=center]
João I Roi du Portugal[/align]
Message aux souverains catholiques du monde entier :
Le portugal a entendus l'appel du Pape Martin V, mais il n'a pas attendus sa sainte parole pour faire la guerre aux mahométans et combat déjà depuis des années les impies en afrique ! Nous appelons donc notre voisin, le Roi d'Espagne a finir la Reconquista afin de boutter définitivement ces sauvages hors de l'Ibérie !
Hélas, trois fois hélas notre roi ne peut répondre dirrectement a l'appel a reconquerir les terres saintes de Jérusalem, mais nous ferons de notre mieux pour sapper le soutiens que les héretiques de Fars et d'Al-Jazir apportent aux infidèles Mamelouk ! Ce qui devrais faciliter grandement la victoire des chevaliers du Christ !
Nous appelons par ailleurs François et Anglois a cesser leur querelles intestine qui gangrenne depuis si longtemp leur royeautés avant qu'elles ne viennent irrémediablement tachés de pue leur sacrement. Le vrais énemis n'est pas votre voisin, cessez donc de convoiter sa courrone, le véritable énemis de tout les chrétiens sont les mahométans !
Vos ancetres l'avaient bien compris et c'était là de nobles âmes qui ont trés sûrrement dû gagner leur âme au paradis, tandis que vous, félons et avide de pouvoir vous oubliez vos devoirs les plus primordiaux de chrétiens !
Lancez vos fiers chevaliers contre les impies et rien ne résistera a leur charge héroïque !
Posté : dim. févr. 05, 2006 11:33 am
par Aedan
1419 - Chronique de l'Empire Romain
La situation de l'Empire Romain est dramatique en ce debut d'année 1419.
Sa majesté impériale le Basileus Manuel II Paléologue ne regne plus que sur sa capitale eternelle, Constantinople, et quelques terres au sud du Peloponèse dont la ville de Mistra.
Loin dans l'est, demeure également l'empereur concurent Alexis IV Comnène sur trebizonde. Officièlement l'empire Romain est alliés à Trebizonde, mais Alexis IV n'est guère fiable. Au moment décisif de l'histoire de l'empire, Manuel II sait qu'il ne poura compter que sur ses propres forces.
Fils de Jean V, il parcourut l'europe en tout sens 20 ans plus tot pour trouver de l'aide contre les turcs Ottomans qui menaçait déjà de s'emparer de la ville impériale. Il reçu beacoup de sympathie mais pas d'aide concrète. Le miracle vint finalement de l'Est. L'armée Mongole de Tamerlan écrasa les Turcs à Ancyre en 1403.... le sultanat Ottoman failli complètement disparaitre... Mais Tamerlan porta alors son regard vers l'Est et la Perse. Ce qui sauva autant l'empire que ses adversaires jurés Turcs... le répit ne sera que de courte durée.
En cette année 1419, Une nouvelle et décisive offensive turque est imminente. Manuel II a décidé de préparer la ville à livrer son ultime combat.
Tout ce qui a de la valeur dans Constantinople a été vendu ou gagé auprés des grandes banques Italiennes. L'Empereur a pu ainsi lever 1.500.000 Ducats vénitiens.
Ce trésor permetra de payer la dernière armée impériale. Tout les hommes entre 15 et 50 ans de Constantinople ont été mobilisé et enrolé dans l'armée représentant environs 25.000 soldats grecs. Ces troupes ne sont guère entrainés et leur expérience du combat est inexistante. Mais ces hommes savent qu'ils se batent pour leurs libertés et pour la sécurités de leurs familles. Si la guerre à venir devait etre perdu... Constantinople sera investie , pillée et sa population exterminée ou déporté. Tous ont conscience de livrer le combat final. Le moral est extrement bas...
A ses 25.000 h grecs de son empire moribon, Manuel II peut compter sur l'arrivé récente de 30.000 soldat occidentaux. Venu à titre personel de nombreux pays d'europe, ces derniers croisés ne sont guère mieux équipé que les soldats grecs. Pas de grand seigneur d'occident les accompagne, pas de chevaliers aux puissantes armures. Seul la volonté d'endiguer la progression de l'Islam semble les guider pour les plus religieux... l'or promis par l'empereur pour les compagnies de mercenaires.
Janvier 1419, L'Empereur Manuel sait que le combat décisif commence. Il dispose de 55.000 soldats grecs, croisés et mercenaire occidentaux. Son trésor permet l'entretient de ces forces pendant 3 ans. Si la victoire contre les turcs n'est pas obtenus dans les 3 ans.... l'Empire fera banqueroute et s'efondrera à jamais dans le néant... il sera le dernier empereur romain.
Les forces turques sont prodigieuses. Le Sultan ottoman dispose de 60.000 soldats tous extrement bien entrainé à faire la guerre. Le Sultanat Ottoman regorge de troupes prete à être enrolée rapidement pour renforcer l'armée principale. En cas de guère, Manuel se prépare déjà à affronter plus de 100.000 turcs en quelques mois... des forces enormes bien supérieurs à celle engagée en France entre les partisans Valois et Lancastre pour le trone de France.
Manuel II est seul pour endiguer le flot irresisble qui menace de submerger l'europe. La guerre est iminente.... peut-être que demain les hordes turques seront déjà en marche.
Manuel peut compter sur ses deux fils. Le prince Jean l'assiste dans toute ses décisions, il sera ammenée à lui succeder le moment venu si un trone impériale existe encore.
Son 2eme fils Constantin est encore trés jeune mais semble disposer de capacités militaire et de meneur d'homme... il sera certainement bientot à la tete des armées impériales.
De l'occident, ses ambassadeurs lui rapportent qu'un nouveau pape trés dynamique Martin V viendrait de precher une nouvealle croisade de sauvetage de l'empire romain. Manuel II est pessimiste. D'autres appels à la croisade par le passée ne furent jamais suivit laissant les grecs seuls face à l'Islam et aux turcs.
Cependant peut-être en sera t'il autrement cette fois. Devant le danger extreme que cour Constantinople, il ne faut négliger aucune aide possible.
L'Empereur Manuel II convoqua le 20 octobre 1418 le prince Constantin au palais de Blachernes.
"Prince Constantin, mon fils, je vous demande de vous rendre immédiatement à Rome. Je vous confie la mission de vous présenter le plus tot possible devant le pape Martin V et de demander une audiance.
Vous devrez vous informer si effectivement une croisade est possible, quand elle pourait se mettre en place et sous quelles conditions.
Je vous confis mon fils plein pouvoir pour négocier en mon nom avec ce decret. Au moment ou la survie de l'empire se joue, comprenez que tout est devenu négociable... j'ai bien dit TOUT!
Partez vite mon fils...et que dieu vous garde...
Le Prince Constantin n'avait encore que 14 ans quand il quitta le palais de Blacherne le 21 octobre. L'hivers était précoce, il pleuvait abondament sur la ville. Il n'était pas certain qu'il pourait un jour revenir.
Sur le pont de la galère impériale qui l'emportait.... il pu voir doucement Constantinople disparaitre dans la brume du Bosphore.
Il avait un rève... un rève d'empire....
Posté : dim. févr. 05, 2006 12:14 pm
par lemarseillais
Missive de l'héritier du trône de France à l'empereur byzantin Manuel II
Trés estimé Basileus, moi, Charles fils de Charles VI roi de France, héritier légitime de la maison de France, je vous salue.
L'ambassade que vous aviez envoyé à mon père pour requérir aide, sachez le n'a jamais pu atteindre le roi de France en personne. Mon père et roi, souffrant, ne pouvait tenir audience. C'est mon cousin félon de Bourgogne, qui règne en tyran à la place du roi, qui recevit votre ambassade.
A ma connaissance, il ne donna suite à vos demandes mais ses raisons, pour une fois devait être justes. Comme vous le savez, l'usurpateur anglais réclame notre trône au nom de je ne sais quel droit et nous fais la guerre depuis mes aieux. Sans cela, qui ruine le royaume de France, vous auriez pu compter sur notre aide.
Si je me permets de vous écrire, c'est qu'aujourd'hui, mis à l'écart par mon père (ou plutot le duc de Bourgogne), celui-ci s'affaiblissant de plus en plus, j'ai décidé de prendre en main les rênes de mon futur royaume. Il est temps de faire ce qu'aurait fait mon père si Dieu ne l'avait pas frappé de la sorte : bouter l'anglais hors du pays et punir le vassal bourguignon félon. Aussi, suite à cette décision, je vous envois cette missive pour ouvrir avec vous des relations diplomatiques. Tel que cela doit l'être entre l'empereur d'Orient et le Dauphin de France.
Lorsque je serais roi et l'anglais chassé, si vous avez alors besoin d'aide, le roi de France répondra à l'appel si la guerre ne ruine plus nos terres.
En attendant nous vous recommandons à Dieu dans votre entreprise pieuse. Toutefois, sachez que nous attendons depuis des semaines la position de sa Sainteté sur le conflit franco-anglais et qu'aujourd'hui nous n'avons aucune nouvelle. N'en espèrez pas beaucoup je le crains.
Que Dieu vous bénisse.
Charles, fils de Charles roi de France, descendant de Saint Louis, héritier légitime et de sang du trône de France, Dauphin de France.
Posté : lun. févr. 06, 2006 10:35 am
par Aedan
Le voyage du jeune prince Constantin Paléologue en europe occidentale
Père, voici aproximativement villes et souverain que j'ai prévu d'essayer de rencontrer à votre demande:
- 21 octobre : départ de Constantinople sur une galère impériale
- 3 Novembre: arrivé à Rome et demande d'audiance aupres du Pape Martin V. Discution prévue sur un eventuel appel à la croisade et sur une réconciliation des églises
- 23 novembre: Arrivé a Lisbonne pour une entrevue avec le roi Joao du Portugal qui serait pret dit-on à envoyer rapidement la flotte Portugaise défendre le Bosphore
- 10 décembre: débarquement à Rouen. Espoir de rencontrer le roi d'Angleterre Henry de Lancastre si celui-ci accepte de me recevoir
- 15 décembre : Arrivé prévu à Paris pour rencontrer le roi de France Charles VI de Valois
- 29 décembre: je me rendrais en Dauphiné rencontrer le jeune dauphin Charles de Valois dans sa ville de Grenoble.
Pour l'empire...
Prince Constantin
Posté : lun. févr. 06, 2006 11:21 am
par vince
Message de Juan II, le catholique, roi de Castille et de Leon, au Basileus Manuel II
Sa majesté Juan II, le catholique, est très vexée. En effet, le basileus n'a pas jugé utile que le prince constantin se déplace à Madrid. Aucune audience n'a été formulée. Certes, sa majesté ne l'a pas invité, mais il nous semble que par exemple, le roi d'angleterre non plus, et pourtant Londres figure bien sur l'itinéraire du prince.
Sa majesté Juan II le catholique, très sensible au problème de l'occupation infidèle, tout comme le basileus, partage donc les mêmes tourments et les mêmes desseins. Une entraide aurait pu se dessiner. Sa majesté espère neanmoins qu'il ne s'agit que d'un simple oubli et attend des nouvelles du basileus, ou du prince.
Posté : lun. févr. 06, 2006 11:48 am
par Aedan
Nous n'avons aucune certitude que le roi d'Angleterre acceptera de nous recevoir mais Rouen étant sur la route de Paris, nous pensions nous y arreter et demander audiance. Mais peut-être que le roi d'Angleterre refusera de nous recevoir... nous n'en avons nullement l'assurance.
Comme vous le savez, les turcs sont à nos portes, le temps presse.
Le Prince Constantin se déclare déjà ravi d'être reçu pas sa trés chrétienne majesté le roi de Castille mais la route terrestre de Madrid est fort longue.
Peut-être une entrevue à Cadix serait'elle envisageable et conviendrait à votre roi? Ou alors nous pourions acoster à Carthagène mais il faudra noos prévoir des chevaux rapides entre Carthagène et Madrid et ensuite entre Madrid et Lisbonne.
Nous sommes enchanté néenmoins de votre invitation. Puisse dieu nous permettre de nous rencontrer.
Posté : mar. févr. 07, 2006 3:52 pm
par Aedan
Lettres ouvertes aux princes et rois Chrétiens d'europe
L'Empire Romain lutte actuellement pour sa survie mais également pour endiguer le deferlement des forces turques et musulmanes qui menacent l'europe.
L'Empire effectue un ultime effort et à mobilisé toutes ses ressources et notament le rassemblement d'une armée nombreuse suceptible d'écraser à jamais la menace turque. Helas ces impies sont biens armés et une véritable multitude.
Mon gouvernement dispose de ressources pour combattre environs 3 ans. Au dela si la victoire n'est pas acquise, la défaite sera certaine par banqueroute de l'etat et démobilisation de ses armées.
J'appelle à titre personnel l'ensemble des princes Chrétiens et rois d'Europe. L'Empire dans 3 ans pourait devoir trouver des fonds suplémentaires pour emporter la décision si la guerre s'enlise. Or les Banques Italiennes exigent des taux d'interets exorbitant que l'empire n'aura pas les moyens de payer.
J'en appelle donc grand rois et princes d'europe, a éventuellement répondre favorablement à une demande impériale de fond et d'emprunts à long terme et à taux réduits au cas ou le trésor impérial serait épuisé avant la victoire (eventuelle) contre les turcs.
A la veille du combat décisif contre l'Islam et les Turcs, l'Empire romain a besoin de savoir si nous pourons compter sur votre aide financière si cela devenait nécéssair.
Pour dieu et l'Empire...
Empereur Manuel II Paléologue
Posté : mer. févr. 08, 2006 1:34 pm
par ric novice
Proclamation du Pape
Le Saint père est honoré de recevoir l’envoyé spécial de l’empire romain d’orient.
La position de l’église est favorable à un rapprochement avec les orthodoxes et ce dans un but commun de croisades contre les turcs et mamelouks
Nous appelons donc les fils de l’église à deux grandes croisades, contre les turcs pour sauver L’Empire d’Orient puis contre les mamelouks pour libérer Jérusalem
Concernant le malheureux conflit qui oppose la France et l’Angleterre, nos juristes ne peuvent déterminer qui est dans son bon droit tellement les revendications dynastiques sont proches et légitimes.
Le droit coutumier indique que dans un tel cas, le jugement de dieu doit s’appliquer…
L’église répugne à inciter deux couronnes à s’affronter car la vie d’innocents chrétiens en pâtirait, le courage consisterait en un duel particulier entre le roy d’Angleterre et de France.
Mais la vraie foi et la sauvegarde de vos âmes vous commandent de vous croiser, vos terres seraient alors inviolables sous peine d’excommunication.
Venez à Dieu, mes fils…
Le Saint père Martin V
Veuillez recevoir la bulle papale du martin …pêcheur
Sera excommunié toute couronne qui prendra les armes contre un croisé
Une petite rémission des pêchés sera accordé pour tous dons effectués pour un croisé
L’empire Romain d’Orient est placé sous la protection de l’église, sera excommunié tous pays chrétiens qui agresse l’ERO, la sauvegarde de la chrétienté en dépend…
Fait à Rome, 1419
Posté : mer. févr. 08, 2006 1:52 pm
par lemarseillais
- Monsieur, le messager est de retour de Rome.
- Trés bien faites le entrer !
Le messager entre, il paraît exténué et est tout crotté, visiblement il a fait le trajet le plus rapidement possible.
- Mon Seigneur voici une lettre de sa Sainteté. Le cardinal qui me l'a remise m'a dit que le Pontife en personne l'avait rédigé et avait expressement demandé qu'elle soit rapporté le plus vite possible à Mon Seigneur.
Le futur roi décachetait la lettre tout en écoutant d'une oreille. Au fur et à mesure de sa lecture, ses yeux s'écartaient de plus en plus et une lueur semblait briller dans ses pupilles. Achevant la lettre, il l'a relu aussitôt une 2e fois et, une fois fini, donna ses ordres :
- Constant ! Constant ! Venez ici
- Oui Monsieur ?
- Prenez plume et écrivez ceci : "Trés chère Sainteté veuillez excusez la réponse brève que je vous fais mes les temps actuelles m'obligent à agir précipitamment. Mon père le roi ne pourra pas prendre la décision de se croiser, vous le savez bien. Moi son fils, je suis prêt à m'engager et engager le royaume à la place de mon père. Si vous m'assurez sur le champs que l'excommunication frappera quiconque s'attaquera au royaume de France tout le temps où celui-ci participera à la croisade, alors vous pouvez compter sur la participation du royaume de France et de son héritier. Que Dieu vous bénisse !"
Constant ne laisse paraître aucune réaction, mais il réalisait bien tout les enjeux de cette réponse.
- Constant, aussitôt écrite faite envoyer cette lettre avec bonne escorte. Que les messagers prennent plusieurs chevaux, ils ne doivent faire halte qu'au strict minimum.
- Bien Monsieur.
- Ensuite, vous écrirez à toutes les chancelleries susceptibles de participez à la croisade pour expliquer la déclaration de sa Sainteté et la volonté du fils du roi de France d'engager son royaume.
Le Dauphin se perdit dans ses pensées ("Si jamais l'anglais ou le bourguignon ne signent pas la paix blanche, nous devrions pouvoir compter sur le soutient du pape et des rois chrétiens...........du moins c'est ce que le respect de la foi chrétienne devrait amener")
Posté : jeu. févr. 09, 2006 11:31 am
par Aedan
[align=center]***** Chroniques de l'Empire Romain d'orient 1419 - 1429 *****
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3 Janvier 1419, les Turcs passent à l'offensive
Le 1er Janvier 1419, l'emissaire spécial du Roi de Serbie entre au Palais de Blacherne. Son Maitre refuse de s'engager aux cotés de l'empire, la Serbie proclame sa neutralité. Avec la defection attendu d'Alexi Iv Comnene de Trebizonde, l'empire devra affronter seul les hordes turques.
Le 3 Janvier 1419, les Turcs entrent en campagne contre l'Empire et prennent place face à Constantinople sur la rive asiatique du Bosphore.
La flotte impériale forte de 35 galères quitte l'estuaire de la corne d'Or et de met en place dans le Bosphore. Une flotte turque apparait à l'Horizon venant de mer egée. 19 voiles. Le combat pour le controle du détroit sera féroce. 10 galères turques seront coullées pour la perte de seulement 2 galère impériale. 1ere grande victoire navale impériale. Le Bosphore est sécurisé et Constantinople hors d'atteinte des turcs.
La situation militaire reste cependant extrement préocupante
Les forces Ottomanes sont nombreuses, plus de 60.000h et formidablement entrainé. Il convient de parvenir à les disperser afin de les séparément. L'armée Impériale de 55.000h stantionant toujour à Constantinople
Le Prince Constantin imagine alors un plan audacieux. Separer et attirer les turcs dans la plaine fertile de Thessalonique et les écraser sous les charges de la calaverie impériale. Une petite armée de 6000 troupes à pied de l'armée Romaine quitte Constantinople, passe Andrinople et entre en Bulgarie Ottomane non defendu afin s'assieger Sofia.
Le Sultan Ottoman ordonne alors à ses troupes de faire mouvement vers l'Europe. 30.000 Turcs descendent vers le Sud assieger Nauplie en Morée et enfin 30.000 autre turcs traversent le détroit des Dardanelles (laissée volontairement ouvert par la marine impériale) pour Thessalonique afin de contre ataquer sur les forces impériales située plus au nord en Bulgarie.
Le Sultan Ottoman était tombé dans le Piége. C'est au Prince Jean qu'il reviendra l'honneur de conduire les armées romaines au Triomphe. Le Prince Constantin agé de seulement 14 ans et bien qu'il eu imaginé le plan devant s'ecarter devant la prééminence de son frère ainé.
C'est avec fierté que l'Empereur Manuel en ce debut avril 1419 voit ses fils quitter Constantinople pour l'Ouest à la tete de 40.000h dont 25.000 Cataphractes impériales, chevaliers et simples ecuyers d'occident pour l'ultime bataille... celle qui scelera le sort de l'empire romain milénaire.
Devant Thessalonique, la surprise pour les turcs est totale. Apprenant l'arrivé de l'armée impériale, les turcs n'ont pas le temps de s'enfermer dans la ville. Les charges des Cataphractes impériales ouvent des breches monstrueuses dans les rangs Ottomans. Rien n'arrete l'élan de ces forteresses en armure lourdes.
Ce 29 avril 1419, les Ottomans perdront l'intégralité de leur armée, pres de 30.000 soldats. Les forces romaines perdront moins de 5.000 soldats. Le Prince Jean est vainqueur. Le plan du Prince Constantin a parfaitement reussi.
Thessalonique 1419 venge Mantzikert 1071.
La 1ere armée Ottomane de Morée leve alors imédiatement le Siège de Nauplie et de porte vers le nord et Thessalonique en traversant le duché d'Athène..
Le Prince Jean fait détruire tout les ponts sur l'Axios forçant les Ottomans à traverser par l'unique gué non gardé. L'armée impériale se déploie alors dans la plaine entre l'Axios et Thessalonique. Une deuxième bataille et un 2eme triomphe pour le prince Jean. Les turcs exténué par la marché forcée les ramenant de Morée ne peuvent endiguer les nouvelles charges de la cavalerie impériale.
25.000 turcs vont périrent sur les rives de l'Axios... les pertes impériales se limiteront à 10.000 hommes. Les Ottomans viennent de perdre leurs derniere armées.
Il est temps alors pour l'empire de mettre le siège devant les principales places fortes Ottomanes avant que les turcs ne se ressaisissent.
Aprés Sofia, Thessalonique sera assiegée ainsi que Varna et la capitale de la Dobroudja.
Le Prince Jean conserve 20.000h et traverse les Dardanelles. Devant Izmir (bientot rebaptisée Ephèse), il bouscule 15.000 turcs et place le siège devant la ville. Gardant 13.000 h, le prince Jean oblique alors vers le Nord-Est en direction de Brousse, la capitale Ottomane et y disperse aisément les nouvelles recrues Ottomanes.
Le conflit dure depuis 18 mois, le trésor impérial est encore bien garnie et il ne reste que les montagnes d'Anatolie centrale non encore sous controle. Le Triomphe semble proche...
Posté : dim. févr. 12, 2006 4:28 pm
par Danton
1419 – 1429. La vertueuse Angleterre défiée par l’usurpateur félon
L’usurpateur félon et traître refusant de se rendre à la raison, Henry V le noble est contraint et forcé d’interrompre ses duels contre les féroces sangliers pour aller mater les rebelles qui sévissent en France

. L’armée du nord, commandée par sa majesté elle-même, écrase les armées françaises devant Paris puis en Champagne. Quelques débris parviennent à se replier en Dauphinée, profitant des hordes que ses complices, Bourbonnais, Auvergne, Orléanais et Provence, ont envoyé en Bourgogne. Pour sauver notre allié, Henry et le duc de Bedford unissent leurs armées, l’un venant du nord, l’autre du sud et se lancent dans les plaines de Bourgogne… une inexplicable défaite

.
Heureusement, le couard ducaillon rebelle est trop lâche pour en profiter et le Duc de Gloucester, débarqué d’Angleterre avec des renforts, établit le siège de Paris

. Toutes les provinces au nord de Bourgogne sont rapidement assiégées, l’usurpateur laisse ses complices combattre et reste terré en Dauphinée, malgré l’intervention à nos côtés de la Savoie et de la Lorraine, celle-ci annexant l’Orléanais.
Paris est enfin arrachée aux rebelles et Henry V, devant la cathédrale notre-dame, harangue le peuple libéré : « Paris ! Paris outragé ! Paris brisé ! Paris martyrisée ! Mais Paris libérée ! Libéré par lui-même, libéré par son peuple avec le concours des armées de l’Angleterre, avec l’appui et le concours de l’Angleterre tout entière, de l’Angleterre qui sa bat, de la seule Angleterre, de la vraie Angleterre, de l’Angleterre éternelle ! »
Croyant à tort toute notre vigilante attention tournée vers le nord, l’usurpateur trouve finalement assez de courage pour se porter contre la Gascogne, estimant que ses complices, qui viennent de prendre notre province de Poitou, sauront le protéger d’un retour offensif de nos armées au sud : il a tout juste le temps d’établir ce siège que Henry V le terrible fond sur lui et ses complices, les anéantissant tous sans pitié et poursuivant sur sa lancée, en Guyenne

. Quelques mois de siège plus tard et les ¾ des provinces rebelles sont tombées entre nos justes mains, l’usurpateur doit négocier sa reddition. Comme Henry V est bon et généreux de nature, il se contente de récupérer la Picardie.
Quelques événements pénibles suivront alors cette glorieuse victoire et l’arrivée d’un nouveau monarque, Henry VI, Roi d’Angleterre et de France (révoltes de nobles, peste et que sais-je encore

). Mais l’usurpateur, qui n’avait su vaincre loyalement, allait faire preuve de la plus grande duplicité et révéler au monde abasourdi l’ampleur de sa fourberie abjecte

(Marseillais va encore avoir une attaque en lisant ceci...pfff, mais je parle de Charles de France je te dis, pas de toi

). En janvier 1427, il attaque en effet sauvagement notre allié de Bourgogne, c’est-à-dire juste deux mois avant la fin de la paix forcée avec nous… Pour sauver notre allié, il nous faut donc briser cette paix, ce qui ravage notre stabilité intérieure. L’Angleterre n’oubliera jamais ce coup bas odieux, qui met définitivement le ducaillon rebelle au ban des hommes civilisés : il est et restera un sans honneur et nous saurons lui faire payer ce crime un jour ou l’autre, même s’il nous faudra être patient

.
Une mobilisation tardive empêche nos armées de venir en aide à notre allié de Bourgogne, décimé par les fourberies de Richemont le lâche. Finalement, Beauchamp débarque avec 40.000 soldats en Flandres, mais le retard pris a permis aux rebelles d’unir leurs forces et Dunois, battu une première fois dans les Flandres, est renforcé par Richemont le lâche, qui a pris l’Artois : la bataille est terrible et sanglante, les rebelles restent maître du terrain

. L’armée anglaise quitte la Bourgogne, honteusement dépecée par l’usurpateur fourbe et sans honneur, qui lui dérobe les Flandres. Nous appelons les grands de ce monde à faire connaître haut et fort leur désapprobation devant ce hold-up caractéristique : la Bourgogne doit récupérer ce qui lui revient de droit.
L’usurpateur est pris alors par la folie des grandeurs qui le guette et qui le fera inévitablement chuter : se croyant déjà victorieux, il s’attaque sans attendre à la courageuse Bretagne, notre vassal. C’est le moment de revenir sur le continent décide le vaillant Talbot : il débarque en Picardie et livre bataille contre les rebelles… 20.000 sont passés par les armes ! Grande victoire anglaise

! Paris est assiégée et le félon, terrifié, rappèle hâtivement Richemont et lève des renforts.
Mais l’armée anglaise est repartie, il lui faut à présent châtier les complices écossais du félon, qui deviennent de plus en plus entreprenant (chute de Northumberland déjà

). Dès que ce sera fait, nous reviendrons et infligerons au ducaillon le châtiment qu’il mérite. Henry VI, Roi d’Angleterre et de France, invite toutes les nations d’Europe à le soutenir, financièrement ou militairement, dans sa juste lutte : ce serait en effet un très dangereux précédent si un rebelle parvenait à se libérer du serment qu’il a prêté à son suzerain et, pire encore, parvenait à lui dérober un titre royal ! Le félon sans honneur doit être vaincu, aidez l’Angleterre à réussir cette juste tâche : notre détermination est sans faille, nous lutterons et nous vaincrons

! God save The King !
Posté : dim. févr. 12, 2006 5:52 pm
par Leaz
1419-1429. Croisade contre les félons !
Le soleil brille sur Lisbonne, le peuple loue les prouesse du roi João I partis au loin avec l'armée liberée la terre sainte pour la plus grande gloire du christ. Notre illustre roi aprés avoir porté la guerre a l'infidèle dans les contrées marocaine et soumis le faible sultan de Fez s'en est aller avec le grand roi castillan, son illustre cousin, porter la guerre au plus profond de l'infamie des mahométans, là où ses sombres serviteurs exploitent sans vergogne la foi des brébis égarées de Dieu, là où le christ lui même fut tué par la barbarie.
La flotte royale forte de plus de 30 navires de guerre appareilla dés 1425 vers l'andalousie voisine, là où les serviteurs de Dieu s'evertuer a ramener dans le droit chemin les andalùs corrompus par des siècles de servitude. Puis de ce funeste lieu la flotte s'élança vers les confins de la méditérannée, vers Chypre, glorieux bastion de la foie chrétienne. Ils purent alors, les navires chargés de victuaile offerte par les pieux chypriote dans notre sainte lutte, marcher sur le coeur même de l'infamie : le Caire. Le siège de la ville fut monté rapidement par nos glorieuses armées et les tremblement des félons ce fesaient entendre la nuit par dessus les murailles.
[align=center]
L'armée de João Ier assiegeant Le Caire avec la bénediction de l'Eglise.[/align]
La victoire nous fut offerte par Dieu car telle était sa volontée, et tandis que nos alliés castillans faisaient tomber Alexandrie et qu'ils siégaient devant Jérusalem nous combations les armées de l'infidèle en Egypte, attendant fébrilement les nouvelles du siège de la ville sainte.
Posté : dim. févr. 12, 2006 7:53 pm
par Aedan
[align=center]***** Chroniques de l'Empire Romain d'orient 1419 - 1429 *****
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La resistance turque dans les montagnes Anatolienes. La déroute en Asie
En cet automne 1420, le prince Jean assiège depuis quelques semaine Brousse, la capitale Ottomane. Mais le Sultan n'est pas dans la ville, il s'est réfugié dans les montagnes Anatoliene d'Angora avec 7.000 soldats et il lève une nouvelle armée.
Le prince Jean décide de ne pas attendre. Le Prince abandonne le SIège de Brousse et se porte vers l'est à la recherche du Sultan. La Bataille sera terrible mais les 7.000 turcs repouseront les 13.000 romains en infligeant de lourdes pertes.
Ayant levé de nouvelles troupes, le Sultan décide de poursuivre le Prince Jean en déroute qui sera rejoind devant Brousse. L'armée de Jean Péléologue sera pratiquement anéhentie. Jean devra retraverser le Bosphore pour rejoindre son père Manuel à Constantinople.
Le Sultan poursuit sa reconquete et se porte sur Ephèse et écrase l'armée de Siège du Prince Constantion onligé lui aussi à retraverser les Dardanelles pour Thessalonique.
En 3 batailles catastrophiques, l'empire a perdu pied en Asie et le nombre des Ottomans s'accroit sans cesse.
En ce printemps 1421, la situation est trés mauvaise à Constantinople. L'Empereur Manuel puise dans le trésor impérial 500.000 Hyperperes suplémentaire. 10.000 nouveaux soldats sont recruté. La mobilisation touche désormais les plus de 50 ans. 8.000 mercenaires Vénitiens et Génois sont engagé à grand frais.
En mai 1421, Le Prince Jean et une nouvelle armée de 25.000h traverse le Bosphore afin d'afronter 14.000 turcs devant Brousse. Mais les nouvelles recrues sont mal entrainés et les mercenaires Italiens fort peu enthousiaste à combatre. Devant Brousse une charge de cavalerie turque bouscule l'armée romaine et c'est une terrible tragedie... l'armée se débande lamentablement et s'enfuis vers la cote.
Le Sultan a poursuivi son recrutement. L'armée Ottomane est forte à présent de 35.000h dont 15.000 devant Brousse et 20.000 à Ephèse.
Manuel II est inquiet.... ce qu'il redoutait le plus est en train de se produire, l'enlisement de la guerre. Le trésor impérial est bientot vide. Manuel lance un appel desespéré à l'occident pour emprunter les fonds necessaires pour terminer la guerre. Ce cera finalement du grand duché Moscovite que viendra le salut. Le Grand duc ocrtoie un pret de 400.000 ducats sur 10 ans. Cette nouvelle levée de fond devait s'averer décisive.
En europe, la situation se debloque enfin. Les place fortes Ottomanes se rendent les unes apres les autres libérant les troupes romaines effectuant les sièges.
La flotte impériale bloaquant les detroits, l'Empire peut se reorganiser en europe. L'Empereur conscient du manque de Cavalerie ordonne la levée de 10.000 Cavaliers suplémentaires et leurs formations accelerés. L'armée est regroupée à Constantinople ou elle hivernera.
La contre attaque romaine, la fin du Sultanat Ottoman
Au printemps 1422, l'armée Romaine est reconstituée et comprend à nouveau 25.000h. Le Prince Jean debarque à nouveau à Nicée et marche sur Brousse. Cette fois les 10.000 cavaliers de l'armée Romaine décime les forces Ottomanes et 15.000 turcs seront tué ou emprisonné.
Jean Paléologue divise cette fois son armée. 6.000 romain marche alors vers l'Est et l'Angora pour empecher aux Ottomans de s'y retrancher comme 2 ans plus tot.
Le Prince Jean et 17.000 h dont 9.000 cavaliers marche alors sur Ephèse. L'ultime bataille contre les trucs se produira devant la ville. Une nouvelle fois la cavalerie Romaine est décisive et ouvre des breche enorme dans les rangs ennemis... les turcs sont définitivement écrasé.
Le Sultan n'a plus d'armée et s'enferme dans Ephèse. L'Empire met alors en place le Siège de la ville, ainsi que celui de Brousse et enfin d'Angora.
C'est alors que les Vénitiens et les Hospitaliers profitent du fait que l'Empire à écrasé les turcs pour entrer en guerre contre les Ottomans et envois des forces devant Brousse.
Début 1423, toutes les places Ottomanes se rendent et le Sultan Capitule.
L'Empire Romain d'orient est reconstitué est annexe:
- La Macédoine, la Bulgarie, la Roumélie et la Dobroudja en europe
- Smyne et l'Angora en Anatolie
Le Sultan Ottoman ne conserve que Brousse et sa région. Mais les Hospitaliers profittent des breches effectuées par les romains dans les murailles et investissent la ville. Le Sultan Ottoman se donne la mort.
Le Sultanat Ottoman n'existe plus....
Posté : dim. févr. 12, 2006 8:35 pm
par Aedan
[align=center]***** Chroniques de l'Empire Romain d'orient 1429 - 1446 *****
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Le Prince Jean devient le nouvel empereur romain d'Orient sous le nom de Jean VIII paléologue
Le debut d'année 1424 vera la disparition de l'empereur Manuel II qui regnait sur l'empire depuis pres de 40 ans. Apres des débuts difficiles, son regne sestera dans l'histoire de l'empire comme la grande restauration de l'autorité impériale de ce debut du XVeme siècle.
Le peuple lui rendra un vibrant hommage au cours de ses funérailles en la basilique Sainte-Sophie. Il semble selon les historiens qu'aucun empereur n'eu jamais de funeraille avec une telle émotion populaire. Meme les empereur Justiniens, Heraclieus ou Basile II ne semble avoir eu une telle popularité de leurs temps... Les Romains savent tout simplement ce qu'ils doivent à leur empereur....
Le fils ainé de l'empereur montera sur le trone impérial sous le nom de Jean VIII paléologue. La cérémonie du couronement sera elle au contraire d'une grande discretion... les caisses de l'empire sont vides et le temps aux économies. L'Empire devant rembourser notamement les 400.000 ducats preté par le grand duché de Moscovie.
Le jeune Prince constantin a grandi. Agé maintenant de 19 ans, il est nommé général en chef des armées impériales par l'empereur son frère en récompense du génie militaire qu'il deplois deja depuis plusieurs années.
La campagne de Grece
Le duché de Grece est indépendant depuis la prise de la ville de Constantinople par les latins en 1204. L'Empire souhaite recuperer la ville de Durazzo à l'extremité ouest de la via Egnatia face à l'Italie et controlant l'accé à la mer Adriatique. cette via Egnatia était autrefois l'artère commerciale principale de l'empire.
La guerre au duché d'Athènes est déclaré. Les forces impériales se portent sur Athènes et ne rencontre pas de resistance. Le Prince Constantin lui se porte en Epire sur Durazzo dont le site montagneux exigera un trés long siège.
Le Duché d'Athène est allié à la Bosnie et à Raguse. Si les Bosniaque ne gougent pas, les Raguséens se montreront des adversaires coriaces. Si la totalité de l'armée impériale romaine ne comporte que 15.000 soldats, les forces Raguséenes se montent à 25.000h solidement retranché devant Raguse et controlant les cols. Raguse est inataquable par voie de terre.
Sur mer la flotte de Raguse suprend la flotte imériale en mer egée et remporte une victoire inatendue. 6.000 raguséens débarquent à Athènes ou ils sont refoulés. Puis Raguse debarque alors devant Constantinople ou la garde impériale de Jean VIII les ecrasera impitoyablement.
Athènes et Durazzo s'étant rendu, le duc d'Athènes accepte la paix. le Duché d'Athène céde le port de Durazzo et l'épire et verse 106.000 vénitiens d'indemnité.
Mais Raguse la fière, Raguse l'indomptable refuse refuse de ceder à la paix offerte par l'empereur et poursuit la guerre.
L'offensive des etats orthodoxes du nord
Alors que la guerre contre Raguse s'eternise, l'alliance Orthodoxes du nord décident de lancer une vaste offensive contre l'empire Romain affaibli par 6 années inintérrompus de guerre.
Le roi de Serbie et les Princes de Moldavie et de Wallachie semblent inquiet visiblement de la montée du pouvoir impérial
Au printemps 1426, les Royaumes de Serbie et les Principauté de Wallachie et de Moldavie entrent en guerre contre l'empire.
Ces princes félons disposent de plus de 70.000 soldats alors que l'empire épuisé ne dispose plus que de 12.000h et d'un trésor completement vide.
L'Empereur Jean VIII prend des mesures energiques. Rassemblement de l'armée devant constantinople, les places fortes frontalières sont abandonnés et leurs commandants reçoivent l'ordre de tenir et d'imobiliser les forces ennemis le plus longtemps possible.
L'empereur emprunte à des banques florentines 200.000 florins à 7% d'interet annuel. Enfin les impots dans l'empire sont portés à leurs maximum pendant 3 années et malgré l'inflation qui en resultera.
La nouvelle menace est sérieuse, une guerre terrible se prépare, aussi difficile que celle contre les Ottomans.
La Survie de l'empire en dependra...
Posté : mar. févr. 14, 2006 5:37 pm
par loda
Moscovie 1419 - 1431 :
La cour est en ébullition, les nouvelles se bousculent.
L'envoyé de la horde venant chercher le tribut annuel vient tout juste d'être renvoyé chez lui après avoir été "déshonoré" par les 3 ours favoris du roi sous les rires plus ou moins crispés de la cour. A la vitesse ou il marche, il n'est pas rentré le pauvre, le roi lui a bien envoyé une monture mais l'envoyé en voyant la bête, a cru à une autre mésaventure et s'est enfui en courant

:honte:
La cour n'a pas rit longtemps, la nouvelle de la guerre entre novgorod et l'agresseur Suzdal tombe, et plonge le roi en plein désarroi. Ce dernier avait prévu d'attaquer Novgorod dans quelques mois afin de profiter du déclin de la ville commerçante mais Suzdal lui coupe l'herbe sous les pieds. Heureusement, si l'avantage est à Suzdal au début de la guerre, Novgorod expulse les armées adverses de son territoire ensuite sous les yeux de Vassily qui compte les points entre les 2 adversaires.
Début 1420, la guerre est déclarée à novgorod. Cette dernière signera bien vite la paix avec Suzdal qui est bien content de s'en tirer avec un tribut de 50 ducats.
Cette guerre durera 5 ans et l'hivers tuera plus de vies que les armées ennemies : ces dernières seront balayées à chaque combat et novgorod se contentera de harceler nos troupes sans grand succès d'ailleurs. Les villes ennemies tomberont une par une et lorsque la paix sera signée, Novgorod se retrouve seule entourée de terres moscovites...
Vassily n'aura pas le temps de savourer sa victoire que le prince de Tver l'attaque! Ce dernier avait, lui aussi, attaqué novgorod en espérant une part du gateau. Cependant, si ses troupes participèrent au siège de Novgorod, elles n'allèrent jamais combattre ses armées au grand dam de Vassily. Tout à fait normalement, Tver ne participa aux négociations et n'eu pas une seule terre de la vieille ville commerçante...
La guerre fut courte et tver paya son agression par la fin de son indépendance.
Le prince moscovite peut savourer ses victoires et doit maintenant gérer un territoire 3 fois plus grand qu'il y a 10 ans mais quasiment désertique...
Posté : mar. févr. 14, 2006 5:43 pm
par lucayes
Aedan a écrit :L'Empire souhaite recuperer la ville de Durazzo à l'extremité ouest de la via Egnatia face à l'Italie et controlant l'accé à la mer Baltique.
Ton AAR est très très bien Aedan mais c'est juste que ce petit détail me faisait rire
je supprimerai le post dans qques jours pour ne pas enlaidir l'AAR
sinon bonne chance a tous et chacun des AAR est très chouette

Posté : mar. févr. 14, 2006 8:02 pm
par ric novice
Chroniques des états pontificaux
Martin V sous son aspect debonnaire, n'en est pas moins un politicien chevronné, rompu aux intrigues du clergé...
Son election acquis au 4 eme tour le mit aux prises avec un eveque florentain, et même si le decompte precis des votes reste un mystère qui ne peut transpercer dans le monde chrétien, il se dit que beaucoup de promesses et de privileges furent octroyer...
Une fois pape, martin V s'en alla en guerre eliminer son principal adversaire à l'election car cet eveque etait issu d'une famille florentine très puissante complotant dans l'ombre
Cependant Dieu se rappela aux bons souvenirs du pape
"Tu n'annexeras pas la cité voisine de florence"
Martin V crut devenir fou puisque c'était la première fois que Dieu lui parlait pendant son sommeil
Il avait du mal à se souvenir de ce songe mais ca le hantait terriblement...
La nuit suivante, l'ange gabriel lui apparut :
"Jerusalem ! Jerusalem !"
Martin V était complètement transformé, ainsi Dieu le guidait
Et le matin, c'est plein d'entrain qu'il dicta la bulle papale du statut de Jerusalem et un decret de création du duché de Toscane
Sans plus attendre, il ordonna l'attaque du sultanat des mamelouks, déjà aux prises avec les filles de l'eglise, le portugal et l'espagne
La première armée du christ se compose de 8 000 soldats et assiege actuellement le liban chretien
Pour Dieu
Posté : mar. févr. 14, 2006 8:13 pm
par ric novice
Bulle papale du statut de Jerusalem
Est decretée ville ouverte de la chretienneté, Jerusalem
N'appartenant qu'au créateur, le saint siege crée l'ordre des defenseurs de Jerusalem qui aura pour mission de la protéger pour l'eternité
Cette tache immense est confiée à la couronne la plus méritante dans la défense des valeurs de la chretienneté
Jerusalem ne pourra en aucun cas être cedé à l'impie ou à des fins mercantiles sous peine de banissement de la communauté chrétienne
Posté : mar. févr. 14, 2006 8:21 pm
par ric novice
Missive diplomatique aux Filles de l'Eglise
Grande est la joie du Saint-père à la nouvelle de la croisade des peuples iberiques en terre sainte
L'armée du Christ oeuvre au liban et des renforts viendront aggrandir vos hosts
L'exemplarité dont vous avez fait preuve en prenant la croix vous designe naturellement à accepter une plus lourde tache que nous commande le seigneur
Acceptez-vous d'être un soldat du Christ et un defenseur de Jerusalem ?
Cet engagement auprès de Dieu ne peut être que l'oeuvre d'un roy très catholique
Posté : mer. févr. 15, 2006 11:05 am
par vince
Castille, 1419 – 1429, par Juan Vincel Villalobos Ramirez, chroniqueur officiel de la cour
Le règne de Juan II, le catholique, Roy de Castille et de Leon, allait marquer un tournant dans l’histoire ibérique. Son grand dessein était de souder entre eux les peuples ibériques, pour mieux pourfendre l’infidèle, dont les jours étaient comptés sur la péninsule.
Ainsi, il s’allia officiellement à l’Aragon et au Portugal, ses deux plus proches cousins. Il n’eut pas le temps d’approcher le prince de Navarre, que les troupes Aragonaises décidèrent de passer à l’attaque. Juan II ne connut jamais les obscures raisons qui motivèrent cette attaque. Toujours est-il que cela le contrariait fortement dans ses projets. Heureusement, les Aragonais ne se remémorèrent pas les déboires de l’ex-empereur Charlemagne et attaquèrent les navarrais en tentant de franchir le col de Roncevaux. Ils furent logiquement repoussés.
L’Ost castillan, quant à lui adopta la tactique inverse, et pris les navarrais à revers. Deux sièges plus tard, la navarre capitulait et offrait son serment d’allégeance à Juan II. Grand bien lui fit. Sous la protection Castillane, l’Aragon abandonna ses prétentions sur la Navarre. Les peuples ibères se réconcilièrent.
Soulagé de ce poids, Juan II, décida de porter un nouveau coup de poignard au moribond sultanat de Grenade. Loin de sa puissance d’antan, les troupes mahométanes se regroupèrent sur le rocher de Gibraltar, laissant le champ libre à la soldatesque Castillane, qui ravagèrent la capitale en peu de temps. Alvaro de Luna, inspiré par le génie militaire du prince Constantin, fils de l’empereur romain d’orient, fit mine de se replier pour mieux attirer les infidèles dans les plaines d’andalousie. Une puissante charge de cavalerie plus tard, les mahométans furent balayés et gibraltar offert en tribut.
Mais Juan en voulait encore plus. Le très catholique Roy, que la parole du saint père fait vibrer jusque dans son sommeil, ne pouvait qu’être sensible à son nouvel appel à la croisade. Sensible, le mot est faible, puisqu’il semblait littéralement envouté, errant dans le palais royal au son des « Jerusalem !! Jerusalem !! ». Notre estimé cousin, le roy du Portugal, ainsi que le roy d’Aragon, rejoignirent les Castillans sous la bannière de la Croix. Toute la communauté ibérique devenait des soldats du Christ, et du Saint-père a travers lequel le très haut s’exprime.
En 1427, la guerre est déclarée, les croisés débarquent conjointement à en Egypte et en Judée.

