lors des batailles de Hannut et Gembloux
( une des plus grande bataille de chars de l'histoire )
les divisions panzer tant vantées
se sont pris un "bloody nose"
c'est quelque chose que je ne connaissais pas trop !

http://en.wikipedia.org/wiki/Battle_of_Hannutjagermeister a écrit :OOB, détail des unités engagées, pertes des 2 côtés, des chiffres, on veut des chiffres !





I am Welcomed in the Home of Ravens and Other Scavengers in the Wake of Warriors, I am Friend to Carrion Crows and Wolves. I am Carry Me and Kill with Me, and Die with Me Where the Road Ends. I am not the Honeyed Promise of Length of Life in Years to Come, I am the Iron Promise of Never Being a Slave.


Dans le plan Dyle initial, ce ne sont pas les deux DCR (dont la mobilité plus que la puissance d'arrêt était déficiente, le B1bis étant conçu comme un char d'infanterie, contrairement au somua qui est un char conçu pour la cavalerie) mais la 7ème armée qui doit constituer la réserve opérationnelle de mémoire. Donc c'est bien la volonté de prolonger la manoeuvre Dyle jusqu'à Breda (et d'employer pour cela la réserve opérationnelle) qui précipite la défaite, toutes choses égales par ailleurs. Gamelin a juste commis une erreur stratégique en acceptant de se défaire a priori de sa réserve. Conclusions, quand la 9ème armée c'est littéralement liquéfiée entre Sedan et Monthermé, le commandement n'avait plus de réserve dispo.necroproject a écrit :je vais peut-être paraître gonflé, mais pense qu'envoyer nos meilleures troupes en Belgique restait la manoeuvre la plus intelligente. Si l'on y avait envoyé de la mouise, elle se serait faite probablement enfoncer et le résultat n'aurait guère été plus brillant.
Si l'on veut envoyer des forces pour installer une ligne de défense en avant, ce sont forcément les mieux équipées qu'il faut envoyer, ce serait absurde que de rendre statique de puissantes DLM et mobiles de médiocres DI de catégorie B.
Bien organisée, une petite troupe aurait dû suffire à arrêter les allemands à Sedan, pas besoin d'y plaquer 10 000 chars. Ou alors il eut fallu considérer que nos militaires auraient anticipé :
1. La manoeuvre ennemie
2. La médiocrité des bouchons de DCR
Pour moi, les 2 erreurs fondamentales sont :
- mauvaise estimation de la puissance des quelques DCR constituant de facto la réserve mobile du front.
- trop de troupes derrière la ligne maginot : 41 divisions sur les 67 de l'armée française ! Il y avait pourtant là de quoi constituer une vraie réserve stratégique, rien qu'en en ponctionnant 5 ou 6.

J'avoue avoir peu de connaissances sur le sujet dont parle dans ce topic, d'où ma question.Bébert a écrit : Dans le plan Dyle initial, ce ne sont pas les deux DCR (dont la mobilité plus que la puissance d'arrêt était déficiente, le B1bis étant conçu comme un char d'infanterie, contrairement au somua qui est un char conçu pour la cavalerie) mais la 7ème armée qui doit constituer la réserve opérationnelle de mémoire. Donc c'est bien la volonté de prolonger la manoeuvre Dyle jusqu'à Breda (et d'employer pour cela la réserve opérationnelle) qui précipite la défaite, toutes choses égales par ailleurs. Gamelin a juste commis une erreur stratégique en acceptant de se défaire a priori de sa réserve. Conclusions, quand la 9ème armée c'est littéralement liquéfiée entre Sedan et Monthermé, le commandement n'avait plus de réserve dispo.