Mobilité et puissance de feu! Que demander de plus? :mitraille:
C'est quoi au fait?
« Il est deux catégories de Français qui ne comprendront jamais l’histoire de France : ceux qui refusent de vibrer au souvenir du sacre de Reims ; ceux qui lisent sans émotion le récit de la fête de la Fédération. »
Marc Bloch
Oui, j'ai vu aussi ce truc, en fait, c'était une carcasse métallique qui recouvrait le haut du corps. En s'approchant des lignes ennemis, le fantassin rampait et la carcasse métalique était équipée de roues métaliques qui leur permettait de faire avancer le dispositif (qui devait peser un poids dingue!)
Mais il me semble que ca n'a pas été utilisé rééllement (peut etre parce que le fantassin, si il était protégé, ne pouvait pas utiliser son arme?
" Le fait que mon chien m'aime plus que je ne l'aime ... me remplit toujours d'un sentiment de honte."
Pr Konrad Lorenz - Prix Nobel
"les profits des spéculateurs [sont] toujours privatisés, tandis que leurs pertes sont invariablement nationalisées"
"Quand l'argent parle, la vérité se tait"
"Au moins, en 29, ils avaient la décence de se défenestrer..."
Non cela devait pas être un inconvénient ça, puisque ces soldats ainsi protégés (sic !) étaient sensés je crois seulement couper les barbelés pour ouvrir la route à l'infanterie. Des troupe de génie, en somme.
Tu aurais le nom du film ? Il s'agit d'un film italien fortement antimilitariste, il me semble.
« Et c’est parti ! (Поехали! [Poïekhali!]) » https://fr.pobediteli.ru/
Un petit calcul, et on s’en va !
Les gars qui portaient ces plaques étaient effectivement utilisés comme génie d'assaut, les stosstruppen en germain dans le texte. Ils ouvraient la voie à l'infanterie, mais n'étaient pas utilisés contre les chars.
" Le fait que mon chien m'aime plus que je ne l'aime ... me remplit toujours d'un sentiment de honte."
Pr Konrad Lorenz - Prix Nobel
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"Quand l'argent parle, la vérité se tait"
"Au moins, en 29, ils avaient la décence de se défenestrer..."
Effectivement, excellent film, voir le regard de plus en plus désabusé de ce jeune officier italien est très émouvant, je dois dire que Rosi maitrise totalement son sujet, on en sort renversé et écoeuré, a voir absolument.
"Là où des hommes sont condamnés à vivre dans la misère,
les droits de l'homme sont violés. S'unir pour les faire respecter est un devoir sacré."