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Hélas, les infidèles au moral décuplé, nous infligèrent de terrribles pertes. Alexandrie tomba mais fut reconquise par les mahométans. Le caire est toujours sous contrôle portugais, et Jerusalem est sur le point de tomber. Si des renforts n’arrivent pas rapidement, ce sera un nouvel échec pour la chrétienté…
Posté : jeu. févr. 16, 2006 10:30 am
par Aedan
[align=center]***** Chroniques de l'Empire Romain d'orient 1429 - 1446 *****
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L'offensive des Moldaves, Walaques et Serbe est repoussée
Ces trois petites principautés étaient fort inquietes de la nouvelle montée en puissance de l'Empire Romain au sud. Elles complotèrent et se coalisèrent avant de lancer une vaste offensive contre l'empire au moment ou il était le plus affaiblit.
70.000 Soldats traverserèrent le Danube pour entrer en Bulgarie et en Dobroudja. L'armée romaine réduite à 12.000h ne pouvait empecher l'invasion et la capitale impériale fut couverte par l'armée en attendant des jours meilleurs.
L'Empereur Jean accorda 150.000 ducats au prince Constantin sur le trésor pourtant réservé à rembourser l'emprunt de 400.000 ducats effectué auprés du grand duc de Moscovie. Il faudrait terminer la guerre au plus vite pour que l'empire puisse honnorer ses engagements auprés de la Moscovie. Il ne restais que 2 ans avant l'echeance de l'emprunt.
Le Prince Constantin disposant à présent de 20.000 soldats continuait à garder l'arme au pied dans les plaines de Thrace. En effet l'offensive ennemis commençait à s'essoufler. Le ravitaillement était difficile en Bulgarie ou l'hivers cette année la fut terrible sur la chaine des Rhodopes et même jusqu'en plaine. Dans les marécages de la Dobroudja, la situation n'était pas meilleur pour les armées moldaves décimées par la Maladie. Même dans les montagnes d'Epire, l'armée Serbe souffrait atrocement de la disette.
La forteresse de Sofia fini cependant par se rendre et les Valaques emportés par leur ardiesse franchit les Rhodopes et se porta sur Thessalonique, commetant là la même erreur que le sultan Ottoman 10 ans plus tot.
Le prince Constantin quitta alors Constantinople avec une armée en pleine forme apres un hivernage clément autour de Constantinople. L'armée valaque était elle dans une état misérable et se fit litérallement culbuter par la charge des Cataphractes impériales dans les plaines de Macédoine. La victoire fut complète. Toute l'armée Valaque de 17.000h fut tué ou faite prisonnier... l'empire ne perdit que 2.000 soldats.
Devant le désastre de leurs alliés en Macédoine, l'armée Serbe de 21.000 soldats qui tentait de s'emparer de Durazzo en Epire fut prise de panique devant le risque d'être coupée de ses bases et tentat précipitament de rejoindre la Serbie pour couvrir Belgrade.
Mais le Prince Constantin remontant la vallée de l'Axios vers le nord parvint à deboucher dans les forets du Kosovo avec 18.000h juste à temps pour couper la retraite Serbe. Les Serbes surpris tentèrent de forcer le passage et ce fut une terrible défaite. Seul 6.000 Serbes parvinrent à franchir le cordon impérial et à poursuivre leur retraite transformé en déroute vers les plaines de Belgrade. Les romains perdirent 3.000h dans la bataille.
Preferant conserver de bonnes lignes de ravitaillement, le Prince Constantin Paléologue prefera assurer ses arrières d'autant que la saison commençait à être trés avancé. Il laissa 8.000h devant Pristina au Kosovo serbe et se porta avec 7.000h sur Sofia en Bulgarie afin de liberer la place stratégiquement vitale pour envisager l'année suivante le franchissement du Danube et des opérations dans le nord pour frapper la Valaquie, coeur de la coalition des félons.
Durant l'Hivers, L'Empereur accorda à nouveau 100.000 ducats à l'armée se qui permit la levée de 10.000 troupes fraiches. Le peuple commençait a être las de la guerre et l'économie était à bout de force. Les prix avait augmenté de 3% en 3 ans. Il fallait emporter la décision au plus vite.
Au printemps 1428, Sofia et Pristina purent etre capturé. L'armée Moldave de Dobroudja était dans un état sanitaire catastrophique. Le Prince Constantin se porta en Roumélie ou il fit sa jonction avec les levée impériale de l'Hivers. Disposant de forces supérieur à 17.000h, il marcha alors vers le nord et écrasa 13.000 Moldaves en Dobroudja.
Il divisa alors ses forces pour ne pas laisser de répit à ses adversaires.
Une armée de 6.000 Fantassin franchit le Danube vers le nord-est et se porta sur le Bujak Moldave. Une 2eme armée de 6.000h se porta directement sur la Moldavie et vint placer le siège autour de la capitale Moldave. La Moldavie était prise à la gorge par l'Empire, l'etreinte ne devait plus se desserer.
Le Prince Constantin fit sa jonction avec les troupes impériale du Kosovo en Bulgarie. Fort de 9.000h il put alors traverser le Danube vers le nord et penetrer en terre Valaque. Mais la Valaquie ne s'était jamais relevé de son desastre en Macédoine et n'avait plus de force à opposer à l'Empire. Une timide diversion Serbe venue de l'Ouest se termina en desastre pour la Serbie. Le siège fut installé autour de Bucarest.
Politiquement la situation se complica. Le puissant roi de Hongrie, le plus puissant monarque de toute la région, déclara la guerre à l'alliance Serbo-Moldavo-Valaque qui était déjà à la merci de l'Empire Romain. Des hordes de Hongrois se jetèrent sur la Moldavie... mais les impériaux étaient déjà en place et le roi de Hongrie respecta les prérogatives impériales sur la conduite et la direction des sièges.
Debut 1429, les forteresses Moldaves finirent par céder et le Prince de Moldavie se soumis à l'empire. La Moldavie cédait le Bujak danubien; versait 105.000 ducats vénitiens d'indeminté et se plaçait vassal de l'Empire.
Bucarest également se rendit au Prince Constantin. Mais le roi de Valaquie n'était point dans la ville mais s'était réfugié à Belgrade aupres de ses alliés Serbes. L'armée Impériale se porta alors vers l'Ouest et la Serbie. Mais devant Belgrade, une immense armée Hongroise et Bosniaque assiegeait déjà la ville.
Le Prince Constantin, heritier au trone de l'Empire Romain, exigea du capitaine hongrois de l'armée de Siège de lui confier la direction des opération. Celui-ci optempora aussitot et ce fut le Prince Constantin qui entra à la tete de ses troupes dans Belgrade alors que les Hongrois restèrent en dehors.
L'Empire terminait la guerre par un triomphe. Le Roi de Serbie cedait le Kossovo, 134.000 ducats d'indemnité et se declara vassal de l'Empire. Le Prince Valaque se déclara également vassal de l'empire et versa 155.000 ducats d'indemnités.
Ces versements de tribut de guerre vinrent juste à temps quand les envoyés du grand duc de Moscovie se présentèrent devant l'empereur Jean VIII Paléologue à Constantinople. Ils purent retourner en Moscovie avec une immense coffre remplit de 400.000 ducats vénitiens. L'Empire avait pu honnorer sa dete.
Au Nord, le Roi de Hongrie en profita pour poursuivre la guerre et s'empara de la Moldavie, la Valaquie et la Serbie, faisant executer leurs souverains et annexant les principauté avec la plus grande cruauté.
L'empire ne put réagir, car des nouvelles extrement préoccupante nous parvenait de Terre Sainte et d'orient. Les armées croisées Ibériques semblaient en fortes difficultés. L'affront Hongrois devra attendre ainsi que le retour à la paix et la stabilisation intérieur...
Posté : jeu. févr. 16, 2006 12:47 pm
par vince
Castille 1429-1446, par Juan Vincel Villalobos Ramirez, chroniqueur officiel de la cour
"Et je vis la Cité sainte, Jérusalem nouvelle, qui descendait du ciel, de chez Dieu; elle s'est faite belle, comme une jeune mariée parée pour son époux. J'entendis alors une voix clamer, du trône : voici la demeure de Dieu avec les hommes. Il aura sa demeure avec eux ; ils seront son peuple et lui, Dieu-avec-eux, sera leur Dieu."
Tel s’écria
ALVARO DE LUNA, Pourfendeur des infidèles, libérateur de JERUSALEM, citant St-Jean comme un soulagement après la reddition mamelouke.
La situation militaire était pourtant préoccupante. Jérusalem tomba, Alexandrie fut capturée une seconde fois, mais les forces ennemies n’étaient pas anéanties. Les croisés tentaient jusqu'alors, de les diviser, mais en vain. 22 000 fanatiques ennemis tentèrent de reprendre la ville sainte, tout comme le Caire. A un contre un, une défaite croisée aurait sonné le glas des espoirs chrétiens.
Mais Dieu était avec nous, et sa grâce toucha Alvaro de Luna. En effet, une incroyable et incompréhensible décision ennemie de lever les sièges et une soudaine demande de paix, parvint. Alexandrie, Jerusalem à la Castille, la Samarie au Portugal. Nul ne sait ce qui a motivé cette décision. La déclaration de guerre de l’empereur ? La capture du liban par les armées papales ? Peut-être… Un Miracle ?? Assurément. Loués soient le seigneur, et le saint-père, auprès duquel nous nous précipitèrent pour annoncer la bonne nouvelle.
Aussitôt, une grand messe fut organisée dans la ville sainte, donnée par sa sainteté elle-même. Les cloches résonèrent du lever au coucher du soleil. Les rameaux d’olivier jonchaient le parcours du nouveau Pape, Eugene. Tous chantaient, (
Tiens voilà Gégène, v’là Gégène qui s’amène, in va chucher un p’tit verre eud’cassis-euh!! Tiens voilà Gégène, v’là Gégène qui s’amène, toudis content ch’est un type épatant), dansaient, s’embrassaient… la liesse était générale.
Posté : jeu. févr. 16, 2006 2:18 pm
par vince
Message diplomatique de Juan II el catolico, aux éclairés monarques d’Europe, et sa sainteté le Pape Eugene.
Nous, Juan II, condamnons solennellement, les attaques répétées des armées Françoises, contre nos cousins catholiques d’Angleterre et de Bourgogne. Depuis 30 ans, la France se désintéresse totalement de la lutte acharnée que mènent les armées croisées de Castille, du Portugal, des Etats pontificaux, de l’empire romain d’Orient, et de l’Aragon. Celle qui se prétend fille ainée de l’Eglise, par ses agissement hautement égoïstes et indignes d’un chrétien, ne prête aucun secours aux croisés et au pape, mais de plus, prive ceux-ci des renforts qu’auraient pu apporter l’Angleterre et la Bourgogne.
Ainsi, nous demandons humblement à sa sainteté, qu’elle place celui-qui se prétend le roi de France (trône contesté par l’angleterre),
au ban des nations catholiques, et que des mesures énergiques soient prises pour faire revenir Charles de France dans le droit chemin de l’Eglise. Car nul doute n’est permis, sur le fait que le Malin s’est emparé de la France.
En attendant, au vue de la frénésie expansionniste de la France, les peuples ibériques de Castille, d’Aragon, du Portugal et de Navarre, n’ont d’autres choix que de se rapprocher du roi d’Angleterre, afin de parer à toute éventualité. Avec le démon, nul compromis n’est possible. Et la protection mutuelle est pour l’instant la seule issue.
Fait à Madrid en l'an de grâce 1446,
Juan II, roi de Castille et de Leon
Posté : jeu. févr. 16, 2006 10:20 pm
par Danton
La guerre éternelle contre l’usurpateur félon
Acte I. Les félons durement châtiés
Comme annoncé, le fameux général Beauchamp, sitôt l’armée réunie, part châtier les félons écossais : ceux-ci sont écrasés, dans le sang, dans la province de Meath, qui était sur le point de tomber entre leurs griffes. Notre héros embarque alors discrètement sur nos fiers navires et s’empresse de rejoindre les côtes bretonnes, où le moins couard des mignons de l’usurpateur, le réputé Dunois, sévit : meurtres, pillages, viols. Il sera le premier à payer pour ses crimes

.
Une sanglante bataille commence et le chien français est anéanti : victoire ! L’usurpateur pleure la mort de son mignon favori, Dunois, abattu à bout portant

. Nos troupes victorieuses rembarquent alors fièrement et repartent plein nord : 35.000 Écossais sont pulvérisés au Lancashire, qui allait tomber. Encore une grande victoire, tout se passe à merveille

.
Acte II. L’éléphant contre la baleine
L’usurpateur met à profit notre absence pour s’emparer de toutes nos provinces continentales : grand bien lui fasse ! Le général Beauchamp, lui, pousse plus en avant ses succès : Northumberland est repris puis la capitale de l’Écosse, qui verse aussitôt tribut et signe la paix avec la glorieuses Angleterre. Le front nord a disparu.
Avec l’usurpateur, c’est le statu quo : nos nombreuses victoires contre ses mignons contrebalancent largement la perte de nos provinces, mais le misérable refuse la paix et s’obstine dans sa folie guerrière

. A Londres, tout le monde s’en fiche : la guerre longue ne nous fait pas peur 8) . Écumant de rage, la bête sanguinaire s’attaque alors sauvagement, à nouveau, à la Bourgogne, puis à la Lorraine, non sans avoir préalablement dépecé la Bretagne : son avidité ne semble pas avoir de limites. Tant de crimes ne peuvent rester impunis plus longtemps et puisque personne en Europe ne semble avoir le courage de réagir, l’Angleterre prend les choses en main et rassemble ses troupes

.
]Acte III. L’Empire contre-attaque
Nos vaillantes troupes se précipite avec héroïsme en Artois, où un autre mignon de l’usurpateur Charles saccage les campagnes de la Bourgogne : le criminel Richemond. La bataille est terrible, et, une fois encore, les habits rouges restent maîtres du terrain, l’ennemi est traqué comme la bête sauvage qu’il n’a jamais cessé d’être. Richemond est à nouveau écrasé en Champagne puis il se réfugie au Nivernais, où 20.000 criminels alliés (Auvergne) le rejoignent : tous sont écrasés et presque anéantis

!
Le misérable fuit piteusement, la rébellion est décimée, l’Empire est victorieux

! La guerre dure depuis 9 ans déjà, mais tout le peuple d’Angleterre est derrière son Roi : nous lutterons et nous vaincrons !
Acte IV. Les revers de la fortune
Le félon Richemond revient à l’assaut et attaque en Picardie : l’arrivée en dernière minute de Talbot avec d’importants renforts ne permet pas au glorieux Beauchamp de faire basculer la bataille. O Fortuna :( ! L’armée anglaise abandonne le continent, ce ne sera ni la première fois ni la dernière : nous reviendrons :box: !
Le général si souvent victorieux est accueilli avec effusion par Henry VI, Roi légitime d’Angleterre et de France. Le félon achève de dépecer la Bourgogne, il est temps de frapper à nouveau : Beauchamp débarque et pulvérise tout sur son passage, atteignant rapidement Paris, mais ses troupes sont bien minces désormais et le repli est rapide.
Le mauvais sort s’acharne malheureusement sur la sainte Angleterre : Richemond le lâche débarque sournoisement en Cornwall, alors que nos effectifs n’ont jamais été aussi bas depuis le début de la guerre

. La mère patrie est menacée, Beauchamp se précipite et livre bataille dans les Midlands : malgré une supériorité numérique, c’est une très sanglante défaite. Pourquoi la fortune nous abandonne t-elle à ce moment décisif

?
De jeunes recrues sont mobilisées, mais malheureusement elles sont exterminées avant même d’avoir pu achever leur formation. Beauchamp et Talbot unissent alors leur génie militaire pour en finir avec le félon : c’est un horrible désastre, le premier est tué au champ d’honneur, le second se replie avec les débris de l’armée vers Northumberland. Londres est assiégée, la flotte française se réfugie lâchement en Écosse : elle ne pourra pas nous fuir éternellement !
Acte V. 14 années de guerre
Alors que Londres brûle, mais résiste, de nouvelles recrues sont levées au nord et une furieuse contre-attaque doit démarrer pour balayer le mignon de Charles. Notre détermination est sans faille et suscite une légitime admiration partout en Europe, mais le mauvais sort s’acharne encore sur nous : Beauchamp décède dans son lit, l’Angleterre perd un héros qui a si souvent conduit ses armées à la victoire. Pour une défaite subie, nous avons remporté au moins trois victoires.
Privée d’un général de valeur, l’Angleterre ne peut plus continuer la lutte et Henry VI, dans sa grande bonté, condescend à recevoir le félon Richemond, qui se jette à ses pieds royaux et, gémissant, l’implore de lui accorder l’aumône. Soit, le Seigneur ne nous recommande t-il pas d’être généreux ? Après 14 années de guerre ininterrompue, la Picardie est accordée au mendiant français, grand bien lui fasse !
Acte VI. La bête assoiffée de sang
La trêve de 5 ans à peine terminée, l’usurpateur nous attaque une fois encore : n’en a-t-il donc pas assez de ces carnages incessants

? Mais son expansionnisme sans fin a cette fois dressé contre lui les autres souverains d’Europe : les premiers dons parviennent à Londres et, mieux, l’alliance Ibérique, dirigée par la très sainte Castille, se décide à intervenir militairement, malgré le coût élevé pour sa stabilité intérieure. La guerre est déclarée, mais le félon échappe au châtiment par une nouvelle entourloupe bien digne du lâche qu’il est, qu’il n’a jamais cessé d’être. Le sans honneur abandonne ses alliés à leur triste sort et envoi ses pillards contre nous, une fois encore.
Grâce aux dons généreux qui nous été promis, plus de 60.000 soldats vont être mobilisés et, menés par le très compétent maréchal Warwick, encore plus redoutable que nos héros Beauchamp et Talbot, ils vont châtier l’usurpateur, à qui nous disons ceci : il vous a fallu 14 années de guerre pour nous arracher la Picardie, sachez qu’il vous en faudra au moins autant pour chacune de nos autres provinces continentales

!
Aussi, même si la France, état perfide, venait à gagner toutes ses guerres, chose fort improbable vu le soutien européen dont nous disposons maintenant, il lui faudrait pas moins de 90 ans pour nous voler toutes nos provinces continentales ! L’usurpateur est-il prêt à mener un siècle de guerre permanente ? Autant le dire tout de suite, NOUS OUI

. God save The King !
Nous joignons nos prières à celles du très saint Roi de Castille : l’usurpateur et la nation qu’il prétend diriger doivent être mis au ban des nations catholiques, une immense coalition doit se lever pour mettre fin à ses innombrables crimes avant que sa boulimie infernale n’engloutisse toute l’Europe (car oui, VOUS serez tôt ou tard victime de sa vilenie : aux aaaaaaaaaarmes !

).
Henry VI, Roi d’Angleterre et de France
Posté : jeu. févr. 16, 2006 11:45 pm
par Aedan
[align=center]***** Chroniques de l'Empire Romain d'orient 1429 - 1446 *****
[/align]
L'Empire Romain d'orient en Croisade contre les Mamelouks
Les informations inquiétantes provenant d'orient ne pouvait laisser insensible l'Empereur qui faisait du rapprochement avec les latins le fondement même de sa nouvelle politique.
Mais la guerre dans le nord faisait rage et il fallut presque un an pour que le Prince Constantin puisse rentrer à Constantinople préparer la croisade.
Le Prince Constantin rassembla 24.000 croisés romains dont 10.000 Cataphractes impériales et la flotte impériale mis le cap sur l'Egypte. Mais enfin les croisés Ibériques avaient pu redresser la situation et les mamelouk cédèrent Jérusalem, Acre et Alexandrie aux Chrétiens. Alleluia, apres que les arabes se soient emparés de ces villes impériales au VIIeme siècle, enfin elle retrouvait une administration Chrétienne... fut -elle Castillane et Portugaise.
Le Prince Constantin débarqua à Damiette puis se porta sur Le Caire. Des forces Mamelouks tentèrent de lui barrer le chemin et se firent écraser sous les charges des cataphractes impériales. Le Siège du Caire fut installé rapidement avant qu'une nouvelle armée Mamelouk surgit de l'Ouest.. une force formidable rassemblant plus de 30.000 guerriers... la terrible armée qui combatait auparavant en Palestine et que la paix séparé des ibériques rendait disponible.
Constantin rassembla ses forces, 19.000h à l'est de la ville dans une configuration assez classique avec son infanterie au centre et sa cavalerie en reserve en arrière. Les Mamelouks chargèrent au centre sur de leurs forces et de leurs nombres. L'Infanterie impériale encaissa le choc avec grande difficulté tout en subissant une pluie inintérrompu de flèche de la cavalerie à cheval Mamelouk. La situation devenait confuse, les Mamelouk disposant d'une véritable supériorité au corps à corps.
Mais une fois de plus, la cavalerie impériale devait emporter la décision. Le Prince Constantin agé à présent de 27 ans conduisit la contre attaque des Cataphractes impériales. Contournant le centre de la bataille, il n'eut aucun mal à bousculer et rejetter la cavalerie et les méharies mamelouks d'autant que les archers avait le plus grand mal à transpercer les lourdes armures impériales.
Le moral des mamelouks flechit soudainement et les lignes se débandèrent les unes aprés les autres impitoyablement poursuivit par la cavalerie impériale. Les combats durèrent toute la journée et se poursuivirent jusqu'a la tombée de la nuit. L'armée Romaine perdit 3.000h et les Mamelouks plus de 23.000h.
Il n'existait alors plus aucune force Mamelouk en état de combattre en Egypte. Le Caire ouvrit ses portes aux forces impériales suivit du port Egyptien de Damiette et de l'ensemble des places de la basse vallée du Nil.
Mais la paix séparé des forces ibériques laissait les troupes pontificales du Liban en fort mauvaise posture. L'empereur Jean VIII Paléologue ordona alors à son frère de conduire les croisés Romains au levant afin de sauver les Pontificaux.
L'Empereur Jean VIII Paléologue
Constantin arriva devant Beyrout trop tard, une armée Mamelouk venait de mettre en déroute les troupes Pontificales. Le Prince choisi alors d'ordonner le siège de la ville et de se porter immédiatement sur Damas à la rencontre des pontificaux. Une ultime contre attaque des Mamelouks fut repoussé. Désormais plus aucune force n'était capable de s'opposer aux croisés.
A la demande personelle du Pape, le Siège de Beyrouth fut cédé aux troupes Pontificales. L'Empereur faisait d'une priorité reprise d'Antioche mais hélas la ville avait été capturée et était fermement tenue par des troupes génoises alliés du Pape.
Aprés des mois d'attente afin d'aider les troupes pontificales, la paix fut finalement signé avec les Mamelouks qui cedaient la Syrie et Damiette à l'Empire.
Dans le delta du Nil, l'empire ceda ses terres à un prétendant Fatimide dans l'espoir de relancer la rivalité séculaire entre les Mamelouks et leurs anciens maitres fatimides. En Syrie fut créé la principauté Damasquine mais qui fut iméditament renversé par les Ayyubides.
L'Orient était redevenu tel qu'il fut 2 siècle plus tot. Des états Latins entourés des Mamelouks, Fatimides et Ayyubides.
Avec l'aquisition du Liban par la Papauté, se terminait ainsi la Xeme croisade (la IXeme étant toujour en cours en Anatolie entre les Hospitaliers, Vénitiens et Chypriote contre les peuplades turques).
Posté : ven. févr. 17, 2006 3:57 pm
par Aedan
[align=center]***** Chroniques de l'Empire Romain d'orient 1429 - 1446 *****
[/align]
La soumission du duché d'Athène à l'Empire
La croisade enfin terminée, les soldats impériaux purent enfin rentrer et gouter a un repos bien mérité. Les années 1435-36 furent des années de prospérité. Le dernier emprunt de 200.000 florins auprés des banques florentines put etre remboursé alégeant le budget impérial de 24.000 florint annuel d'interet et de service de la dette.
L'empereur Jean VIII nomma deux nouveaux Baillis en Bulgarie et en Roumélie augmentant sensiblement les revenus impériaux.
Enfin et surtout, la paix apporta le bonheur et la prospérité au sein de l'empire et le calme revint dans toutes les provinces apres 15 années de guerre.
Mais l'Empereur n'était pas satisfait du duc d'Athène. Celui-ci s'était engagé à ne pas comploter contre l'empire et pourtant les espions de l'empereur confirmaient que le duc nouait à nouveau de solides relation avec la cité marchande de raguse ainsi qu'avec les Bosniaques dans le but à peine voilé de reprendre l'Epire et Durazzo à l'Empire.
Jean VIII décida de prendre les devant et envoya une nouvelle fois son jeune frère en campagne des 1437 apres seulement 2 année de paix.
Le 5 mars 1437, les armées impériales pénétraient dans les plaines de Thessalie. L'armée Athéniene forte de 12.000h s'était immédiatement porté vers le sud et avait envahie le Péloponèse assiégeant les places impériales de Corinthe et de Nauplie.
Athène était donc resté sans couverture et le Prince Constantin pu y mettre le siège sans resistance.
Mais la fière cité de Raguse était déjà en train de recruter des mercenaires allemands et Italiens et une puissance armée de plus de 20.000h était en formation dans la cité Adriatique. Constantin ne voulait pas laisser les Raguséens franchir les cols d'Epire et se porter une nouvelle fois sur Durazzo. Laissant seulement 6.000h devant Athène, il prit la route du Nord-Ouest pour assurer la défense de l'Epire avec 8.000 fantassins.
Début septembre, le siège d'Athène se poursuivait et la ville commençait à donner de sérieux signe de lassitude et d'épuisement alors que les places de Nauplie et de Corinthe tenaient toujour fermement les frontières du Péloponèse et de la Morée impériale. Mais les Raguséens étaient fin pret et passèrent à l'offensive en direction du sud, plus de 20.000 Soldats prirent la route de l'Epire ou les attendait l'armée du Prince Constantin. Au même moment, l'armée grecque d'Athène abandonna son invasion du Péloponèse et se porta en Attique afinde briser le siège d'Athène.
Constantin Paléologue était devant un cruel dilemne. Devait t'il se porter au secour de l'armée romaine d'Athène suceptible de se retrouver en trés mauvaise posture concée entre la ville d'Athène et l'armée Greques revenant de Corinthe? Mais pour cela il fallait renoncer à la defense de l'Epire et de ses cols et l'abandonner aux Raguséens dont les 20.000h seraient alors pratiquement indélogeable de Durazzo et des montagnes d'Epire par la suite...
Le Prince Constantin avec ses 8.000 prefera attendre l'offensive de Raguse et ordonna à l'armée de Grece de décrocher de Grèce et de se replier sur la Macédoine et Thessalonique au dela de l'Axios.
Le plan diabolique de Raguse n'avait pas fonctionné. Les Raguséens furent extrement surprit de voir l'unique voie menant en Epire fermement tenue pas les forces romaines. Forçant le passage, ils livrèrent une bataille dans des conditions extrement difficiles face à une armée impériale bien disposées sur les hauteurs. La Bataille d'Epire se termina en terrible débacle et plus de 14.000 Raguséens périrent pour seulement 2.000 romains. 6.000 raguséens terrifié s'enfuirent vers Raguse abandonnant leur convois de ravitaillement et tout leur matériel de Siège. Raguse venait de perdre tout moyen d'envahir l'Epire pour plusieurs années.
Constantin et ses 6.000 soldats pouvait alors se retourner enfin vers Athènes. Mais il était hélas trop tard, l'arrière garde Impériale s'était fait rattraper à 100 km au nord d'Athène par l'armée grecque et avait subit une terrible défaite perdant 50% de ses forces.
Novembre 1436, Constantin Paléologue ne pouvait que constater le désastre. Même en ayant réunit toutes ses forces en Macédoine, il ne disposait plus que de 9.000h dont cependant 4.000 Cataphractes. Les Athéniens alignaient 12.000 soldats. Néenmoins, décision fut prise de ne pas hiverner à Thessalonique et de repartir imméditament en campagne vers le sud pour empecher les grecs de se reorganiser et de réparer les murailles d'Athènes.
Franchissant une nouvelle fois l'Axios, l'armée Romaine se porta vers le Sud à la recherche des grecs et la bataille décisive eu lieu à Larissa au coeur de la Thessalie.
Le Duc d'Athène disposait de la supériorité numérique mais d'une faible cavalerie... à peine 500 chevaliers Angevins et Provençaux qui formait le coeur des forces des Villeardouins, le reste n'étant composé que de suplétifs et d'hommes à pied originaire d'Attique et de Thessalie.
La Bataille ne dura que 3 petites heures. Les 4.000 Cataphractes impériales culbutèrent les chevaliers féodaux français et le reste ne fut qu'une horrible curée, les hommes à pied étant incapable de tenir face à une charge de cataphractaires et leurs longues lances.
L'armée Angevine fut complètement anéhenti et le Duc retrouvé mort sur le champs de bataille transpersé par une lance romaine. Constantin n'avait perdu que 2.000 soldats et remportait une de ses plus brillantes victoire, une nouvelle fois acquise grace à la supériorité en plaine des Cataphractes sur une armée essentielement composée d'homme à pied.
Apprenant la mort du Duc , la ville d'Athène ouvrit ses portes sans combattre et fit un triomphe inattendu au Prince Constantin Paléologue lors de son entrée dans la Ville.
Athène, apres plus de deux siècles d'occupation latine, revenait à nouveau dans le giron impérial et la oopulation orthoxes et grecque retrouvait un partiarche.
L'armée impériale était fatiguée cependant et la conquète de Raguse s'annonçait extrement meutrière. Même si c'était la 2eme fois que Raguse affrontait ouvertement l'Empire Romain d'Orient, l'Empereur Jean VIII Paléologue était pret à mettre fin à cette guerre au plus vite d'autant que Raguse était Catholique et que l'empereur ne voulait pas indisposer le Pape avant la tenue du concile de Florence prévu poour 1439.
Raguse ruinée accepta avec empressement de signer une paix blanche avec l'Empire
***** 1439 : Le concile de Florence et l'union des Eglises *****
Depuis la mort de l'empereur Manuel II, Jean VIII Paléologue n'avait eu de cesse de chercher à se rapprocher de l'occident latin et du Pape.
Sa volonté d'engager l'empire dans la Xeme croisade contre les Mamelouks, d'avoir demandé à son frère d'aider les pontificaux à s'emparer du Liban et enfin sa volonté d'epargner Raguse faisait ainsi partie de son plan d'ensemble de raprochement avec l'Eglise Catholique.
Les envoyés impériaux qui se rendirent à Florence pour le grand concile de l'eglise avait ainsi reçu les consignes extrement précis de tout tenter pour reussir la fusion des eglises.
Le concile fut difficile et si le Pape semblait bien disposé à l'égard de l'Empire Romain d'Orient, nombre de cardinaux italiens ne comptait ps cédait un pouce sur le terrain dogmatique et théolgique. Le point principal d'achopement portait sur la théorie du
filioque et de
l'esprit saint. Sur ce points les différences d'interpérations étaient immenses et pratiquement incompatible. Mais la politique l'emporta sur le religieux, le pape et l'empereur romain d'orient étant décidé à s'entendre.
A l'issue du concile de Florence, la fusion des eglises étaient réalisés sur une base résolument catholique dans son esprit et dans ses rites. Le Patriarche de Constantinople Alexis restant en place mais devenant Cardinal de l'eglise catholique et romaine.
A Constantinople ce fut la stupeur et le clergé n'accepta pas la décision impériale. Le Patriarche Alexis fut alors démissioné de sa charge par l'Empereur et contraint à l'exil. Alexis et sa suite s'embarquèrent alors pour la crimée et rejoignit le grand duché de Moscovie ou le grand duc semble l'avoir reçu a bras ouvert à Moscou.
Jean VIII nomma alors en accord avec le pape, l'ancien évèque d'Athenes, Jean de Guicourt, au titre de cardinal de Constantinople.
Le 25 décembre 1439, sa majesté impériale Jean VIII Paléologue était baptisé selon les rites catholiques par le Cardinal Jean de Guicourt au sein de la nouvelle Cathédrale Sainte-Sophie.
Le peuple n'était guere satisfait de ces changements et nombre d'ancien membre du clergé Orthodoxe refusèrent de se soumettre et quittèrent leurs charges remplacé par des latins. La Stabilité de l'Empire était mis à mal mais l'empereur accomplissait ainsi son grand dessin qui avait guidé tout son règne: l'Union des eglises et la latinisation de l'Empire.
L'Empire Romain d'orient revenait aux sources originelles et ses liens avec Rome renouait avec la situation antérieure au grand shisme.
Mais le peuple grondait....
Posté : ven. févr. 17, 2006 6:45 pm
par lemarseillais
Histoire de la guerre de Cent Ans au XVe siècle. 1ere partie
En ce début d'année 1419, le fils et héritier légitime du bon roi Charles VI, menait la lutte contre le traite bourguignon et le perfide roi d'Angleterre. La cause du Dauphin étant juste, il pouvait compter sur l'appui des puissaux ducs de Provence, d'Auvergne, d'Orléanais et de Bourbon. A ce joli monde s'ajoutait l'alliance du fier royaume écossais, longtemps spolié par les barbares anglais, souillé par les fils de veaux d'Albion.
L'anglais des cette année trouva très vite un allié parmi le duc de Savoie. Ce dernier désireux d'étendre ses possessions sur le duché de Provence. Le duc de Bretagne, dernier grand féal du royaume, combattait aux côtés des anglais sans pour autant avoir contracté alliance. Autant les bourguignons pouvaient être accusé de trahison, autant les bretons n'étaient que des profiteurs dans ce conflit. Cela n'empêchait pas une punition exemplaire.
Les troupes du roi étaient disparates, essemées, mal commandées et entrainées, et surtout, pire que tout, manquaient d'ardeur au combat. L'année 1419, comme les deux qui suivirent furent catastrophiques.
Nos troupes, incapables de vaincre, se réfugièrent dans les Alpes laissant nos ennemis fairent ce qu'ils voulaient. Oh bien sur le sang françois étant bien meilleur que celui bourguignon ou anglais, meme avec tout ces handicaps nous remportames quelques grandes victoires. Je me souviens notamment de celle de Dijon où les troupes du dauphin aux côtés de tout ses alliés mis en déroute l'armée anglais commandée par le roi usurpateur en personne.
Il y eu également les brillantes victoires contre les bourguignons qui amenèrent ces derniers à nous implorer la paix dès 1421, ce que dans nous acceptiames pour remplir nos coffres. Mais l'anglais était alors trop fort, ou plutot les troupes du dauphin pas suffisament prête. Et en 1422, nous devions signer une trêve de 5 ans en abandonnant toutes nos positions en Picardie et en remplissant le trésor anglais.
Le Dauphin était patient. Il savait que le vent lui serait un jour favorable. Il savait que Dieu lui enverrait un signe. En attendant cela, il prit le partie de réorganiser ses troupes et de nommer des seigneurs aguerries au combat pour diriger les troupes. Patiemment une armée fut reconstituée. Un fabuleux mécène apporta tout son soutien à notre cause. Fort de cela, nous pouvions en 1426 repartir en guerre contre la Bourgogne qui n'avait toujours pas été puni et refusait de reconnaître comme son roi légitime le Dauphin. Mais ce dernier, plus diplomate que guerrier, laissa encore une chance au duc de Bourgogne de se raviser. Il n'en fit rien alors en janvier 1427 les troupes du dauphin prirent route vers les terres du bourguignon......
Posté : sam. févr. 18, 2006 12:17 pm
par Scarabee
[align=center]
Les vicissitudes du royaume d'Autriche au cours de la première moitié du XV siècle[/align]
L'incompétence
[align=justify]Au cours de l'Europe notre glorieuse nation, entourée de peuples hostiles, se doit de montrer sa puissance, pour prendre un position importante au sein des cours européennes. Ainsi, l'archiduc ordonna à notre grande armée de 40 000 soldats dévoués de fondre sur la Suisse qui nous refusent le passage par les Alpes, notamment pour la commerce. Notre nation étant enclavée, une telle position est considérée comme un acte de guerre à Vienne.
Soutenu par notre vassal de Bade et notre allié milanais, la Suisse tombe rapidement... Mais la trahison est la seule logique des barbares. Usant d'une diplomatie d'un autre age, Milan pris les clés de la ville de Zurich, sans même demander l'avis de l'archiduc. Le reste de notre ennemi accepta d'être notre vassal, nous laissant maintenant la libre traversée des montagnes.
Mais quelques temps plus tard, Bade et la Suisse, pour une simple querelle de prérogatives à la cour de Vienne, se déclarèrent mutuellement la guerre. L'archiduc décida de ne pas intervenir dans ce conflit entre nos vassaux. L'Histoire prouvera que c'était une erreur, mais même les grands hommes en commettent. Au final, Milan l'allié de Bade, annexa sans hésiter les résidus suisses. L'archiduc avait voulu montrer à l'Europe sa force mais il était devenu la risée de tous les princes. Et cela allait continuer...
Vexé par la honte et le déshonneur de la campagne de Suisse, l'archiduc exigea à nos soldats de prendre la richissime, encore appelé Venise. Sans aucune préparation, sans soutien autres puissances, et en oubliant de s'occuper des ennemis de l'intérieur, le désastre était inévitable. Le gouvernement autrichien fut renversé et le Tirol, notre province historique, donné aux vénitiens.[/align]
La revanche
[align=justify]Après avoir analysé les raisons des échecs précédents, et en vu de reprendre le Tirol, l'archiduc se rapprocha de l'alliance Hongro-croate. Pour cela, il n'hésita pas à accueillir et même recueillir quelques nobles de la jeunesse croate pour parfaire leurs éducations et leurs ouvrir les portes de la cour de Vienne. Une fois les relations diplomatiques solidifiées, l'attaque de Venise mobilisa 35 000 autrichiens et environ 15 000 croates. Les hongrois ne prirent aucune part au combat.
Le peuple du Tirol nous acclama et la ville tomba très rapidement. Mais le siège de Venise dura plus de 4 longues années... et les croates, vils et sales, acceptèrent une paix générale avec nos ennemis nous privant de toute autre conquête. Encore une démonstration qui prouvent que la confiance est une chose à utiliser avec une très grande parcimonie.
Une période de paix semble se profiler à l'horizon quand le très Saint Père fait un appel à ses ouailles pour venir le défendre, L'archiduc n'ayant pas pu participer aux croisades contre les mécréants décide de proposer son aide en envoyant un des jeunes immigrés croates appelé Czene à la tête de 29 000 autrichiens. Son talent permis d'anéantir les 20 000 mercenaires de Sienne qui avaient déjà violé Rome et quelques nonnes. Le Pape, au nom de Dieu, nous accorda la gouvernance de la ville de Modène. Mais lorsque les Napolitains et l'alliance milanaise attaquèrent sans raison le symbole de la chrétienne té, nous nous allièrent au Saint Père pour mater les ennemis catholiques.
Aujourd'hui, la ville de Naples est sécurisé et comme nous l'a demandé le Pape elle ne sera pas annexé. Lui seul imposera sa volonté divine sur cette province.[/align]
Posté : sam. févr. 18, 2006 3:39 pm
par ric novice
Chroniques papales
L’armée du Christ, forte de 9 000 hommes, oeuvrait au Liban
Au tout premier accueil enthousiaste de la population chrétienne succéda une vive inquiétude lorsque fut connu l’arrivée dans la proche province de Syrie d’une puissante armée mamelouk de 30 000 h
Les croisés recommandèrent leur âme à Dieu et se retranchèrent dans la montagne, le combat s’engagea et dura plusieurs jours en raison de la configuration très difficile du terrain, ce qui sauva sûrement l’armée du Christ d’un anéantissement
2 000 croisés étaient tombés au combat , les mamelouks en fuite refirent leur force et revinrent à la charge avec exactement la même armée.
Leur attaque fut dévastatrice puisque seulement 1500 croisés survécurent à la deuxième charge des mamelouks
A ne pas douter , dieu met à dur épreuve le cœur des croisés débordant de courage et d’abnégation
Ce millier de survivants du Liban allait devenir des martyrs lorsque fut connu la terrible nouvelle qu’ils ne seraient pas secouru
En Europe, Naples la cité perverse et sa consœur de modène profitèrent au mépris de l’avertissement d’excommunication du pape, de la situation pour envahir le domaine papale et mettre le siège devant Rome !
Rome fut investie rapidement par les 30 000 mercenaires napolitains mais les vrais chrétiens de l’alliance papale rétablirent la situation en forçant modène à devenir vassal du pape
Le premier traître était éliminé, l’ensemble de la coalition (pape, toscane, sienne, mantua et nouvellement modène) fondirent sur Naples et par un succession de combats, reprirent Rome, enlevèrent Naples et bientôt Apulie
L’Espagne et le Portugal après avoir libéré Jérusalem s’en était retourné en Espagne
Jerusalem, la ville sainte était revenu au monde chrétien ; grâce soit rendu aux filles de l’église
La croisade pouvait continuer, Martin V n’avait pas accorder de paix au mamelouk
En effet le liban, terre chrétienne ne pouvait être abandonné aux mains impies, l’alliance papale pouvait poursuivre son œuvre en terre sainte
Les longues années de guerre et épisodes européens n’avaient pas entamé la résolution du pape dans sa sainte mission
A suivre…
Posté : lun. févr. 20, 2006 9:48 am
par loda
Moscovie 1431 - 1446 :
beaucoup de guerres et des dénouements différents.
La guerre contre les chevaliers teutoniques s'éternise, le grand duc ne veux pas s'enfoncer dans les terres hostiles sans couverture : il se contente de prendre Pskov et attend les armées ennemies à l'abris en Moscovie. Cette mesure va sauver son armée car les royaumes commerçants de la baltique ont levé des armées immenses qui vont déferler sur nos terres par vagues successives. Ces dernières seront écrasées une par une, non sans mal, mais nous ne pourrons éviter la reprise de Pskov par les chevaliers.
Les hostilités cesseront, sans paix pour autant, pour une bonne raison : la guerre entre ces mêmes peuples de la baltique et l'alliance polo-lithuaniennes. Le grand duc voit alors une opportunité unique se présenter à lui : il attends quelques mois et attaque la Lithuanie en espérant la trouver affaiblie.
Malheureusement, la lithuanie signe qq jours plus tard la paix avec l'alliance teutonique... (et quand on dit que l'IA est nulle hein!) : nos nous trouvons alors en guerre contre les pays baltes et l'ogre Lithuanien et son alliance. Le grand duc arrive à prendre 2 provinces lithuaniennes avant de se contenter de défendre. La guerre va s'éterniser et nous serons attaqué successivement par Suzdal et les danois sans qu'aucun des 2 ne prennent l'initiative (lol

