En cette nouvelle année 1936, nous avions été nommé 1er conseiller du président de la République de Finlande.
La Finlande est un petit état tout au nord de l’Europe où la population de rennes était 10 fois plus nombreuse que celle des finlandais.
Le pays, indépendant depuis 1917 de n’était pas riche, avait une économie plutôt faible, 13 IC sur l’échelle de Smith&Smith.
La vie était tout de même plaisante, mais une terrible menace pesait lourdement sur ce pays. Son voisin, autrefois la Russie, qui se nommait aujourd’hui l’URRS conservait des griefs sur la Finlande, et ne cachait pas son désir de réintégrer les forets finlandaise et d’en faire un nouvel état de l’Union Soviétique, par la force si il le fallait.

Dès notre arrivée, nous demandions un audit complet sur le pays :
Son économie reposait sur 13 principales industries, dont seulement 11 fonctionnaient efficacement (20% de malus a cause du niveau de difficulté…)
L’étude des ressources naturelle était plus préoccupante : le pays était largement déficitaire en énergie et en minéraux de fer, il ne produisait pas de pétrole, mais n’en consommait pas non plus, et heureusement était légèrement excédentaires en matériaux rares, qui étaient très prisés sur le marché internationale.
La première action a donc été de rétablir un stockage positif de l’ensemble de ses matières grâce à des accords commerciaux. Pour cela, il fallait produire un large excédent de biens de consommations (supply) pour pouvoir commercer avec des pays qui en avait besoin. Ceci fut grandement aidé par un changement à l’état major en nommant un chef des armées qui nous économisait 15% sur la consommation en supply de nos unités militaires
Ainsi furent conclus des accords avec la Norvège, la Lettonie, la Lituanie, l’Allemagne, le Luxembourg, le Danemark et l’Espagne, qui nous permirent de rétablir la situation et d’avoir des excédent pour l’ensemble de ces matières.


Cependant, si l’économie était tournée sur le production commerciale, elle ne mous permettait plus la production d’unité militaires supplémentaires, il fallait donc faire avec ce que nous avions.
L’armée finlandaise en 1936 se décomposait de la facon suivante :
Armée de Terre :
10 division d’infanterie type 36, dont 4 avec une brigade antiaérienne
1 division de montagne
1 HQ type 36
Marine :
2 croiseur léger
1 sous-marin
Armée de l’air :
Effectif = 1 : le barman de l’aéro-club d’Helsinki.
Soit, ci jamais un conflit éclatait entre la Finlande et un de ses voisins, il faudrait faire avec ses effectifs. Si nous ne pouvions augmenter quantitativement cette armée alors il fallait accroître ses qualités au combat.
Heureusement, la géographie se prêtait admirablement bien à la stratégie défensive de la Finlande basée donc sur l’infanterie avec de larges étendues boisées, le plus souvent enneigées. Autre avantage, de très nombreux officiers commandants étaient formés au combats en hiver.
Un programme de production, malgré nos faibles moyens, fut lancé pour garnir 5 division d’infanterie, de brigade d’artillerie, qui seraient très efficace dans le combat contre l’infanterie ennemie.
Malheureusement, la Finlande avait peu de moyen scientifique, et ne pouvait attribuer qu’une seule équipe de recherche à la fois. De plus les techniciens était rares (6) et tous de niveau relativement moyen (5).
Aussi notre programme de recherche s’établissait comme ci pour l’année 1936 :
1) Recherche sur ‘Census Tabulating Machine’ qui nous procurait alors un bonus de 5% sur les futures recherches
2) Puis en Juillet 36, ‘Basic Machine Tools’ afin d’augmenter notre capacité industrielle (+5%)
Ces programmes avait été motivé par notre ministre de l’armement qui nous procurait un bonus de 10% sur les recherches industrielles…

La Finlande n’aspirait donc pas à être une superpuissance, mais sachant qu’en cas de conflit contre l’ours soviétique, elle devrait alors lutter seule pour sa survie.
Si vis pace, para bellum