Ces phrases/dialogues de jeux qui vous ont marqués
Posté : ven. nov. 26, 2021 11:15 am
On a tous un moment, en jouant un jeu, rencontré ce genre de dialogue qui marque. Parce qu'il est cool, parce qu'il est drôle ou parce qu'il est beau. A la fin du jeu, on la toujours, là quelque part...
Je propose qu'on partage ce genre de chose dans ce topic, avec peut être quelques explication (jeux, contexte dans le jeux, votre propre contexte et/ou votre ressentit à ce moment)
Divinity II: ego draconis
Contexte: Après avoir finis le long "prologue" de la vallée, trahis ses camarades, surmonter les épreuves du temples de Maxos et celles particulièrement horrible et cornélienne de l'île de la sentinelle, arrive enfin le moment de récupéré la récompense temps attendu, la raison pour laquelle, nous, joueur avons acheter le jeux, la capacité de ce changer en dragon, créature toute puissante s'il en est... Mais il reste un obstacle malgré tout ce qui a été surmonté jusque là: le maitre de la tour (notre tour!), le nécromancien Laiken. Et tout ce qu'on a envie en ce moment c'est de lui faire payer toute les souffrances endurer à cette enflure (le jeux n'est pas facile du tout
). C'est alors qu'arrive Sassan, l'ex du nécroman, qui hurle un discours aussi cool que défoulatoire.
"Laiken! Je suis en vie Laiken! Sale découpeur de cadavre!
Et regarde qui j'ai amené! Tu l'en avais chassé, mais le dragon est revenu dans sa Tour!
C'est la fin Laiken! Cette fois ce sera ton sang qui souillera le sol et tes cris qui resonneront dans la nuits!
Je suis en vie Laiken! Et je veux vous voir mort!"
("Noooooooooooooooooooooooooooon!")
Knight of the old republic II
Il y a plusieurs passages particulièrement marquant dans Kotor II, mais s'il faut en choisir qu'un, ce sera celui-ci. L'Exilée et Kréia (deux ex-jedi) expliquent à Brianna ce que c'est que perdre le contact avec la Force. C'est beau, et il y a un petit coté émouvant dans ce monologue
"C'est comme avoir l'énergie de la jeunesse puis sentir le poids des années vous écraser.
C'est savoir que l'on est faible, fragile, à la merci de n'importe quel élément.
C'est comme être au sommet d'une immense montagne, la face balayée par les vents, puis se retrouver enterré vivant, piégé, désemparé, seul au monde.
C'est comme savoir ce que l'on veut dire et ne pas trouver les mots.
C'est un chant qui se transforme en silence, comme écouter une leçon sans la comprendre.
C'est comme un élève bien aimé avec lequel vous avez tout partagé et pour lequel vous avez tout sacrifié, et qui se détourne de vous et oublie qui vous êtes."
Je propose qu'on partage ce genre de chose dans ce topic, avec peut être quelques explication (jeux, contexte dans le jeux, votre propre contexte et/ou votre ressentit à ce moment)
Divinity II: ego draconis
Contexte: Après avoir finis le long "prologue" de la vallée, trahis ses camarades, surmonter les épreuves du temples de Maxos et celles particulièrement horrible et cornélienne de l'île de la sentinelle, arrive enfin le moment de récupéré la récompense temps attendu, la raison pour laquelle, nous, joueur avons acheter le jeux, la capacité de ce changer en dragon, créature toute puissante s'il en est... Mais il reste un obstacle malgré tout ce qui a été surmonté jusque là: le maitre de la tour (notre tour!), le nécromancien Laiken. Et tout ce qu'on a envie en ce moment c'est de lui faire payer toute les souffrances endurer à cette enflure (le jeux n'est pas facile du tout
). C'est alors qu'arrive Sassan, l'ex du nécroman, qui hurle un discours aussi cool que défoulatoire."Laiken! Je suis en vie Laiken! Sale découpeur de cadavre!
Et regarde qui j'ai amené! Tu l'en avais chassé, mais le dragon est revenu dans sa Tour!
C'est la fin Laiken! Cette fois ce sera ton sang qui souillera le sol et tes cris qui resonneront dans la nuits!
Je suis en vie Laiken! Et je veux vous voir mort!"
("Noooooooooooooooooooooooooooon!")
Knight of the old republic II
Il y a plusieurs passages particulièrement marquant dans Kotor II, mais s'il faut en choisir qu'un, ce sera celui-ci. L'Exilée et Kréia (deux ex-jedi) expliquent à Brianna ce que c'est que perdre le contact avec la Force. C'est beau, et il y a un petit coté émouvant dans ce monologue
"C'est comme avoir l'énergie de la jeunesse puis sentir le poids des années vous écraser.
C'est savoir que l'on est faible, fragile, à la merci de n'importe quel élément.
C'est comme être au sommet d'une immense montagne, la face balayée par les vents, puis se retrouver enterré vivant, piégé, désemparé, seul au monde.
C'est comme savoir ce que l'on veut dire et ne pas trouver les mots.
C'est un chant qui se transforme en silence, comme écouter une leçon sans la comprendre.
C'est comme un élève bien aimé avec lequel vous avez tout partagé et pour lequel vous avez tout sacrifié, et qui se détourne de vous et oublie qui vous êtes."