).
Finalement, avec un pays à bout de forces et ou la révolte gronde, le grand duc doit signer des paix peu avantageuses : 100 ducats de raçonné à l'alliance baltique et Tula arrachée aux griffes Lithuaniennes. Des paix blanches seront signées avec Suzdal et le danemark sans qu'aucun combat n'ait eu lieu.
Les dernières années seront consacrées à la colonisation des provinces du nord et au remplissage des coffres du royaume. De nombreux évèques orthodoxes seront envoyés dans l'ouest pour essayer de convertir la population majoritairement catholique.
Côté politique étrangère, nous avons été troublés par la soi-disant conversion du Basileus au catholicisme
Les espions moscovites pensent que l'empire romain a du recevoir une promesse d'aide financière substantielle pour mettre à bas 1000 ans de guerre idéologique avec Rome.
Toujours est-il que le Patriarche de Constantinople s'est exilé devant un tel affront et a été accueilli en grande pompe dans notre capitale. D'après ce dernier, le peuple byzantin gronde et les conversions ne se font qu'au compte-goutte.
Nous espérons simplement que cette décision n'était qu'une "erreur" seulement due à la situation géopolitique à Constantinople et que le Basileus reviendra vite à la vrai foi.
Posté : mer. févr. 22, 2006 10:07 am
par LeRenard
Dans un coin sombre de Suède 1446
Mes très chers frères, voilà 27 ans, nous avons fait le serment de lutter
pour la liberté et la grandeur du peuple de Suède. Que c'est il passé
depuis ?
Et bien sous l'impulsion du mercenaire Jimbörg, nous avons mis a bas
les baillis Danois et rompu cette vassalité qui durait depuis
trop longtemps. Notre peuple a ensuite enduré 2 terrible guerre
contre le monstre Danois assoifé de sang. Nous avons lutté coude à
coude avec les armes qui étaient les Notres et nous avons vaincus,
par 2 fois le Palais du Roi Danois a été pillé. Malheureusemnt, si nous
sommes sorti auréolés de gloire et d'honneur de ces sanglants
affrontement, nous n'avons jamais pu réellement pu en tirer
suffisemment profit pour jeter les Danois hors de Scandinavie.
Cela doit être fait maintenant, mes frère prenons encore une fois les
armes et battons nous jusqu'à la mort pour envoyé le Diable danois en enfer !....
Vive la Suède.....!!
Vive la confrérie de l'Aigle !!!
.....
.....
......
.......
****Quelques heures plus tard dans une sombre taverne ****
-Hips.....hips.....rôôôôô......
Je te le ddiii Dantus.....slurp..... ces femmes son des voleuses.....
Mon bon Marseillas.....volée par une de ses donzelles aux forbe
généreuses.....quel gâchis... un si bon compagnon....hips....
le voilà qui éléve des rennes et des gosses dans le grand nord...
hips.....sotise que tout cela.....
Heureusment, que toi tu es toujours là.....hips....bon t'es un peu
tourmenté comme gars mais t'es pas un mauvais bougre quand tu....hips
oublie 2 minutes ton Seigneurs.......quel est le programme de demain au fait....hips..........
- Heuuuuuu....je crois que le Seigneur tout puissant nous assigne
une croisade contre le malin, nous devons libérer le monde du mal
et exciser les pechers de ce monde....le Seigneur est grand et....
BAAAAAAAAAAAAAAAAAAFFFFFFFFFFFFFFFFF !!!!
- Concrétement Dantus ...hips...stp j'ai pas la tête a écouter tes
gérémiades....
- hum hum ...nous allons défaire le Danois, et le chasser de
Scandinavie tels sont les voeux du seigneur.
- Bon en route alors....!....vraaaaaaaaammmmmmmm......
- oui oui on fera cela demain Jimried, il me semble que
vous n^'êtes pas vraiment opérationnel ce soir.....
- hip...... hips..... hips......que ze qui te fait dirrrrre zelaaaaaa...??
Posté : mer. févr. 22, 2006 2:12 pm
par Leaz
Royaume du portugal 1429-1446 :
Le roi João I o grande mourrut en 1433, le roi Duarte lui succéda, hélas son reigne fut de courte durée car Duarte o eloquente, mourrut 5 ans plus tard d'une terrible fièvre ramenée d'afrique.
C'est donc Affonso V qui est désormais le roi du Portugal, surnomé "o africano" (l'africains).
Le roi Affonso V
Le reigne de Duarte et celui d'Affonso furent tout les deux marqués par des évenements majeur : nos explorateur, en quête du nouveau monde et de l'inde ont fais des découvertes impréssionante, ainsi le continent afrique dont ne savions finallement pas grand chose est immense, et c'est au confins du plateau teresstre que nos marins ont enfin pus voguer vers l'Est aprés avoir suivis une interminable côte, est-ce l'inde qui nous attend au delà de l'afrique ?
Mais une des découverte les plus interessante de nos explorateur est qu'il semble y avoir une route de l'inde vers l'ouest ! En effet en l'an de grâçe 1443, l'expedition de Diego da silva voguant vers l'ouest sur ordre de notre bon roi tomba sur une terre inconue ! Ils faillirent passer a coter car c'est de nuit qu'ils l'aperçurent alors qu'ils avaient décider de faire demi tour au bon matin a cause du manque de vivres et du scorbut qui avais déjà fais un mort. Mais gloire a lui, c'est le jeune mousse Leazão da Brasila qui, somnolant en haut du mat apperçus au loin un feu brillant dans la nuit !
Notre bon roi guidant nos marins qui risquent leur vie pour la gloire du royaume
En europe hélas, le même enthousiasme qui reigner en maitre a la cour de Lisbonne n'était pas de mise, la guerre de 100 ans fesait rage et le Roi de France, que nous soutenions moralement se révèle un lion de guerre, le cousin du roi, Juan II de Castille s'est montré fort inquiet de cette montée en puissance et nous a prié de retirer notre soutien morale a l'usurpateur français.
Posté : jeu. févr. 23, 2006 8:48 am
par Scarabee
[align=center]
Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicæ[/align]
[align=justify]A la mort de Sigismond, en 1437, la couronne revint aux Habsbourg, avec Albert II d'Autriche. Mais son règne se brisa rapidement, et Frédéric III de Habsbourg fut consacré à Rome, par les mains même du Saint Père en 1440.
Les Electeurs du SERG ont élu l'archiduc d'Autriche au rang d'Empereur. L'ensemble des cours européennes devront appliquer le protocole dut à son rang :
Empereur des Romains[/align]
Posté : jeu. févr. 23, 2006 9:38 am
par lemarseillais
Histoire de la guerre de Cent Ans au XVe siècle. 2e partie
Le Dauphin, avec le conseil des grands seigneurs de guerre qu'étaient le sieur Richemont et le bâtard d'Orléans Dunois, mis sur place une stratégie qui visait à briser l'alliance anglo-bourguignonne et permettrait au vrai roi de reprendre des terres sur l'un comme sur l'autre.
En effet, les scellées de la paix entre Français et Bourguignons étaient brisés depuis 3 ans déjà, seule la trêve avec l'Angleterre devait encore perdurer 3 mois (mars 1427). Monsieur mis alors le roi anglais devant le choix suivant: soutenir son allié et trahir sa parole et la trêve, ou abandonné son allié pour faire honneur à sa parole.
Il n'est pas besoin de préciser que le roi anglais opta pour la trahison de sa parole. Mais ce cela, les troupes royales n'en avaient cure et avaient entamé la soumission de la Bourgogne.
Déjà les Flandres, la Bourgogne françaises et l'Artois se soumettaient progressivement sous les armées françaises. L'anglais n'osait plus poser le pied sur le continent. Ses tentatives se limitèrent à repousser Richemont qui maintenait sous contrôle les riches Flandres. Par 2 fois, plus de 40000 anglais débarquèrent contre nos 25000 hommes. Par 2 fois, Richemont écrasa les armées anglaises avec un minimum de perte pour nous (ce qui n'était pas le cas du côté anglais). Voyant l'incapicité de son allié à venir le secourir, le duc de Bourgogne offra son repentir. Ce que nous refusâmes. Sa trahison méritait un châtiment beaucoup plus sévére, le Dauphin allait bientôt déclarait la comisse des terres bourguignonnes. Pour l'heure, car il fallait s'occuper de l'anglais, une nouvelle trêve fut faîte, les troupes françaises gardant osus leur controle les Flandres.
Posté : jeu. févr. 23, 2006 11:33 am
par Aedan
[align=center]***** Chroniques de l'Empire Romain d'orient 1445 - 1460 *****
[/align]
La fin de Règne de l'empereur Jean VIII Paléologue
Les dernieres années de règne de Jean VIII furent assombries par une politique pro-latine devenue de plus en plus extremiste.
L'Union des Eglises négociée au Concile de Florence en 1439 avait profondément divisé l'empire. Si les élites aristocratiques proches de la cours impériale et la bourgeoisie d'affaire étaient plutot satisfaite du rapprochement avec l'occident... les campagnes, les villes de province et le petit peuple de la capitale étaient profondément hostiles aux changements voulus par l'empereur.
Mais Jean VIII était l'empereur du redressement et le peuple lui en était reconaissant ainsi qu'a toute la famille Paléologue dont la popularité était immense. Il n'y eu finalement que quelques émeutes en Macédoine et à Andrinople. Le Peuple était mécontent, l'ancien clergé orthodoxe fulminait mais l'Empire sous la volontée de son empereur était redevenu plus latin et occidental.
L'Empire venait juste de retrouver la paix apres les longues guerres contre Raguse et le duché Angevin d'Athènes. Mais l'Empereur devenait de plus en plus mystique, il voulait imméditament relancer une croisade contre les turcs musulmans de l'est et délivrer les populations chrétiennes d'Anatolie
En Anatolie, pendant que l'empire Romain guerroyait dans les Balkans et en terre-sainte, le Sultan de Karaman lança une offensive contre l'empire de Trebizonde. La ville fut rapidement prise et Alexis IV Comnène perit en défendant la derniere forteresse de la ville. Cependant peu avant la chute de la ville, Alexis put faire évacuer sa femme Theodora et ses enfants Sophia et Justin qui furent acceuilli par l'empereur Jean à Constantinople.
Délivré de la guerre à l'Ouest, Jean VIII confia en 1442 à son frère Constantin agé maintenant de 37 ans la charge d'une nouvelle croisadre contre Karaman dont le but était la délivrance de Trebizonde.
Le Prince Constantin disposait de 24.000 pour cette campagne. Il divisa ses forces en 2 armées.
La 1ere armée commandé par le capitaine Vataces quitta ses campements d'Ephèse pour l'Est avec comme objectif de guerre la ville de Konya. Pendant ce temps, la flotte impériale traversant la mer noire, débarqua Constantin et 10.000h à Trebizonde.
Les forces de Karaman furent rapidement débordé car dans la région d'Antalya et d'Adana, la lutte contre l'alliance Venitienne était déjà rude.
Le Sultan de Karaman était alors pret à négocier. Karaman céda Trebizonde à l'Empire et Adana à Venize.
-------------------------------------------
1445 - L'Offensive mongole et la débacle impériale
Si la reprise de Trebizonde était un evenement majeur, cette ville devait apporter le malheur à l'empire tout entier. En effet avec Trebizonde, les frontières de l'Empire atteignait celle des hordes mongoles de l'Elephant blanc. Le Kahn Mongol ne tarda guerre et au printemps 1445, la Horde de l'elephant blanc et celle de la Horde dorée entrait en guerre contre l'Empire Romain d'Orient.
Le Prince Constantin se trouvait toujour à Trebizonde quand les Mongols déclarèrent la guerre. Quels pouvaient être encore la force de la horde en cette année 1445? Il était difficile de le savoir et Constantin préconisa la prudence en attendant de mieux évaluer la force des adversaires.
Mais l'Empereur Jean ne voulu rien savoir.... pour la gloire de l'empire et du Christ, les armées Chrétiennes devaient se porter en avant vers l'Est toujour plus loin et terrasser l'islam. Il envoya imméditament en renfort 12.000 soldat commandée par le condotière vénitien Giustiniani à Trebizonde. Enfin l'empereur envoya une ambassade au grand duc de Moscovie l'exortant à lancer simultanément une campagne contre la horde dorée. Mais le Grand duché Moscovite était en pleine réorganisation et ne pouvait entrer en campagne avant plusieurs années. Il n'est pas impossible que l'ancien patriarche de Constantinople Alexius ai pu influencer le grand duc.
Mai 1445 et sur ordre de l'empereur, Constantin lance l'offensive sur le Caucase. Prenant la moitiée de l'armée soit 12.000h, Constantin se porte plein est sur l'Arménie tandis que Giustiniani se dirige vers le Sud-Est et la capitale de la horde de l'Elephant Blanc.
Les sièges sont instaurés avec grande difficulté dans ces puissantes montagnes du Caucase. Le ravitaillement est difficile et ne traversent les hauts cols qu'avec grande difficultée. Pourtant pendant plus de 3 mois, les sièges se poursuivent sans que les mongols ne se montrent...
Mais au début de l'Automne 1445, des nouvelles terriblements inquiétantes viennent de l'Est et des rivages de la Caspienne. Des forces mongoles innombrables se rassemblent. On parle de 50.000 mongols de la Horde dorée venant du nord et de 35.000 mongols dela horde de l'Elephant Blanc venant du Sud-est.
La raison pousserait à un replis rapide sur Trebizonde mais les ordres de l'empereur Jean sont clairs, les armées croisées romaines ne doivent pas céder un pouce de terrain!
Alors que l'Hivers s'abat sur les montagne arméniennes, une avant garde mongole de 18.000h attaque Constantin en Arménie. Ce sera une grande victoire Romaine, Constantin une nouvelle fois repousse un ennemis supérieur en nombre grace à son génie militaire. Cependant les pertes sont lourdes... 4.000 croisés Romains sont tués... il ne reste plus que 8.000h à Constantin en Arménie.
Jean VIII décide d'intensifier l'effort impérial et 4.000h de plus sont levés dans la province de Trebizonde
Mais au Sud devant la capitale de la Horde de l'elephant blanc, un terrible drame se joue au même Instant. Les troupes de Giustiniani ont laché pied devant plus de 30.000 mongols. La retraite vers Trebizonde semble se transformer en desastre car la horde Mongole entamme imméditament la poursuite pour empecher les Romains de se rétablir à Trebizonde.
Le Prince Constantin risque de se retrouver bloqué et isolé en Arméenie si les Mongols débouchent sur Trebizonde au moment même ou l'Hivers s'intensifie encore... les températures en décembre 1445 chuteront à des niveaux extremes.... les derniers chevaux de l'armée périront de froid... il n'y a plus de Cataphracte en état de combattre.
Constantin ordonne donc la retraite précipitée vers l'Ouest au moment ou les 40.000 Mongols de la mer caspienne se mettent eux aussi en marche sur l'arménie.
A Trebizonde la panique s'installe car l'Empire n'y dispose que de 4.000 recue sans entrainement pour defendre la ville. Quand l'armée de Guistiniani atteind enfin la ville, elle ne compte plus que 7.000h et n'a que 3 jours de marche d'avance sur les Mongols.
Janvier 1446, la bataille s'engage devant Trebizonde. 28.000 mongols de la horde de l'Elephant Blanc attaque les romains commandé par Guistiniani. La bataille s'engage immédiatement trés mal, les mongols ont un moral incontestablement supérieur à celui des romains éprouvés par la retraite. Mais heuresement l'armée de Constantin surgit alors sur les arrieres des mongols et le Kahn décide d'organiser une retraite prudente.
Le Kahn de la horde de l'Elephant Blanc sait que le temps joue en sa faveur et qu'il ne doit pas prendre de risque. Son allié de la Horde d'Or est en train de rassembler 45.000 soldats en Arménie. Ainsi au printemps 46, il disposera de 80.000h pour écraser à coups sur l'armée Romaine refgiée à Trebizonde.
Le Prince Constantin à Trebizonde est également convaincu que la campagne est désormais irrémédiablement perdu et que l'empire va au massacre face à ces mongols dont la force est terrible et qui surpasse de loin les capacités de l'empire Romain. Disposant de 20.000h à Trebizonde, Constantin ordonne l'évacuation de l'armée par voie de mer.
Mais cela fait bien longtemps que la flotte impériale n'a plus reçu de crédit en nombre suffisant et elle est incapable d'assurer la totalité du transport necessaire en un seul voyage.
Le prince Constantin, Le général vénitien Giustiniani et 12.000h embarquent donc en Janvier 1446 pour Constantinople en esperant etre de retour rapidement pour sauver les 8.000 soldats restés à Trebizonde.
Mais les vents contraires retardent la flotte et les Mongols ne perdent pas de temps et lancent l'offensive avec toutes leurs forces...soit plus de 80.000h.
Les romains se sont réfugiés au port en attendant le retour de la flotte et livrent leur ultime combat sur les quais de Trebizonde. La bataille durera 4 jours et 4 nuits pendant lesquels les Mongols doivent gagner chaque metres de terrain aux prix de lourdes pertes.
Mais quand la flotte de Constantin arrive enfin, il est trop tard, la bataille vient de se terminer et 8.000 cadavres romains gisent dans le port et la basse ville... il n'y a aucun survivant...
L'armée Mongole est occupée à faire le Siège de la forteresse de Trebizonde... Il n'y a plus rien a faire ni à tenter... Le coeur brisé par cette tragédie qu'il aura tout fait pour eviter, Constantin et la flotte reprirent la mer pour Constantinople.
Juin 1446, le Prince Constantin à son retour de Trebizonde sera convoqué par l'Empereur Jean VIII pour haute trahison et pour avoir abandonné la défense de l'empire devant les mongols. Relevé de son commandement militaire des forces impériales, le Prince Constantin sera disgracié et placé en residence surveillé et exilé sur l'Ile de Chios en mer egée avec interdiction de revenir. Constantin, malgré les appels de ses partisants, refusa de se lever contre l'empereur et de déposer son frère Jean du trone impérial.
A 39 ans, le Prince Constantin, malgré tout ce qu'il avait fait pour l'empire, partait pour l'Exil...
Le départ de Constantin ne sauva pas l'empire. Les hordes Mongoles prirent Trebizonde et l'incendia et se porterent en Anatolie centrale et capturèrent Ankara puis leurs avancée stoppa soudainement. D'Ankara, la route vers Constantinople et Ephèse était bloquée par les terres Chypriote de Brousse et les terres turcs des Karamans. Ne disposant pas de flotte, la vague mongole se stabilisa.
En cette année 1448, la situation de l'empire est desastreuse...
- Les provinces de l'Est sont accupés par les mongols et sont irrécupérables
- Le Prince Constantin est condamné à l'Exil
- l'armée est réduite à 11.000h, la flotte à 10 galères
- l'économie s'effondre et les revenus impériaux également tout en voyant une inflation s'envoler
Le peuple de Constantinople sera plus soulagé, que surpris, quand en ce 31 octobre 1448, l'Empereur Jean VIII Paléologue sera poignardé par un ancien moine orthodoxe....
Posté : jeu. févr. 23, 2006 4:14 pm
par Aedan
[align=center]***** Chroniques de l'Empire Romain d'orient 1445 - 1460 *****
[/align]
5 novembre 1448 : Constantin XI Paléologue Empereur
Le 31 octobre 1448, l'Empereur Jean VIII visitait la consécration d'une nouvelle Eglise catholique à Constantinople quand un ancien moine Orthodoxe parvint à se jeter sur lui et à le poignarder dans le bas-ventre.
Porté de tout urgence dans ses appartements du palais des Blachernes, il confia à ses proches qu'il léguait naturellement l'Empire à son jeune frère Constantin. Il s'éteignit dans la soirée apres que le cardinal Jean de Guicourt lui ai donné les derniers sacrements.
Jean VIII avait été un grand empereur et avait gouverné pendant 24 ans avec sagesse à la suite de son père Manuel II. Cependant sa ferveur quasi mystique avait été à l'origine du Concil de Florence, de l'union des Eglises et de la division de l'empire en confession religieuse antagoniste.
Le 4 novembre 1448, le Prince Constantin rentrait de l'Ile de Chios et le lendemain 5 novembre 1448, il était couronné empereur de l'Empire Romain d'Orient sous le nom de Constantin XI en la cathédrale Sainte-Sophie par le Cardinal Jean de Guicourt.
La guerre contre Venize
Constantin n'avait pas la ferveur religieuse de son frère Jean mais les engagements prit par l'empire devait être tenu comme lui rapella le cardinal de Guicourt.
En Italie, les Venitiens était en guerre contre la papauté et leurs ville était protégée des armées Austro-Pontificales par la lagune sous controle de la flotte Vénitienne. Il semblait évident pour tous que sans le controle de la mer Adriatique, il serait impossible de faire ceder la république de Venize.
L'Empire n'avait pas oublié le role de Venize dans le sac de Constantinople en 1204 et son Empereur était fermement décidé à soutenir le Pape et l'archiduc d'Autriche.
La flotte était cependant dans un état lamentable et bien incapable de tenir tête à la flotte Vénitienne. Pendant 2 ans, un vaste programe de construction navale fut entreprit et l'Empereur Constantin vida le trésor impérial pour cette tache.
Au printemps 1450, la flotte impériale était passé de 10 à 32 galères et vint faire ses derniers ravitaillements dans le port de Durazzo en Epire ou elle embarqua une armée Romaine de 10.000h commandé par le condotière et traitre Vénitien Giustiniani.
La flotte appareilla en mars de Durrazo et se présenta devant Venize en Avril. L'ambassadeur Eusebios apporta alors au Doge de Venize Foscarini, la déclaration de guerre de l'Empire Romain à la serenissime République. Venize fit immédiatement appel à ses alliés Chypriotes ainsi que les Hospitaliers de Rhodes.
Les forces Pontificales prirent l'offensive à partir de Mestre, les Autrichiens à partir de Trieste et les Romains de Guistiniani tentèrent de débarquer sur les iles du Lido. Au total plus de 50.000 hommes se lançaient à l'assault de Venize.
Les defenseurs vénitiens ne sont que quelques milliers et pourtant parviennent à repousser la coalition pontificale.
Les forces de la Coalition se rassemblent et reprennent leurs souffres avant de lancer un 2eme assault qui se terminera en 2eme echec.
Il faudra attendre la 3eme offensive pour voir les défenses véntiennes s'effondrer. Le général Giustiniani entame alors le siège de la ville qui durera tout de même 2 ans.
Pendant ce temps, l'empereur Constantin attend à Durazzo pour embarquer pour Corfou. La flotte impériale quitte Venize pour Durazzo mais se fera suprendre dans le détroit d'Otrante et sera sechement battut. Réfugiée dans Durazzo, la flotte Romaine tentera par 3 fois d'établir le controle maritime de Corfu mais ce sera 3 echecs.
L'empereur quitte alors l'Epire et se porte sur la Grèce afin de traverser en Ionie sur l'ile d'Eubée. Mais pour cela il faut prendre le controle maritime de la mer d'Egée. La Flotte Impériale une fois de plus battut devant l'Epire, parvient à forcer le blocus et contourne le Peloponese avant de rencontrer une flotte des Hospitaliers trés inférieure en nombre. Mais 6 galères Hospitalières provoquent une nouvelle déroute des 25 galères romaines. Néemoins apres plusieurs tentative, l'Empereur Constantin profite de l'absence des forces navales ennemis pour enfin debarquer et assieger la ville de Chalkis en Ionnie.
Mais en mai 53, l'Empereur Constantin est atteind de fortes fièvres devant Chalkis et succombera en moins d'une semaine à l'age de 48 ans
Le prince Demitrios devient l'Empereur Demitrios 1er
L'heritier de l'empereurConstantin, le Prince Andréa Paléologue n'avait que 2 ans et c'est ainsi le prince Demetrios, 9eme enfant de l'empereur Manuel II, frère des empereurs Jean VIII et Constantin XI et oncle du prince Andréa qui fut couronné empereur à Sainte Sophie en ce mois de juin 1453.
La situation de l'empire était difficile. La ville de Venize était tombée mais la flotte Venitienne commandée par le talentueux Amiral Loredan domminait à présent les mers. L'armée Romaine d'Ionie était à présent isolée et incapable de faire tomber Chalkis sans renforts suplémentaire en arme de siège.
Toute le reste de l'année 1453 et l'année 1454 furent consacrée à tenter de rétablir la controle maritime de la mer Egée. Helas jamais le controle maritime ne put s'etablir suffisament pour faire traverser les armes de siège necessaire à la prise de l'Ionnie. D'Italie parviennent des messages d'agacement de l'Archiduc d'Autriche qui s'impatiente d'entrer à son tour dans Venize...
L'Empereur Demetrios relance alors la construction navale et 10 galères suplémentaires seront lancées. Début 1455 pendant une absence inexplicable et miraculeuses des flottes Vénitiennes, les engins de siège sont enfin à disposition de l'armée romaine d'Ionnie qui finira par emporter la forteresse Venitienne de Chalkis.
Fin 1455, la paix est signée avec la sérénissime république. Venize cede l'Ionnie et 150.000 ducats à l'empire Romain.
1456-1460 : La paix impossible
La paix avec Venize ne signifiera pas la fin de la guerre car les Hospitaliers et les Chypriotes ne souhaitent pas négocier. Les forces Romaines s'empareront alors de Brousse toujours Chypriote et distante de moins de 50 kms de Constantinople. Mais Rhodes et Chypres sont gardé par des forces nombreuses et les iles sont imprenables. Sur les eaux, les flottes des Hospitaliers remporteront une suite inouie de victoire contre une flottes Romaine trés supérieure en nombre. Une telle psychose s'emparera des officiers mariniers impériaux qu'a la simple vue de voiles des Hospitaliers suffira désormais à provoquer la panique des flottes impériales.
De l'Est parviendront des nouvelles étonnantes, les armées Mongoles se sont repliées suites à des desordres dynastiques. Une opportunité s'ouvre de reprendre Trebizonde et Ankara apres plus de 10 ans d'occupation Mongole. La flotte Impériale appareille de Constantinople le 5 avril 1557 et debarquera une armée Romaine de 12.000 Soldats à Trebizonde sans rencontrer de Mongols. Immédiatement un corps impérial de 5.000h est détaché sur Ankara et apres 6 mois de siège, l'Empire délivre enfin Trebizonde et Ankara.
Mais la chute de Trebizonde alerte le khan Mongol qui rassemble alors ses armées et plus de 50.000 mongols apparaissent à nouveau à l'est sur les montagnes du caucase. L'Empire doit une nouvelle fois évacuer ses forces avant qu'un desastre ne se reproduise. La flotte Romaine se fera une nouvelle intercepter et battre en mer noir par les Hospitaliers mais l'évacuation de Trebizonde sera néemoins réalisée à temps avant l'arrivée des hordes Mongoles qui entamèrent imméditament une nouvelle fois le siège de Trebizonde.
La révolte embrase l'empire. La chute du cardinal Jean de Guicourt
L'Empire Romain d'Orient est au bord du gouffre en cette année 1459. En 40 ans, l'empire n'aura connus la paix que 2 ans. La guerre contre les Mongols a 15 ans, celle contre les Hospitaliers a 10 ans et aucune solutions militaires ne semble envisageable à moyen terme.
Le peuple est exaspéré par la situation et cherche des bouc-emissaires et des coupables. Les paysans des campagnes notamment considèrent trés gravement les campagnes impériales pour le soutien de la papauté.
La campagne contre les Mamelouks n'a rien apporté à l'Empire et celle contre Venize fut aussi couteuse qu'impossible à terminer.
Le peuple accuse alors les latins et les Catholiques de tout les maux et considère le cardinal de Guicourt comme le mauvais génie, celui qui conseilla a tord 3 empereurs succéssifs au rapprochement avec Rome et la papauté pour aucun résultat tangible pour l'empire.
C'est en Dobroudja et en Morée que les premiers incendies seront allumés. La forteresse de Nauplie sera prise d'assaults et tombera aux mains des paysans grecs de la région. Une armée rebelle de 7.000h se portera alors vers Athènes qui ouvrir ses portes rapidement à la rebellion avant de la rejoindre.
L'empereur Demetrios veut négocier mais le cadinal de Guicourt exige que la révolte soit écrasée au plut tot... "on ne negocie pas avec la volontée de dieu!"
L'armée de retour de Trebizonde débarque à Thessalonique et marche immédiatement vers le Sud. Mais les soldats n'ont pas envie de se battre et l'armée sera trés sechement ballayée devant Athènes perdant plus de 5.000 soldats sur 10.000.
Demetrios ordonne dans la précipitation la levée de 5.000 Cataphractes en Macédoine mais les rebels grecs se portent devant Thessalonique avant que l'instruction de la cavalerie impériale soit terminé et liquidera les jeunes recrus.
Au nord la rebellion s'est également étendu comme un feu de paille. La Dobroudja chute rapidement et les révoltés menés par l'ancien clergé orthodoxe envahie la Roumélie ou il balayeont facilement une faible armée impériale. Apres la chute de Varna qui ouvre ses portes, les revoltés entreront en Bulgarie pour soulever la Province.
La situation devient impossible, la rebellion du nord et celle du sud sont en ce debut d'année 1460 sur le point de se rejoindre en Macédoine ou le siège de Thessalonique par les révoltés se poursuit.
A Constantinople, les nouvelles des campagnes se propagent rapidement et les quartiers populaires commencent à s'agiter. Le 1er mai 1460, une grande manifestation pacifique se produit dans les rues de Constantinople pour réclamer la destitution du Cardinal Jean de Guicourt et l'expulsion de tout les latins.
Devant les risques d'explosion de l'Empire, l'Empereur Demetrios Paléologue convoqua le Cardinal de Guiscourt le 4 Aout 1460 et le demit de ses fonctions, lui signifiant également qu'il lui donnait 48h pour quitter définitivement Constantinople avec ses partisans.
Le lendemain, s'adressant au peuple de Constantinople, l'empereur annonçait le renvois du Cardinal Catholique et le retour à l'Orthodoxie avec la grace de l'ancien clergé Orthodoxe qui s'était révolté. Demetrios annonçait également le retour prochain de l'ancien patriarche Alexius réfugié à Moscou depuis 21 ans.
La foulle acceuilli la nouvelle en liesse et pourchassa tout les latins de la ville malgré les consignes et les appel au calme de l'empereur.
Mais le retour à l'ordre n'était possible qu'avec le retour de la paix. Utilisant les précieux dons inespérés d'un puissant souverain étranger, l'empereur pouvait à présent acheter la paix.
En Septembre 1460, juste avant une nouvelle chute de Trebizonde, le Kahn Mongol accepta une paix blanche contre une indemnité de 150.000 ducats vénitiens terminant 15 années d'occupation mongole
Enfin en octobre, le chef de l'Ordre des Hospitaliers accepta de cesser les hostilités contre également 175.000 ducats. Le trésor impérial était à nouveau vide.
La paix était enfin de retour et le peuple allait pouvoir reprendre le chemin des champs.... quand une terrible nouvelle tomba au moi de Novembre. Le Cardinal de Guiscourt était arrivé à Rome et avait convaincu le Pape d'intervenir en sa faveur pour rétablir le Catholicisme dans l'Empire.
Les malheurs de l'empire n'était pas terminé. Sortant de 15 années de guerre, avec la motié de ses provinces occupés par des rebels, une armée inexistante et un trésor vide... le pape entrait en guerre contre l'Empire Romain d'orient et appelait à la croisade contre l'empire.
L'empereur esperait que les Latins porteraient plutot leurs efforts contre les musulmans toujours aussi puissant et ne suivraient pas une nouvelle fois ce pape de plus en plus hystérique...
Posté : jeu. févr. 23, 2006 4:52 pm
par Leaz
Royaume du portugal 1445 - 1460
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La foie se propage :
Tout était prés sur les quais de Lisbonne, ils allaient bientot lever l'ancre. Les colons étaient confiants, ils embarquaient vers l'Afrique ! Le "sénegal" d'aprés les tribus vivant dans ces paysages ensoilleilés. Les colons du roi avaient fais un bon travail là bas, la colonie s'agrandissait, le portugal amener par la graçe de Dieu la foie divine au coeur de ces royaumes oubliés de Dieu et les prètres convertissais rapidement la population locale.
Silvao était content, sur ordre du Roi, les colonies prosperaient rapidement, le sénegal et son précieux ivoire rapporter déjà plus que la colonie des Açores, et étape obligatoire vers la pointe de l'Afrique, l'ile de Fernando Po, en hommage a l'homme qui la découvrit, était désormais une pocession du royaume, là bas les autochtones ne manquaient pas a l'appel pour se repentir de leur foie animiste (

). Mais les terres les plus prospère se situait a la pointe la plus septentrional du monde conus, la colonie de Douraos prosperer là bas sur de riches terres, le vin y pousser et beaucoup disaient que ces terres étaient le "nouveau Portugal" promis par notre Roi !
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Croisade contre les félons :
Seulement les caisses du Royaume, bien que remplis régulierement graçe a la compétence sans faille des fonctionaires du roi, rester fort peu garnis. Et l'infidèle menacer a nouveau de reprendre Jerusalem ! Notre cousin, le roi de Castille nous apeller a la croisade, les musulmans voulaient reprendre Jerusalem !
Se souvenant de ses devoir familliaux - son glorieux grand père João Ier n'avait-il pas participer a la Xème croisade, celle qui 350 ans aprés la première croisade délivra pour une seconde fois Jerusalem de l'occupation des infidèles ? - Affonso V ne tarda pas a repartir en croisade, pour la plus grande gloire de Dieu et des finnances royale !
La croisade contre la Hedjaz fut menée avec gloire, Jerusalem fut délivrée par nos forces, et Alexandrie, principale port catholique proche de la terre sainte fut elle aussi délivrée de la présence enemie. Le roi en profita alors pour faire respecter le droit féodale et partis punir le comté d'Edesse, dont le comte musulman avait eu la folie de renverser le vassal du roi, le duc de Syrie. Une fois les choses remise en ordre, le comte jura allégeance a notre bon Roi.
En 1457, l'ordre enfin rétablis en judée les troupes portugaises repartir vers l'afrique du nord, où les alliés de la Hedjaz, défaite en terre sainte nous narguer et piller sans relâches nos vaisseaux de commerce. Le nouveau royaume d'Afrique du nord crée par un deserteur du host français partis assieger Al-jazir quelques années plus tard avait joins ses forces aux musulman. Bien que catholique ce fou avait embrasser la foie musulmane

Il était donc de notre devoir de lui faire jurer allégeance a un roi catholique afin qu'il revienne dans l'aile bienfaitrice de l'église.
Les derniers musulman furent soumis a rançons une fois leur capitale tombée.
L'argent de ces guerres avait servis, pour la plus grande gloire de Dieu, a répandre la foie dans les lointaine contrés d'Afrique.
Posté : ven. févr. 24, 2006 2:43 pm
par vince
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Castille, 1445-1460, par Juan Vincel Villalobos Ramirez, chroniqueur officiel de la cour.

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Juan II, malade et affaibli après des années de luttes en terre sainte, s’évertua à restaurer l’ordre dans le royaume. En effet, les dernières déclarations royales favorables à l’Angleterre au sujet du trône de France, avaient provoqué incrédulité et incompréhension. C’est donc avec surprise, mais joie que fut accueillie la nouvelle de la paix retrouvée entre les deux puissants royaumes. Malgré les récents propos jusqu’auboutistes d’Henry d’Angleterre, et les velléités expansionnistes de Charles, la guerre cessa subitement. Nul doute qu’il ne faille voir dans cette affaire ni plus ni moins qu’une divine intervention de notre très Saint-Père, certainement très courroucé à l’idée de voir de si puissants royaumes chrétiens s’entre-déchirer, à l’heure ou la majorité de l’Europe s’est croisée, et porte l’étendard du Christ en terre sainte.
Quoi qu’il en soit, la Castille s’en réjouit. De plus, puisque que l’Angleterre abandonna ses prétentions sur le continent, la Castille reconnut donc Charles de Valois comme seul, unique et légitime Roi de France. Puissent ces deux grands royaumes prospérer.
En 1454, Juan II mourut suite à forte fièvre. Son fils Henri lui succéda sous le nom d’Enrique IV. Le jeune souverain en mal d’autorité, se décida à prendre à son tour l’étendard de la croix, pour partir secourir le pape, en proie à une nouvelle alliance mahométane composée des sultanats Gradubide, Aden, Hedjaz et Tunisie. Cette subite décision conduit le Roy à ne pas appeler ses alliés qui n’avaient eu le temps de préparer cette nouvelle croisade. Embarquant à Murcie, notre fier ost vogua vers le cap bon, et mis le siège devant l’ancienne Carthage. Le capitaine escomptait bien en finir rapidement avec cette vermine, de manière à prêter renfort aux garnisons de Jérusalem et Alexandrie qui contenaient tant bien que mal les assauts du Hedjaz. Hélas, ce ne passa pas comme prévu. L’Algérie, jusque là neutre, entra dans l’alliance mahométane, et menaçait subitement nos arrières. Des milliers de troupes fringantes franchirent la pointe est de l’atlas et balaya notre ost à Tunis. Ce nouveau rapport de forçe conduisit le Roy à diligenter en extrême urgence une ambassade à nos alliés Portugais et Aragonais, afin qu’il nous vienne en secours. En bons catholiques, ceux-ci acceptèrent. Les troupes aragonaises luttèrent en cyrénaïque et les portugais libérèrent Jérusalem et Alexandrie. Le roi de Castille quant à lui, empruntaient aux nobles de Tolède, de quoi lever un ost de 20 000 cavaliers. Ils firent rapidement des ravages dans les rangs de l’ennemi. Notamment à Alexandrie où ils arrivèrent juste à temps pour sauver le siège des 5000 portugais sous la menace de 14 000 enturbannés franchissant le Nil d’une manière très décidée.
Ces victoires successives eurent raison des espoirs ennemis, qui envoyèrent les uns les autres quelques piécettes pour monnayer leur reddition.
Le Roy, conscient de la pauvreté et de la vulnérabilité de la Castille, décidé d’accepter, mais jura de revenir plus tard, avec de plus gros moyens.
Quelques années plus tard, la cour apprit avec stupeur le nouveau basculement de l’empire romain d’orient, son abjuration du catholicisme… la fuite du cardinal
Jean de Guicourt à Rome, pour porter la nouvelle au très Saint-Père. Le sang de ce dernier ne fit qu’un tour, et on raconte même qu’il serait en route pour Constantinople à la tête d’une armée pontificale.
La cour de Castille en fut particulièrement troublée… Il semblerait que ce
Cardinal de Guicourt, un nom à consonance française comme par hasard, soit d’une nuisance manifeste. En effet, après avoir forcé le patriarche à l’exil, celui-ci semble avoir convaincu le saint-père de prendre les armes contre d’autres chrétiens, fussent-ils orthodoxes.
Le roi prie pour la sauvegarde du pape, et recommande son âme à Dieu.
Posté : ven. févr. 24, 2006 9:32 pm
par Aedan
[align=center]Appel d'offre public de l'empereur Romain Demetrios pour la restauration d'urgence de la basilique Sainte-Sophie de Constantinople
[/align]
De terribles fissures au niveau de la coupole de la basilique Sainte-Sophie viennent subitement d'apparaitre. D'aprés les meilleurs architectes de Constantinople, la coupole pourait s'effondrer trés prochainement si d'important travaux ne sont pas rapidement mis en oeuvre. Helas le trésor impérial est vide et la récente déclaration de guerre pontificale ainsi que la révolte paysane de Grece ne vont pas permettre de financer les réparations.
L'empereur Demetrios fait ainsi appel aux mecenes Chrétiens de toute l'europe pour sauver ce joyaux architectural de la plus grande basilique Chrétienne du monde. L'empire accepte tout les dons en ducats Vénitiens mais également toutes les offres de prets à taux réduit et de longue durée qui pourait permettre à l'Empire Romain d'entreprendre imméditament les travaux necessaire de restauration avant que l'irréparable ne se produise.
L'Empereur Demetrios s'engage à ce que toutes les sommes versées servent uniquement à la restauration de la basilique et non à des fins militaires ou tout simplement interne
Demetrios 1er Paléologue
Empereur Romain d'Orient[/i]
Posté : sam. févr. 25, 2006 10:42 am
par Scarabee
[align=center]
L'Empereur des Romains sous les ordres du Saint Père[/align]
[align=justify]Après avoir subi défaites sur défaites, toute la cour de Vienne s'est rendu en pèlerinage à Rome, pour essayer de comprendre les raisons des nos désillusions. Le Saint Père nous ouvrit les yeux en démontrant que tous nos actes étaient voués à l'échec s'ils n'ont pas l'objectif de soutenir notre Seigneur. Cette évidence devait amener l'Empereur des Romains à marcher dans les traces de Dieu, en suivant les ordres de son représentant sur terre.
Dés lors l'appel du Pape pour anéantir Sienne et leurs mercenaires étaient un signe de Dieu. Et le victoire éclatante une réponse, un preuve que nos actions doivent exclusivement être guidés par l'intérêt suprême du catholicisme. La conversion récente de l'Empire Romain d'Orient est une preuve de plus de l'avancée inéluctable de l'unique foi. Toutes ces preuves de la supériorité divine donnent une rage à nos soldats, les soldats du Christ. Naples compris rapidement qu'elle était sur la voie de Satan en essayant de piller les richesses de Rome et rejoignit l'alliance papale, abjurant ainsi tous les péchés de son peuple.
Venise, la décadente, devait aussi subir la loi du divin... Et c'est aidé par les forces du récent peuple des convertis, que nos troupes prirent la cité lacustre. Voici encore une preuve que le Seigneur est tout puissant. Les villes de Modène et de Triest nous furent offert par le Pape lui-même, en récompense de l'engagement sans limite de notre peuple. Mais alors que la paix semblait revenir dans nos contrées, une nouvelle terrible arriva à la cour. C'est avec horreur que l'Empereur des Romains apprit la renonciation au catholicisme de l'Empire Romain d'Orient. La vision du monde de l'empereur et de ses sujets s'écroula. Dieu n'est plus omnipotent, pourquoi autorise-t-il cette désertion ?
Le Pape excédé déclara la guerre à ces chiens de traites, qui osent en plus demander des fonds pour leur église, à la communauté catholique ! L'Empire d'Autriche accepta ce défit divin mais dans les campagnes et la bourgeoisie des doutes sur la vision du monde de Dieu et du Pape commencent à faire des émules. [/align]
Posté : sam. févr. 25, 2006 11:21 am
par Danton
La guerre des deux roses
Alors que la glorieuse Angleterre mobilisait plus de 50.000 hommes pour défendre son royaume de France, l’usurpateur, terrorisé, paniqué, nous envoya rapidement un émissaire : celui-ci se jeta aux pieds royaux d’Henry et l’implora d’accorder son pardon : »Mon maître est un traître et un félon, c’est un fait, mais il se repend, accordez lui votre grâce !

» »Trop tard… La guerre est décidée maintenant, nos hordes vont déferler pour rétablir l’ordre et la justice dans nos provinces continentales » »Nooooon ! Pitié ! Nous vous offrons les Flandres pour vous dédommager ! » »Si c’est pour les reprendre dès que nous avons le dos tourné…Nous savons bien que la parole de l’usurpateur ne vaut rien

» »Il a reconnu le caractère inviolable des Flandres anglaises, il l’a juré sur la bible ! » »Moui, bon » » »L’Écosse ne sera plus jamais notre alliée » »Pfff, c’est 'tout ? » « En échange de la paix… de votre pardon » »Soit, il faut être généreux entre chrétiens. La paix va peut-être me permettre de me croiser, chose dont je rêve depuis si longtemps : il faut repousser l’infidèle ! ». Les Flandres passèrent ainsi sous contrôle anglais tandis que l’Eire était vassalisée (il fallait bien trouver une occupation pour ces 50.000 soldats

).
Malheureusement, quelques années plus tard, alors qu’Henry VI de Lancastre se préparait à partir pour défendre la terre sainte menacée par l’infidèle, des troubles éclatèrent dans tout le pays : la maison de York revendiquait le trône d’Angleterre et de France ! La guerre civile éclata, qu’on appèlera la guerre des deux roses. La lutte était indécise, brutale et sans merci

. Notre bon roi Henry VI de Lancastre eut alors l’idée géniale de vendre ses terres continentales à son vassal de France afin de soutenir son effort de guerre : l’ex-usurpateur, ravi par cette inespérée aubaine, se précipita et, à plat ventre, offrit tout son or plus les revenus de ses terres pour les années à venir. En échange, Henry condescendit à lui accorder une certaine suzeraineté sur nos provinces de Caux, Normandie, Poitou et Guyenne.
La guerre cependant s’éternisait, la maison de York ralliait sans cesse de plus en plus de fidèles et prenait l’ascendant : on raconte que ces rebelles étaient massivement financés par la France, qui continuait d’envoyer tous les ans de nombreuses caisses d’or à Londres

. Certaines furent visiblement interceptées par les partisans d’Édouard. Ces derniers, rusés comme des renards, offrirent alors à l’usurpateur Calais et le titre officiel de Roi de France : après avoir bien bavé, le ducaillon se précipita et vida une nouvelle fois ses coffres

. Cet afflux d’or inespéré permit à Édouard IV de monter sur le trône : Roi d’Angleterre, Comte des Flandres et Suzerain de l’Éire.
La guerre civile fait toujours rage en notre beau pays et nul ne peut prédire qui finalement l’emportera et placera sur le trône sa famille pour les siècles à venir, mais, nul doute là-dessus, l’avenir de l’Angleterre sera glorieux et le continent sera un jour réveillé de sa torpeur par le fracas des armes anglaises : nous reviendrons

!
Posté : dim. févr. 26, 2006 12:28 pm
par lemarseillais
Proclamation de Vincennes, le 18 novembre 1459
Le roi de France, Charles le septième, fils du feu roi Charles VI, petit-fils du grand roi Charles V, descendant de saint Louis, décide et a décidé, annonce et a annoncé les choses suivantes :
- la maison de France prend acte qu'à ce jour aucune maison royale ou impériale n'a reconnu la seule et vraie légitimité du fils de Charles VI. Légitimité pourtant consacrée de manière éclatante par Notre Seigneur qui donna la victoire aux troupes du Dauphin. Le déshonneur dans lequel nous plonge les puissants de ce monde par leur silence sera gravé et placardé sur le socle frontale de notre statue place Royale à Paris, pour qu'à jamais cela reste imprimé dans les mémoires de France. Nous décidons donc de suspendre toutes nos ambassades avec les cours qui ne nous reconnaissent pas. Cette décision prend acte dès ce jour.
- idem le roi de France a trés bien compris la formulation du roi de Castille quant à sa pseudo reconnaissance de notre légitimité. Dire "puisque que l’Angleterre abandonna ses prétentions sur le continent, la Castille reconnut donc Charles de Valois" c'est dire que l'Angleterre décide de notre légitimité ou non à vos yeux. A cela s'ajoute l'intervention déloyale de l'alliance castillane contre notre aimé féal de Bourbon. A cela s'ajoute vos propos, et ceux de vos alliés et féaux, qui ne font que salir la maison de France et remettent en cause la haute foi de notre maison. A cela s'ajoute les usurpations que font vos alliés aragonais et vos vassaux navarrais contre les terres du Béarn et du Roussillon. Terres qui avaient ancestralement été confiées par saint Louis en personne à ses vassaux, et qui par le hasard des mariages sont revenu à vos alliés. Le hasard ne fonde pas la légitimité, seul le roi de France a des droits sur ces terres et nous comptons les faire rentrer de nouveau dans notre apanage. Il ne tient qu'à vous de décider de quelle manière nous les reprendrons.
- idem le roi de France n'a aucunement l'intention d'annuler l'ordonnance qu'il prit à Bourges en 1438. Il est rappelé à nos aimé serviteurs de Dieu que le concile général est reconnu supérieur au pape. De ce fait, les droits de la cour de Rome en matière de nomination aux évêchés et aux abbayes, de perception des revenus ecclésiastiques, d'appels, d'excommunications ou d'interdits ont été transféré à notre obédience. Il n'est pas nécessaire d'expliquer que le saint Père, depuis ce jour, souhaite tout le malheur du monde à notre royaume et n'hésiterait probablement pas à jeter l'anathème sur celui-ci s'il ne savait que cela montrerait aux yeux de toutes les cours qu'il n'est pas guidé par la foi. Le royaume de France ne s'érige pas en anti-pape mais attend de celui-ci la reconnaissance et l'amour qui nous est dù. Alors, et seulement alors, puisqu'aucun autre moyen ne vous le permettra, le royaume de France pourra retourner dans l'obédience de sa Sainteté. Et pour signifier notre mécontentement de l'attitude papale à l'égard de notre royaume, nous annonçons ne pas prendre part à la croisade qui se lève contre l'Empire Romain d'Orient.
Posté : dim. févr. 26, 2006 7:01 pm
par Aedan
l'Empereur Romain Demetrios 1er Paléologue s'adresse au roi Charles VII de France
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Moi, Demetrios 1er Paléologue, Empereur Romain d'Orient, déclare officiellement la légitimité des Valois au trone de France.
Les Valois, branche cadette de l'illustre famille Capétienne, la plus ancienne famille royale d'europe, ont toute légitimité pour occuper le trone de France.
Philippe VI de Valois fut légitimement choisi par ses pairs du royaume de France en tant que neveu de feu Philippe IV le bel. Il était évidenent que la couronne de France de cette époque ne pouvais revenir à un Plantagenet, souverain etranger au royaume et dont la filiation par une femme était bien trop faible.
Egalement, sa majesté Charles VI de Valois, n'était plus en possession de toutes ses facultés mentales et notablement influencée par les Lancastres et les Bourguignons quand il envisagea de desheriter le Dauphin Charles.
Dieu, en soutenant le Dauphin Charles, et en lui permettant de vaincre et de repousser définitivement les Lancastres du sol de France, montre à l'Europe entière qu'il soutient les Valois et leurs chef, le roi Charles VII sacré roi de France en la Cathédrale de Reims.
En conséquence, en vertue de tout ces elements, en vertu de la disparition de la maison de Bourgogne, en vertu de la renonciation à la couronne de France par les Lancastres d'Angleterre et en vert des immenses qualité de souverain du roi Charles VII et de son fils Louis.... sa majesté impérial Demetrios empereur des Romains déclare reconnaitre la légitimité des Valois à porter la couronne de France.
Nous déclarons également, et avec toutes les conséquences que cela implique, que la France et sa famille régnante, est le royaume qui depuis l'Empire de Charlemagne, est le plus digne de par sa continuité et sa puissance, à revendiquer l'heritage de l'Empire romain d'Occident et certainement d'avantage que d'autres maisons d'europe avec plus faible lignage qui ne regne que sur des domaines plus modestes.
Ainsi, l'Empereur Romain d'Orient récuse a quiconque, le droit de se revendiquer Empereur Romain. La distinction impériale et Romaine ne sera valable uniquement par reconaissance par l'Empereur Romain d'Orient, seul légitime heritier de l'ancien Empire Romain unifié.
La légitimité impériale ne s'aquiert pas, par un vote de nobliaux Allemands et une avalisation papale, qui montre en préchant une croisade contre l'empire Romain Chretien mais non soumis à sa volonté, sa volonté de pouvoir, alors que la menace Musulmane qui entoure la Chrétienté (Turcs, Mongols, Arabes, Perses...) ne devrait que pousser la Chrétiens à s'entraider au lieu de se déchirer. L'Empire s'est croisé il y a peu... et car nous sommes en desaccord sur certain points théologique et que nous souhaitons avec notre propre Patriarche, ce pape preche le bain de sang entre Chrétien et appel les grands princes Chrétiens d'europe à cette folie inutile alors que l'Islam nous menace tous.
Mais evidement cette menace de l'Islam, est bcp plus proche actuellement de Constantinople que de Rome
Si un nouvel Empereur d'Occident devait exister, il ne pourait etre que Romain ou Français pour l'heure et uniquement reconnus par l'empereur Romain d'orient. La benediction Pontificale serait alors souhaitable mais nullement indispensable.
Demetrios 1er Paléologue
Empereur Romain d'Orient.
Posté : dim. févr. 26, 2006 8:43 pm
par Scarabee
[align=center]
Déclaration de Empereur des Romains[/align]
[align=center]
La connivence de Charles l'orgueilleux avec le traître Demetrios[/align]
[align=justify]Nous retrouvons bien là les deux peuples qui se targuent d'appartenir à la chrétienneté et qui tourne le dos directement ou indirectement au Pape, seul représentant de Dieu sur terre. La France, plutôt que de réclamer une quelconques reconnaissance, devrait montrer aux autres peuples qu'elle accepte ses devoirs de chrétiens. Mais il est toujours plus facile de se trouver des excuses pour éviter une croisade. Reprenez vous mon Charles, ou vous allez conduire votre peuple dans les griffes des impies.
Quand à Demetrios qui abjure sa foi, il n'a plus d'âme. L'Empereur Romain d'Orient a par conséquence cessé d'être. L'unique empereur des romains ne cherche aucunement une quelconque reconnaissance d'un petit prince du bosphore orthodoxe. Sa légitimité est divine et incontestable.
Mais peut être que Charles a lui besoin de la reconnaissance d'un excommunié. Dieu reconnaîtra ceux qui forniquent avec le Diable ! [/align]
Posté : dim. févr. 26, 2006 8:50 pm
par lemarseillais
Déclaration de Charles VII
Il est fort surprenant que l'archiduc d'Autriche s'en prenne à nous avec autant d'ardeur. Nous n'avons, à notre connaissance, pourtant jamais porté atteinte à son honneur ni remis en cause quelconque action de ce prince. Vos propos pleins de venins à notre encontre nous surprenne.
Nous sommes curieux de savoir si c'est du haut de votre titre d'archiduc d'Autriche que vous vous permettez de porter un jugement sur une maison beaucoup plus vieille, plus méritante, et plus illustre que la votre ? Car il est évident que vous n'espèrez pas de notre part que nous vous reconnaissions le rang d'empereur quand vous parlez de la sorte à une maison chrétienne ancestrale. Maison d'ailleurs dont vous ne reconnaissez même pas le roi.
Nous savons à présent que le sujet français n'est pas le bienvenu en Autriche. Faites crier partout que c'est l'Autriche qui envenime les relations entre nos 2 royaumes pas la France. Qu'elle ne vienne pas se plaindre quand elle commencera à s'approcher de nos frontières et que nous ne laisserons pas cela se faire.
D'autre part je ne sais quelle hérésie vous avez embrassé pour crier à tout va que le saint Père est le représentant de Dieu sur terre. Je suis profondèment choqué qu'aucun chrétien ne s'indigne de tels propos. Nous savons, en France, que c'est l'Eglise toute entière qui réprésente le Christ sur terre. Sa sainteté n'en est que le chef, le guide des hommes mais non le représentant direct de Dieu.
Posté : dim. févr. 26, 2006 9:03 pm
par Aedan
Declaration de l'Empereur Romain d'Orient Demetrios 1er Paléologue
[align=center]

[/align]
Sir,
L'archiduc d'Autriche s'égare.
L'empire Romain d'Orient a 11 siècles, depuis la fondation de Constantinople par l'empereur Constantin le grand et depuis 474 et la chute de l'empire romain d'occident, il est le seul à assurer la continuité impériale et romaine.
L'archiduché d'Autriche n'est rien... et son prince serait élu empereur "Romain" par une poignée de nobliaux germains?
Cessez donc, vous vous tournez en ridicule, comment osez vous vous pretendre empereur des Romains alors que vous etes d'origine barbare! Comment comparer votre bourgade rurale de Vienne avec Constantinople la grande?
Quand à notre foi, nous sommes aussi chrétiens que vous... les terres de l'empire d'Orient sont Chrétiennes depuis la période de Jesus christ alors que l'evangélisation de la Germanie est comparativement toute récente.
Sainte-Sophie, la plus grande Basilique Chrétienne du monde, existait alors que les barbares se pavanait dans Rome et que l'Autriche n'était que forets dépouvues de civilisation.
Alors de grace archiduc.... restez ce Prince d'Autriche que vous etes, gerez vos domaines avec sagesse, defendez la foi Chrétienne, propagez la en combattant l'islam... mais ne vous pretendez pas ce que vous ne serez jamais... l'heritier de l'Empire Romain.
Il n'y a qu'un seul empire Romain et il est pour l'heure en Orient avec Constantinople pour capitale et moi, Demetrios 1er Paléologue comme seul Empereur Romain!
Alors de grace, supprimez le nom de "romain" de votre titre et faites vous dénommer Roi d'Allemagne ou Empereur du Saint-Empire Germanique si cela vous sied. Mais le terme de Romain ne peut etre utilisé que par les vrais Romains et et vous etes germains.
Demetrios 1er Paleologue.
Empereur Romain d'orient
Posté : lun. févr. 27, 2006 7:17 pm
par loda
MOSCOVIE 1446 - 1461 :
La moscovie se remet doucement des affres de la guerre. La horde d'or, Ak Koyunlu, sibir et la horde Kazakhe s'allient. Nous décidons alors de prendre sous notre coupe la frêle Georgie, coincé entre de gros voisins musulmans : une alliance est signée en Mai 1447.
Les derniers territoires vierges sont colonisés et deviennent taxables ce qui apporte de substantiels revenus au Prince.
En 1448, nous abservons attentivement la situation à Ryazan, annexée par la Lithuanie quelques années plus tôt, car des rebelles assiègent et finissent par prendre la ville isolée (par nos terres

) du reste de la Lithuanie. Nos diplomates essayent de convaincre les rebelles de constituer une province de plus de notre empire naissant mais il n'y a pas plus buté qu'un rebelle et la ville finit par déclarer son indépendance en juin 1451. Petite précision qui étonne tout le monde à Moscou, Ryazan est maintenant composée de 3 provinces puisque 2 provinces rebelles de la Horde se sont jointes au nouveau prince de Ryazan.
En Aout, c'est une crimée orthodoxe qui déclare son indépendance de la Horde d'or, l'effet boule de neige sans doute
La Lithuanie attaque alors la toute jeune principauté, néanmoins nous ne souhaitons pas que se renouvelle une nouvelle annexion de provinces russes orthodoxes! Nous déclarons aussi la guerre à Ryazan en espérant prendre de vitesse les villes russes...
C'est effectivement ce qui se passe et en Octobre 1452, Ryazan devient notre vassal après avoir cédé 2 provinces. Encore une belle victoire pour notre Principauté et pour l'orthodoxie! Les nouvelles terres prises de guerres sont bénites par le patriarche qui ne regrette pas son isolement moscovite après avoir connu les fastes de Constantinople.
En janvier 1454, notre allié georgien attaque l'ERO pour une raison religieuse. Néanmoins, nous ne souhaitons pas envenimer nos rapports avec Constantinople et une paix blanche est signée rapidement. De plus, nos armées étaient très loin du théatre des opérations puisqu'une attaque imminente était prévu contre les chevaliers.
En Mars, la guerre est déclarée et nos armées déferlent sur les terres teutoniques : il y aura peu de combats, les chevaliers étant déjà forts affaiblis par la guerre contre l'alliance lithuanienne.
Les villes tombent une à une et la capitale est rasée en 1456. La paix est signée l'année suivante, Pskov étant cédée avec une indemnité de guerre. Malheureusement, lorsque la ville était teutonique, les citoyens orthodoxes ont été persécutés et la province est passée majoritairement catholique :(
Le patriache Alexius est alors appellé en renfort pour bénir les nouvelles terres : ce dernier fait tant et si bien que 3 mois après la signature la paix, la province repasse à majorité orthoxe! Un vrai miracle qui tient beaucoup à la personnalité charismatique du patriarche!
Notre voisin Suzdal est prit de la folie des grandeur et attaque la horde en rebellion : il sera annexé qq années plus tard par Ak Koyunlu...
Les années suivantes seront plus calmes le prince aura le temps de préparer une réforme en profondeur du pays : les lois ne sont plus en adéquation avec la taille de notre principauté. En 1461, Les lois sont officialisées : les principaux changements concernent la création à Moscou d'une vaste foire qui doit remplacer celle de Novgorod déclinante ainsi que la confiscation de certains pouvoirs aux nobles russes qui se considéraient de façon indépendante du prince moscovite.
En Aout 1460, une nouvelle extraordinaire arrive : L'ERO a rétablit l'orthodoxie à Constantinople. Le nouveau basileus a bien compris qu'un rapprochement avec le pape et les européens ne lui rapportait rien, si ce n'est de vaines croisades et des guerres à n'en plus finir...
A Moscou, le patriarche ne parait pas très "chaud" pour revenir de suite à Constantinople, mais les cadeaux en guise de souvenir du prince moscovite, 5 ours polaires et une datcha de méditation à Kola, finit de le persuader de partir retrouver la cathédrale sainte Sophie.
Il retrouve d'ailleurs cette dernière bien abimée et de lourds travaux sont à prévoir
(tin la transition d'enfer les gars! Aedan
) : le patriarche qui revient de Moscou avec ses ours et de lourds coffres d'argent, sait à quoi servira ce pecule.
A noter qu'un envoyé du prince chargé de faire un don au nouveau basileus s'est envolé avec l'argent : il aurait été retrouvé dans une maison close de Mantoue et sans argent bien sûr...
Posté : mer. mars 01, 2006 8:03 pm
par ric novice
Proclamation du Pape
Non !!! le Saint-père n'est point atteint de folie ou de maladies degeneratrices.
La papauté a des principes moraux à la différence de certaines couronnes, ainsi un duché qui aurait été annexé sera liberé après un temps de purgatoire...comme le duché de Toscane
Nous felicitons les couronnes d'Espagne, du Portugal, d'Autriche et de France
Ces fils de l'Eglise ont participé à différents degrés à des croisades contre les musulmans ou à la defense des Etats papaux
Les gains de guerre liés aux croisades ou à la defense des etats papaux sont considerés comme justes
L'Angleterre inquiéte le Saint-père car aucune participation n'a été constaté
Quand à l'Empire Romain d'Orient, il s'agit du scandale du siècle
Après avoir embrassé la religion catholique sans avoir en aucune facon été forcé, L'ERO a nié sa nouvelle foi
Les causes de cette conversion sont purement interessés par des pretentions dynastiques sur la peninsule "italienne"
Le Saint-père a naivement cru en la bonne foi de L'ERO et a participé à hauteur de 100 ducats à des conversions
Trompé, le pape a donc decidé de partir guerroyer contre cet empire de dupes
Nous attendons des fils de l'Eglise une participation militaire ou financière
L'ERO peut encore se repentir en versant 200 ducats à l'Eglise....
Posté : mer. mars 01, 2006 8:10 pm
par Aedan
Missive personnelle de l'empereur romain d'orient à sa sainteté le Chef de l'Eglise Catholique Romaine
[align=center]

[/align]
A sa sainteté le Pape de l'eglise catholique Romaine.
Votre sainteté.
Nous comprenons votre colère apres la rupture de l'accord du concile de Florence sur l'union des Eglises.
Cependant le cardinal de Guicourt a du vous expliquer la situation grave de l'Empire et comment la population des campagnes et l'ancien clergé Orthodoxe n'a pu accepter cette union.
j'ai alors estimé, que le plus dangereux pour l'ensemble de la chrétienté, aurait été l'anarchie et l'implosion de l'empire qui defend ardement l'est de la Chrétienté contre la menace toujour expansioniste de l'Islam.
En effet les peuples turques d'anatolie sont toujour en mouvement vers le
Bosphore et derriere, l'empire a pu mesurer la force extreme des Hordes mongoles musulmanes.
L'empire est gardien et se battra encore et toujour contre la montée de l'islam mais votre appel à la croisade provoquera l'entre dechirement des Chrétiens au grand bonheur des dirigeant mahometant.
J'implore humblement sa sainteté de pardonner le choix difficile mais cependant inévitable que j'ai du prendre pour sauvegarder l'unité de l'empire et sa force pour resister à la marée musulmane.
Je ferais personnelement le voyage à Rome pour implorer le pardon de votre sainteté. Je verserais 150.000 ducats vénitiens à l'eglise Romaine en remboursement des conversions non encore réalisées. Je ferais construire à Constantinople une grande Cathédrale Catholique pour les Latin de l'empire et le Cardinal de Guicourt poura rentrer à Constantinople pour precher dans cette nouvelle cathédrale et vous representer au sen de l'empire.
De grave votre Sainteté, accordez nous votre pardon et stoppez votre appel à la croisade au nom de toute la Chrétienté et de son unité pour la défense du Christ devant la marée Musulmane toujour en mouvement.
Humblement et pénitent...
Démetrios 1er Paléologue
Empereur Romain d'Orient.
Posté : mer. mars 01, 2006 8:20 pm
par ric novice
Bien que le Saint père soit deçu par ce revirement, la paix est faite...pour ne pas affaiblir l'ERO face aux impies
Nous rappelons aux catholiques que toute annexion d'un sujet caholique sans raisons valables (croisade ou attaque des états papaux) sera severement reprimé !!
allez en paix,mes fils
Posté : jeu. mars 02, 2006 1:23 am
par ric novice
Pardonnez-moi, mon dieu, car j’ai pêche
J’ai échoué dans ma mission divine de guider le monde catholique vers son créateur, je n’ai pu empêcher les forces du mal de s’emparer des hommes.
Malgré tous mes efforts, 1 royaume a échappé à ma vigilance et la main armée de Dieu n’a pu s’abattre sur le duché de Siebenburg...
Les divins Casus Belli qui nous est octroyé ont été utilisé à bonne escient :
Le liban est devenu la syrie chrétienne
L’Empire Romain d’Orient, le traître, versera 150 ducats or pour avoir renié sa foi
l’Angleterre, coupable du péché de vengeance, en attaquant sauvagement son voisin écossais en a été quitte en versant 100 ducats or aux bonnes œuvres
La France, coupable du pêché de convoitise envers le duché d'Aragon, a payé de Calais à L’Angleterre et du piémont aux états pontificaux
L’Autriche en agressant un électeur du SER, s'est rendu coupable de gourmandise, et est devenu la honte de la chretienneté
J'en ai pleuré sincerement de voir la famille des Hasbourg, ces ardents defenseur de nos valeurs, s'abaisser à attaquer un grand electeur
Les armées du Christ oeuvrent donc dans le Tyrol, après avoir pris Emilia
Deux grands capitaines menent nos hosts courageusement
Seigneur, donne moi la force pour accomplir ton œuvre sur terre, guide mes yeux pour faire régner ta justice sur les têtes couronnées d’Europe
Amen

Posté : jeu. mars 02, 2006 9:06 am
par Scarabee
[align=center]
Déclaration de l'archiduc d'Autriche[/align]
[align=justify]Ces années furent des années de lutte contre les ennemis de l'Autriche, contre ceux du Pape... Nous ne comptons plus les nombreuses provinces et nations ayant essayer de nous détruire. Mais peu à peu, la cour commence à penser que c'est sans doute le Pape lui-même la cause première de toutes nos difficultés. Le seul grand fait diplomatique fut l'abdication du prince de wurttemberg qui offrit sans couronne à l'empereur, n'ayant aucun descendant capable de régner dignement.[/align]
La folie et l'incompréhension du Pape
[align=justify]En effet, l'archiduc a subi toutes les difficultés en combattant auprès du Pape. De multiples guerres, des relations diplomatiques très compromises avec les électeurs du SER, et par conséquence la perte du titre d'Empereur Romain. Et pour toutes récompenses une agression des mercenaires du Saint Père dans le but de soutenir le duché de Wurzburg, duché d'excommunié, officiellement annoncé par le responsable de l'Eglise.
Quelle folie a atteint le Saint Père ? Est-il possédé ? Faut il faire intervenir des exorcistes ? Nul ne le sait, mais chacun peut s'apercevoir que Rome n'est que haine et envie sanguinaire. Le Saint ne devrait-il pas essayer de soutenir le catholicisme plutôt que de le détruire ?
Le royaume d'Autriche est un petit royaume qui devra combattre l'agresseur pour espérer avoir un avenir. Le peuple est prêt au sacrifice, à moins que le pardon soit possible.[/align]
Posté : jeu. mars 02, 2006 9:44 am
par lemarseillais
Mémoire de Monseigneur de Vendôme, confesseur royal.
Je me souviens qu'à peine Louis XI venait d'apposer sa signature à un traité humiliant qu'il demandait à être entendu en confession. Ce fut la plus longue, la plus éprouvante, la plus mémorable de toutes mes confessions. Même si le temps a laissé ses griffes sur certains détails j'en garde encore une trace fraiche, pour l'essentiel, comme si la chose s'était produite hier.
C'était le mardi, 15e jour avant la toussaint. L'office de none venait de se conclure quand on m'informa que le roi désirait être entendu en confession. J'arrivai dans le confessorial, le roi était déjà là. Voici la conversation qui en découla d'après les souvenirs qui me reste :
- Monsieur de Vendôme je crains que le Seigneur soit en colère après moi
* Pourquoi pensez vous cela mon fils ?
- J'ai péché !! J'implore le pardon du Tout-Puissant pour tout mes péchés. Je suis coupable d'imprudence, d'irresponsabilité, d'orgueil. Et puis j'ai l'impression que le mauvais sort s'abat sur le royaume.
* Mon fils l'homme n'est pas infaillible, vous avez fait un premier pas, et le plus dur, en reconnaissant vos erreurs. A présent il vous faut faire pénitence et réparer vos errements du passé...
- (Louis coupant le prêtre) Ohhhh mais je le souhaite de toute mon âme !!! Je jure devant Dieu que je compte bien réparer les dommages qui ont eu lieu.
* Allez y mon fils, expliquez moi en détail vos turpitudes et vos erreurs.
- Et bien déjà, j'ai failli à ma mission royale. Dieu me fait roi de France pour que je mène mon peuple à la paix et la prospérité. La paix j'ai échoué de mon fait, mais j'espérais en obtenir la prospérité. De tout cela rien. Rien car j'ai manqué de discernement. J'ai choisi un favori pour mener les armées royales dans ce grave conflit. Trop confiant sur les forces du royaume, je n'ai pas controlé les forces, les hommes et où allait l'argent royale. Le résultat fut saisissant : les troupes se délictèrent dès les premiers chocs, rien n'était prévu pour renouveller en urgence les troupes, rien n'était prévu pour faire face à tout ces fronts. Le commandement fut exécrable, d'ailleurs il ne risque plus de jamais de commander ce tueur de royaume. Je m'en suis chargé.
* Vous n'avez pas fait coulant le sang d'un homme ?
- Non mon Père, pire ! Je l'ai exclu du royaume en le badigeonneant de fumier et en lui gravant à la cendre une inscription dans el dos. Dans la mesure où il a parfaitement oeuvré pour que cette guerre soit une défaite, nous y avons inscrit : il n'est pas bon de forniquer avec l'ennemi ! Excusez mon language mon Père mais la douleur est encore vivace.
* Et où avez vous envoyé de misérable ?
- En Espagne, à la cour castillane ! Pourquoi allez vous me dire ! Et bien la jeune reine a bien du lui promettre son lit pour qu'il oeuvre aussi mal à la tête de mes troupes. Je lui renvois donc son amant. Puisse-t-elle en tirer une lignée de roi (dit le roi en s'esclafant).
Bon....Je suis aussi coupable mon Père de naïveté. Lorsque mon feu père concluait la dernière paix avec l'Angleterre. Nos deux royaumes s'entendaient secrétement pour devenir amis et ne pas nuir à nos intérêts réciproques, et oeuvrer pour s'entre-aider discrétement. J'étais la lorsque mon père signa cela, moi même je dù y engagé ma parole pour les temps futurs. Naïvement je crus que le roi anglais, ce sale traitre sans honneur, tiendrait sa parole. J'avais osé croire qu'il avait compris que cette formulation était une manière de dire que nous étions comme des alliés secrets. Or on ne fait pas la guerre à son allié, encore moins on le frappe dans le dos.
* Mon fils, votre honneur est sauf dans cette histoire. Ce n'est pas par naïveté que l'anglais débarqua mais par esprit diabolique. Vous n'avez rien à vous reprocher.
- Quoiqu'il en soit je suis maudit mon Père. J'en ai bien peur.
* Allons ne dites pas cela. Dieu ne le permettrait pas !
- Alors comment expliquez vous les choses bizarres et étranges qui se sont produites avant la guerre et pendant. D'une part, de toutes les archives disparu les traces de l'alliance formulée avec nos féaux. Le royaume de France se rerouvait sans allié du jour au lendemain, un peu comme si j'étais parti pisser et que lorsque je revenais plus rien. Ensuite, les paysans se révoltèrent à 2 reprises, avant et pendant la guerre. La peste frappa le royaume en pleine guerre mais par les armées ennemis, n'est ce pas étrange ?? Le duché de Gueldre (qui inexplicablement ne cesse de grossir sans que cela ne gène quelconque personne) a sournoisement usé du système du jeu pour nous backstaber. L'Angleterre meme pas maitre de son alliance c'est du beau.
* Hum peut être est ce le moyen par lequel le Seigneur montre son mécontentement vis à vis du royaume.
- J'y ai pensé. J'en ai parlé et il m'a dit de me ressaisir. "Si le Seigneur était contre nous croyez vous vraiment qu'il vous aurez fait découvrir ce trésor de 200000 pièces d'or tombé du ciel, qu'ils auraient donnné une si belle récolte au royaume, qu'il vous aurez permis de payer votre dette une année après la guerre. Et que pensez vous de ce miracle en Languedoc ? Hier les troupes castillanes ravagées la région et détruisaient les chateaux et fortifications, le lendemain de leur départ tout était à nuef et plus beau et fort qu'avant sans que personne ne l'explique. Non ! Non je vous le dis ceci est un signe de Dieu au contraire. Il vous soutient." voici ses propos
* Et qui se permet de tels jugements ? (sur un air un peu suspicieux)
- Monseigneur l'archevéque Pierre de Laval, 1er duc et pair de France.
* Ah oui effectivement (un peu confus) ! Si monseigneur de Reims le dit, je me range à son avis. D'ailleurs que pense monseigneur de l'attitude de sa sainteté ?
- Ahhhhh le pape !!!! Monsiegneur a beaucoup ri lorsque je lui montré mes inquiétudes. Il m'a retorquait : "comment pouvez vous croire une seule seconde qu'un pape qui fit plus de guerres contre les chrétiens que toutes les cours royales réunies puisse bénéficier du soutien divin !!! J'en converse souvent avec mes confrères des autres évéchés hors du royaume. Une large majorité récuse complètement ce pape despotique et guerrier. Il parle de croisade contre des chrétiens alors qu'éthymologiquement le mot lui même est construit sur la racine de croix. Signifiant à l'origine aller combattre pour la croix à Jerusalem. Lui il l'utilise pour aller combattre des chrétiens en Europe. Cela en dit long sur ses connaissances. Et puis sa politique n'en est pas une. il suscite la rancoeur entre chrétien, a des parti-pris, soutien une branche s'en prend à l'autre. Regardez l'affaire avec l'Autriche. Celle-ci a guerroyé des années aurpès du pape et protégé les états pontificaux à plusieurs reprises. L'archiduc entre en guerre contre le Wurzburg, qui était encore condamné il y a peu, et le pape se retourne contre l'Autriche. C'est vraiment n'importe quoi ! Il n'y a aucune diplomatie chez ce pape, tout n'est que guerre. Il ruine toute l'Europe autour de lui. Voyez l'Angleterre ellen'a pas eu à souffir de la croisade préché contre elle. Voyez la Suède elle grossit tranquillement en guerroyant contre des catholiques. Non à mon avis, et cet avis est trés largement partagé, le pape ne soutient qu'une parenté royale aveuglement et vis versa. "
* Je vois et que décide mon Roi concernant la pragmatique sanction de Bourges ?
- Il est évident que dans ces conditions, nous ne pouvons faire machine arrière. Au contraire nous faisons machine avant. L'Eglise de France se désolidarise de l'autorité pontificale tant qu'un nouveau pape n'est pas élu ET que celui-ci n'est pas français ou germanique. Les élus italiens ou ibériques nous exaspèrent.
* C'est l'excommunication sur le royaume mon Roi que vous m'annoncez !
- Et bien maintenant ou plus tard peu m'importe. Le clergé de France est avec moi, il parlera au peuple. Un pape qui ne sait que manier l'épée n'est pas un pape.
D'autre part, il me reste mon péché d'orgueil.
* Que voulez vous en dire ?
- Le roi félon à sa parole doit être chatier. J'ose espérer le soutien d'autres royaumes catholiques hier si prompt à nous combattre. Car aujoud'hui celui qui risque de faire un carton dans ses missions ce n'est plus la France... Or je crois encore naïvement que la seule raison qui poussa autant de monde contre moi ce sont ces points de mission. Voilà pourquoi j'ai confiance en leur soutien.
* Je ne comprends pas de quoi vous parlez (inquiet du langage bizarre du roi)
- oubliez ! oubliez ! c'est du langage de roi.
Posté : jeu. mars 02, 2006 7:45 pm
par Danton
Chroniques de la guerre civile anglaise 1461 -1476
Comment se faire accepter par le bon peuple et la noblesse anglaise ? Telle fut la question qui se posa aux prétendants Lancastre et York et la réponse trouvée fut vieille comme le monde : on fait la guerre, on la gagne (y a intérêt sinon c’est l’échafaud

) et le bon peuple nous applaudira avec enthousiasme

(et la noblesse aura été décimée par la guerre). Bon programme, allons y, même si cela répugnait au pacifisme profond des rois d’Angleterre :( .
L’Écosse fut notre première proie, elle qui nous harcelait depuis si longtemps : pour un peu, Lancastre et York se seraient réconciliés afin de châtier cet ennemi séculaire… Mais non, le pouvoir ne se partage pas et il ne pourra en rester qu’un

.
La maison de York passa ainsi résolument à l’offensive et fondit sur l’Écosse avec courage et vaillance : l’ennemi était plus nombreux et retranché dans ses montagnes, mais ces obstacles n’ont jamais arrêté un cœur vaillant. Warwick pulvérise ces sauvages, tout se passe bien. Premier imprévu, le Saint-Père nous déclare la guerre, outragé de voir un catholique en attaquer un autre. Le peuple anglais commence à gronder : le Roi aurait du avertir sa Sainteté que son unique objectif était de rétablir sa suzeraineté sur ces terres hostiles, pas d’annexer des provinces catholiques. Le Pape lance un appel à la croisade, un seul pays veut réellement s’engager contre nous : la France

!
Tiens donc ? N’avions-nous pas signé un traité avec elle dans lequel Paris s’était engagé à nous laisser les mains libres en Écosse ? L’usurpateur vient de violer de façon éhonté sa parole, nous ne l’oublierons pas.
L’Écosse vaincue est vassalisée, le bon droit a triomphé, mais les Flandres tombent sous les coups des mercenaires du Pape : 40.000 anglais marchent contre ces 10.000 gueux, mais la chute de ce grand port fait déborder la marmite : les Yorks perdent le trône, revoilà la maison des Lancastres. Ceux-ci décident d’expier nos erreurs et acceptent de verser une indemnité au très Saint-Père, représentant de Dieu sur terre, béni soit-il.
La Castille se montre ravie de ce changement royal en Angleterre : elle renoue aussitôt le contact avec ceux qu’elle avait jadis essayé d’aider lorsque l’usurpateur osa nous attaquer sauvagement, sournoisement. Elle est maintenant la cible de celui-ci. Londres devait-elle s’en mêler ? Le pouvait-elle ? Fort heureusement, oui : le Roi de France avait beaucoup insisté pour que le traité que nous avons signé avec lui n’inclue pas de traité de non-aggression. « Nous pourrons sans problème nous faire la guerre, mais les Flandres ne pourront jamais être choisies comme tribu de paix, je garantis sur la bible de ne pas y toucher ». Naturellement, certains, à Londres, voulurent y voir une inquiétante volonté de l’usurpateur de nous attaquer une fois encore, raison pour laquelle il avait refusé le traité de non-aggression

, mais le traité nous laissait aussi les mains libres et garantissait les Flandres, nous l’avons donc signé… et respecté.
Les troubles continuaient en Angleterre, aussi le nouveau roi, un Lancastre, fit-il le même calcul que son prédécesseur de York : la guerre

. Le loup carnassier attaquait la brebis de Castille, qui avait loyalement tenté de nous aider jadis : des engagements avaient été pris et nos deux pays s’étaient mis d’accord pour se prêter assistance en cas d’assaut français. Cette pieuse alliance était donc uniquement défensive et visait à protéger les doux agneaux d’Angleterre et de Castille des appétits gargantuesques de la France

.
Alors que les hordes avides de France déferlaient contre les brebis du sud, les agneaux du nord réunissaient leurs forces et, commandés par le berger Warwick, débarquèrent subitement en France, direction Paris ! Nos alliés de Gueldre couvraient notre flanc gauche, le général anglais Montague notre flanc droit. Le siège se passait bien, le Roi de France se décida donc à cesser son inique offensive au sud pour remonter sur Paris avec ses hordes : une tenaille fut mise en place puis lancée contre nous avec une froide détermination.
Encerclée et sans le moindre espoir de retraite, les brebis anglaises découvrirent des crocs qu’elles ignoraient même posséder : le loup meurtrier fut balafré et saigné à mort

. Mais la tenaille toujours se refermait et l’issue semblait inéluctable, malgré le courage indomptable du berger Warwick : 100.000 hommes se sont affrontés ce jour devant les murs de Paris ! Une des plus grandes bataille de l’occident chrétien de ce siècle et qui devait décider de l’issue de la guerre qui, au sud, se passait plutôt bien pour nos alliés Ibériques depuis le départ vers le nord des hordes de France.
Tout le poids de la puissance française se jetait sur nos frêles épaules, tandis que le Pape, entré en guerre à son tour, pour la justice et le bon droit, tentait vaillamment de se frayer un passage dans les Alpes pour nous venir en aide : Montague l’a précédé et son arrivée fit basculer le sort de la guerre. La bataille de Paris était gagnée, plus de 35.000 soldats français restèrent sur le carreau ! Victoire

!
La victoire de l’Angleterre :
Pendant que notre héros Montague poursuivait le siège de la capitale ennemie, Warwick le colosse poursuivait les débris français, avant de stopper net la course : le Roi de France offrait la paix. Magnanime, le Roi d’Angleterre, bon et juste, qui ne voulait pas humilier son grand ami de France, lui accorda la paix en échange de Calais. Comme annoncé par les astres, nous étions de retour sur le continent

! L’Angleterre est éternelle, le temps nous donnera toujours la victoire. Par mesure de précaution, les effectifs de la marine sont plus que doublés, notre vocation n’est pas sur le continent et nous pourrons revendre Calais à la France si le prix est bon, mais nous lutterons toujours pour nos droits et le respect de la parole donnée

.
Cette noble volonté nous obligea, contraint et forcé, d’entrer en guerre aux côtés de nos alliés contre la Bourgogne impie : les armées de celle-ci, menées par un génie du mal, Charles le téméraire, livraient massacre sur massacre et finirent, après avoir triomphé de nos alliés, par venir assiéger les Flandres. L’Angleterre, qui s’était bien gardée d’intervenir activement dans ce conflit qui ne la regardait pas, fut alors obligée de réagir : un corps expéditionnaire débarqua sur le continent et Charles le téméraire fut tué, ses armées anéanties. Ainsi périront toux ceux qui oseront nous défier

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Posté : jeu. mars 02, 2006 10:06 pm
par Aedan
[align=center]***** Chroniques de l'Empire Romain d'orient 1461 - 1476 *****
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Le voyage à Rome, le retour de Guicourt à Constantinople.
La situation de l’Empire Romain d’Orient en ce début d’année 1461 est critique. La moitié de l’Empire est en révole, La Morée, la Grece, l’Albanie, la Dobroudja, la Roumélie et la Bulgarie sont aux mains de la rebellion Orthodoxe et 2 puissantes armées de revolté se sont rejointes en Macédoine pour assieger Thessalonique restée fidèle à l’Empereur.
C’est cette situation extrement grave qui força l’empereur Demetrios à faire de très importantes concessions au clergé Orthodoxe et à renvoyer le cardinal de Guicourt en le forçant à l’exil en Novembre 1460.
Mais le cardinal de Guicourt se précipitant à Rome, su convaincre le saint-père de prendre son partie et de precher une nouvelle croisade contre l’Empire Romain suivit rapidement par le puissant archi-duché d’Autriche.
L’Empereur était prêt à tout désormais, jusqu'à l’humiliation suprème, pour sauvegarder l’intégrité de l’Empire durement reconstitué depuis la fin du règne de son père Manuel II et de ses deux freres Jean VII et Constantin XI.
Le 20 Janvier 1461, L’Empereur Demetrios s’embarquait pour l’Italie et il parvenait à Rome le 14 février. Mettant genoux à terre et baisant la main du Pape, il implora le pardon du souverain Pontife qui le lui accordra et leva l’excomunication et la croisade contre l’Empire Romain d’Orient. Au dela de cette humiliation, l’Empereur s’engageait à verser 150.000 besants d’or à l’Eglise Catholique, de construire une nouvelle Cathédrale à Constantinople et à y nommer à nouveau le Cardinal Jean de Guicourt comme représentant de l’Eglise.
Le 8 Avril 1461, l’Empereur Demetrios rentrait à Constantinople avec un cardinal de Guicourt triomphant et exultant à ses cotés.
Le redressement et la prospérité économique.
Le Cardinal Catholique pensait avoir gagné la partie mais il se trompait... Le Patriarche Alexius était déjà rentré de Moscou avec une véritable fortune. Le Grand Duc de Moscovie pretait à l’empire la somme fabuleuse de 400.000 ducats vénitiens pour restaurer la Basilique Sainte-Sophie et rétablir le clergé Orthodoxe.
Dans les provinces de l’empire, les foules étaient enthousiates et l’amnistie impériale favorisa le ralliement rapide de toutes les villes révoltées contre l’empire et les latins.
Des la fin de l’année 1461, l’ensemble des provinces de l’Empire avait retrouvé le calme. Le grand roi de France, Charles VII de Valois offrit également de nombreux subsides et dons pour la restauration de la basilique et les travaux de restauration purent alors commencer
Le 26 Avril 1463, L’Empereur Demetrios et le Patriarche Alexius inauguraient la nouvelle Basilique Sainte-Sophie restaurée. Les travaux avaient couté au total la somme de 500.000 besants d’or. Une école de sculpture et de peinture fut ouverte également dans la capitale impériale stimulée par la demande issue de la restauration de la Basilique.
Cette académie des arts, la première de ce type dans toute l’europe, montrait à l’ensemble de l’Europe, que Constantinople était redevenue le phare culturel de la Chrétienté.
Le 1er Mars 1464, la nouvelle tombait à Constantinople… les population Turques d’Anatolie occidentale s’étaient révoltée et affranchies de la tutelle Chypriote. Un nouveau Sultanat Ottoman se reconstitua autour de Brousse avec le brillant sultan Murad II comme chef.
L’empereur était inquiet car les Ottomans reaparaissaient aux portes de Constantinole, juste de l’autre coté du Bosphore.
Mais les Chypriotes semblaient determinés à conserver l’occupation de la région et pendant plus de 3 ans, ils parvenaient à contenir la poussée turque.
L’Empereur Demetrios Paléologue était conscient qu’il était nécessaire de reformer le système militaire et économique de l’empire pour lui permettre de faire face aux nouveaux défis et à la poursuite du rétablissement de l’empire.. En Juillet 1463, une nouvelle réforme redécoupa l’Empire en thème et au sein de chacun, les paysans reçurent de nouvelles terres et furent affranchis de tout servage en échange d’un service au sein de l’armée impériale même en période de paix. Chaque thème et ses forces étant alors dirigé par un stratège directement nommé par l’empereur. L’Empire Romain retrouvait alors sa structure divisée en thème issu de la menace arabe de 677.
Cette réforme qui bousculait l’ancien système féodal issue d’occident provoqua un formidable essor agricole car les paysans étaient ainsi enfin propriétaires des terres qu’ils cultivaient. L’Empire augmenta ainsi subtanciellement ses ressources fiscale qui était encore principalement issu des impots terriens indéxé sur la production agricole qui s’envolait à présent.
Quand à l’armée, elle y gagnait la possibilité de pouvoir lever d’avantage de soldat en temps de guerre même si ces derniers étaient surtout des troupes à pieds mal équipé.
La noblesse impériale et les grandes familles étaient les grandes perdantes de ces réformes avec la confiscation de grandes surfaces de terre au profit de la paysannerie libre. Cependant, elle ne réagit pas immédiatement, preferant attendre le moment favorable pour agir. Evidement le cardinal de Guicourt ne manqua pas de critiquer ouvertement l’Empereur sur ces réformes qu’il jugeait " dangereuse pour la noblesse qui avait tant donné pour les croisades et dont les membres avaient été désigné par dieu pour guider les petites gens ".
Du fond de sa Cathédrale inachevé par absence de crédit impériaux, sa voix ne pouvait se faire entendre… du moins pour l’instant.
Le 1er Avril, 1467, La stupeur vint de Chypre qui signait une paix reconnaissant le Sultanat Ottoman de Brousse. Immédiatement, le Sultan Murad II commença à lever une armée sur ses nouvelles terres et rassembla environs 8.000 soldats à quelques dizaines de lieus de Constantinople. L’Empereur ne pouvait plus accepter le retour des Turcs en Anatolie et une armée impériale de 24.000h se rassembla à Constantinople sous le commandement du général Ecossais Mac-Conin.
Le 20 juin 1467, l’armée Romaine traversa le Bosphore et fit son retour triomphal sans combattre dans l’ancienne capitale impériale de Nicée dont la population grecque de la ville ouvrit les portes et s’offrit à l’empereur. Mac-Conin prit alors plein est et se porta directement sur Brousse la capitale Ottomane. Le Sultan Murad II attendait avec son armée naissant au centre de la plaine a quelque lieus de la ville. Mac-Conin disposait de 18.000 hommes de troupes à pied, issue de la réforme des thème et dont tout les hommes étaient d’origine modeste mais également de 6.000 cataphractes issue de la noblesse qui devant la menace turque se mobilisa avec force. Bousculé par les cataphractes, les turcs furent encerclé et écrasé par la charge de la cavalerie impériale avant que l’infanterie romaine ne vint terminer le travail. Le Sultan Murad II fut retrouvé mort sur le champs de bataille et le siège de la ville fut immédiatement mis en place.
Le 13 novembre 1467, Brousse affamée se rendit et l’Empereur Demetrios entrait dans la ville turque en libérateur annexant le Sultanat Ottoman.
Désormais, de Durazzo en Epire à Trebizonde sur la frontière mongole, l’Empire Romain avait retrouvé sa continuité territoriale.
L’Empereur Démetrios devait remporter un dernier grand succé. Le 10 mai 1467, conformement à un très ancien traité signé avec la Castille, l’Empire Romain avait réuni la somme d’1 million de ducats Vénitien et racheta la ville commerciale d’Alexandrie au royaume de Castille. Depuis sa prise par les arabes en 642 et apres 825 années d’occupation, la ville revenait enfin sous administration romaine.
L’Empereur pour trouver le million de ducat necessaire, avait cependant du fortement endetter l’Empire pour de très longues années auprès de grandes puissances étrangères. On parle de 500.000 ducats sur le million offert à la Castille
L’année 1467 avait été donc particulièrement bénéfique pour l’empire avec les rattachements de Brousse et d’Alexandrie à l’empire Romain d’Orient.
Cependant la maladie frappa soudainement l’Empereur durant l’hivers et les médecins n’étaient guere optimiste et pensaient qu’il ne passerait pas l’hivers. Cependant avec le retour du printemps, la santé de l’empereur s’améliora doucement et il pu reprendre ses activités normales.
Mais les jours heureux de l’empire touchaient à leurs fin après presque une décennie de prospérité et d’expansion.
Comme autrefois son frère ainé, l’Empereur Jean VIII, Démétrios décidait au printemps 1469 de lancer à nouveau l’Empire Romain dans une guerre au nom de la Chrétienté.
Le 12 avril 1469, une terrible tempête de neige s’abattait, à une date pourtant tardive, sur Constantinople…
Le 12 avril 1469, une nouvelle fois, l’Empire Romain entrait en guerre contre les hordes Mongoles…
Posté : ven. mars 03, 2006 6:28 pm
par Danton
Missive diplomatique
Nous, Roi d’Angleterre (ah ah, oui, mais lequel

?) tenons à réagir aux propos insidieux et faux tenus ici même par l’usurpat… le roi de France

.
Il se peut en effet, Valois, que, lors d’une soirée de beuverie, votre ambassadeur ‘Lemarseillais’, bien connu à Londres pour son inaltérable sens de l’humour

, ait parlé, comme on lance une boutade, d’alliance secrète à notre très estimé conseiller Lord Danton, juste quelques minutes avant que celui-ci ne roule sous la table.
Il se peut, mais, pour nous, tout ce qui se dit durant ces nuits de débauche où il est question (beaucoup) de femmes et (un peu) de diplomatie n’a aucune valeur légale. Veuillez donc vous en tenir uniquement au document officiel que notre conseiller, toujours Lord Danton, a rédigé le lendemain à l’aube, malgré sa gueule de bois (ce qui montre une fois encore son courage immense, son abnégation… Vraiment, quel homme admirable : il est grand

!) et dans lequel il n’est nullement question d’alliance entre nous, ni même de traité de non-agression, chose que nous avons certes proposé mais que vous avez refusez avec force, acceptant tout juste, du bout des lèvres, de garantir que la France ne toucherait pas aux Flandres anglaises et nous laisserait agir à notre guise avec l’Écosse.
Veuillez donc vous en tenir uniquement à ce traité, lu et approuvé par nos deux grâces. Nous avons dit.
Marseillais, vieux frère, mais tu étais donc encore plus bourré que moi ce soir là ? Qu’est-ce qui t’as pris de raconter ces conneries à ton roi ? Je me tords encore les côtes de rire en revoyant la tête qu’ont fait tous ces nobles d’Angleterre en lisant ses absurdes accusations
.
On se voit ce samedi soir pour bien en rire ensembles ? Mary et Elisabeth seront de la partie !
+
PS. Pour la petite caille, ne t’inquiète plus, Jimbo a tout arrangé, mais tu (nous
) auras droit à un sermon je le crains…
Posté : ven. mars 03, 2006 11:20 pm
par Aedan
[align=center]***** Chroniques de l'Empire Romain d'orient 1461 - 1476 *****
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Avril 1469, la 2eme guerre Mongole
La horde de l'Elephant Blanc était secouée par d'important troubles intérieurs en ce début d'année 1469. Le sud Perse était en révolte et la capitale Mongole du Kurdistan venait de tomber aux mains de la rebellion Perse.
L'empereur Demetrios 1er décidait ainsi en ce printemps 1469 de profiter de ces discordes pour abatre définitivement la menace mongole sur les frontières Est de l'Empire et liberer les populations chrétiennes d'Arménie prisonnier du joug mongol. Vidant le trésor impérial remplis par des années de croissance, L'Empereur mobilisa et rassembla 28.000 soldats à Trebizonde en vue de la campagne confiée au Condotière écossais Mac-Conin.
Mac-Conin divisa ses forces en 3 corps. Le 1er corps impérial fort de 10.000 fantassin était destiné à la conquete de l'Arménie orthodoxe. Le 2eme corps de 12.000 hommes à pieds devait avancer sur la capitale Mongole au Kurdistan si les rebelles Perses devait en perdre le controle. Enfin 6.000 Cataphractes attendraient à Trebizonde et servirais de réserve stratégique.
Le 12 Avril 1469, alors qu'une terrible tempète de neige perçu comme un mauvais présage s'abati sur Constantinople, l'Empire Romain d'Orient déclarait la guerre à la Horde de l'Elephant Blanc et le 1er corps impérial franchissait la frontière et entrait en Arménie.
Si la Horde Dorée avait depuis longtemps coupé ses relations avec la Horde de l'elephant blanc bien trop occupée par la poussée des croisades menées par les forces Moscovites... Le royaume de Tunisie, le Royaume du Hedjaz et le Sultanat Ayyubide de Syrie entra en guerre au coté des mongols contre l'Empire Romain d'orient.
L'empereur confiant dans la force de l'Empire n'y preta guere attention et comis la une trés grave erreur d'apréciation de la situation.
En effet, le royaume arabe du Hedjaz s'était emparé de la région d'Adana abandonnée quelques années aupravant par les Vénitiens. Une puissante armée du Hedjaz était d'ailleur en position à Alexandretta et le 10 mai, soit seulement 28 jours plus tard, la grande ville impériale d'Ankara au centre de l'Anatolie était assiégé par 30.000 arabes.
L'Empire n'avait pas conservé de réserve militaire et il fut impossible de dégager Ankara d'autant que le Sultan Ayyubide engagea également 20.000 soldats portant à 50.000h hommes les forces arabes menant le siège d'Ankara.
Plus à l'Est le général Mac-Conin ignorait la menace qui pesait sur l'Anatolie centrale et engagea le 1er corps impérial en Arménie. Une petite troupe Mongole gardait les cols du Caucase mais du se replier le 11 mai. Le 18 mai, le 1er corps impérial avait atteind la capitale Arméniene d'Erevan tenue par les Mongols et le siège fut imméditament installé.
Au sud, les nouvelles était mauvaises. A Bilitis, la capitale Mongole, les révoltés Perses avaient ouvert les portes de la ville à l'armée du khan mongol qui terminait ainsi la pacification de ses terres. L'empire avait compté sur la rebellion Perse pour occuper le Khan...et en moins de 3 mois, le Khan avait écrasé la rebellion et commençait à lever de nouvelles troupes. La situation s'était ainsi profondément déteriorée....
Le général Mac-Conin prefera agir avant que les mongols n'ai eu le temps de se reorganiser. A la tete du 2eme corps impérial, il quitta à son tour Trebizonde pour Bilitis ou il défi le Khan qui prefera ordonner la retraite. Mais ce replis ne devait être que provisoir car de partout, les hordes mongoles se rassemblaient et plus de 40.000 mongols attendait désormais au Daguestan sur les rives de la mer Caspienne l'ordre de leur seigneur pour lancer la contre attaque.
Les mois passèrent et l'offensive du Khan ne se produisit pas. Alors que Mac-Conin pietinait devant Bilitis, plus au nord en Arménie, la ville d'Erevan ouvrait enfin ses portes à l'armée Romaine qui pu entrer dans la cité sous les aclamations de sa population arménienne.
L'hivers 69-70 fut assez clément et la neige et le froid épargna le Caucase permettant de maintenir l'etau autour de la capitale mongol de Bilitis au Kurdistan. Cependant les nouvelles de l'Ouest n'était pas bonne. le 10 juin 1470, les forces de Hedjaz, bien que décimé par la malnutrition ayant provoqué la disparition de la moitié de l'armée Arabe, entrait dans Ankara qui cedait aprés une année de siège.
Avec la chute d'Ankara, souvrait pour les armées arabes du Hedjaz et des Ayyubides la route de Brousse, Ephèse et surtout Constantinople dont il n'existait aucune armée romaine pour en assurer la protection.
C'est dans cette situation de Crise, que l'empereur Demetrios le 18 juillet 1470 rendit son ultime soupir au Palais des Blachenes à l'age de 61 ans emporté par une violente fièvre.
Demetrios 1er Paléologue devait rester dans la mémoire du peuple comme un empereur pragmatique, qui n'hesita pas à s'humilier devant la papauté pour redresser la situation intérieur et rétablir l'Orthodoxie. Ce fut également l'empereur de la réforme des thèmes et de la prospérité économique avant que la fin de son règne soit entaché par une nouvelle aventure hasardeuse contre les tribus mongoles...
*1470* L'accession au trone du Prince Andréas, la poursuite de la guerre contre les musulmans
Le Prince Andréas, unique fils de l'empereur Constantin XI et neveu de l'empereur Demetrios, montait ainsi sur le trone impérial à l'age de 19 ans. Il ne devait helas, montrer moins de qualités exeptionnels, que n'en disposait son père qui restera comme un des plus grands empereurs Romain depuis Justinien ou Basile II. Cependant il heritait d'une situation difficile qu'il n'avait pas provoqué mais qu'il devait à présent résoudre par tout les moyens.
L'Histoire devait montrer qu'il essaya de faire de son mieux...
Dieu décida d'épargner Constantinople. La puissante armée Arabe d'Ankara au lieu de prendre plein Ouest et de marcher sur la capitale impériale restée sans défense, obliqua soudainement vers le nord-est en direction de Trébizonde.
La manoeuvre était pourtant brillante. Les forces Romaines engagée plus à l'est dans le Caucase risquait à présent de voir leurs ravitaillement coupé et d'être encerclée si le port vital de Trébizonde tombait dans les mains des arabes.
Mac-Conin décida de lever le Siège de Bilitis dont les murs était à peine entamé pour se porter sur Trébizonde dans l'espoir de rejoindre le 3eme corps impérial de 6.000 Cataphractes laissé en réserve et désormais dangereusement exposé par le mouvements des forces arabes. Quand au 1er corps impérial, sa mission fut de rester en Arménie et de defendre le passage des cols au cas ou la puissante armée mongol du khan se décidait enfin à faire mouvement.
La bataille pour Trébizonde débuta le 11 septembre 1470 et l'armée romaine fatiguée se débanda aux premiers combats devant les troupes Ayyubides et du Hedjaz. Le général Mac-Conin et 9.000 soldats dont 4.000 Cataphractes ne put qu'ordonner la retraite rapide sur Erevan pour rejoindre le 1er corps impérial toujour en Arménie.
La situation dans l'est étaitdevenu critique. Les debris de l'armée Romaine commandé par le général ecossais s'était regroupé à Erevan et comportait encore 15.000h mais était à présent coupé de la mer et en situation extrement perileuse. La prise de Trébizonde le 23 décembre 1470, 2 jours avant noël par les Ayyubides, complétait les désastres de l'année 1470.......
Posté : sam. mars 04, 2006 8:21 pm
par Aedan
[align=center]***** Chroniques de l'Empire Romain d'orient 1461 - 1476 *****
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*1471 -1473* La guerre contre les mongols s'enlise.
L'année 1471 débuta sous de bons auspices. La douceur de l'hivers 69-70 précedent qui avait épargné l'Arménie de chutes de neige, avait été suivit d'un printemps humide et d'un été chaud et sec. L'Ouest et le centre de l'empire, épargné par la guerre, avait connus des récoltes exeptionelles de céréales et les exedents de production provoquèrent une chute importante des prix du pain à Constantinople et dans tout l'empire.
La déflation généralisée de 5% était une aubaine pour les caisses de l'état permettant de soulager d'autant les depenses de l'état impérial.
L'Empereur Andréas profita de ces exedents budgetaires pour ordonner la levée d'une nouvelle armée (l'Armée d'Anatolie) de 15.000h dans le thème d'Ephese s'appuyant ainsi sur la nouvelle organisation de l'empire et les reserves humaines de paysans qu'elle permettait. La nouvelle armée cependant ne pourait être opérationelle avant l'été.
En attendant dans l'est, le général Mac-Conin était toujour coupé de la mer avec la chute de Trebizonde le 23 décembre. Proffitant d'un 2eme hivers clément, il décida de se porter à nouveau sur Bilitis, la capitale mongole au Kurdistan, en l'absence du Khan qui inexplicablement restait avec son armée de 40.000h sur les bord de la mer Caspienne plus à l'Est.
Le 25 janvier 1471, le siège romain était à nouveau en place autour de Bilitis.
Le 12 avril, une armée arabe du Hedjaz de 10.000h venue du sud fut repoussée devant Bilitis et le 1er mai ce fut un detachement Ayyubide de 7.000 soldats qui vint s'ecraser sur les fortifications romaines. En effet Mac-Conin, immitant en cela le grand César au siège d'Alésia en Gaule, avait établit une double ceinture de fortification en direction de la ville mais aussi pour bloquer l'arriver de toute armée de secour. Cependant c' était avant tout la division et le manque de coordination des armées ennemies qui permetait à l'empire de maintenir ses positions dans le Caucase.
Mais apres seulement 11 jours apres sa victoire sur les Ayyubides, Mac-Conin apris que la ville d'Erevan au nord venait de tomber aux mains de l'armée du khan mongol et la garnison arménienne de la ville avait été contrainte à la redition en quelques semaines.
Ne diposant de plus aucune place forte dans la région, il devenait impossible de se maintenir devant Bilitis et Mac-Conin ordonna à l'armée Romaine de marcher sur Trébizonde pour sortir de la nasse ou il était enfermé.
Le 23 septembre, Mac-Conin ataquait l'armée Arabe affaiblie et réduite à 12.000 soldats de Trébizonde en même temps ou l'armée d'Anatolie enfin opérationelle organisait un débarquement à l'Ouest de la ville. La Bataille ne dura que quelques heures et l'armée arabe du Hedjaz fut entierement détruite.
Les forces impériale rassemblées à Trébizonde étaient ainsi reconstituées et comportaient plus de 25.000 soldats dont 8.000 Cataphractes. Mais le Caucase était à présent fermement défendu par 40.000 mongols et toute nouvelle offensive vers l'Arménie et le Kurdistan seraient vouées à l'echec. A l'Ouest par contre, les forces arabes du Hedjaz et des Ayyubides, s'était retiré vers le sud ou avaient été décimées. Détachant 12.000 soldat, Mac-Conin ordonna un mouvement vers le sud -Ouest afin de délivrer Ankara de son occupation arabe et de rétablir les communications terrestres avec le reste de l'empire. Le 14 octobre le siège d'Ankara était mis en place pendant que Mac-Conin s'occupait du siège de Trébizonde qu'une timide contre attaque Ayyubide en Novembre ne parvint pas à briser le siège.
L'Hivers 72-73 fut une nouvelle fois relativement clément et épargna les plateaux d'Anatolie orientale permetant la poursuite des opérations militaires. La ville de Trébizonde fut reprise le 18 février 1472 et Ankara le 27. Un corps impérial se dirigea alors vers les bases du Hedjaz dans le Sud et pénétra dans la province d'Adana pour installer un siège autour d'Alexandretta.
Mais helas, si Alexandretta n'était pas défendu, c'est qu'une puissante armée Arabe traversait au même moment les terres Egyptiennes Mamelouks avec la complicté de ces derniers, et portait la guerre à Alexandrie, la 2eme ville de l'Empire avec pres de 40.000 habitants et c'est avec stupeur que l'Empereur Andréas apris la chute de la ville le 18 mars 1472.
La perte d'Alexandrie était un coup terrible pour le commerce de l'empire ainsi que pour son prestige. La situation militaire demeurait dans un fragile équilibre en cette fin d'année 1473
- Mac-Conin avec 13.000h tenait à Trébizonde la frontière du Cauvase avec face à lui 40.000 Mongols.
- Le siège d'Alexandretta par 11.000 romains se terminait par la prise de la ville le 13 octobre
- Alexandrie était occupée par les arabes et difficile à reprendre d'autant que le trésor impérial ne permetait pas la levée d'une nouvelle armée pour l'Egypte
La situation militaire semblait dans l'impasse quand elle devait subir un renversement aussi soudain que spectaculaire.
L'emirat Turc de Karaman déclarait la guerre à l'Alliance Arabo-Mongole le 21 octobre 1473....
*1474* L'Offensive turque, les Musulmans s'entredechirent...
En ce debut d'année 1474, la situation militaire se débloqua soudainement. L'emirat de Karaman avait mobilisé une formidable armée de 45.000h et marchait à présent vers l'Est.
Le Khan de la horde abandonna alors la defense du Caucase et par un vaste mouvement tournant par le sud lança également ses forces vers l'Ouest.
L'Empire qui venait de réaliser la conquete de la province d'Adana sur le Hedjaz risquait d'etre pris en tenaille par les deux puissantes armées en mouvement et une évactuation d'urgence vers le nord fut entrepris en direction d'Ankara.
En Mars 1474, se produisit au nord d'Alexandretta (Ville toujour tenue par l'empire) une terrible bataille opposant 45.000 turcs à 40.000 mongols et 15.000 arabes. Ce fut un terrible carnage et plus de 75.000 musulmans des deux camps trouvèrent la mort... autant par les combats que par le manque de ravitaillement dans une province déja pillée et incendiée à plusieurs reprises. Le général Mac-Conin à Trébizonde exultait... Non seulement la route du Caucase venait à nouveau de s'ouvrir, mais les Turcs, Mongols et Arabes s'entretuaient désormais avec beaucoup d'application. La situation militaire redevenait favorable à l'Empire Romain d'orient.
Helas, cette fois ce fut la situation intérieur de l'empire qui devait handicaper l'effort de guerre.
La révolte des Magnates!, la guerre civile embrase l'empire
La réforme des Thèmes avait mécontenté la noblesse obligée de ceder des terres à des paysans qui devenait ainsi propriétaire de leurs fermes en échange d'un service militaire du à l'empire en cas de guerre.
Mais la Noblesse avait rapidement trouvé une parade en rachetant systématiquement toutes les terres qui étaient misent en vente à travers l'Empire. Accumulant à nouveau des terres et des paysans à leurs services, l'Aristocratie d'origine féodale accumula des fortunes avec les trés bonnes récoltes des années précédentes. Ces grandes familles prenaient conscience de leurs puissance et luttait contre les tentatives de centralisation du jeunr empereur Andréas 1er.
Au centre de ce mouvement de protestation, se trouvait encore et toujour le trés vieux mais toujours aussi iactif, Cardinal de Guicourt, qui avec ses 75 ans, continuait à oeuvrer à la destabilisation intérieure de l'Empire.
La décision de l'Empereur Andréas de casser le pouvoir des grands féodaux en les obligeant à stopper leurs politiques de rachats de terres provoqua la grande révolte de 1474.
Le 8 Avril 1474, dans tout l'empire, la trés grande majorité des grands féodaux se révoltèrent contre l'autorité impériale (event: - 6 stab , +6 révolte pendant 2 ans, 3 révoltes automatique :( )
Les villes de Durazzo, Sofia et la Dobroudja passèrent imméditament aux mains de la rebellion.
A Constantinople, la garde impériale venue à la grande Cathédrale arreter le cardinal ne put proceder à son arrestation car le vieux renard s'était déjà enfuis en Epire rejoindre l'insurection nobiliare.
L'Empereur ne disposait d'aucune force pour contenir la rebellion avant qu'elle ne s'étende car les troubles sembaient toucher la totalité de l'empire et même la capitale impériale était en ébulition. Le 12 Avril, l'empereur evita de trés peu un attentat au poison dans son propre Palais... les conjurés étaient partout... l'Empire sombrait dans le Chaos.
Le général Mac-Conin céda alors la moitié de ses forces et profita des conflits internes entre musulmans pour envoyer vers l'Ouest l'armée impériale d'Ankara forte de 13.000 Soldats.
Le 19 Avril, l'armée d'Anatolie écrasait une armée féodale de 6.000h devant Brousse puis une 2eme devant Ephese. Traversant le détroit des Dardanelles, elle se porta sur Thessalonique qui était à présent menacée par la rebellion venue de Bulgarie. Une nouvelle fois les forces loyalistes remportèrent une nouvelle victoire essentiellement acquise grace à la Cavalerie. Mais l'empereur ne voulait pas abandonner Alexandrie toujour tenue par les Arabes du Hedjaz et ponctionna la moitié de l'armée de Macédoine pour l'envoyer en Egypte.
La flotte aparareilla de Thessalonique en juin et 6.000 romains entreprirent le siège d'Alexandrie en juillet.
Dans l'Est, Mac-Conin et 12.000 soldats avait décidé de reprendre l'offensive apres le desastre mongol contre les turcs. En mai, les forces romaines étaient de retour en Arménie non defendu et assiegeait Erevan qui tomba en juillet. Les forces Romaines se portèrent alors vers le Sud sur Bilitis, la capitale mongole au Kurdistan. Arrivé devant Bilitis, Mac-Conin appris que le Khan accourait vers lui avec 28.000 soldats. Rompant le siège, le général ecossais rentra en Arménie et le Khan stoppa son avance et fit demi-tour pour aller combattre les turcs. Les impériaux en profitèrent pour se porter à nouveau sur Bilitis entrainant un nouveau changement de direction de l'armée mongol qui accoura à nouveau au sauvetage de leur capitale. Il devenait évident que les mongols feraient tout pour defendre Bilitis et il était de l'interet de l'empire que les mongols combattent les turcs plutot que les forces romaines. L'armée impériale d'Arménie prit alors la route de l'Est et se porta au Daghestan, la mer Caspienne étant atteinte à la fin du mois d'Aout.
C'était la 1ere fois depuis plus de 1000 ans, que des forces Romaines atteingnait à nouveau cette grande mer intérieure.
Dans la bande litorale bordant la mer, les Cataphractes impériales ecrasèrent un petit détachement Mongol puis se rendit maitre du Daghestan. Helas le général Mac-Conin devait trouvait la mort, blessé trops griévement par une flèche mongole...
Le Khan Mongol, soucieux à présent d'ecraser la menace turque, était pret à présent à signer une paix séparée avec l'empire, quitte à abandonner ses alliés arabes. En novembre 1474, la Horde de l'Elephant Blanc cédait l'Arménie Orthodoxe et ses mines d'or à l'Empire Romain d'Orient.
En Egypte à présent, Alexandrie ouvrait ses portes en novembre 74 et les forces Romaines liberaient la ville.
Les victoires militaires ne pouvait cacher l'ampleur du desastre dans les provinces européennes de l'Empire. La faible armée impériale de Macédoine était dépassé par l'ampleur de la tache à accomplir et le térsor impérial ne permettaity plus de lever de nouvelles troupes.
Pire, un emprunt de 500.000 ducats souscrit auprés d'une grande puissance occidentale pour le rachat d'Alexandrie à la Castille arrivait à échéance...le trésor étant pratiquement vide, l'Empereur ne pu honnorer ses créances ce qui ruina le crédit de l'empire et provoqua une forte deception de la part de la grande puissance ayant offert cet emprunt.
La paix obtenue contre les Mongols ne permit pas le retour de l'armée de l'est. Une puissante armée Ayyubide de 18.000 Soldat lança une offensive sur Alexandretta et repoussa les forces impériales qui ne purent se reorganiser une nouvelle fois avant Ankara et il fallu une puissante contre offensive coutant 6.000 morts pour degager la région d'Adana de l'occupation Arabe
L'année 1476 ne devait pas être meilleure, la stabilité intérieur de l'empire était toujour aussi desastreuse (-2) et la rebellion s'était étendue à la Grece et à la Roumélie. Heureusement au cours du second trimestre, la situation commença à se stabiliser et les forces loyalistes reprirent du terrain en Epire et en Roumélie. Le front avec les armées Arabes étant également fixé au Sud d'Alexandretta mais le manque d emoyen de l'armée impériale ne permetait pas d'envisager l'invasion de la Syrie Ayyubide pour mettre fin à la guerre.
L'Empire Romain d'Orient enfin était à présent terriblement endetté sur la scène internationale.
- 150.000 ducats était toujour à l'état pontifical
- 254.00 ducats était du à la Castille pour le rachat d'Alexandrie
- 500.000 ducats enfin était du à une grande puissance occidentale.
Le trésor était vide, 1/3 de l'Empire était occupé par la rebellion et la stabilité de l'empire était catastrophique (-2), l'armée loyaliste était épuisée et incapable de faire face à toutes ses missions et la guerre contre les arabes durait depuis déjà 7 ans.
En cette fin d'année 1476... la survie même de l'empire Romain d'orient n'était plus assuré.
Posté : lun. mars 06, 2006 12:40 pm
par vince
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Castille, 1461-1476, par Juan Vincel Villalobos Ramirez, chroniqueur officiel de la cour.

[/align]
De 1461 à 1467, la Castille connut une période relativement calme qui vit notamment la concrétisation d’un ancien accord avec l’Empire Romain d’Orient concernant le statut d’Alexandrie. Cette ville commerciale avait été conquise par Alvaro de Luna, en même temps que Jérusalem, dans le but de frapper les intérêts économiques des infidèles mahométans. Environ 30 ans après, la Castille revendait donc Alexandrie à une autre nation chrétienne, pour 1 million de ducats vénitiens.
En parallèle, le roi profitait de cette relative quiétude pour s’entretenir avec le roi d’Angleterre, d’affaire diverses. En effet, malgré le calme apparent, la Bête, tapie dans l’ombre, attendait son heure…
Louis XI de France, digne successeur de Charles VII toujours prompt à dégainer l’épée contre d’autres sujets catholiques, dépêcha des émissaires à Madrid et Lisbonne, pour annoncer que la France comptait bien occire quelques Aragonais, coupables selon lui de bafouer son honneur par l’occupation du Roussillon. Mais, prétendaient-ils, la France ne souhaitait nullement nuire à nos deux nobles royaumes. A la bonne heure… A un moment nous crûmes même que l’émissaire Français aller prétexter que c’était pour notre bien… mais non..quand même pas.
Devions-nous en rire ou en pleurer… ? la perplexité était de rigueur…Malgré la calamiteuse diplomatie Française, la Castille fit l’effort d’engager des pourparlers. Il n’était nullement question d’abandonner l’Aragon à son triste sort, surtout à une heure où la sœur du roi, Isabel, était pressentie pour lui succéder. Or, Isabel était proche de l’infant d’Aragon, Ferdinand. Très proche même…
La castille enjoignit donc la France, de patienter quelques années, et s’engagea à faire de notables efforts concernant le Roussillon, moyennant une participation de la France à la lutte contre l’infidèle. Mais il n’était pas possible à l’heure actuelle, de céder quoi que ce soit.
Louis haussa le ton, tapa du point sur la table, et claqua la porte des négociations. Dans un caprice digne d’un enfant gâté, Louis exigea Perpignan (et Pau qui plus est), SUR LE CHAMP. Malgré de nombreux appels à la raison, à la patience, et au retour à la tables des négociations, en…
…1469, la Bête, capricieuse et orgueilleuse, attaque les frêles brebis ibériques.
Mais ce que le Malin ne savait pas, c’est que cette agression était tout sauf surprenante. Un traité secret existant entre les ibériques et le grand roi d’Angleterre, revanchard, qui stipulait une protection mutuelle en cas d’attaque du loup Valois. Et ce fut rapidement la catastrophe pour la Bête…
Les 15 000 Français assiégeant Perpignan furent mis en déroute par une armée aragonaise épaulée par 26 000 cavaliers Castillans. Pourtant 31 000 français se tenaient en soutien à Bordeaux. Mais ceux-ci se firent expulser par un ost Navarro-Aragonais qui déferla de Pau, plus tard rejoint par des renforts Portugais.
Ce fut la débâcle. Le repli collectif dans la confusion la plus totale. Certains racontent même que les Français franchirent la Garonne à la nage. Devant ce front uniforme et soudé, les Français repartirent le cul à l'air et la queue entre les jambes, vers le nord, car Paris était menacée par les vaillantes brebis Angloises, guidée par le berger Warwick, qui faisaient un retour retentissant sur le continent. Mais elles connurent la même humiliation. Quelques mois plus tard, les restes de l’armée Française réapparaissaient à Lyon, mais c’était trop tard. Entre temps, Montpellier, Bordeaux et Turin (au saint-père, qui avait pris part également dans cette juste cause) étaient tombées, les pertes ibériques étaient minimes, et cette tentative de réorganisation à Lyon fut balayée aussitôt.
Battue et humiliée, la Bête, l’écume aux lèvres, ne put qu’accepter, la paix que les humbles armées du Christ lui ordonnèrent. Turin revint au Saint-père, Calais au grand roi d’Angleterre, respectant ainsi le serment qu’il avait formulé quelques années plus tôt, quant au retour de l’Angleterre sur le sol Français.
Les ibériques, se réjouirent des gains des leurs précieux alliés, et se contentèrent d’indemnités financières.
Ainsi, pour la première fois, la Bête était vaincue. Possédée par le Malin, celle qui ne connaît que massacres, pillages, orgueil et vanité, allait alors devoir faire preuve de la plus extrême repentance, et de sa piété avant d’oser se représenter pour négocier le statut du Roussillon et du Bearn. Car la cour de Castille y était désormais très réticente…
Viva España !!
1474, à la mort du roi Enrique IV, dans des circonstances douteuses, la sœur du roi, Isabel accéda au trône. Le roi n’ayant eu d’héritier légitime, son frère cadet Alphonse mort prématurément, elle était devenue l’héritière présomptive. Mariée, à Ferdinand d’Aragon, une union des deux nations ibériques était sur le point de se concrétiser, formant ainsi le noyau du futur royaume d’Espagne…

Posté : mar. mars 07, 2006 3:33 pm
par Scarabee
[align=center]
Déclaration de l'archiduc d'Autriche[/align]
[align=justify]Un constat s'impose à la totalité des royaumes catholiques du Monde. Le Saint Père de Rome regarde le monde depuis son palet doré et depuis quelques temps, ce dernier ne semble plus être très clairvoyant. Cette personne à l'esprit fragile va nous conduire vers l'Enfer.
Nous nous devons de préserver le catholicisme, même si il le faut en combattant les délires du chef présumé. Ainsi, pour Dieu, nous demandons à toutes les grandes nations catholiques d'exprimer leurs sentiments sur les déclarations et les attitudes de la papauté. Si l'honneur guide nos paroles, le Saint Père devra sans doute revenir à la raison, et voir que personne ne peut le suivre sur la pente de la décadence.
De plus, nous demandons que l'ensemble des cardinaux se réunissent pour étudier une éventuelle abdication du Saint Père au vue de son état mentale, incompatible avec la charge qui est la sienne. Il en va de la reconnaissance de notre foi à travers le Monde. Comment évangéliser des peuples si nous nous combattons au nom d'un fou, qui ne suit même plus les paroles de la sainte Bible.
Royaume catholique digne et honorable, aidez nous à remettre la papauté dans les pas de Dieu ![/align]
Posté : mar. mars 07, 2006 6:18 pm
par lemarseillais
Missive royale à l'intention de l'archiduc d'autriche
Nous, roi de France, Louis le onzième, nous vous soutenons et appelons en un concile pour élire un nouveau pape.
Posté : mar. mars 07, 2006 8:31 pm
par Aedan
Déclaration de l'Empereur des Romains Andréas 1er Paléologue
Le seul Cardinal de l'empire est actuellement en fuite à Durazzo en Epire ou il participe à la rebellion de la noblesse contre l'empire.
Si ce Cardinal de Guicourt se présente au concil... un conseil, liquidez le, c'est un traitre et un agent du pape actuel particulièrement dangereux... il est également féru de croisade dans tout les sens...
Liquidez le! !!!
Posté : mer. mars 08, 2006 10:49 am
par vince
[align=center]
Message diplomatique de la cour de Castille.

[/align]
La reine Isabel de Castille comprend les préoccupations de ses illustres pairs. Elle compatit, même. Mais la communauté catholique a besoin d’un vrai guide, ferme, d’homme à poigne (un homme un vrai, un qui pue des pieds !!). Les hommes sont faibles, la convoitise est un pêché mortel. C’est pourquoi le saint-père n’hésite pas à employer tous les moyens qui sont bons pour nous remettre dans le droit chemin du christ et de l’église.
Observons nos actes ! Les infidèles mahométans ne sont pas vaincus. Ils sont encore à nos portes. Et que font les catholiques ? ils s’entretuent au moindre différent, préférant l’épée à la négociation.
Non non…tout ceci n’est que caprice. La reine Isabel, fervente catholique, ne peut désavouer le berger qui tente, tant bien que mal, de guider son troupeau vers le ciel.
Posté : mer. mars 08, 2006 10:56 am
par Scarabee
[align=center]
Déclaration de l'archiduc d'Autriche[/align]
La reine Isabel de Castille parle en fonction de la théorie légitime d'un guide. Et l'archiduc d'Autriche ne le conteste en rien. Toutefois ce guide doit convaincre, montrer le chemin. Or le Saint Père actuel préfère la destruction, la mort. La reine est femme trop savante pour suivre comme un mouton un berger qui conduit son troupeau vers le précipice. Un chrétien a le devoir de s'opposer à l'élimination de sa communauté, quelque soit l'ennemi, fut-il le loup au milieu de la bergerie.
Posté : mer. mars 08, 2006 1:11 pm
par LeRenard
Quelque part dans un endroit humide de Suède.
- Mais alors là je suis mort de rire....complétent mort de rire.
Ce Pape est un sacré vas-t-en guerre, il déclare des croisades
a tout va un peu partout...Je me demande bien ou ils sont allé
le chercher celui-là.
- Au dire de Dantus, c'est l'arme du Bien contre le mal. Quel allumé celui-là aussi
d'ailleurs, il s'est croisé contre la France lors de la dernière guerre Papale,
embarquant avec lui trois tondu et un unijambiste...Nous vivons une époque de fou
mon cher Aedanorg.
- Oui une époque idéale pour comploter, la Suède est désormais une grande puissance,
les guerres contre le Danois et la Pologne nous ont permis de mettre main basse
sur le commerce de la Baltique. Les réformes d'administration nous ont permis
de mieux gérer la collecte des impots et nous bénéficions désormais d'allié
intéressant avec le Roi de Bôhème.
Le seul hic, c'est que nous côntrolons 2 des 3 centre commerciaux du Nord....
ils nous en reste, un celui de Moscou.
Je serais d'avis que nous montions une intrigue pour monter les Roi du Portugal
contre la Couronne Anglaise et incitions le Russe à soutenir ce dernier.
Le Pape ne manquerais pas alors de se croiser entraînant Espagnol et Autrichiens dans
la guerre ce qui entraînera un carnage sur le sol anglais nous ouvrant les
voies de Moscou que nous frapperons allié au Bysantin que nous convaincrons
d'une traitrise Russe au....
- STOP !!!!
- Bon écoute mon ami (Soupir,mon dieux un fou de plus),la Suède a minatenant besoins de
fortifier ses bases de se construire une économie forte pour nos futures ambitions.
Alors plus de guerre, mais des investissements, des BONS investissements !
Il sera encore temps pour la guerre et les complots mon cher, mais il faut
d'abord s'en donner les moyens.
Messages du Régent Suèdoise
A la FRance
Courage un jour votre heure viendra.
A l'Anglais
Vous semblez avoir une bien mauvaise opinion du ROi de France
Aux Ibériques
Gloires au pourfendeurs des Infidèles
A l'Autriche
Courage
A l'Empereur Romain
Repoussez toujours plus a l'Est les horde Infidèles, nous sommes avec vous.
Au Grand Duc de Moscovie
Nous ommes impressionés par vos exploits militaires, vous avez grande
renommée chez nous
Au Pape
Vous auriez pas vu Dantus ?
Posté : mer. mars 08, 2006 1:17 pm
par ric novice
Oui le pape est malade et fou !! .... de Dieu !
Notre mission divine est de repousser les impies et eviter que les catholiques s'entretuent...par convoitise envers son prochain
Oui le pape a beaucoup guerroyé pour faire valoir les lois de dieu, il a annexé et relaché tous les duchés qui ont fait juste penitence
L'Archiduc s'est montré faible en abandonnant notre juste cause, mais il n'est qu'un humain et la voie vers le seigneur est difficile
L'Autriche a sollicité notre avis avant d'attaquer son voisin catholique , nous lui avons repondu que c'était peché
Ce qui a été fait contre la France doit être appliqué à l'Autriche, c'est pourquoi le pape est intervenu par souci de justice et d'equité
Cependant la papauté a conscience du rôle important de l'archiduc dans la defense de la chretienenté et nous sommes favorable à un arrangement dans les termes que la couraonne d'Autriche nous a proposé
Posté : sam. mars 11, 2006 1:33 pm
par Danton
1477 -1494. Nouvelle guerre franco-anglaise : je t’aime, moi non plus.
Acte 1. Le Roi d’Angleterre dupé par le loup avide
Paisiblement, les brebis anglaises tentaient de brouter l’herbe verte sans se soucier de la guerre civile qui ravagait toujours notre paisible pays, mais la tempête viendra une fois encore du continent et l’agresseur est toujours le même : l’usurpateur de France

. Sournoisement, fourbement, il se jette contre notre allié Bourbonnais, sans même songer à nous prévenir (c’est le Gelre, et non l’Angleterre, qui a fait venir le Bourbonnais dans l’alliance) : noblement, le pacifique Roi d’Angleterre accepte les explications complètement tordues du perfide Roi de France, qui nous certifie qu’il ne s’en prendra qu’au Bourbonnais : sottement, nous l’avons cru, le pensant homme d’honneur, et nous avons retenu l’alliance Ibérique, qui s’apprêtait à voler à notre secour contre le loup enragé Valois

.
Comme nous avons été naïf. Après avoir arrêté nos alliés d’Ibérie, nous avons laissé la Bête ravager les armées du Gelre, sans intervenir. Mais, le Bourbonnais annexé, le loup enragé continue sur sa meutrière lancée : il envahit le Gelre ! Trompé, trahi, furieux, le Roi d’Angleterre envoit aussitôt un ultimatum au roi de France, l’intimant de respecter enfin sa parole donnée : le monstre nous rira au nez, tout heureux de nous avoir si bien dupé :( . L’ignoble individu.
Acte 2. La campagne de France
Ordre est alors donné à nos armées d’intervenir, mais il est trop tard pour l’intervention de l’alliance Ibérique : les parjures et traîtres français n’ont cependant pas beaucoup le temps de se réjouir, ils sont écrasés et anéantis, le Gelre est libéré

. En bêlant courageusement, nos brebis foncent alors sur Paris, qui est assiégée. Le monstre reforme alors ses armées et lance 50.000 soudards contre nous… Ils sont tous écrasés et, pour la troisième fois en trois décennies, Paris tombe : vive l’Angleterre, God save the King ! Les pertes sont lourdes cependant et ordre est donné à nos héros de rester désormais sur la défensive.
Nous offrons généreusement la paix blanche, mais la Bête, enragée, la bave aux lèvres, ne veut rien entendre : elle aime trop le sang et les carnages

. Les campagnes de France sont vidées jusqu’au dernier homme et plus de 60.000 tueurs surgissent ! Cette fois, nos douces brebis sont littéralement noyées sous le nombre et finissent par succomber

: avons-nous donc été naïf de faire confiance au Roi de France, ce vil parjure menteur et faux.
A Londres, on vide les coffres, on emprunte et, finalement, une armée de 40.000 soldats est reconstituée, mais c’est là notre ultime effort : si ces braves succombent, le pays sera sans défense, c’est pourquoi la décision de les envoyer contre-attaquer sur le continent est finalement annulée. Pas question de laisser un nouveau Richemond débarquer sournoisement et mettre la mère patrie à feu et à sang : plus personne ne brûlera nos verts pâturages où nous broutons paisiblement !
Acte 3. Le blocage
Le monstre, après avoir récupéré Paris et pris Calais + les Flandres comprend que c’est bien trop insuffisant pour nous imposer la paix : il tente alors de réunir sa flotte dans la manche. Mais l’Angleterre, toute pacifique qu’elle soit, a pris des mesures énergiques pour empêcher tout nouveau débarquement : notre flotte a triplé depuis le raid honteux de Richemond le pervers. Après une dizaine de tentatives (lol, belle obstination

), le Roi de France jette l’éponge et doit avouer que l’Angleterre tient fermement et totallement les mers

.
La situation est complètement bloquée et nous offrons une paix juste, mais la Bête, aveuglée par quelques crimes faciles, ne veut rien entendre et s’obstine dans sa folie. The King envoit alors au félon sans honneur un grand homme pour négocier la paix : Lord Danton lui-même

! A peine arrivé, un interminable torrent d’injures s’abat sur notre héros : c’est tout juste si le Roi de France ne nous accuse pas d’être responsable du pêché originel

! Notre malheureux conseiller n’arrive même pas à placer un mot, tout juste croit-il comprendre, entre deux insultes, que les exigences de Paris sont absollument démentes et nullement en adéquation avec la situation complètement bloquée qui prévaut actuellement : la France est totallement incapable de vaincre et elle le sait aussi bien que nous.
Finallement, notre héros échappe de peu à une bastonnade en règle ordonnée par le fol de Paris et est discrètement évacué hors de France par son grand ami Marseillais (noble, courageux, juste ,loyal, honnête…euh…rigolo, séduisant

), venu le sauver en toute hâte. A Londres, on prend dès lors patience : l’énergumène de France finira bien par se calmer un peu.
Acte 4. La paix
Quelques mois plus tard, une bonne nouvelle franchit la manche, toujours bloquée par notre marine de guerre : Louis XI de France, plus communément appelé, à Londres, le ‘Sans Honneur’ et, à Madrid, ‘La Bête’, est enfin rappelé en enfer par son paternel Lucifer. Un nouvreau pélérinage voit aussitôt le jour en Angleterre : aller danser et cracher sur la tombe de ce misérable qui n’a cessé de persécuter les innocentes brebis anglaises

.
Espérons que son successeur, Charles VIII, sera moins sanguinaire ! En Angleterre, un nouveau berger prend aussi les rênes du pouvoir : Richard III le Juste. L’occasion d’établir de nouvelles relations entre France et Angleterre ? La paix est en tout cas rapidement signée : retour au statu quo, mais l’Angleterre s’engage à céder Calais en janvier 1494, ce qui naturellement sera fait : The King est un homme d’honneur qui jamais sa parole ne trahit !
Marseillais, vieux frère, je suis bien rentré à Londres, soit rassuré, mais tu me payeras cela ! Me faire discrètement évacuer de France pour échapper à la vindicte de ton Roi, soit, je n’en attendais pas moins de toi, mais tu aurais pu trouver autre chose qu’un tonneau de vinasse, non ? Surtout ne raconte pas cela à Jimbo sinon je n’ai pas fini de l’entendre !
Posté : sam. mars 11, 2006 2:07 pm
par lemarseillais
Extrait d'une réfléxion politique sur la situation de la France au XVe siècle. Par le Sieur de Courville, précepteur de Louis-Phlippe.
La fin des principautés
Dans le dernier quart du XVe siècle, le roi de France achèvait l'union du royaume par l'absorption des dernières principautés, qui avaient pour la plupart changé de sens. En effet, les grandes principautés, comme la Bourgogne ou la Bretagne, avaient eu une volonté d'autonomie face au roi de France. Cette quasi-indépendance reposait sur l'ambition personnelle des princes, leur refus de prêter hommage au roi de France, les progrès des institutions et le développement d'un sentiment national propre.
L'ambition des princes les conduisit à vouloir étendre leurs domaines. Cette fuite en avant n'était pas un caprice de leurs personnalités. Elle était devenue nécessaire puisqu'alors, le roi de France maître en son royaume, les princes furent exclus du Conseil royal et des avantages financiers dont avaient bénéficié leurs prédecesseurs. C'est ainsi que se comportèrent, les premiers, les ducs de Bourgogne, cherchant à unir la partie luxembourgeoise et la partie bourguignonne de leur principauté ; de même façon, la Lorraine cherchait à s'étendre du côté de l'Empire, le Béarn du côté de l'Espagne et la Savoie vers l'italie ce qui amèna, par deux fois, le roi de France a stoppé une guerre folle contre le pape.
Certains princes refusaient de renouveller l'hommage au roi de France. C'était le cas de la duchesse de Bretagne, Anne, auquel le roi s'obstinait à réclamer un hommage lige qui lui était toujours refusé. Quand elle y consentit enfin, l'hommage ducal fut trés ambigu car la duchesse ne le concevait que comme une cérémonie protocolaire. Elle repris les raisons qu'avait déjà avancé son père, François II, en 1485, qui faisaient allusion à la nature du pouvoir ducal :
- De toute antiquité, nous et nos prédécesseurs, rois, ducs et princes de Bretagne, qui jamais de nos noms et titres de principauté n'avons reconnu ni ne reconnaissons créateur, instituteur ou instigateur ni souverain fors Dieu tout puissant...
De plus, la duchesse arguait de son futur mariage avec Maximilien de la maison d'Autriche pour retarder, et probablement ne pas faire, hommage au roi de France. Mais le revirement de 1489, qui voyait Charles VIII et Maximilien tombait d'accord, faisait d'Anne de Bretagne la reine de France. Le duché de Bretagne était alors confié en héritage au fils de cette union, et immédiatement annexé pour épargnait au futur roi de France les désagréments de la pacification.
A la fin du XVe siècle, le royaume de France gagne en unité territoriale, mais les principautés périphériques résistent bien. Au nord, la Flandre est définitivement perdue ; à l'est, la maison d'Autriche hérite de la Franche Comté, la maison de Vaudémont hérite du Barrois et de la Lorraine, ce qui vérouille une expansion possible vers l'Empire ; au sud, le Béarn réunit l'Albret et entre sous domination espagnole. Ces principautés périphériques se détournent alors du royaume de France pour regarder ailleurs. Néanmoins, les principautés situées au coeur du royaume se diluent, en ayant joué leur rôle d'étape politique nécessaire pour unifier progressivement des régions trés diverses.
A l'orée du XVIe siècle, le royaume de France est unie et pacifié. il représente une grande puissance. S'appuyant sur une base solide et sur les fruits d'une modernisation de longue haleine, de grandes perspectives, aussi bien économique que militaire, s'ouvrent à lui pour ce siècle qui se dessine. La dynastie régnante, les Valois, possède en 1496 tout les outils pour constuire sa réputation....
Posté : sam. mars 11, 2006 2:35 pm
par lemarseillais
La vraye histoire qui arriva entre le paiis de France et celuy d'angloiterre
Le roi de France à la fin des années 1470, dans son grand projet d'unification du royaume, allait ouvrir les hostilités contre le duc du Bourbonnais coupable d'avoir abandonné ancestralement le royaume de France et de s'être allié avec le Mal traitre et sans honneur d'outre-manche.
Il convient de préciser qu'en l'année 1476, le bourbonnais était sans allié, et il était alors évident pour tout les princes de monde que s'alliait avec un tel duc s'était s'aliéner à court terme le roi de France. Aussi le Mal trés mauvais

, cherchant toujours à picotter la puissante France, usa de toute sa fourberie, tricherie et corruption pour contraindre les malheureux gueldrois à rallié le Bourbonnais.
Le roi de France n'en pouvait plus de ce duc, et déclara la guerre SEUL. Il n'appela pas ses alliés car ne voulait vraiment que reprendre les terres du Bourbonnais. Aussitôt un noble anglais (enfin d'après ses dires car pour nous il ressemblait plus à un pouilleux) vint s'appitoyer du sort de l'angleterre devant nous. Commençant à nous baiser les pieds, nous l'arretâmes de peur de contracter quelconque maladie. Il demandait si la Grande France voulait guerroyer contre l'Angleterre ou juste le duc françois.
Apres lui avoir expliqué toute la stupidité d'un tel geste (rallié le bourbonnais) nous assiéchèrent ses larmes en le rassurant sur la survie de son paiis. Une paix blanche entre, seul l'angleterre et seul la france, fut signée. Mais Dieu EU2 s'en mêla. Une tempête terrible s'abbatit sur une roi de ce monde et il Choît Tout Droit (CTD) vers le néant. Une faille temporelle s'ouvrit et nous fimes un bon en arrière de qlq jours.
Triple hélas, mais le roi de France, dans sa grande sagesse et puissance, comprit vite la situation et rappela le roi anglais pour resigner la paix. Cette fois-ci l'anglais refusa !!!!! Il n'y avait donc aucun honneur en angleterre a respecté sa parole. Monsieur prétexté que je ne devais pas faire la guerre avec ses alliés, mais il était impossible pour nous de faire lapaix autrement que séparé avec l'anglois car le duché de bourbonnais n'était pas encore tombé.
Notre Grand Roi Louis le onzième pris le partit de ne pas attaquer l'anglais sur ses terres malgré l'état de guerre pour bien lui signifier que nous ne lui voulions pas dommage. Pdt ce temps, les gueldrois et hessois en profitèrent pour envahir le nord du royaume et ravagèrent nos terres. Le bourbonnais venait d'être annexer, nous décidammes alors de récupérer qlq ors que nous avait fait perdre les pillages sus-cités. Nous fîmes le siege de Cologne sans attaquer ni menacer quelconque anglois. Ceux ci réclamait la paix blanche à nouveau mais parce qu'il était sans honneur, parce que nous voulions réparation de gueldre et hessen, le roi de France rejetta l'offre anglaise tout en garantissant l'anglais de notre bonne foi.
Celui-ci attendit encore un peu et profitant d'un moment où nous étions en pleines palabres, il attaqua sans prévenir les troupes de Cologne. celle-ci en petit nombre ne résistèrent pas longtemps. Le roi de France ne comprît pas ce geste et sa colère explosa devant un tel geste. S'ensuivit la guerre et le blocage qui sont connus de tous.
Il convient également de faire terre une mauvaise rumeur colportée par les anglois ventards. Jamais le roi de France n'entreprit le dessein d'enbahir l'Angleterre avec 15 pauvres rafiots. Ceux ci ne faisaient que s'assurer que l'Anglais en débarquer pas des troupes en France d'ou nos innombrables aller-retour que le bête roi anglois pris pour des tentatives de débarquement

.
Posté : dim. mars 12, 2006 5:35 pm
par Aedan
[align=center]***** Chroniques de l'Empire Romain d'orient 1476 - 1496 *****
[/align]
* 1476 * La fronde de l'aristocratie (Magnates) est écrasé
La guerre contre les arabes s'achève
La fin de la guerre contre les Mongols et l'annexion de l'Arménie n'avait pas permis le retour des armées impériales en raisons de l'enlisement de la guerre contre les nations arabes du Sultanat Ayyubide, du royaume du Hedjaz et de Tunisie.
Cependant les Arabes étaient de plus en plus en difficultée car en plus des forces romaines, ils devaient affronter les turcs de Karaman.
Le roi Hedjaz était alors pret à négocier et signa une paix séparé avec l'Empire Romain, cédant la province d'Adana avec sa capitale Alexandretta en échange de la paix.
Les frontières de l'empire avait atteinte à nouveau les portes de la Syrie et l'ancienne ville impériale d'antioche n'était plus qu'a quelques dizaine de lieu bien que toujour sous administration Mamelouk alors que les ayyubides tenaient toujour Damas et Acre.
Le roi de Tunisie abandonné par le Hedjaz était alors pret à négocier et signa la paix avec l'Empire forçant par la meme le Sultan Ayyubide à se retirer à son tour.
Aprés 7 années de guerre l'Empire Romain d'orient retrouvé la paix et avait annexé l'Arménie et Adana (Aussi appelée petite Arméenie) dont les populations Orthodoxes et Chrétiennes étaient enfin libéré.
Le retour de la paix, permetait également à l'empereur de concentrer tout ses moyens à écraser la fronde de l'Arisocratie qui occupait la moitiée des provinces romaines d'europe.
Regroupée en Macédoine, les forces impériales étaient pretent à écraser dans le sang la rebellion. Une armée rebelle fut écrasée en Grece devant Athènes tandis qu'une autre subissait le même sort en Bulgarie.
Le repaire des conjuré se situait à Durazzo en Epire sur la cote Adriatique.
En Novembre 1476, les cols étaient franchis et la plaine d'Epire occupée et Durazzo assiégée.
Le Siège dura tout l'hivers et la place se rendit au printemps 1477.
Les principaux chefs de la révolte furent emprissonés à vie dans les prisons de Constantinople. Quand au trés vieux Cardinal de Guicourt, il fut bani définitivement de l'empire et renvoyé en Italie de force sur un navire de commerce.
Une tempete dans le détroit d'Otrante devait emporter le navire.... ainsi fini ce triste homme qui se réclamait de dieu et qui avait tant apporté de souffrance au peuple romain.
Le retour de la prospérité économique
A partit de 1478, l'empire était en paix aussi bien à l'extérieur, qu'a l'intérieur de ses frontières.
Les années qui suivirent furent exeptionelle d'un point de vue climatique. Les hivers doux se succédairent apportant un nouvel acroissement de la production agricole dans les plaines de Macédoine, Grece et Anatolie occidentale.
La prospérité généralisée et la nouvelle baisse du cours du pain permit des baisses de prix importante. 13 ans aprés la 1ere déflation de 1468, l'Empire connu en 1481 une propérité prodigieuse entrainant une 2eme déflation de 5%
Si la surproduction agricole de l'empire provoqua une baisse des prix intérieures, ces même prix bas rendaient leurs compétitivités à l'exportation trés fortes.
Mais les échanges de produits agricoles dans les Balkans continuaient à transiter préférenciellement par Venize plutot que par Alexandrie isolée dans une Egypte restée Musulmane.
L'Empereur Andréas 1er était décidé à casser le monopole vénitien et le 23 septembre 1483, il inaugurait le nouveau centre de commerce de Constantinople flambant neuf.
Trés rapidement, l'ensemble du commerce des balkans et d'Anatolie se concentra dans la nouvelle place financiere et commerciale de Constantinople faisant chuter de plus de 40% l'activité commerciale de Venize.
*1487* La révolte des Themes
La prospérité agraire et le fort devellopement du commerce entraina l'emergeance d'une puissante bourgeoisie aussi bien à Constantinople que dans les villes provinciales.
En 1487, une partie de cette Bourgeoisie se rallia au reste de la caste des nobles pour tenter d'aracher une plus grande décentralisation et de pouvoir pour chacun des Thèmes.
Le pouvoir impérial sembla vaciller quelques semaines (-3 stab) mais les armées impériales rétablirent rapidement l'ordre dans toutes les provinces. En effet la trés grande majorité du peuple était reconaissant à l'empereur pour la prospérité généralisée qui durait depuis déjà 10 années consécutives et ne se rallia pas à la révolte qui fut ainsi rapidement etouffée.
La prospérité économique se poursuit....
L'alerte de 1487 ne devait pas ralentir la progression économique.
L'Inflation était réduite à néant et l'Empereur pouvait à présent suprimer tout les impots payés chaque mois par l'activité économique.
Malgré cela, les exedents annuels atteignirent des records avec des budgets en exedent de 170.000 ducats chaque année.
L'Empire pu ainsi dans les années 80 et 90 rembourser toutes ses créances extérieures.... presque un million de ducats vénitiens du à la France, L'Espagne et la papauté.
Malgré ces remboursements, le trésor impérial se remplissait et devait atteindre 950.000 besants d'or à la fin de l'année 1495.
L'Empire Romain d'Orient avait retrouvé la prospérité et sa grandeur originel.
- Constantinople était, avec 160.000 habitant la plus grande ville Chrétienne, juste devant Paris
- L'empire Romain était prospère et son empereur disposait des 2eme plus important revenus apres les Valois de France. l'Inflation étant maitrisé et absente
- La classe paysanne était la plus libre d'europe (Serfdom 0)
- La Bourgeoisie était la plus dévellopée d'europe (Arisocratie 2, devant l'Angleterre)
- La science et l'inovation trés encouragé (ino 8, 2eme apres suède)
- Enfin l'Empire Romain était le phare culturel et technique d'europe. En effet aprés la 1ere académie des arts fondée à Constantinoples dans les années 1450, l'Empereur inaugura à Thessalonique le 6 mars 1495, la 1ere manufacture d'arme de la Chrétienté.... l'Acier des epées et pique fabriqué en Macédoine devenant le meilleur d'europe.
En cette année 1496, l'Empire Romain d'orient était prospère et sa population heureuse......
Posté : lun. mars 13, 2006 9:13 pm
par Leaz
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Royaume du Portugal 1461-1495 :[/align]
Les 35 années qui viennent de s'écouler furent marquées par un developpement sans précedents du portugal. Le pays sous l'égide de notre roi éclaire, JoãoII est désormait maitresse du nouveau monde, et notre influence ne cesse de se renforcer aux confins du monde conus.
Les établissement coloniaux du Nouveau Portugal sont maintenant solidement ancré en afrique et fournissent des ressources régulières a la métropole, la route des inde est ouverte et de nombreux établissements jalonne sa route. Certains disent même que nos explorateurs seraient arrivés en inde, mais ce qu'une rumeur de la cour.
En afrique, une colonie a était implantée prés de pays arabes, nous ignorions jusque là que les mahométants s'étaient implantés a ce point en Afrique ! Pourtant la population ne mis pas longtemp a se convertir a la vraie foie pour la plus grande gloire de Dieu et de son représentant sur terre.
Mais la plus grande action du royaume fut lancée sous l'impulsion d'Affonso V, revenus au pouvoir aprés son abdication. Le roi d'afrique, se rendis de lui même aux confins du continent noire, les indigènes menant la vie rude aux colons furent punis sévèrement par nos armes.
Mais sa campagne de guerre la plus fameuse fut l'invasion du Bénin en 1482, appuyé par la famille de Castille, les forces ibériques parvinrent a arracher de haute lutte la riche province d'ivoria, d'où afflue tout les marchands d'afrique de l'ouest. La campagne fut rude, les africains disposant d'une supérioritée numérique de 3 contre 1. Mais la victoire finale nous revint, plusieurs bataille dans les marais d'ivoria furent décisive pour la suite de la guerre.
Les finances du portugal ne furent un bond aprés la conquête de se riche centre de commerce, tandis que la colonisation apporter, pierre par pierre, de plus en plus d'impots, les plantations de canne a sucre fournisser un revenus important aux caisses du royaume.
Ainsi tandis que les royaumes européens se quereller entre eux pour des parcelles de territoire, Dieu offrait au portugal des contrées cent fois plus immense a coloniser et a faire prosperer.
Au brésil, nos conquistador découvrirent un territoire immense, faiblement peuplé et offrant de nombreuses ressources. Bientot le portugal pourait batir de nouvelles colonie pour exploiter le grains qu'il manque tant sur le continent.
Une expedition portugaise remontant le fleuve "Amazone".
Nous avons peu de missives diplomatiques a faire transmettre si ce n'est que nous mettons en garde quiconque de s'implanter en afrique, ce continent est notre et la marine portugaise ouvrira le feu sur des navires battant pavillon étranger. Seul les navires de notre amis d'Espagne sont autorisés a voguer dans nos eaux territoriales.
Posté : mer. mars 15, 2006 1:58 pm
par vince
[align=center]
Espagne, 1477-1495, par Juan Vincel Villalobos Ramirez, chroniqueur officiel de la cour.

[/align]
Bénis par l’archevèque de Tolede, Isabelle de Castille et Ferdinand d’Aragon scellèrent une union matrimoniale et politique. Cette co-gérance offrit en perspective, l’union des deux plus grandes provinces de la péninsule en une seule et même Espagne.
Fervents catholiques, le duo achevèrent ce qu’on nommera plus tard, la reconquista, par l’annexion du sultanat de grenade, derniers vestiges moribonds de l’occupation musulmane.
Enivrés par ce succès ô combien symbolique, Isabel et Ferdinand durcirent la politique religieuse. Les résidents musulmans et juifs étaient fortement incités à se convertir à la vraie foi, celle du Christ. Avec l’aval de sa sainteté, des inquisiteurs Dominicains furent nommés. Le choix était simple : s’ils n’embrassaient pas le christianisme, ils étaient persécutés, humiliés, torturés, spoliés. Le plus célèbre des inquisiteurs, Tomas de Torquemada (formé par le pape Rictus en personne), ne manquait pas d’ardeur. Les coupables d’hérésie étaient brûlés vifs, leurs familles persécutées.
Et s’il fallait encore prouver l’allégeance d’Isabel et Ferdinand envers sa Sainteté, une invasion d’Al Djazir fut conduite. L’objectif, mettre au pas ce repère de pirates. 40 000 chevaliers espagnols débarquèrent, précédant 20 000 fantassins, chargés de mener les sièges.
Largement aidé par un piètre commandement ennemi, qui envoya le gros de ses troupes mourir de faim et de soif devant la Tripolitaine Aragonaise, ce fut une formalité de balayer les garnisons locales, et en quelques années, l’ennemi s’avoua vaincu.
Enfin, le duo royal finit par se laisser convaincre de financer l’expédition du navigateur Colomb, visant à rejoindre les Indes par l’ouest. (« Rejoindre le Levant par le Ponant »).

Posté : jeu. mars 16, 2006 10:55 am
par ric novice
La chute de la papauté
De Clement V à Julius II, les différents papes ont eu à coeur de défendre la chretienneté.
Mais les bonnes intentions sont parfois mal recompensées et les têtes couronnées sont pleines de convoitise, préferant la damnation à la sauvegarde de leurs âmes.
Ainsi notre juste combat permanant pour temperer les tendances d’expansion des très roys catholiques d’Europe Occidentale attirent bien des rancunes envers le Saint-père
Ayant eu vent des intentions malefiques de l’Empire Romain contre la serenessime Venise, le pape rassembla les maigres moyens de l’Eglise (10 ducats par mois, 30 ducats par an) et aux prix d’un effort surdimensionné, mit en chantier 40 galéres et recruta 40 000 mercenaires.
Mahleuresemnt les temps avaient changé, les empires s’étaient formés et les états pontificaux ne pouvaient pas lutter contre des pays 5 fois plus puissants mais l’histoire retiendra le martyr admirable de Juluis II (candidat à la canonisation).
Donc 120 galéres de l’ERo font le blocus aux larges des iles de venise, courageusement la flotte papale inexperimentée cingle à travers la mer adriatique tandis que Juluis declare la guerre à Venise afin de s’emparer de la capitale grâce à son capitaine et priver l’ERO de l’annexion des iles venitiennes de la mediterranée
L’Ero nous declare la guerre, tue nos 5 000 h et son capitaine et le grand affrontement naval voit la victoire contre toute attente
27 galeres survivent au premier coup de boutoir pour une perte de 13 galeres, la deuxième bataille est encore plus acharnée et miracle de dieu, la flotte papale repousse la flotte de l’ERO à 5 vs 1 ne laissant que 13 galeres
Pendant ces furieux combats aux larges, l’armée du christ rencontre l’armée de l’ERO et c’est une grave défaite due à un moral et une qualité très médiocre, et est dans l’impossibilité d’evacuer venise car les 13 galères ont été aneantis lors du 3 eme assault naval.
Et là les forces du malin se dechainerant contre le pape, apulie envahit les états pontificaux, la croatie rejoiont les forces du mal amenant l’Autriche et milan (notre vassal) dans les bras du diable, sienne notre vassal en profita aussi
Tout ce beau monde ravagea nos terres d’italie, annexa tous nos vassaux.
Et que fait le pape pendant ce temps ? il inaugura la basilique de St Pierre et se lanca dans l’exorcication de l’armée fantôme du Christ qui pesait sur notre budget
La chute de Rome était imminente, Julius II fit le don de sa personne et se retira dans un monastère toscain non sans avoir accorder florence et romagnia à la croatie et à milan puis libera modene et ceda une autre province à la pologne et confia rome à Sienne
Enfin après avoir écrit sa bibiographie (moi Julius II, le dernier pape), il pouvait mourir en paix...
Posté : ven. mars 17, 2006 11:17 am
par Scarabee
[align=center]
Déclaration de l'archiduc d'Autriche Maximilian I[/align]
[align=justify]Notre royaume après avoir suivi la voie du Saint Père a finalement renoncé au vu de son incompétence. Cet homme, indigne et belliqueux, n'a apporté que conflit et haine à toute l'Europe. Aujourd'hui Rome est au main des orthodoxes. Une situation qui a bien fait rigoler toute la cour d'Autriche lors des soirée intimes de Maximilian I, soirée qui auraient rougir toutes les bonnes soeurs du Vatican.
Certains problèmes administratifs et digestifs ont empêché l'archiduc de signer un accord territoriale avec la province du Milan. L'abus de quelques liqueurs venus du froid ont eu des conséquences importantes sur notre nation. Depuis, dans la totalité du royaume, il est interdit de boire et de manger quelque chose qui n'a pas été autorisé par Maximilian I en personne.
Une politique plus diplomatique est maintenant la voie à suivre pour l'avenir de notre peuple. Pour cela, nous rappelons aux rois, princes et empereurs civilisées qu'ils sont les bienvenus aux soirées de l'archiduc, chacun devant amener avec lui un minimum de cinq courtisanes... encore fraîches.[/align]
[align=center]

[/align]
Posté : sam. mars 18, 2006 10:15 am
par Danton
La Nouvelle Angleterre
A Londres, c’est la stupéfaction : de très vastes terres, bien plus énormes que ce que les récits des marins portugais laissaient entendre, existeraient par delà les océans. Un homme audacieux, Cabot, offrit ses services et de sérieuses garanties : c’est un hardi marin et un fier patriote. L’Angleterre n’hésita pas un seul instant : puisque il nous avait fallu renoncer à nos légitimes prétentions sur le continent, à l’exception notable des Flandres, il nous fallait compenser via ces nouvelles terres.
Notre clairvoyant souverain ouvrit très larges les cordons de sa bourse : l’opération allait être coûteuse, mais il n’était pas question de la freiner pour de basses raisons matérielles. C’est un nouveau royaume que nous visons, ni plus, ni moins : la Nouvelle Angleterre

. Et ce qui s’est passé sur le continent ne se renouvellera pas ici : aucun royaume européen ne peut revendiquer ces terres nouvelles. Premier arrivé, premier servi : notre glorieux pays n’a pas perdu une seçonde et, maintenant qu’il a pris position, rien ni personne ne pourra nous faire reculer

. Notre fanatisme pour défendre NOS terres sera sans commune mesure avec celui dont nous avons fait preuve pour défendre nos provinces continentales car il s’agit cette fois de la mère patrie, la Nouvelle Angleterre.
Mais la convoitise des grands de ce monde est sans limite, nous en sommes bien conscient… En Europe, un redoutable axe France/Empire Romain d’Orient bouscule tout sur son passage, sa domination est totale et nul ne lui résiste

. Par bonheur, Londres est bien loin de toutes ses préoccupations, notre présence sur le continent étant désormais des plus réduites. Les Ibériques, les grands perdants de ce bouleversement européen, compensent en se taillant la part du lion hors Europe : le traité de Tordesillas, garanti par la papauté (qui a disparu depuis…

), assure leur domination totale. Par bonheur, la Nouvelle Angleterre échappe aux frontières de ce traité : Londres doit encore décider de l’attitude à adopter au sujet de ce traité. Notre décision dépendra des réactions et reconnaissances officielles des grands de ce monde au sujet de la Nouvelle Angleterre, qui dans tous les cas restera notre à jamais 8) .
Henry VIII, Roi d'Angleterre et de Nouvelle Angleterre, Suzerain de l'Eire et de l'Ecosse, Comte de Flandres.
Posté : mar. mars 21, 2006 11:11 am
par Aedan
[align=center]***** Chroniques de l'Empire Romain d'orient 1496 - 1516 *****
[/align]
*1496 - 1499 * Le re-armement de l'Empire Romain d'orient
Les 2 dernieres décénies avait apporté la prospérité à l'empire. Les récoltes etaient abondantes et dégageaient de forts exedents commerciaux.
Le nouveau centre de commerce de constantinople suplantait à présent celui de Venize.
Enfin les finances etaient exellente. 1 millions de besants d'or avait été remboursé auprés des créanciers de l'empire epongeant toutes les dettes exterieure et le trésor impérial disposait également de pres d'un million de besant de réserve.
Enfin la stabilité intérieure semblait à présent acquise... l'aristocratie brisée quelques années plus tot à la bataille de Durazzo semblait soumise...
Sur le plan international, la situation avait également bien changée. Le Pape était à présent isolé suite à sa politique sans compromis et extremiste. Des contacts diplomatique établit avec l'archi-duché d'Autriche indiquait a quel point l'Archiduc ne souhaitais plus s'engager derriere le Pape.
Enfin loin vers l'Est, les nations ibériques étaient accaparée à découvrir et entendre le monde. Selon des sources venue de Lisbonne et Seville... des terres immenses existaient par dela le grand océan...confirmant ce qu'affirmait déjà les grands savant grec de l'antiqué.... l'etendue de la terre et sa possible rotondité...
Les temps était donc favorable a une politique extérieure ambitieuse... rendre à l'empire Romain d'Orient les ancienne terres céréalière et si prospère de Sicile qui furent Romaine pendant plus de 1000 ans avant que les Normands de Robert Guiscart ne les arracha à l'empire au XIeme siècle.
Mais la Sicile était sous occupation Aragonaise membre de la puissante alliance Ibérique regroupant la nouvelle Espagne et le Portugal. L'attitude Pontificale n'était pas acquise et le Pape pouvait intervenir en appelant une nouvelle croisade.
L'Empire Romain d'Orient avait besoin de reconstituer une flotte afin de lui assurer la maitrise navale de Mediterranée quelque soit les adversaires potentiels. L'Empereur Andreas prit des mesures energiques et porta les impots de l'empire au maximum pendant 4 années.
Tout les ports de l'empire reçurent des commandes de construction. Contantinople pouvait produire 4 galères neuves tout les trimestres.... les ports de Thessalonique, Athenes et Ephèse purent également lancer 2 galères chaque trimestre.
Mais Alexandrie, Trebizonde, Nauplie, Durazzo, Silistra, Naxos et Alexandretta participèrent également à l'effort d'armement naval de l'empire.
En 3 années, la flotte romaine retrouvait sa puissance Antique qui avait culminé à la bataille d'Actium ou Octave et Agrippa avait vaincu les flottes de Marc-Antoine et Cléopatre.
Fin 1498, l'Empereur disposait d'une flotte comportant 140 galères... la plus puissante flotte du monde.
Mais il était necessaire aussi de recruter un grand nombre de soldat pour cette vaste entreprise... les 10.000h de l'armée Romaine de 1496 étant bien insuffisant.
Dans tout les thèmes de l'empire, la conscription fut porté à 5 année. L'empereur déversa d'immense subside à la manufacture d'arme de Thessalonique pour augmenter la production d'armure, de lance, de cuirasse pour les chevaux... mais aussi d'épée.
La Noblesse docile prit également les armes et s'enrola massivement dans la cavalerie sous les ordres des agents de l'empereur.
Au printemps 1499, le re-armement de l'empire était accomplit et les moyens irresistibles necessaire au succé étaient rassemblés à Constantinople.
- 140 galères
- 100.000 h dont 45.000 Cataphractes.
L'Empereur Andreas 1er Paléologue disposait ainsi sur mer comme sur terre des moyens de realiser son projet de conquete et de retour de la Sicile dans le giron de l'empire Romain d'Orient.
Posté : mar. mars 21, 2006 2:15 pm
par LeRenard
Chroniques du Nord
en chantier
Après avoir briser ses chaîne féodales qui l'attachait au Royaume du Danemark,
la Suède entrepris à la fin du 15eme siècle un rapprochement avec les Duchés
du Nord de l'Allemagne et de Hollande. Ses rapprochement la poussère à affronter,
à plusieurs reprises l'Alliance Dano-Teutonique qui tentait de s'opposer à la montée
en puissance irrésistible du Peuple Libre. Ces affrontments permirent à la Suède de
s'implanter dans les Etats Baltes de Lettonie et de contrôler le port de Commerce de Dantzig.
Malheureusement, ces affrontements à répétition coutaient cher à la Suède qui voyait
la valeur de sa valeur diminuer vis-à-vis des devises étrangère.
Cette expansion coutait cher, mais elle était nécessaire pour faire de la Suède un état fort
autour de la Baltique. Au frontières finlandaises du royaume les fortifications furent
augmnetée pour assurer que le Puissant dûcé de Moscovie ne vienne pas se mêler de la Politique
Suèdoise.
La SUède commençait construisait les fondations de sa puissance futur, et bien des épreuves plus
tard elle brillera de milles feux.
Posté : mar. mars 21, 2006 9:27 pm
par Aedan
[align=center]***** Chroniques de l'Empire Romain d'orient 1496 - 1516 *****
[/align]
* 1499 L'Alliance Franco-Romaine.
Avril 1499, le prince heritier Manuel débarque à Marseille pour y rencontrer le roi de France afin de conclure les accords necessaire à la constitution d'une Alliance Franco-Romaine.
Le royaume de France souhaite depuis fort longtemps prendre possession du Roussillon, province aragonaise située au nord de la chaine des Pyrennée. Dans les années 1470, une precedente tentative s'était terminée en débacle par suite d'une immense coalition hostile aux ambitions des Valois montée par la papauté.
Cependant pour la France également la situation politique et diplomatique avait changée. L'Angleterre semblait se consacrer à l'exploration des mers et l'Autriche etait brouillée avec la Papauté.
Surtout la France était un grand pays stable et prospère et ses armées était à présent brillament commandé par des généraux comme Foix, lapalice ou Bayard et sur les flots, l'amiral Brion semblait fort compétent.
Les accords entre le Royaume de France et l'Empire Romain d'Orient furent gardé secret jusqu'au mois de novembre 1499.
Le 30 octobre 1499, l'empereur Andreas visitait l'immense flotte Romaine au mouillage dans la Corne d'Or. Les équipages sont rassemblés et les prisonniers de guerre embarqué sur les galères.
Le 2 novembre, les ambassadeurs Romains et Français publie officiellement le traité d'Alliance Franco-Romain signé à Marseille au printemps.
Le 5 novembre, le Royaume de France déclare la guerre au Royaume d'Aragon et revendique le Roussillon. L'Espagne et le Portugal entre en guerre aux coté des Aragonais.
Enfin le 8 novembre 1499, l'empire Romain d'Orient entre officielement en guerre contre le Royaume d'Aragon et toute l'alliance Ibérique.
*1499-1501* La Campagne de Sicile
Le 10 novembre, 2 flottes de 60 galères appareillent de la corne d'Or avec à leurs bord deux armées romaines de 20.000h dont 10.000 cataphractes.
Apres deux escales à Athènes et Durazzo, les deux flottes impériales sont au large de la Sicile sans avoir rencontés de flottes ibériques etonament absentes de Méditérranée centrale.
Les opérations de débarquement se déroulèrent sans encombre. 3.000 Aragonais tentèrent de s'opposer aux déarquements Romains dans la rade de Trapani mais il furent repoussés sans difficulté ouvrant par la même la route de Palerme qui fut placé sous le siège impérial.
La 2eme armée romaine débarqua entre Syracuse et Catane et remonta vers le nord en suivant la cote (Comme Montgomery 444 ans plus tard

). Dépassant Taormina, la 2eme armée parvint à Messine sans rencontrer de resistance.
L'hivers 1500 fut difficile et des tempètes endomagèrent une partie de la flotte. Les deux escadres romaines alternant les voyages vers Durazzo en Epire pour eviter les destructions de navire tout en maintenant les blocus des ports Aragonais de Sicile.
Au printemps 1500, la 3eme flotte romaine de 20 galères appareilla d'Athène avec comme objectif Malte ou 4.000 Aragonais tenaient l'Ile. Cependant, il fut impossible comme en Sicile de trouver des plages d'accé facile et les 12.000 Romains qui tentèrent d'acoster furent sechement rejetté à la mer. Par 3 fois l'empire tenta de s'emparer de l'Ile et par 3 fois, ce fut de terribles echecs.
Les informations venant d'Espagne étaient étonnantes. L'armée Aragonaise avait été détruite aux frontières par les Français sans intervention des forces Castillanes ou Portugaises. Isabelle de Castille décidait de ne point intervenir en faveur de son epoux Ferdinand roi d'Aragon.
La nouvelle découragea les defenseurs de Palerme et Messine qui ouvrirent leurs portes sans combat aux armées impériales.
La Sicile sous controle de l'empire, le prochain objectif fut la Sardaigne et la 1ere armée de Palerme embarqua pour Cagliari qui ceda en en Janvier 1501. Pendant ce temps un 4eme assault sur Malte échouait tandis qu'une flotte espagne de 20 voiles surprenait la petite escadre imériale de 20 galères dans le détroit de Sicile et lui infligeait une défaite mineure.
Le gros des forces navales Romaines, plus de 100 navires acourait pour couler la flotte Espagnole quand parvinrent d'Aragon les nouvelles de la redition du roi Ferdinand qui cédait aux exigeance de la coalition au moment ou l'armée française menaçait de s'emparer de Barcelone.
Le 4 Avril 1501, Ferdinand d'Aragon cédait le Roussilon et la Cerdagne à la France et l'ile de Sicile à l'Empire Romain d'Orient.
Apres plus de 400 années, la Sicile reintégrait le Giron de l'Empire Romain d'orient.
Posté : mar. mars 21, 2006 9:32 pm
par Leaz
Royaume du Portugal 1495-1516 :
L'épice ! Voilà quelle était cette nouvelle odeur si présente ces derniers temps au palais du Roi du portugal, Manuel II. Leazão repris son chemins. Comme a son habitude il devait se rendre au port pour se tenir au courant de ses affaires.
De nombreux bateaux étaient partis vers la lointaine inde, mais pour l'instant aucun n'était revenus. Il était anxieu. Peut-être les bateaux s'étaient-ils perdus en mer ? où qu'une de ces terribles tempête de la pointe sud du continent africains, au large du nouveau portugal avait brisé tout ses rêves de richesse ?
La colonie de Bombay, sur la côte ouest de la péninsule était la plus grande colonie portugaise d'inde. Les marchands européens s'y retrouver, des portugais dans leur trés grande majoritée, puis de là s'en aller par bateaux vers le rîche centre de commerce de Kerch, où s'enfoncer a dos d'élephants dans la jungle épaisse vers le gange, fleuve sacrée des autochtones, qu'ils redescendaient alors vers l'embouchure, où l'un des centre de commerce les plus riche du monde ouvrait ses portes régulièrement.
Le port de la colonie de Bombay.
Bien sûr toute ces richesses profitaient indirectement au roi, les marchands portugais n'avait guère le choix, aprés tout c'était le roi qui avait financé la colonie, et non les marcands !
Ainsi les finances de l'état, prospectant 12 000 ducats il y a un siècle avait plus que doubler pour atteindre les 45 000 ducats de nos jours !
En europe, notre voisin d'Espagne avait finallement embauché un marins prétentieux, un génois du nom de "Christophe Colomb" dont nous n'avions pas voulus, peut être Isabelle et Ferdinand y virent là un signe de Dieu car c'est sous leur égide que l'Espagne fut le deuxieme royaume d'europe a envoyer des explorateurs fouler du pieds l'amérique, prés de 50 ans aprés les portugais.
Posté : mer. mars 22, 2006 11:44 am
par Aedan
[align=center]***** Chroniques de l'Empire Romain d'orient 1496 - 1516 *****
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*1504 - 1507 ***La guerre contre Venize et l'intervention Pontificale.
La Victoire de l'Empire Romain d'Orient en Sicile sur l'Aragon avait permit le retour de l'Ile au sein du giron impérial.
L'empereur Andreas 1er Paléologue était décidé à assoir définitivement la suprématie navale de l'Empire sur la mediterranée orientale. Il était temps à prsent d'abbatre définitivement la puissance de Venize et de venger le sac de Constantinople de 1204.
L'année 1503 fut consacré à rétablir les effectifs de la flotte impériale éprouvée durant la campagne de Sicile par les tempètes de l'hivers 1501 et les dans les grands ports de l'Empire, la construction navale reprend son essort.
A la fin de l'année 1503, l'Empereur Andreas pouvait à nouveau compter sur une armée Romaine forte de 75.000 hommes et 140 galères.
- Le 15 Janvier 1504, la 1ere flotte Impériale forte de 100 Navires embarquait 40.000h dont 25.000 cataphractes à Constantinople.
- La 2eme flotte forte de 40 galères appareillait à son tour le meme jour embarquant 15.000 soldat pour la Crète.
La 1ere flotte fit escale à Durazzo en Epire et debarqua 20.000h et penetra ensuite dans la mer Adriatique le 25 fevrier. Le 28 fevrier 1504, l'Empire Romain d'orient déclarait la guerre à la république de Venize.
La ville de Venize etait peu defendu et les forces Romaines purent en entreprendre imméditament le siège. Au Sud, 4.000 Vénitiens furent balayé en Crete et la Forteresse de Candie devait se rendre 6 mois plus tard.
Mais le 6 octobre 1504, ce fut la stupeur, la Papauté déclarait la guerre à Venize dans l'espoir de s'emparer de la ville avant les impériaux. L'arméé Pontificale avait été constament renforcé et le talentueux général d'Este commandait un armée de 40.000 Pontificaux qui quittant leurs quartiers de Bologne se pressaient vers Venize contournant par l'est la ville de Mantoue.
Les 20.000 Romains devant Venize etait dans une position délicate. La Flotte romaine quitta Venize pour Durazzo afin d'aller chercher les renforts laissé au printemps. La flotte fut de retour fin Novembre au moment ou les Pontificaux arrivé à Mestre tentait de franchir la Lagune ppour attaquer les forces Romaines des iles du Lido.
Le 25 novembre, l'Empire Romain déclara la guerre à la Papauté ce qui permit de bloquer d'Este et son armée sur la tierra firme.
Mais la flotte pontificale forte de 35 galères avait quitté le port d'Ancone et surgissait sur les arrieres de la flotte Romaine. Une terrible bataille s'engagea et le désordre s'installa dans la flotte impériale qui du abandonner ses positions et refluer vers le sud. Cependant une quinzaine de galères pontificales furent coulée dans ce 1er affrontement.
La défaite Romaine, permettait à l'armée Pontificale d'Este de tenter à nouveau la traversée du chenal. Cependant il du une 2eme fois y renoncer quand la Flotte Romaine reapparut à l'Horizon pour une 2eme bataille qui se termina une nouvelle fois en défaite pour l'Empire.
Le général Pontificale d'Este ne tarda pas cette fois et traversa le chenal en moins d'une semaine.
Au mois de Juin 1505, 40.000 Pontificaux se lancèrent à l'assault contre 30.000 soldats romain dont 20.000 Cataphractes. La bataille se termina en enorme carnage pour les pontificaux qui furent rejeté à la mer par les charges de cavaleries impériales. Le desastre fut complet quand la flotte Romaine revenu livra une 3eme bataille et détruisit completement la flotte pontificale. Les hommes du général d'Este étaient alors prisonier de la lagune...et ceux qui ne perirent pas noyées se rendirent et déposèrent les armes.
La Papauté venait de voir sa flotte détruite et perdre 40.000 Soldats. L'Empire Romain comptait moins de 5.000 tué dans ses rangs.
Le 22 octobre 1505, l'Empereur Andreas 1er faisait son entrée triomphale dans Venize avec une parade militaire sur la place Saint-Marc dans un silence de mort. La population de la ville ne semblant guerre enthousiate. Les chevaux de St-Marc, dérobé à Constantinople 200 ans plus tot etant démonté et renvoyés au palais des Blachernes
Le 15 novembre 1505, La paix était signée avec la république de Venize, le Doge cédait les iles Orthodoxes et grecques de Corfu et de Crete à l'Empire Romain d'Orient.
*1506 - 1510* La chute de la papauté
Posté : mer. mars 22, 2006 11:48 am
par vince
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Espagne, 1496-1515, par Juan Vincel Villalobos Ramirez, chroniqueur officiel de la cour.

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La découverte du nouveau monde.
Le génois Colomb quitta séville, direction le Senegal portugais pour ravitailler, puis mis cap plein ouest. Après des semaines de navigation, alors que l'eau douce commençait à manquer à bord de la Santa Maria, et que les matelots titubaient quand il ne gisaient pas sur le pont surchauffé, un vibrant "TERRE!!!" vint briser la torpeur dans laquelle était plongée l'équipage. Colomb se précipita à la proue, dégaina sa longue vue pour s'assurer que la vigie n'était pas sujette à hallucination. Miraculeusement ce n'était pas le cas.
Quelle pouvait donc être cette terre en ces latitudes ? Pas l'inde assurément, comme l'attesta son Grand et Précieux Sextan (GPS). Colomb consigna cette découverte dans son journal de bord, mis pied à terre, emporta des échantillons de la faune et la flore locale, captura même des indigènes, et repartit pour Séville rendre dompte des ses découvertes à la reine Isabel. Il espérait bien obtenir les fonds nécessaires à pousser ses découvertes plus avant, fort du succès de ce premier périple.
La reine fut littéralement conquise. Non seulement elle octroya moults subsides à colomb pour une nouveau voyage, mais elle alla même jusqu'à enrôler d'autres explorateurs.
C'est ainsi qu'au bout de plusieurs années, un vaste continent dont les limites ne sont toujours pas connues fut découvert, mais également une ribambelle impressionnante d'iles fort fertiles.

Posté : mer. mars 22, 2006 12:14 pm
par vince
la conquête de l'empire Aztèque
De nombreux conquistadors espagnols, poussant toujours plus au nord, sillonaient ce nouveau continent si vaste. L'un d'eux, Alonso de Ojeda prit contact avec une tribu qui semblait beaucoup plus évoluée (ils étaient vêtus), que les simples indigènes rencontrés jusqu'alors.
Tant bien que mal, le chef de l'expédition su se faire comprendre afin d'obtenir une audience auprès du caudillo local. Bizarement acoutré (couvre chef orné de plumes de serpents, sorte d'épis de maïs dans l'arrière-train), Alonso de Ojeda se rendit compte que ce chef regnait sur un véritable empire, voire une civilisation, et non pas une simple peuplade.
Il fut choqué par les sacrifices humains, les rites païens... Mais émerveillé par parements et dorures innombrables, qui laissaient indiquer que des gisements aurifères à faire palir les nobles de Tolède se trouvaient en ces lieux.
Avertie, la reine Isabel saisit l'occasion d'affirmer la domination espagnole sur le nouveau monde, en tentant d'asservir ce royaume, et pourquoi pas plus tard, leur apporter le christ. Aussi elle augmenta sans cesse ses demandes en or et en nourriture. Rapidement, les autochtones rechignèrent, et la reine décida de les soumettre par la force.
Une armée de 20 000 hommes se lança à l'assaut de Tenoctitlan, la cité d'or. Les arbalètes, épées d'acier, cavaliers espagnols surclassaient les maigres sarbacanes ennemies. De plus, nos armées combattirent pour tuer et non pas capturer en vue d'alimenter les sacrifices humains. Moctezuma, le chef aztèque fut capturé, les idôles brulées.. l'empire aztèque déposa les armes et offrit sa soumission...
Posté : jeu. mars 23, 2006 3:01 pm
par Scarabee
[align=center]
Déclaration de Charles Quint, Empereur d'Autriche et roi d'Espagne[/align]
[align=justify]L'arrivée sur le trône d'Autriche du grand Charles à la mort de son grand-père Maximilien I en 1519 apporta un renouveau à l'empire. L'objectif était maintenant de créer une nation respectable, honnête et orgueilleuse. L'accent fut mis sur l'éducation et la création de corps de métiers spécialisés pouvant répondre rapidement à toutes les demandes de l'empereur, notamment au niveau militaire.
Se souvenant avoir été élevé aux Pays-bas bourguignons, Charles décida d'envoyer son armée contre la coalition dirigé par la puissance principauté de Gueldre. La reconquête de son héritage demanda un effort important au peuple autrichiens, mais au final les provinces de Zeeland, Kleves, Köln et Mainz purent acclamer leur souverain. La victoire fut fêté dans chaque hameaux du royaume. Charles Quint avait ainsi affirmé ses ambitions...
Ce cercle vertueux de réussite incita le duc de Baviere et un peu plus tard celui de Bohéme, à rejoindre l'empereur d'Autriche et roi d'Espagne. Mais le succès monta vite à la tête du jeune seigneur...
Voulant en finir une fois pour toute avec Gueldre, la félonne, et voulant la remplacer par une nation soumise au désir de l'empire d'Autriche et de son souverain, Charles Quint ordonna une nouvelle offensive contre Gueldre et la Croatie, qui depuis l'exile papale était implanté en Italie, sans titre ni droit. Militairement la domination de nos troupes nous laissait penser à une victoire et une libération des peuple opprimés. Mais des troubles importants secoués déjà les campagnes. Les paysans et certains aristocrates osaient ouvertement se plaindre des décisions de l'Empereur.
A la cour d'Autriche, les hésitations étaient importantes entre mater les révoltés et jouer une carte plus diplomatique, montrant ainsi la magnanimité du souverain. La deuxième option fut adopté et les provinces italiennes de Modene, Toscane et Mantoue, ainsi que les germaines de Münster et Strasbourg peuvent désormais gérer leur population. La perte du Luxembourg au profit du traître de Brabant est une cicatrice terrible pour l'honneur de Charles Quint.
Demande à Carlos I d'Espagne :
Nous demandons aux cartographes de la péninsule d'apporter à Vienne l'ensemble de leurs connaissances sur les terres au delà des océans. En tant que roi d'Espagne, nul au monde peut prétendre nous interdire de posséder ces données.
A propos des problèmes religieux :
En tant que empereur, Charles invita Martin Luther à la diète de Worms en 1521, lui garantissant la liberté s'il se présentait. Nous avons essayé de maintenir cette idéologie le plus loin de l'empire. Mais le fanatisme de ces nouveaux disciples amena cette peste intellectuelle et spirituelle dans notre royaume. Luther et ses partisans furent donc condamnés et nous réfléchissons à comment défendre le catholiscisme face à toutes ces menaces.[/align]
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Posté : jeu. mars 23, 2006 8:26 pm
par Danton
La Nouvelle Angleterre croissait et prospérait, mais les envieux nous tournaient autour comme des mouches, aussi le Roi, sage parmi les sages, envoya t-il son plus illustre conseiller, Lord Danton lui-même (le héros par excellence

), en Amérique du nord pour étudier les défenses de notre nouveau royaume.
Il en revient aussi exalté que d’habitude : « La Nouvelle Angleterre est coupée en deux (fine constatation avouons le et qui avait échappé à tout le monde jusqu’ici

) par un royaume barbare et maléfique : de celui-ci partent les nuages ténébreux et la peste maligne.. Si nous ne réagissons pas, ils finiront par engloutir nos pauvres provinces ! Le Mal va déferler

! Nous devons sauver le monde libre et repousser les ténèbres : telle est la sainte mission que nous a confié le Très Haut. Ne le décevons pas et que déferlent les armées du bien : la chrétienté doit imposer sa loi à ces barbares maléfiques et païens

».
Henry VIII, effrayé, n’hésita pas un seul instant et ses armées déferlèrent contre les sauvages du Lenape : le repère du Mal a été entièrement investi et détruit, il est désormais placé sous la lumière divine qui brille partout dans la Nouvelle Angleterre, désormais unifiée. Le Seigneur, dans son infinie bonté, nous envoya alors un signe sans équivoque pour approuver nos légitimes actions : une manufacture d’armes apparaît soudainement à Londres (pouf, tombée du ciel, si, si

).
Jimbo, vieux frère, je n’ai pas bien compris tes explications ! Comment le fait d’être passé protestant te permet-il d’avoir un succès encore plus grand auprès des femmes
? Pourrais-tu me réexpliquer cela, fais le de préférence un jour où tu es sobre. J’insiste… Le monde connaîtra alors peut-être un nouveau grand pays protestant. Dis, ton avis, les belles bondes préfèrent les catho ou les protestants
?
Posté : mer. mars 29, 2006 9:41 am
par Aedan
[align=center]***** Chroniques de l'Empire Romain d'orient 1496 - 1516 *****
[/align]
*1506-1510* La chute de la Papauté
La rédition Ventienne avait permis à l'Empire Romain d'Orient de reprendre à Venize les anciennes iles impériales de Corfou et de Crete.
Mais le Pape s'était alors opposé à la volonté impériale. Les desastres navales et terrestres avait couté à l'etat pontificale la totalité de ses forces, soit 40.000h et 35 galères.
Le 23 novembre 1506, l'empereur Andreas Paléologue était décidé à rétablir l'autorité impériale sur le sud de l'Italie et de reconstituer la Grande Grece et déclarait la guerre au duché d'Apulie.
Aprés 1 années de Siège, la ville de Naples devait ouvrir ses portes aux forces romaines. Cependant Tarente resista longtemps et il fallut etablir un blocus naval du port pour l'empecher de se ravitailler par mer. Une intervention de Von Frundsberg, général Autrichien failli provoquer une brouille entre l'Autriche et l'Empire Romain d'Orient au sujet de Tarente... mais un accord fut trouvé... l'Autriche pénétra dans la ville avant les forces romaines.
Au nord, privée d'armée détruite pour Venize, l'Etat Pontifical était agonisant. En avril 1507, Raguse et la Pologne entrait en guerre contre le Pape, rejoignant en cela l'archiduc d'Autriche bien décidé à se venger des humiation passée. Les Villes pontificales se rendirent les unes apres les autres. Ancone fut prise par la Pologne, Bologne par l'Autriche, Florence par la Croatie Sienne se souleva.
Le 11 Aout 1510, les sienois entraient dans Rome entrainant la fuite du Pape pour la France qui dit-on ne lui accorda pas un chaleureux acceuil.
En cet été 1510, les états-pontificaux étaient dissous.
Pendant ce temps, le duché d'Apulie acceptait la paix et Naples et la Campagnie était annexé à l'empire.
Les grandes réformes de l'Empire Romain d'Orient
Malgré les guerres en Italie, l'empereur Andréas Paléologue était décidé à pousuivre les grandes réformes nécéssaire à l'empire.
Une evidence s'imposait à lui, l'avenir de l'empire Romain d'Orient était à l'Ouest et sur les mers. L'Orient musulman était si difficile à conquérir. Les millions de musulmans de Syrie, d'Egypte, d'Anatolie, de Mesopotamie et de Perse offraient une resistance immense au rétablissement de l'autorité impériale. Il fallait convertir et repousser l'Islam et cela demandait des moyens considérables...dépassant de loin ce dont disposait l'empereur...
Pour que l'empire ai les moyens de sa politique occidentale, il lui fallait une flotte mais aussi des infrastructures navales aux dimensions de la nouvelle orientation stratégique de l'empire. La reprise de Corfou et de la Crete, assurant la domination romaine sur l'est de la méditerranée, mauquait le début d'une nouvelle ère.
Le 1er janvier 1506, l'empereur Andreas annonçait au grand conseil de l'empire son intention de donner la priorité pour les années à venir à la marine. Un nouveau et puissant arsenal serait construit à Constantinople. Tout les rivages de la Corne d'Or seront détruit et déblayé pour permettre le décuplement de la superficie du port militaire et des infrastructure maritimes
Le 11 novembre 1506, l'empereur instituait en complement des Themes, la réforme des Tagmatas. Avec l'extension de l'empire, la défense romaine ne pouvait plus s'appuyer exclusivement sur des armées de conscrits. Désormais l'Empire entretiendra en plus des forces Permanentes de soldats de metier regroupé en Tagmata ou régiment professionnel. L'empire y gagnait une armée plus offensive (+2) et de meilleur qualité et discpliné (qual +2)
L'aboutissement d'une année de réforme fut atteinte le 22 janvier 1507 quand seulement apres une arnée de travaux, l'Empereur Andreas inaugurait le nouvel Arsenal. Couvrant toute la profondeur de la Corne d'Or, il pourait lancer pres de 50 galères par trimestre simultannéement.
L'acession au trone de l'empereur Manuel III
L'Empereur Andréas 1er s'eteignit le 21 octobre 1512 aprés 40 années de regne. Il avait au final accomplit de plus grandes choses pour l'empire que ses predecesseurs. Il était l'empereur de la victoire contre els mongols, du rachat d'Alexandrie, de la conquete de la Sicile, de l'humiliation de Venize, de reprise de Naples et des grandes réformes comerciale avec le COT de Constantinople, la réforme des Themes, des Tagmata et enfin de la réforme navale et du grand dessein impérial occidental.
La foulle fut immense et déchirée de chagrin pendant le cortège funéraire entre Blachernes et la Basilisique Sainte-Sophie afin de rendre hommage à ce digne fils de l'empereur Constantin IX Dragases qui dans sa jeunesse, à la bataille de Thessalonique et en écrasant les turcs Ottomans, avait su renverser le cour de l'histoire...
Le 1 novembre 1512, le Prince Manuel était couronné Empereur Romain d'Orient sous le titre de Manuel III Paléologue
*1513-1515* L'empire romain reconstituée
La prise de Rome par les Siennois en 1510 avait laissé le monde occidental une indifférence étonnante. La papauté s'était tant discredité depuis un siècle, qu'elle avait perdu tout ses soutiens.
Le temps était venu de rétablir l'Empire Romain universel. Le 6 novembre 1513, l'empereur Manuel III déclarait la guerre à la principauté de Sienne.
Le 14 janvier 1515, l'Empereur Manuel III Paléologue entrait dans la ville eternelle aclamée par la foule. 1000 ans apres la chute de la ville, Rome rentrait au bercail et reprenait sa place au sein de l'empire Romain.
Le 25 décembre 1516, le jour de Noêl, dans la Cathédrale Saint-Pierre juste achevée, Manuel III paléologue était sacré Impérator Romanus.
L'Empire Romain d'orient apres une histoire de 12 Siècles venait de s'effacer. L'Empire Romain venait de renaitre...
Posté : mer. mars 29, 2006 11:16 am
par Aedan
[align=center]***** Chroniques de l'Empire Romain 1 - 1516 - 1529 *****
[/align]
Les guerres Balkaniques - La Hongrie
Le règne de Manuel III devait être fort court et le 19 dNovembre 1518, il s'eteignit à Rome sans voir jamais quitté la ville eternelle depuis son couronnement.
Son fils, le Prince Jean, sera couronné le 1er janvier 1519 au sein de la basilique Sainte-Sophie sous le nom de Jean IX Paléologue.
Le nouvel empereur avait passé son enfance en Grece et en Macédoine et il avait les yeux rivé sur les Balkans. De nombreux peuples orthodoxes étaient sous domination de la Hongrie et la frontiere nord était si proche de la capitale impériale.
Le 9 mais 1522; l'empereur Jean déclarait la guerre au royaume de Hongrie. L'armée des Balkans forte de 50.000h campait en Bulgarie et fut divisée en 3 corps.
Le 1er Corps sous les ordre du brillant général Aedanikos se porta avec 20.000h sur Belgrade et entra dans la plaine Serbe. Un 2eme corps de 15.000h traversa le Danube et entra en Valachie pour assieger Bucarest. Le 3eme corps enfin, remonta les rives de la mer noire, traversa le delta du Danube et entra en Moldavie.
Le Roi de Hongrie appela son allié Lithuanien à la rescouse. Les forces Hongroises étaient importantes mais combattaient en Italie et en Croatie ce qui permit un début de campagne sans opposition.
Le 17 octobre 1522, Belgrade se rendit mais le général Romain Aedanikos ne pouvait franchir à son tour le Danube gardé par plus de 40.000 hongrois.
Le 30 Aout 1523, l'armée Hongroise forte de 37.000h se décidait à franchir le Danube vers le sud. Le général Romain ne disposait que de 16.000 dont 7.000 cataphractes.
Aedanikos plaça ses troupes dans la plaine Serbe sur une seule ligne continue avec ses forces professionelles sur les ailes et le centre fut occupé par les conscrits des Themes. Enfin la Cavalerie resta cachée derriere une coline.
Les Hongrois sur de leurs enormes supériorité numériques chargèrent le centre de la ligne romaine qui recula lentement sous le choc formant un cercle concave de plus en plus prononcé... les Hongrois pénétrant toujour plus en avant dans le dispositif romain.
Le général Aedanikos apparut alors à la tete de la cavalerie. Les 2 ailes impériales constitué des corps d'elites se refermèrent sur les Hongrois tandis que les Cataphractes balayaient les unités Magyars restée en réserve. Le Piège se refermait et la panique disploqua l'armée Hongroise qui se débanda.
Les fuyards qui echapèrent à la nasse furent rattrapés par la cavalerie et impitoyablement poursuivit.
Sur 37.000h, seul 4.000 hongrois parvinrent à retraverser le fleuve laissant plus de 33.000 morts et prisonnier sur le champs de bataille.
L'armée Romaine compta moins de 500 morts!
Reitérant la tactique utilisée par Hannibal à Cannes, Aedanikos avait obtenu des résultats exeptionels. La destruction de l'armée de campagne hongroise ouvrait la voie à la conquete de la Hongrie.
Posté : mer. mars 29, 2006 11:53 am
par vince
Missive de « Rocky » Nuñez de Balboa à sa majesté l’empereur Charles Quint
[align=center]

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Sire,
Ce sont de bien mauvaises nouvelles que je vous apporte. Nous sommes au regret de vous informer que nous ne sommes pas parvenus à asservir les tribus andines, avant votre 30e anniversaire, comme vous nous l’aviez demandé. Nos fiers « conquistadores » se sont enfoncés très loin en territoire ennemi. Si loin, qu’il aurait fallu beaucoup plus de soldats pour couvrir ce vaste front. D’autant qu’il nous était impossible de connaître les effectifs ennemis, si bien que notre armement, si robuste soit-il ne nous a pas permis d’infliger de graves pertes à un ennemi qui se retranche dans ses montagnes escarpées.
Nous sommes également sans nouvelles de ce jeune capitaine que vous nous envoyâtes. La dernière fois qu’il nous expédia un rapport, il tentait de se frayer un chemin le long de ce long et large fleuve, à travers une jungle hostile et touffue. Que lui est-il arrivé ? Nul ne le sait. Certains disent qu’il aurait été mordu par un serpent particulièrement venimeux, d’autres dévoré par des poissons très voraces. A moins qu’il n’ai été capturé par des indigènes canibales. Je crains qu’il ne laissera pas la place que vous lui prédisiez, dans notre histoire, tant un grand flou entoure la disparition de cet Hernan Cortes…
Notre implantation dans le nouveau monde va bon train. Cependant, qu’en est-il de la répartition de ces nouvelles terres? Avant la déchéance de sa sainteté et son exil en France, il était question d’un traité conférant l’ouest à l’Espagne et l’est au Portugal. Ce traité a-t-il été promulgué ? Il semblerait que non, puisque nous avons aperçu des navires battant pavillon étranger dans ces eaux. Des colons y seraient embarqués. Quelle doit être notre attitude ? La disparition de sa sainteté a laissé un tel vide spirituel et religieux, qu’il nous est difficile d’invoquer son autorité et sa décision, d’autant que nous ne savons si elle a existé et que son influence était en perte de vitesse. Nous attendons vivement votre réponse sur ce point, à savoir : existe-il un traité de répartition des terres du nouveau monde ?
Votre très dévoué capitaine
Nuñez de Balboa
Posté : mer. mars 29, 2006 1:30 pm
par Scarabee
[align=center]
Directive de l'Empereur à Nuñez de Balboa[/align]
[align=justify]
Capitaine,
L'europe que vous avez quitté il y a longtemps a subi de profond bouleversements. Mais sachez que le Pape, en exil mais toujours légitime pour le peuple de Dieu, a offert le monde de l'Ouest à l'Empereur Charles Quint.
Ainsi vous pouvez vous appuyer sur deux pilliés pour faire régner l'ordre sur les terres que vous administrez, celui de Dieu et celui de l'Empereur. Notre légitimité sur ces terres n'est contesté par personne, et je vous donne toute autorité pour agir.
Vous devez conquérir, et apporter le Christ, même dans une rivière de sang, à tous les barbares, sans oublier d'éliminer toutes presences de colons d'autres nations, puisqu'ils sont de faits des criminels.
Que Dieu vous guide ![/align]
Posté : mer. mars 29, 2006 5:29 pm
par lemarseillais
Extrait d'une lettre de Monseigneur Pierre de Laval, duc et per de France, arcevesque de Reims
La lettre ne nous est pas parvenu dans son intégralité, les blessures du temps sont évidentes mais la main de l'homme a également beaucoup oeuvrée à mal. Après compulsion, les années 1496-1529 se révèlent, malgré certaines lacunes, les plus exploitables à des fins universitaires.
Voici ce qui est écrit :
Nous Pere de Laval, duc et per de France, arcevesque de Reins, faisons savoir à touz ceus qui sont et qui seront, les fayts advenu aux temps de nostre feu roy Loys le douzieme et de nostre seigneur, Philippe par la grace de dieu roy de France. Comme par les convenances que nous avons faictes de donner traces, fayts et heritages des choses passées, nous soions tenu à nostre engagement par ces presentes.
En l'an de grace mil CCCC cens quatre vint seize, les baronnies, les chastiaus, et toutes autres appartenances relevait et relève de l'obediance du roy. Les grans princes passés, feu le duché de bourgogne, feu le duché de bretagne, feu le duché d'auvergne, feu le duché des bourbons, avoient disparu. Le roy loys était alors seigneur redoubté et puissan. Ayant conciance de ceci-dit, il fit bonnes tractations et alliances loyales avec l'empereur des romains pour preindre les chastiaux, terres et seignoureries du roussillon.
Ces guerres de méditérranée se suivirent d'ung campaigne d'italy ou le roy de france ne voulu mené ni combattre contre sa sainteté malgré toux les moults maux que sa sainteté avait perpétré aux temps jadis passé contre nostre royaume. Ces guerres virent la victoire des françois et des romains sur les italiens et les ibèriques. La Sicile passait sous contrôle romain tout comme le sud de l'italy et de Rome. Le pape fuyait se réfugier en Espagne, le roy de France n'ayant pas voulut donné accueil à ce fol comme il disoit. La grande monarchy de France grandit des terres, chastiaux et tours redoubtés du roussillon. Les terres du béarn passèrent sous controle de nostre loyal allié et vray vassal le duc de savoie.
Pendant ce temps, à l'intérieur du royaume, le roy ayant donné et octroyé bienfaits à ses subjets, celui-ci devint de plus fort qu'auparavant et de plus riche. Les utiles et licites conseillezs du roy lui inspirèrent la construction et reparacion des havres pour se dobté d'une flotte royale. Le roy avait adopté et adopte depuis ce jour la volenté et envie de prendre par dela les mers des terres novelles pour la grandeur du roy et du royaume.
Posté : jeu. mars 30, 2006 8:19 pm
par Danton
« Oh, Sancho ! Sancho Danton, tu m’entends ? Réveille toi ! » »Seigneur, est-ce VOUS

? » »Oui, Sancho, c’est MOI. Qu’est-ce que tu attends encore ? Laisse tomber cette bouteille et pars : le Mal menace la Nouvelle Angleterre ! » »A l’assauuuuuuuuuut ! Dieu est avec moi ! Nous lutterons et nous vaincrons

! » »Oui, c’est cela même, vas et triomphe ! ».
Notre héros, Sancho Danton, se précipita alors sur son baudet, attrapa son balais au passage, arme redoutable en ses mains expertes, mit son bonnet rouge à pompon et hue, sus au mécréant

! Les Iroquois perfides menaçaient la Nouvelle Angleterre : pillages, meurtres, viols, les frontières n’étaient plus qu’un champ de ruine, il fallait réagir. Sancho et les colonnes infernales de notre glorieux pays mirent rapidement les indigènes maléfiques au pas et leur pays méprisable fut annexé, pour la plus grande gloire de Dieu qui avait commandité cette action d’éclat digne des plus grands élogues (ou « Comment faire passer une banale guerre contre un païen arriéré pour une guerre sanglante, difficile et acharnée

»).
Pendant que Sancho Danton guerroyait contre le Mal en Amérique, d’autres en profitaient sournoisement : la France attaquait l’innocente Espagne (ah bah, dès que j’ai le dos tourné, on en profite je vois

) et, encore pire, le Roi Henry VIII d’Angleterre s’empressait de prendre toute une série de décisions vitales pour l’avenir du pays sans même consulter son plus fidèle conseiller, le doux Sancho Danton : construction d’un grand chantier naval à londres, passage au protestantisme aimant, soutien massif et ininterrompu aux colons vigoureux pour consolider la Nouvelle Angleterre.
Naturellement, une fois de retour au pays après son immense victoire contre le Mal, Sancho Danton demanda des explications aux uns et aux autres, mais une voix qu’il connaissait bien l’interrompit brutalement : « Sancho ! Oh, Sancho Danton, qu’est-ce que tu fais encore ? Le Mal ne se repose jamais, tu le sais ! Galope donc, loyal paladin, et inflige aux traîtres Irelandais le châtiment qu’ils méritent : que la foudre s’abatte sur eux, précipite les en enfer ! ». Jamais tranquille ici pensa, attristé, le très pacifique Sancho Danton, obligé de repartir au combat

, contre les félons qui avaient rompu leur serment de vassalité envers la juste couronne d’Angleterre. Ils ont été dépouillé de leur trésor, leurs provinces et, cerise sur le gâteau, la vassalisation a été rétablie : rien n’est impossible pour le bras armé du Très Haut.
L’avenir nous dira quel destin glorieux le Très Haut réservait à son fidèle Sancho Danton, juste parmi les justes, pur parmi les purs (un type admirable je vous dis

)
Posté : mar. avr. 18, 2006 8:50 pm
par Marco Rale
Markus Rallstrom, chancelier du roi Gustav Vasa I, annonce:
Nous avons été appointé par le roi pour mettre de l'ordre dans une situation internationale trouble.
En ce sens, nous présentons nos hommages les plus respectueux à nos pairs.
La Suède sera l'amie de tous ceux qui respecterons les droits des eglises luthériennes, particulièrement en Allemagne du Nord.
La Suède se porte garante de l'indépendance de Hannovre.
La Suède aime le poisson.
Posté : jeu. avr. 20, 2006 1:33 am
par Dueño_de_las_Mariposas
Seigneur Mariposhka, Duc de Dantzig et Président de la Diète et du Conseil d'Etat de la Très Sainte et Très Chrétienne Pologne
1540 - 1550 : La Réforme territoriale Polonaise
L'arrivé au pouvoir de la Fraternité Chrétienne à la fin des années 30 apporte un souffle nouveau à la Pologne. Cette nouvelle élite politique décide en effet de mettre un terme à la lutte religieuse contre l'Allemagne protestante et de vouer l'avenir de Cracovie à l'union Polonaise et Chrétienne face au danger Byzantin. Il aura fallu la chute de Rome pour que les nobles de Pologne cessent leur croisade sanglante et invraisemblable contre les protestants. Certes ces derniers se sont détachés de Rome, mais au moins tolèrent ils les catholiques sur leurs terres et ne s'attaquent pas au Vatican.
La prise du pouvoir par la Fraternité Chrétienne porte immédiatement fruit, puisque la Suède envoie immédiatement une ambassade spéciale afin d'établir de nouveaux liens diplomatiques avec le nouveau gouvernement Polonais. La Suède souhaite avant tout s'assurer de la protection des protestants sur nos terres et de l'amicalité des nouveaux liens qui unissent les deux pays. Si la protection des protestants est garantie, le problème soulevé par Dantzig interdit encore la normalisation des relations. Cependant, le Gouvernement et le Roi de Suède en faisant preuve d'un grand sens de raison et de noblesse, apportent vite une solution au moyen de la négociation des Accords de Dantzig .
La riche région de Dantzig revient donc à la Couronne Polonaise dans la fin des années 40 au moment même ou l'Autriche nous propose à son tour de nous céder une de nos provinces dynatique autrefois perdue : La Galice.
La vente de la Galice en 1550 pour 300 000 ducats est aussi l'occasion de rapprocher les deux pays. Un nouveau mariage royal est célébré et des accords d'accès militaire sont signés conjointement les années qui suivent. La progression des Byzantins en Italie inquiette en effet autant à Vienne qu'à Cracovie. L'annexion de Rome et de Venise a à la fois saigné les coeurs de tous les catholiques, à l'exeption notoire de la famille de France ce que nous déplorons avec grande tristeza, et soulevé une très grande colère chez les banquiers et commercants Autrichiens... Nul doute que cette affaire Italienne aura des suites.
1550 - 1555 : L'Alliance des principautés et l'investissement.
Dans les années 50, la territoire Polonais unifié, le Gouvernement se tourne vers le développement de l'économique désuète et miséreuse de la Pologne. De grandes manufactures de distilerie sont créées à l'Ouest et à l'Est du pays, dans des provinces dont l'économie nécessitait une aide de la couronne. Dans le même temps, des investissements commerciaux sont enfin consentis. Des édits sont votés par la Diète pour faciliter l'établissement des marchands ce qui permet très rapidement a la Pologne de creer des établissement commerciaux à Moscow et à Dantzig. Pour la première fois depuis plusieures décenies, la Pologne exporte des produits à l'étranger et en propose sur son propre marché. Cependant, ce commerce qui débute n'en reste pas moins fragile et plus symbolique que lucratif...
Au même moment, la Pologne étend son réseau d'Alliance en Allemagne de l'Ouest et joue de diplomatie afin d'améliorer ses rapports avec les quelques Etats Allemands rescapés des guerres de Religion. Le but de ce rapprochement est d'un part d'améliorer notre capacité défensive, et d'autre part de pouvoir garantir à l'avenir, la sauvegarde de ces derniers Etats princiers.
Accords de Dantzig
Garanties Polonaises
La Très Sainte et Très Chrétienne Pologne s'engage à :
_ Céder la province de Bremen.
_ A verser un dédomagement de 300 000 ducats.
_ Garantir la protection des Protestants Polonais
_ Appuyer le rattachement du CC du Mecknbourg à la couronne Suédoise.
_ A garantir la liberté de commerce Suédoise à Dantzig.
_ Rendre public ces accords.
Garanties Suédoises
La Très Noble et Très Chrétienne Suède s'engage à:
_ Céder la province de Dantzig.
_ Garantir la liberté de commerce Polonaise au Mecknbourg.
_ Rendre public ces accords
Accords Lus et approuvés par le Roi et la Diète.
Missive diplomatique du Seigneur Mariposhka, Duc de Dantzig et Président de la Diète et du Conseil d'Etat de la Très Sainte et Très Chrétienne Pologne
Suite aux récents évenements politiques qui ont agités l'Europe ces dernières années, la Pologne souhaite annoncer aux cours Européennes sa volonté de garantir autant que faire se peut, l'autonomie des principautés dont aucun droit dynastique ne légitimerait l'annexion.
Ainsi la Pologne s'engage à ne plus annexer les principautés sur lesquelles elle n'aurait aucun droit Dynastique, ce qui au regard de la situation politique actuelle, revient à reconnaitre qu'elle n'annexera plus aucun pays.
Ainsi la Pologne s'engage, conformément aux Accords de Dantzig à soutenir l'Annexion du Mecknbourg par la Suède, dans une volonté d'équité commerciale et de normalisation de ses relations avec ce noble Royaume. Cepedant, elle ne saura tolérer de nouvelles annexions en Allemagne du nord et le long des provinces bordants la baltiques. Nos derniers accords, ayant étés déjà bien généreux, nous espérons que la Suède aura su trouver pleine satisfaction dans cette générosité. La Pologne estime cependant n'avoir aucun droit de regard en ce qui concerne les provinces Norvégiennes, Suédoises et Finlandaise de la Sacandinavie, zone d'influence sans contestations Suédoises, ainsi que sur les possibilités de vassalisation des principautés Allemandes et baltes.
Ainsi la Pologne, accepte la situation politique en Allemagne et n'exigera rien de l'Autriche avec qui elle tient à maintenir des relations au moins aussi amicales que celle qu'elle entretient avec la Suède. Tout comme avec notre voisin du Nord, nous ne prétendons pas exiger le rennoncement à vos possessions, d'une part car cela est politiquement et militairement bien au delà de nos capacités, et d'autre part car la cohésion Chrétienne nous importe avant tout. Cependant, au même titre que la Suède, nous verrions d'un très mauvais oeil l'annexion des quelques principautés Allemandes rescapées de notre lutte conjointe contre le Protestantisme. Le temps n'est plus aux massacres qui n'ont fait qu'encrer d'avantage le protestantisme en Allemagne, mais bien au respect des confessions et des dysnaties. Nous ne pouvons plus justifier ces annexions sous couvert d'une lutte au nom de Rome alors même que le Pape en a été chassé. Cependant, tout comme pour la Très Noble Suède, nous n'aurions rien à dire contre d'éventuelles vassalisations.
Ainsi, la Pologne s'engage à faire tout ce qui sera en son pouvoir pour que les provinces Papales d'Italie retrouvent leurs indépendances, et que Rome redevienne le coeur du Catholicisme. L'Empire Bysantin est l'héritier de l'Empire Romain d' Orient , l'Italie n'est pas l'Orient.
Ainsi, la Pologne est très atristée du coup de force de la France à Gênes, et saura s'en souvenir.
Ainsi, la Pologne rennonce à se meller en aucune manière aux affaires coloniales.
Missive, Lue et Approuvée par le Roi et la Diète.
Posté : jeu. avr. 20, 2006 8:28 am
par lemarseillais
Le Grand Roi parle aux princes de ce monde :
Henri par la grâce de Dieu roi de France, à tous ceux qui ces présentes lettres verront, salut.
Nous avons ouï dire que, de par certaines contrées, de par certains princes, le rattachement du duché de Gênes au royaume de France suscite réprobation et mécontentement. Cela suffit !!!
Le Roi de France est maître de sa politique, le duc de Gênes était notre féal depuis bien longtemps déjà et sans héritier mâle. Sentant sa mort venir, il nous légua ses biens avec à charge pour nous d'en assurer la sécurité et la prospérité. Il était alors évident qu'un rattachement au royaume offrait la plus grande sécurité possible pour ce bon peuple génois dont nous assurons aujourd'hui le salut.
Les réprobations ne sont pas fondées et surtout sont mesquineries. Pourquoi n'avoir rien dit avant ? Je crois y voir là inspiration du malin ou du roi du Portugal (vous remarquerez que je mets ces 2 personnages au même plan

).
La Suède va annexer Mecklembourg mais de quel droit ? Aucun ! Pourtant nous ne disons mot. Que fais l'Angleterre dans les Flandres ou l'ERO à Venise ? Pourquoi tant d'Etat allemand ont disparu dans le ventre autrichien ? Alors pourquoi la France serait le seul royaume a respecté ce que les autres ne respectent pas ?? Il serait absurbe que le plus puissant royaume d'Europe doive se contenter de moins que ces voisins.
Qui veut formenter un faux procés à la France ? Est il nécessaire de rappeler que le royaume de France a hérité de 3 provinces qui était ancestralement entre l'Empire et nous. 3 provinces soit moins que la Suède, que la Pologne, que l'ERO et je ne parle même pas de l'Autriche. Et c'est le peuple de France le vorace, le destructeur de "petits" princes ??? Calomnie !!!
Néanmoins, dans sa grande mansuétude, le roi de France est prêt à faire un pas. Parce qu'il a le devoir de guider le peuple chrétien, le roi de France propose la chose suivante :
- nous recréons le duché de Gênes qui sera confié à notre fils puiné
- nous créons le comté de Corse qui sera confié à un cousin
- l'Angleterre libère les Flandres
- l'ERO libère Venise
- la Suède se contente de vassaliser le Mecklembourg
- l'Autriche libére les duchés de confessions différentes au catholicisme
- la Pologne libére les duchés de confessions différentes au catholicisme
Et qu'on accuse encore la France maintenant de conduire les peuples à la haine ! J'attends vos réponses. Un silence sera compris pour ce qu'il ait : un refus doublé d'un manque de courage.
Que Deu vous porte !
Posté : jeu. avr. 20, 2006 9:49 am
par Marco Rale
[align=center]
Le Chancelier Markus Rallsönn parle au nom du Roi[/align]
Comment ?! Ces accusations englobent la Suède ?!
Veuillez tenir votre bride, monsieur. La Suède n'occupe aucun peuple qui ne soit pas de notre ancienne culture. A l'exception de la province de Memel, qui de toute manière tomberai dans l'heure sous le joug prussien ou teutonnique, et celle de Bremen, germanique.
La Pommeranie, sous notre protection, ne sera jamais annexée. Hannovre et le Wurtzemberg sont sous notre protection diplomatique, et nous faisons bien des efforts pour les faire respecter. Nous n'annexerons pas ni la Prusse ni les chevaliers teutonniques malgré les torts immenses qu'ils nous ont causé par le passé. Nous estimmons donc n'avoir aucune leçon à reçevoir.
Dans le but justemment d'obtenir la garantie pour ces Etats du Nord de l'Allemagne et leur église, et de ménager l'équilibre en Europe, nous avons cédé Dantzig à La Pologne. Cette cession est extrement onéreuse car elle étouffe notre développement commercial, nous ne disposons plus d'aucun centre de commerce. L'annexion de Mecklembug est donc, dans ce sens, inévitable. C'est une condition de survie de la Suède en tant que puissance. Nous ne nous en excuserons pas d'avantages alors que vos couronnes disposent toutes de deux, trois centres de commerce, sans compter les immenses ressources du nouveau monde. Cédez-nous en donc un et nous serons heureux de laisser à la ville de Mecklemburg la gestion de son centre de commerce.
En revanche et dans le sens de votre proposition, et pourvu que vous crachiez votre verbe hautain ailleurs, nous sommes prêts à vassaliser Bremen.
Posté : jeu. avr. 20, 2006 11:24 am
par lemarseillais
Missive d'Henri II le victorieux :
Salut à vous, votre réaction a suscité de la surprise de par chez nous. Visiblement vous n'avez pas saisi toute la portée de notre déclaration. Le roi de France ne demande pas au peuple de Suède de ne pas se doter d'un royaume à sa mesure. De même le roi de France ne se mêlait pas des affaires des autres royaumes, qu'ils soient anglais, germains, italiens, grecs, etc...
N'avez vous pas entendu hier les accusations fausses et malhonnêtes dont nous sommes la victime ? C'est en réaction de cela que nous avons dit ce que nous avons dit. Nous avons pointé du doigt les errances de nos accusateurs qui ne se sont pas goinffrés moins que nous et bien souvent plus que nous.
La France ne récuse en rien le droit à la Suède de s'éléver dans la hiérarchie des nations. Ce que nous avons dit n'était qu'une proposition, d'une part, et s'adressait surtout à nos accusateurs, d'autre part, et nous ne vous avions jamais considéré comme tel, tout comme d'autres souverains.
Maintenant votre déclaration publique nous oblige à avancer clairement les choses. La France ne sera pas de nouveau le bouc émissaire, comme au temps jadis avec les papes fous qui conduisirent à la ruine de Rome. Encore une fois les protestations sont virulentes du côté de Lisbonne, encore une fois le roi d'Espagne se mêle de cela mais sa défaite peut expliquer sa rancune, encore une fois l'Autriche éléve la voix pourtant si muette tant de fois, et aujourd'hui la Pologne.
Dois je donc préciser aux nouveaux dirigeants de ce monde, suèdois et polonais, qu'il n'ont vraiment AUCUN intérêt à perdre l'amitié naturel dont ils jouïssent de par nos terres. Ne soyez pas dupe des intentions amicales des germains. Et qui vous aidera alors ? Le russe ? J'en doute. L'ERO ? Sans doute pour la Suède mais beaucoup moins pour la Pologne. L'Espagne, le Portugal, l'Angleterre ???? Soyons sérieux, le seul pays capable d'agir sans arrière pensée et en totale liberté pour la sauvegarde de la Suède et de la Pologne contre des intentions belliqueuses de l'Autriche c'est la France. La France ne lorgnera jamais sur Mecklembourg ou Dantzig, demander à l'archiduc de jurer sur la Bible la même chose. Quand bien même parmi tous ces pays cités vous trouveriez un allié ponctuel, aucun ne peut vous offrir la certitude d'une amitié éternelle comme la France.
Enfin, il vous faut savoir que le jeu est habile du côté autrichien. Il vise à focaliser l'attention et les mécontentements sur la France victorieuse. Mais cela ne reste qu'une ruse. L'objectif est préparer un coup de force contre la France. Autriche, Espagne, Portugal assurement et peut être la Pologne contre la France sous quel prétexte : Gênes ! Quel beau prétexte alors que l'archiduc annonçait quelques années avant l'annexion de Gênes son intention de reprendre l'Artois et d'annexer le Brabant. Quel beau prétexte pour une Espagne revancharde et un pantin portugais qui paiera trés cher ses déclarations. Roi de Pologne ne vous faites pas avoir par ces couards qui usent d'argument faux pour monter une coalition afin d'assouvir leurs objectifs personnels.
Je m'adresse maintenant aux autres rois, aux neutres comme aux amis. Je vous demande de faire entendre votre voix. Même si vous ne portez pas les intérêts de la France de votre coeur, vous pouvez dénoncer ce qui n'est qu'une mascarade injuste et malhonnête. Faites au moins savoir à ces ennemis de la paix qu'ils n'ont pas votre approbation silencieuse.
Posté : jeu. avr. 20, 2006 12:58 pm
par Dueño_de_las_Mariposas
Missive diplomatique du Seigneur Mariposhka, Duc de Dantzig et Président de la Diète et du Conseil d'Etat de la Très Sainte et Très Chrétienne Pologne
La Pologne ne mène pas sa politique internationale à la mesure de sa situation. Si tel était le cas, nous ne serions plus un Royaume Souverain mais un simple vassal de l'Autriche ou de la France, or, nous préférons une mort glorieuse à la guerre, qu'un asservissement de notre liberté. " Mieux vaut mourir debout que vivre à genoux " comme le dit si bien le Duc Sha Guevashka. En conséquences, la Pologne ne peut compter que sur elle même et à ses liens diplomatique pour assurer sa Survie Car il s'agit pour nous avant tout de survivre, et non pas de satisfaire notre boulimie. Notre capitale se trouve à quelques lieux de l'Autriche, notre voisin du nord tient les mers, et la Russie tient sous sa riende la Lithuanie. Nous faisons confiance à la France pour protéger son térritoire nationale et coloniale, mais nous ne doutons pas que notre propre protection ne repose que sur notre indépendance diplomatique, et le nombre impressionnant de volontaires prêts à rejoindre l'armée Polonaise en cas de guerre.
Concernant maintenant votre proposition et votre défense concernant Gêne, nous aimerions cependant vous rappeler que les revenus mensuels de la Pologne n'exède guère les 30 000 ducats et que ceux de la Suède ne doivent etre que peu supérieurs au notre. Au même moment vos revenus mensuels sont plus de 4 fois supérieurs aux notres, et vos revenus commerciaux, 10 fois plus importants que les notres. Et la Suède et la Pologne devraient rennoncer aux peu d'impôts et revenus qui leur permettent tout juste de mener une politique de survie ? Les pays de l'Europe Occidentale se sont chargés, légitimement d'étendre la foi Chrétienne au monde entier, tirant par la même occasion de grands bénéfices économiques grâce à cette grande entreprise. Mais le reste du monde ne semble pas vous suffire, puisque vous en venez à traiter les derniers princes d'Europe au même titre que les sauvages du nouveau monde...
Si une guerre devait vous menacer, la Pologne sera au regret de se ranger au coté de vos agresseurs jusqu'à ce que Gênes recouvre, a défaut de son indépendance, son autonomie. Cependant si la France, redonnait à Gêne sa liberté, alors la Pologne n'aurait plus de raison de nuir au Roi de France.
Posté : jeu. avr. 20, 2006 1:19 pm
par lemarseillais
Encore une fois le roi de France regrette que ceux qui ne sont pas les véritables formenteurs de complot et de mal soient les premiers à s'exprimer. Encore une fois, les réactions des véritables accusateurs se font attendre. Il est regretable de constater que la Pologne a choisi la voix de ces entourloupeurs.
Il est ABERANT que des royaumes qui se targuent d'être pieux et de penser aux libertés des autres, au respect de la foi, etc... commencent par dire aux autres : "ultimatum" sans une once même de diplomatie.
Posté : jeu. avr. 20, 2006 1:33 pm
par vince
Ferdinand Alvarez de Tolede,
duke d'albe, est au service de l'empereur, Karl V, trônant à vienne.
Même s'il se fait vieux(on parle de plus en plus d'abdication), la politique étrangère de l'Espagne se décide encore à Vienne. Et pour l'instant, seuls des objectifs coloniaux nous ont été assignés.
Les allégations que soutient le roi de France nous sont étrangères. Nous ne sommes mandatés d'aucune directive concernant l'attitude à adopter vis à vis de l'annexion de Genes, même si à titre personnel, nous la réprouvons.
Posté : jeu. avr. 20, 2006 1:33 pm
par Marco Rale
[quote="Marco Rale"][align=center]
Le Chancelier Markus Rallsönn parle au nom du Roi[/align]
Nous n'avons, en effet pas entendu parler de ces accusations. Ayant résolu les problèmes de fond et de forme avec la France, et heureux du soutien de la Pologne quant à Mecklemburr(teuheu), nous tenons à affirmer que, bien encore une fois que nous ne soyons pas au courant des accusations, complots et autre, le destin des princes d'Europe nous affecte particulièrement, et nous sommes profondément attristés par le fait que, comme l'exprime notre cousin polonais, il ne soient parfois pas "mieux traités que des sauvages". Aussi, nous sommes gré à la France d'un tentative de négociation multilatérale en ce sens.
Bien qu'étant l'une des nations les plus pauvres, la Suède met sur la table:
BREMEN
A qui le tour ? Nous verrons bien qui veut vraiment négocier et qui veut le respect des droits des princes regnants d'Europe.
EDIT: Bernard Pivot
Posté : jeu. avr. 20, 2006 3:09 pm
par Dueño_de_las_Mariposas
Missive diplomatique du Seigneur Mariposhka, Duc de Dantzig et Président de la Diète et du Conseil d'Etat de la Très Sainte et Très Chrétienne Pologne
Tout comme nous l'avions déjà affirmé dans notre précédente missive, la politique étrangère de la Pologne n'est soumise qu'à la volonté de son souverain et de la Diète Polonaise. En conséquence, nos doléances adressées au Roi de France concernant Gêne, n'émannent aucunement d'un complot que les Ibériques ou les Habsbourgs auraient organisé. Si tel était le cas, penseriez vous sincèrement très cher Ambassadeur de France, que cette " coalition " aurait choisie la Pologne comme porte parole ?
Concernant la possible Vassalisation de deux anciens princes Allemands, la diète s'y oppose car ce choix politique remettrait en cause notre intégralité territoriale ainsi que notre budget, le plus pauvre parmi ceux des principaux Royaumes d'Europe. Cependant, elle réaffirme encore une fois sa volonté de ne plus annexer aucun Prince d'Allemagne ou balte, alors même que son territoire est le plus petit des principaux Royaumes d'Europe.
Nous saluons le noble et respectueux geste du Grand Royaume de Suède, dont la Grandeur ne tient pas à son impérialisme mais à la sagesse de ses dirigeants, mais regretons encore une fois, qu'il faille que les plus faibles se sacrifient pour ramener les plus forts à la raison. Nous réaffirmons notre soutient à la Suède quand au respect des Accords de Dantzig , dont le salut économique dépend en grande partie de ces accords.
Posté : jeu. avr. 20, 2006 6:46 pm
par Aedan
Declaration de sa majesté Ioannes IX, Empereur de Rome
Nous deplorons le vocabulaire Polonais concernant ces mots et adjectifs "Byzantin".
L'etat Romain est le plus viel état de notre monde. Quelle nation peut'elle se prévaloir de plus de 2 millenaires d'histoire avec le fonctionement inintérrompu de l'etat? C'est simple: AUCUN hormis l'empire romain eternel et universel.
Concernant Rome, il serait bon de rétablir les vérités historiques:
La Papauté a mené une politique folle durant tout le siècle précedent ce qui a entrainé sa ruine.
Dans les années 1500, Le Pape a déclaré la guerre à l'Empire Romain d'Orient ... nous fumes les agressé et jamais les agresseurs. Nous fimes la paix avec Rome le plus rapidement possible
L'Autriche ELLE déclara alors la guerre au Pape en personne et ses armées allerent assieger Rome provocant la famine dans la ville eternelle, le pape de l'epoque en souffrit.
L'etat Pontifical affaiblit fut alors agressé par la principauté de Sienne. Les Siennois Attaquerent Rome affaiblit par l'offensive Autrichiene... entrerent dans la ville... forecerent le pape à fuir puis finalement annexere de force Rome à la principauté de Sienne.
L'Empire Romain était en paix et ne put que constater la catastrophe....
AUCUNE nation Chretienne ne tenta de sauver le Pape, AUCUNE!! Seul l'Empereur Romain Andrea décida de venger le Pape en attaquant Sienne et delivrant ainsi Rome de leurs ignobles griffes.
L'empereur pensait que le Pape allait pouvoir rentrer... mais la population de Rome HORRIFIEE par un siecle de folie pontificale refusa son retour et le lui fit savoir. Les habitant de la ville pour marquer leurs joies immense à être rattaché à nouveau à l'Empire Romain se sont d'eux-même trés majoritairement convertie à l'Orthodoxie.
Désormais, comme par le passée, Rome est redevenu au coté de Constantinople, la capitale occidentale de l'Empire Romain.
Comme vous le constaterez, L'Empire Romain n'a en aucun cas déposé le Pape... il fut abatut par l'Autriche, annexé par Siene et Rome délivré par les romains avant que la populations choisissent le rattachement à l'empire.
Quand à L'Italie du Sud et la Sicile, l'Empire Romain n'a fait que reprendre les terres de la grande-Grece qui etait les sienne encore jusqu'en 1050 et que les Normands nous avaient illégitimement arraché pendant que nous combations SEUL en orient la menace Turque....
--------------------------
Voici pour les explications et parlons d'avenir...
L'Empire Romain (le terme d'orient a disparu avec le retour de Rome) est favorable à des concessions concernant Venize malgré le sac de Constantinople de 1204:
L'Empereur accepte la proposition Française dans l'etat. Venize sera vassalisée à la condition que la proposition française soit accepté par tous et que Rome soit reconu comme 2eme capitale de l'empire Romain.
L'Empereur est pret à ceder un quartier de Rome comme le Vatican au saint-père et a en assurer désormais sa protection comme au temps de l'Empereur Romain Constantin le Grand.
Posté : jeu. avr. 20, 2006 7:46 pm
par ric novice
Declaration de Ric Teuton, chef de guerre de l'Empereur Karl V
Habitué à la dure vie militaire et au langage rudimentaire des capitaines, je ne tenterais pas de rivaliser avec tous les arguments diplomatiques deployés par la France et L'Empire Bysantin
Quelques mensonges sautent aux yeux, tel la prétendue affirmation que L'EB n'a jamais declaré directement la guerre au pape (affaire de venise)
La mission que m'a confiée l'Empereur Germanique est simple
- Liberer Gênes
- bouter les grecs hors d'italie continentale et de Venise
- Restaurer la papauté
- Donner satisafaction au peuple battave
Mes cousins d'Europe ont eu à souffrir des Francais et de leur allié impie et semblent se ranger sous ma bannière
Que la guerre commence

Posté : ven. avr. 21, 2006 8:42 am
par lemarseillais
Voilà ce qui arrive quand on nomme un capitaine de guerre à la place d'un véritable archiduc...
Au moins je suis heureux de voir que cet homme a le courage de dire clairement ce qu'il pense, ce qui va obliger ceux qui embrassent ses desseins a ne plus se cacher derrière des excuses fausses.
Par contre, les limites de l'instruction en diplomatie et géopolitique du capitaine se font apparentes. A l'heure où la France propose une solution pour sortir de la crise (et donc vassaliser Gênes) l'Autriche ne parle que de guerre. Les autrichiens préférent essayer d'obtenir par les armes ce que nous proposons déjà en temps de paix ???!!!!! Quelle surprenante et stupide idée !
Mais que l'Autriche fasse attention à elle. La France n'a pas de grief contre elle mais elle se défendra farouchement contre toute agression. N'escomptez pas la victoire quand vous décidez de prendre les armes contre notre peuple.
Enfin je m'interroge sur "ces cousins d'europe" qui ont du souffrir par le fait de la France. De qui parlez vous ? L'Angleterre qui spoliait nos terres et notre couronne ? l'Espagne qui vola nos colonies ? Nous n'avons pas fait d'autre tord à quelconque roi (quand bien même certains poilus le mériteraient

)
Posté : ven. avr. 21, 2006 6:52 pm
par Dueño_de_las_Mariposas
Missive diplomatique du Seigneur Mariposhka, Duc de Dantzig et Président de la Diète et du Conseil d'Etat de la Très Sainte et Très Chrétienne Pologne
Cracovie soutient de tout coeur les objectifs précédement ennoncés par Vienne.
Posté : sam. avr. 22, 2006 3:48 pm
par Danton
1543 – 1555. L’expansion anglaise
Tel un raz de marée, des vagues colonisatrices déferlent de la sainte Angleterre et emportent tout sur leur passage : l’heure est enfin venue d’exécuter le ‘grand bond’ et il était plus que temps : Espagnols, Portugais et Français nous ont devancé, il nous faut foncer avant qu’il ne reste vraiment plus rien de rien

. De nombreux explorateurs viennent prêter serment et le Roi dépense alors sans compter pour leurs expéditions : les pertes en navires important peu, seuls comptent le succès et la rapidité de l’opération.
Dès 1548, la première étape du grand bond est déjà achevée : deux ports ont été fondé en Afrique de l’ouest, escale indispensable pour la lointaine Asie. Bravant les tempêtes et l’inconnu, nos fiers marins repartent, toujours plus loin de la métropole, qui envoit sans cesse de nouveaux navires pour combler les pertes : rien ne doit nous ralentir ! Cette frénésie apporte rapidement le succès espéré : en 1549, un premier port est fondé dans les îles de la Réunion

.
Une immense œuvre supplémentaire commence alors en Angleterre : tripler la flotte de haute mer. Mais le peuple craque, à bout de force : l’effort demandé est trop grand. La stabilité interne s’effondre (chute à -3

), la province de Midlands tombe aux mains des révoltés zet l’armée doit intervenir pour rétablir l’ordre. Les rebelles sont tous passés par les armes et une audacieuse réforme monétaire ramène le calme, la stabilité et la prospérité.
Juste ce qu’il nous fallait pour passer avec succès à la troisième phase du grand bond : l’Australie est atteinte

, un port y est aussitôt fondé et le monde émerveillé découvre alors que le Portugal, grand précurseur en la matière, n’est plus le seul pays capable de projetter sa puissance à des milliers de kilomètres de son territoire national. L’Angleterre le peut aussi désormais et rien ni personne ne pourra jamais nous chasser de ces nouvelles terres conquises avec notre sang, notre sueur et notre argent.
Posté : sam. avr. 22, 2006 4:45 pm
par Leaz
1543 – 1555. Portugal : La reprise
Une strategie long terme qui porte peu a peu ses fruits :
Le royaume du portugal, aprés avoir vécus des années de gestion du ministre du roi, Hiã, fort incompétent vis le retour de la grande maison de Leãzao en charge des affaires du royaume.
Le portugal de 1543 n'avait rien a envier a ce qu'il était 20 ans auparavant, les revenus avaient baisser, la présence commerciale outre mer s'était décrue et l'expansion coloniale, force de notre nation depuis plus d'un siècle était a bout de souffle.
Cependant le pays garder de nombreux atouts dans sa poche, la technologie teresstre et navale n'avait rien a envier aux plus grands pays d'europe, et l'accent fut vite reporté sur l'amélioration de notre marine, concurencée par la flotte Française et Anglaise. La flotte royale, bien que reduite, était toujour présente, d'abord stationée sur l'île de Zanzibar, a mi chemins de nos pocessions les plus éloignées, fût ramenée dans la métropole.
Nos commerçants figurer toujour parmis les premiers du monde de par leur éfficacitée, et la compétition commerçiale fut relancée.
Un des objectifs majeurs du Portugal durant cette époque fut la relance de la colonisation en Inde, bien que bien implanté sur le sous-continent le sud échaper encore completement a notre contrôle. Des troupes furent donc envoyées calmer la population locale avant la fondation de 2 colonie, suivie d'une troisième quelques temps plus tard. L'inde tomberais bientot sous notre contrôle et seul les royaumes indigènes pourait encore nous contester notre suprémacie.
Le brésil avait était lui aussi conquis par notre Royaume, cet immense territoire était parsemé de poste de commerce et de colonie portugaise, assurant a notre centre de commerce de la côte d'ivoire en afrique le titre de premier centre de commerce du monde connus.
La période s'acheva et le portugal avait opperé une remontée fulgurante, de 73 ducats par mois le revenus du royaume avait remonté a 95 ducats 11 ans plus tard, le faible retard pris fut rattrapé pour faire revenir le portugal dans la compétition entre les grands de ce monde.
Posté : dim. avr. 23, 2006 10:26 pm
par Marco Rale
Suède 1543-1555 : La pacification
Ayant été appointé par le Roi pour remettre de l'ordre dans une diplomatie chaotique, nous avons pris contact avec les différentes cours pour assurer les monarques de nos bonnes intentions.
La question de Danzig était le dossier le plus sensible. Nous avons souhaité céder à la Pologne ce centre de commerce, en dépit du coût exorbitant de cette cession, car nous souhaitons voir la Pologne disposer de ressources régulières. Tel est le prix de la stabilisation de la région, et d'un certain équilibre dans la région baltique. De plus, l'argent passe après l'honneur et la couronne polonaise étant souveraine dans de nombreuses régions luthériennes d'Allemagne du Nord, il nous était insupportable de voir des inquisiteurs papistes silloner cette région. Les accords de Dantzig prévoient donc comme principale contrepartie la sauvegarde des églises luthériennes dans les territoires luthériens. Dieu reconnaitra les siens.
Néanmoins, la posséssion d'un centre de commerce étant si critique pour le dynamisme comercial de notre contrée, il faudra s'habituer à l'idée que tôt ou tard, et de préference tôt, le Mecklemburg soit intégré à la couronne. La Pologne nous soutient dans cette entreprise et nous avons fait connaître notre demande aux autorités de Mecklemburg, qui ont refusé jusqu'ici d'y accéder par la voir pacifique. Ils ne perdent rien pour attendre. Le Danemark non plus, nous n'oublions par le bain de sang de Stockholm.
Nous privilégions la paix avec nos voisins, et avons conclu des accords dynastiques avec la pieuse angleterre, mais tous doivent savoir que la Suède n'a pas peur de la guerre. Nous disposons des troupes les mieux équipés d'Europe, les plus disciplinés et de généraux compétents.
La flotte est primordiale pour la sécurité et la prospérité future de la Suède. Nous l'avons développé et maintenu , en quantité, aux meilleurs niveaux. Cependant, notre retard dans les techniques de constructions navale est patent, c'est pourquoi nous avons engagé de grands moyens pour combler ce retard, que nous sommes en passe de rattraper.
Au niveau économique, la capacité manufacturiere est bonne, mais nous avons néanmoins entrepris la construction de la grande manufacture de boiseries d'arts de Stockholm, afin de susciter l'admiration dans toutes les communautés du pays et mieux faire face aux chroniques problèmes d'instabilité du pays, et également d'exporter. Un développement commercial harmonieux en Europe est notre seconde priorité.
en accord avec Le roi, nous avons poursuivi notre politique de soutien aux communautés marchandes et aux communautés d'hommes libres en Suède, car le peuple libre mérité mieux que le servage et la corruption.
L'aide de la Suède ira aux pieux, aux justes, et ç ceux qui savent donner comme nous avons su donner.
[align=center]
Flotte en dehors du chateau de Stockholm[/align]
Chancelier Markus Rallssön
Posté : lun. avr. 24, 2006 12:59 pm
par lemarseillais
C'était le jeudi 7 janvier 1556, je me trouvais à Fontainebleau pour une importante annonce à faire aux ambassadeurs des principales cours d'Europe.
Je voyais le respectable ambassadeur romain, Thisidore de Ravennes ; le grassouillet Ludwig von Bieitrich d'Autriche ; la vipère portugaise Manuel Sanchez ; les ambassadeurs anglais, suèdois et russe, Lord Dantown, Olaf Fegnuson, et Nicolai Korpatchev ; aussi présent un ambassadeur polonais arrivé ce matin même ; seul l'Espagne se fichait de ce que j'allais annoncer.
Je prie place et ne perdit pas de temps avec le protocole, l'annonce devait être faite elle me pesait depuis trop longtemps.
"Si je vous réunis aujourd'hui, c'est pour que vous rapportiez à vos maîtres les grands changements qui vont se produire, d'abord en France, et inévitablement en Europe, et donc dans le monde.
Moi, Henri III, roi de France, j'ai décidé et ai déjà fait enterriné ma décision par le parlement et mon Conseil..... j'ai donc décidé que la couronne de France devait se repentir de tout le mal qu'elle a fait couler jadis. Aussi, j'assure que sont déjà en route certains de mes hommes pour rendre la liberté complète et entière à la principauté de Gênes, ainsi que son ancienne terre corse. Je suis disposé à restituer toutes les colonies qui empiétent sur le ToT qu'avait formulé notre Saint père. Parce que mes ancêtres avaient abusé de leur position de seigneur lige vis à vis du roi d'Angleterre pour les terres en France, je recrée le duché de Gascogne et de Normandie que je restitue au roi d'Angleterre.
A propos de l'horrible honte que mes ancêtres ont porté sur la maison de FRance en luttant contre sa sainteté, pour y remedier, j'offre mes armées pour libérer Rome et 10.000.000 pièces d'or au pape rétabli à Rome.
Pour remedier au pression faîtes sur l'Autriche, nous laissons à sa discrétion le sort du duché de Brabant et libérons l'ancien duché de Lorraine, véritable terre d'empire...... Enfin en signe d'humilité profonde, et pour les 100 prochaines années, afin que le sang souillé de France se purifie, le royaume de France liquidera, une fois les choses susdites faites, toutes ses forces armées et se placera sous la protection du Portugal. En échange de cette protection, nous lui verserons la moitié de nos revenus.
.................c'est à ce moment que je me réveilla ! Tout ceci n'avait été qu'un horrible cauchemar. J'en pleurais de rire à présent, en imaginant le roi du Portugal, la bave à la bouche, en accueillant les coffres d'or français.
Posté : lun. avr. 24, 2006 7:47 pm
par ric novice
KARL est decu, le roy de France a oublié la franche-comté
vivement que ce rêve se réalise !
Posté : mar. avr. 25, 2006 12:10 am
par Marco Rale
Sires
La Suède n'ayant aucun interêt, ni économique, ni moral (tous se sont goinfrés de la meme manière au détriment des princes regnants), ni militiaire, à prendre part à la boucherie à venir, nous n'interviendront pas dans ce confit sanglant imminent.
Cependant, et en vertu des moeurs en cour, nous sommes prêt à commissionner nos régiments excellement équipés, et d'un excellent moral, à ceux qui seront pret à le payer , et ce aux tarifs de:
22.000 ducats les 1000 hommes d'infanterie
40.000 ducats les 1000 cavaliers
60.000 ducats le régiment d'artillerie
Nous assumerons le risque de leur transport eventuel par voie de mer; cependant nous demanderons le remboursement des pertes de guerre à hauteur de
60.000 ducats le navire de guerre
15.000 ducats la galère
23.000 ducats le navire de transport
Nous demandons également le remboursement de frais dûs aux pertes occasionnés par la chute de stabilité du pays, entre 0 et 500.000 ducats.
La Direction opérationnelle des troupes terrestres sera assurée par le valereux général Klas.E.Flemming (3.4.4), et la direction stratégique par la nation prete à payer le contingent. La direction de la flotte par l'extraordinaire Klas Horn (4.6.6) au memes conditions.
Notre engagement, qui pourra se faire au coté des 2 parties en présence, est soumis au restrictions suivantes:
- nous n'entrerons pas en guerre directement contre la Pologne avant mars 1557
- nous n'entrerons pas en guerre 6 mois après le déclechement des hostilités
- Les Suédois ne se battront pas contre des Suédois
- Nous ne combaterons pas en haute mer
Honneur
Markus Rallssön
Posté : mer. avr. 26, 2006 11:38 am
par vince
Extrait des archives royales espagnoles, sous le règne de sa majesté l’empereur Charles Quint (1520-1556)
[align=center]

[/align]
Les objectifs coloniaux assignés par l’empereur mirent l’Espagne en position délicate. La marine était saignée à blanc, obligée de voguer tous azimuts, avec des moyens non adaptés à la tâche. Les navires de transport étant encore au stade de « projet », nos rares navires de haute-mer durent s’employer à la tâche. Quel gâchis. Mais telle était la volonté de l’empereur. Il fallait asservir les tribus incas, avant son 30e anniversaire. Caprice d’un monarque orgueilleux, ou ambition démesurée ? Toujours est-il que les capitaines espagnols obtempérèrent sans broncher. Mais la missive de Nuñez « Rocky » de Balboa fit l’effet d’un douche froide. C’était un échec. Et le gâchis était immense.
Mais l’empereur n’était pas décidé à laisser l’Espagne souffler. En réponse, il ordonna l’application du traité de Tordesillas, promulgué par le pape avant son exil. Côté ouest, l’Espagne se devait donc de s’emparer des implantations françaises. Invoquant le droit papal, ce fut chose faite à l’exception de l’ile de la jamaïque. Mais le roy de France, ivre de colère, nous déclara la guerre aussitôt. Une guerre qui dura sept ans, et qui connut deux phases.
1538- 1543
La déliquescence de la flotte espagnole permit à la France d’occuper bon nombre de nos colonies antillaises. Il y avait urgence. Tout notre domaine était menacée. Il n’y avait aucun recours, sauf à prendre des risques énormes. Ce fut chose faîte. Nos vieilles galères reçurent l’ordre de gagner la mer des caraïbes, en faisant le maximum d’escales (Senegal, brésil, guyane). Environ un tiers sombrèrent dans les tempêtes équatoriales de l’atlantique. Mais il fallait tenter le tout pour le tout. La tactique fut payante, et le gros de nos troupes bloquées par la flotte françaises furent libérées. Une à une, nos colonies furent reprises. A partir de cet instant, le status quo prévalut outre-mer, et la guerre se concentra sur le continent.
En europe justement, la France passa à l’offensive, épaulée par les troupes Genoises et Brabançonnes. L’armement espagnol avait cependant une longueur d’avance, et bon nombre d’assaillants ennemis furent repoussés par nos garnisons équipés d’arquebuses. De plus une terrible bataille en plaine opposa 60 000 hommes de chaque côté, dans la plaine de Valence, et la cavalerie espagnole tailla des coupes sombres dans les rangs français. Le duc de guise fut contrait à la retraite. Cette bataille marqua la fin de la première phase.
1543-1545
L’ennemi, voyant ses assauts ionéxorablement repoussés, avait fait un gros effort de recherche, et avait fini par équiper ses effectifs avec de l’armement aussi moderne que le nôtre. Celui lui permit de conquérir Seville, son contrôle maritime lui autorisant de débarquer où bon lui semblait. Extrêmement bien entrâinés, les armées Françaises gagnèrent soudain plus de batailles que les Espagnols, et ses alliés voyaient leurs long sièges dans les montagnes du nord, finir par payer. Les ennemis se trouvaient rapidement partout en Espagne, et nos armées, petit à petit, trop peu nombreuses pour les repousser toutes, d’autant qu’elles avaient perdu l’avantage de l’équipement. Après moults échecs, les armées Françaises finirent par entrer dans Madrid, et l’Espagne capitula : elle rétrocéda ses colonies à la France, avec deux autres en dédommagement. Le traité de Tordesillas est « inactif » pendant 20 ans, entre France et Espagne, soit jusqu’en 1565.
Posté : mer. avr. 26, 2006 10:36 pm
par Marco Rale
[align=center]
Suède, 1555 - 1567: pacification de la Baltique[/align]
Mon nouveau Roi, Erik XIV, se satisfait peu de la politique menée par son père, qu'il qualifie de construction d'une "nation de paysans mercenaires repliée". Il souhaite que la Suède soit crainte et soit à la hauteur de son destin, celui du peuple libre.
Par bonheur pour lui et par malheur pour bien d'autres, l'agitation dans notre région lui a donné l'occasion de s'occuper, lui et ses généraux. La Norvège et nos alliés, Mecklemburg, Pommern, se sont rapidement trouvé en guerre contre le Danemark, entrainant dans son sillage l'Ecosse qui n'avait certainement rien demandé. Cerné par les ennemis, le Danemark fur si vite défait qu'une paix rapide et sonnante et trébuchante s'imposa en sa defaveur, par l'entremise de l'Ecosse. Nous n'avons même pas eu le temps de mettre à profit une rocambolesque aventure en Islande (particulièrement le coup des navires affrétes sans retour au port après 5 ans passés en patrouille en mer, l'intendance aura de mes nouvelles)
Puis la Hollande nouvellement crée, à qui nous allions adresser nos hommages, nous declara la guerre au nom d'une ambition aussi débordante que suicidaire, et obliga l'empereur, autorité tutélaire, à se déplacer en catastrophe pour leur imposer de signer une paix blanche qui nous acceptâmes eu égard à notre respect et notre amitié pour l'empereur.
Enfin vint "l'affaire". La Courlande s'attaqua à la Prusse pour ensuite l'annexer sans aucun égard pour cette glorieuse dynastie protestante.
C'est était trop. Il fallait calmer tous ces excités. Nous déclarions la guerre à la Courlande. Elle fut longue et difficile. Bien que Klas.E.Flemming et Bo Grid se furent rapidement rendus maître du terrain grâce à leur talent et à leurs hommes superbement équipés et au moral d'acier, et soutenus par la flotte, les forteresse germaniques était très solides et les sièges furent interminables, alors que nous manquions de cannons. Pendant ce temps, Magnus, le géneral de courlande, levait des hommes partout où il pouvait et lancait des contre-attaques, menait une guerre de harcelement meurtriere. Au bout de 3 ans, les forteresses de Riga et de Konigsberg finirent par tomber. Nous imposâmes la restitution de la Prusse et reinstallâmes le Roi, et raflâmes bien sûr ce qui restait dans les coffres.
Nos géneraux rentrèrent de cette dure campagne couverts de gloire.
Nous sommes heureux d'annoncer que nos durs efforts nous ont permis de rattraper entièrement notre retard en matière de technologie navale. L'arsenal de Gothenborg est une réalité.
Nous avons également recommancé la mise en valeur des provinces du Nord et deux d'entre elles, Finland et Osterboten sont devenus des provinces à part entière.
Nous surveillerons attentivement l'agressivité de la Hollande et soutiendront sans coup férir notre nouveau vassal le Hanovre.
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La guerre de Courlande[/align]
Markus Rallssön, chancelier de Suède, au nom du Roi.
Posté : mer. avr. 26, 2006 10:49 pm
par Dueño_de_las_Mariposas
Seigneur Mariposhka, Duc de Dantzig et Président de la Diète et du Conseil d'Etat de la Très Sainte et Très Chrétienne Pologne
1556 - 1566 : La décénie du CPE
Après la grande réforme territoriale du début des années 50, les temps nouveaux sont à la réforme économique. En ce sens, et avec le respect de nos déclarations à l'étranger, notre expansion économique ne peut passer que par le commerce. Encore une fois des nouvelles mesures sont mises en discution à la Diète afin de favoriser notre commerce extérieur. Cette controverse commerciale va déstabiliser assez durement notre pays ( - 2 de stabilité ) et ira même jusqu'a provoquer le soulèvement à l'Est du pays. En effet, nos secrétaires d'Etat au commerce extérieur soulignent très clairement dans leurs comptes rendus que nos sujets Protestants font preuve d'un meilleur sens de l'initiative commercial, et encourage le gouvernement à favoriser leurs entreprises. Les conservateurs catholiques de la Diète, n'accèptèrent evidemment aucunement un tel traitement de faveur envers les Protestants

et se révoltèrent. N'ayant pas la majorité à la Diète, les nobles Catholique de l'Est encouragèrent leurs campagnes à se soulever et la réforme du
Commerce Protestant Extérieur 
dûe etre repoussée jusqu'à l'année 1560. Un accord fut trouvé entre Catholiques et Protestants : Le monopole du commerce intérieur fut confié au Catholiques tandis que le commerce extérieur fut principalement confié aux Protestants, mais aussi aux trop rares Catholiques prêts à s'établir à l'étranger.
En 1562 débute
La Grande Guerre d'Italie qui oppose les couronnes des Habsbourgs à la France et aux grècs :bazooka: :mitraille: . Les enjeux concernes les villes de Venise, Gênes et Rome, conquises par les Français et les Grècs et non libérés malgré les tentatives de pourparlers :gerbe: . La couronne Polonaise ne prie finalement pas part au conflit, le pays n'y était pas encore prêt et notre retard technologique aurait pu entraver d'avantage l'Autriche que l'appuyer. Cepdendant un apport économique de 260 000 ducat fut apporté à Vienne afin de soutenir l'effort de guerre :hug: . Pour l'instant, aucune autre demande de soutient économique ne nous est parvenue de Madriz ou de Vienne. La guerre semble toujours à l'avantage des Habsbourgs, qui occupent actuellement en partie le Sud Est de la France

, et les Autrichiens ont fait subir plusieurs lourdes défaites aux Grècs dans les Balkans :vtff2: . Cependant, le sort de la guerre ne semble pas encore scellée

aux jours d'aujourd'hui.
Au même moment éclate la
La Crise Baltique . Alors même que notre Alliance avec les différents Princes d'Allemagne et de la baltique vient à expirer, nos deux Vassaux, La Prusse et la Courlande rentrent en guerre l'un contre l'autre, alors même que le mois précédent ils étaient encore alliés. La guerre tourne court et malgré nos menaces, la Courlande décide d'annexer la Prusse

. La Pologne mobilise immédiatement une armée mais notre voisin Suédois, outré par l'audace de la Courlande, s'engage immédiatement dans une guerre vengeresse contre cette dernière :tranchepalpat: . Bien mal lui en prend, car le petit pays de la mer baltique se battra bec et ongles et le coût de la guerre pour la Suède fut exhorbitant, tant en vies humaines qu'en ducats :guillo: . Cependant, il convient de saluer une nouvelle fois la noblesse et la sagesse de la couronne Suédoise qui finira par obtenir de sa tenace ennemie, la restitution de la Prusse qu'elle restaurera immédiatement dans son indépendance

. Il convient de souligner aux yeux de tous que cette guerre désintéréssée menée par la Suède a grandement rapprochée la diplomatie de nos deux pays

.
Enfin le dernier point à souligner dans cette dernière décénie sont les premiers bénéfices du
CPE qui nous a permis de quadrupler nos recettes commerciales et ainsi pour la première fois dans l'histoire Polonaise, nos revenus commerciaux ont surpassés nos revenus de production. Nous atteignons presque les 40 000 ducats de revenus mensuels :10/10: ( nous prions nos voisins de na pas :mdr: ) et cela n'est qu'u début puisque de nombreux investissements s'offrent encore à nous. Cependant, il convient de relativiser ce succès, il est sans doute en grande partie dû à une baisse d'activité commerciale de nos voisins actuellement en guerre. :manif:
Posté : ven. mai 05, 2006 1:03 pm
par Leaz
Déclaration du roi du portugal a l'ensemble des cours d'europe et du monde :
L'empire portugais s'étend du brésil a la chine, notre puissance commerciale n'a d'égale que l'excellence des marchands anglais et notre alliance avec notre trés estimé cousin nous garantissais jusqu'alors un dissuasion et un rôle d'arbitre dans les affaire Asiatique. Le pape nous a ordonné de controler ces terres, et c'est notre mission divine que de le faire.
Ainsi, nous, Felipe I, roi du portugal, sommons l'alliance franco-anglaise de conclure rapidement une paix avec le bengale, sans qu'aucune perte où gains territorial ne soit prononcé.
De même, cette alliance contre-nature nous apparait comme trés hostible aux affaires ibériques, et nul doute que ce loup affamé ce jetera un jour où l'autre contre nous, où nos enfants. Et nous ne pouvons pas accepter celà !
Si nous devions essuyer un refus nous vous avertissons clairement que la marine de guerre portugaise, ainsi que la grande armée d'europe et d'outre-mer sont parfaitement prêts a agir et a défendre nos interêts.
Nous appelons les souverains d'europe qui désaprouvent cette main mise des franco-anglais sur l'équilibre européen et coloniale a s'unir a nous par des déclarations équivalente.
Sa majestée Felipe I du portugal.

Posté : ven. mai 05, 2006 1:38 pm
par vince
[align=center]
Missive diplomatique de sa majesté el reï Felipe II [/align]
Sa majesté Philippe II, roi d'espagne, s'interroge publiquement sur les motivations qui ont conduit les souverains d'Angleterre et de France, à conclure un traité d'alliance militaire. Y'aurait-il une menace qui planerait sur ces deux nobles royaumes ?
En ce qui concerne l'Espagne, nous n'avons jamais caché notre sympathie pour la glorieuse Angleterre. Nos relations avec la France ont été tendues par le passé, mais l'Espagne se veut apaisante après le dernier conflit, et à même été initiatrice d'une réconciliation dans les colonies américaines, allant jusqu'à vendre la louisianne à la France.
A ceci prêt que nous ne connaissons pas les intentions des autres nations européenes, le climat général nous parait plutot calme pour la France et l'Angleterre. Aussi cette alliance, si elle survit à la guerre contre le bengale, nous parait étrange.
Nous saurions gré à ces deux nobles souverain et souveraines de bien vouloir nous en donner les justifications.
Nous ajoutons, que, si nous avons infléchi notre position,
dans un but d'apaisement, concernant la répartition coloniale à l'ouest, nous comprenons tout à fait notre estimé cousin Portugais qui ne l'entend pas de la même oreille concernant ses droits en Asie. Nous lui assurons notre totale solidarité et éventuellement notre total soutien.
fait à madrid en l'an de grâce 1485, par Philippe II, reï de españa
Posté : ven. mai 05, 2006 6:12 pm
par Dueño_de_las_Mariposas
Seigneur Mariposhka, Duc de Dantzig et Président de la Diète et du Conseil d'Etat de la Très Sainte et Très Chrétienne Pologne
1565 - 1585 : L'Union à l'Est
En Mars - Avril 1567, suite à une union dysnatique, la Lithuanie rejoind notre très Chrétien Royaume de Pologne. Officieusement, il s'agit aussi pour la noblesse Lithuanienne d'échapper au joug Russe, et de trouver la protection dans l'union. La Diète comptent dorénavant de nouveaux membres, et les Lithuaniens sont pleinement représentés. Cependant, la perte de son Vassal n'est pas pour plaire à la Russie, qui entend bien tirer un dédommagement de cette affaire. Les accords de kursk sont signés, nous cédons Smolensk et Kursk en échange d'un rennoncement de la Russie sur les territoires Polonais. Malheureusement, quelques années plus tard, différentes missives diplomatiques nous feront très clairement comprendre que la parole d'un russe ne vaut rien et nous savons dors et déjà que nous devrons un jour faire face aux hordes sauvages russes.
Parallèlement, nos investissement commerciaux s'effondrent. En effet la Grande Guerre d'Italie s'acheve, et la France et les autres pays recouvrent leur coutumière activité commerciale. Force est de constater que la concurence est rude et nous perdons 50 % de nos recettes commerciales. Pire, la Prusse, que nous avons pourtant soutenu dans sa lutte pour l'indépendance, ne cesse de harceler nos marchands à Dantzig même, aux moyens de pratiques odieuses et nous fait souvent perdre notre monopole. Enfin, comble de malheur, le centre de commerce de Londre, dans lequel nous avions grandement investi et duquel provenait l'essentiel de nos recettes est brutalement dévalué dans les années 70. Nous ne savons actuellement pas comment concurencer ces pays à forte compétences commerciales. De grandes réformes commerciales et d'importants investissement ont été entrepris, mais leur effet tarderont à se faire sentir. En attendant, le pays rentre dans une crise économique....
Posté : dim. mai 07, 2006 4:20 pm
par Danton
Déclaration de la Glorieuse Angleterre
Au Roi d’Espagne, Pilippe II. En réponse à vos légitimes interrogations, nous vous disons ceci : nos rapports ont toujours été cordiaux et nous ne voyons nulle raison pour que cela change, mais nous sommes inquiet

: le bloc Ibérique fait actuellement main basse sur tous les centres de commerce du monde, c’est dangereux pour l’équilibre du monde, notion qui, nous le savons, vous est très chère et que vous comprenez parfaitement

.
L’alliance franco-anglaise n’est ainsi que la réponse à notre inquiétude née de votre annexion du cot de Malacca : l’Espagne n’a aucune présence ni en Afrique ni en Asie… à l’exception de deux provinces, deux cots justement. Pourquoi cette main-mise sur ces centres de commerce

? Acceptez de nous vendre le centre de commerce de Malacca, ou rendez son indépendance à la Malaisie, comme l’a fait le très grand Empereur d’Autriche, votre cousin bien aimé, pour Gênes, et notre inquiétude cessera aussitôt… l’alliance franco-anglaise n’aura alors plus de raison d’être et nous pourrons recommencer à deviser paisiblement comme nous le faisons depuis des décennies

.
Au Roi du Portugal, Felipe I. Pour l’affaire du Bengale, voyez cela avec Paris, nous n’y sommes pour rien et n’avons même pas été mis au courant avant la déclaration de guerre

. Tout indique cependant que notre allié de France a réagi au plus vite, pressé par les événements qui sont l’annexion du cot de Malacca. Nous ne comprenons pas bien que cette annexion ne vous ait pas fait réagir : dénierez-vous le droit à la France de faire ce que votre cousin d’Espagne fait

? Serait-ce que, après le cot de Ivoria et Zanzibar de votre côté, Zacatecas, Kutch et Malacca pour votre cousin, vous aviez l’intention d’y ajouter le cot du Bengale ? Est-ce cela ? Les grands souverains d’europe sauront voir dans ce cas qui bouleverse l’équilibre colonial dont vous avez parlé

.
Anglais et Portugais vivent pacifiquement et côté à côté en Asie depuis des décennies et nous ne voyons aucune raison de changer cela. Londres cependant ne vous reconnaît aucun rôle d’arbitre dans les affaires Asiatiques, titre que vous vous êtes récemment et orgueilleusement accordé : l’Empire Britannique d’Asie est au moins aussi étendu et puissant que l’Empire Portugais d’Asie, ne l’oubliez pas

.
En conclusion, l’alliance franco-anglaise n’est que paix et amour, voilà les grands monarques de ce monde dûment rassurés. Nous attendons maintenant des réponses concrètes à nos inquiétudes concernant la main-mise Ibérique sur tous les centres de commerce du monde, cause de l’alliance franco-anglaise.
Posté : dim. mai 07, 2006 9:31 pm
par Leaz
Missive de réponse du Roi du portugal, Felipe I a la reine d'angleterre Elizabeth I.
Bien évidemment nous aurions dû nous douter que ce coup fourré était signé de la main de Paris, nous saurons donc prendre les mesures nécessaire devant cet état de fait. Quant a ce que mon "cousin" d'éspagne fait, vous semblez ne pas être au courant que ma grande perssone, Felipe I du portugal, n'est autre que Felipe II d'espagne.. cependant la cour portugaise est forte influente, et le souvenir de la mise a l'écart de Sebastien Ier, pour folie, reste fort présent ici a Lisbonne. ( Oui bon, j'ai choisis de ne pas devenir vassal de l'espagne mais j'ai quand même le meme roi que l'espagne.. allez expliquer ça, Felipe est sûrrement schyzophrène

)
Ainsi, lorsque l'espagne prend pocession du centre de commerce de malàca c'est avec notre soutiens bien entendus, aprés tout nous avons ouvert la route des indes et vos navigateur n'ont eu qu'a suivre la trace laissée par nos diverses implantations le long de cette dangereuse route. Même si nous saluons le courage de vos marins, pour avoir traverser l'océan indiens jusqu'a cette fameuse "Australie" nous comptions effectivement tirer profit de notre implantation en inde, aprés tout si les centre de commerce sont aussi florissant dans ce merveilleux pays c'est bien parceque nous, portugais, avons dépensés d'énormes sommes pour mettre en valeur ces terres autrefois vierge.
C'est donc tout naturellement que nous comptions récolter le fruit de notre sueur. Quant a nos autres centres de commerce le long de la route des indes et bien, le centre de commerce de l'ivoire fut acquis de haute lutte, aprés de dur combats innesperés dans les marais du delta du niger, alors que nous ne conaissions pas encore les mousquet ! C'est a l'épée, dans de lourdes armures que nous avons dû nous battre contre des milliers de sauvage !
L'île de Zanzibar fut conquise par nos soldats aprés moultes provocations des marchands arabe d'Oman, d'ailleurs vous feriez bien de nous remerciez, sans nous ils seraient encore a faire de la piraterie le long de la route des épices ! Et puis, ce centre de commerce est tellement attractif que nous sommes les seuls européens a nous y être implantés !
Ainsi, comme vous le soulignez, nous vivons pacifiquement, chacun dans notre aire d'influence. Vous avez choisis de faire du nord de l'amérique votre terre ? Trés bien ! Nous aurions tout de même aimez profiter du commerce que vos colonie génère, mais nous comprenons parfaitement que vous ne vouliez pas. Mais ne venez donc pas parlez de "main mise" ibérique sur les centres de commerce d'Asie ! Alors que vous faite de même chez vous.
Et encore nous avons la bonté de laisser nos centres de commerce ouvert a tout les marchands du monde, nous.
Quant a votre empire coloniale d'asie, nous vous reconaissons les droits sur cette terre lointaine dont n'avons eu que quelques vagues échos.. faites-y du commerce, mais ne venez pas vous melez de nos affaires en inde !
Ah et dernier point, apparement ce n'est pas la "main mise ibérique sur tout les centres de commerce du monde" qui a empechez votre fabuleux succés commerciale.. Vous ête le pays le plus riche au monde et vous nous contester le droit a l'enrichissement ? Allons, ne vous faites pas passer pour l'agneau que vous n'ête pas, si vous voulez prendre pocessions de divers centre de commerce par delà le monde, vous ou votre alliés français, qu'importe, c'est bien évidemment que vous craignez un éventuels embargo de nos royaumes sur les marchands anglais. Ce qui signifierais, peut-être pas votre perte, mais en tout cas une perte d'influence assurée..
Et c'est ce qu'il risque d'arriver si vous persistez a perturber nos affaires Asiatique !
fait a Lisbonne, en l'an de grâce 1485, par Felipe I, rey de Portugal.
Posté : mer. mai 17, 2006 11:06 am
par vince
Le Roi de Suède, devant l'Etat lamentable des routes en Europe, tente une communication avec ses pairs par pigeons voyageurs.
La Suède annonce qu'elle est extrêmement déçue par la conversion du roi Henri IV, en qui nous fondions de grands espoirs, au catholicisme. La vraie foi est plus que jamais un ilôt menacé. Le protestantisme ne peux se payer le luxe de la division.
Dans ce contexte, la Suède annonce qu'elle soutiendra l'Angleterre dans les crises éventuelles à venir.
Cette missive étant largement diffusée en europe, nous nous permettons de la rendre publique (en profitant que le forum fonctionne)
Réponse espagnole
Sa majesté est quelque peu circonspecte, quant à la véracité du différent anglo-français. Nous nous tenons sur nos gardes, car nous n'excluons pas la possibilité d'une mise en scène diplomatique.
Si cette crise s'avérait réelle, le royaume d'espagne ne prendra pas position pour l'un ou pour l'autre. Toutefois, des services temporaires(embargos) peuvent être envisagés moyennant contre-partie à définir le moment venu.