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Un desperado s'en va
Posté : ven. avr. 11, 2008 3:07 pm
par von Aasen
Le garçonnet vacher von Aasen réclame la rançon pour la tête du desperado Necroproject (quels noms ces Américains de souche ...), battu en juste duel à CMBB, ayant mené ses troupes roumaines à la victoire en repoussant l'assaut de 2 bataillons d'infanterie, deux compagnies de char, et nonobstant l'artillerie de marine soviétique rassemblée pour l'occasion.
Necroproject est mort, vive Necroproject !
Remarquons quand même qu'avant ca je me suis pris une douzaine de défaites .... mais .... c'était il y a longtemps
Re: Un desperado s'en va
Posté : ven. avr. 11, 2008 4:08 pm
par Boudi
Ca c'est de la taule !!!
C'est pas sa semaine à Necro !

Re: Un desperado s'en va
Posté : ven. avr. 11, 2008 4:19 pm
par griffon
Re: Un desperado s'en va
Posté : ven. avr. 11, 2008 4:21 pm
par necroproject
La seule chose qui me rassure est que je sais où je vais me prendre une troisième branlée

(contre le joueur d'appui-feu).
Moralités de cette partie :
_On le savait déjà, mais confirmé, l'infanterie est une vraie brêle en assaut et se terre à la moindre balle. j'ai claqué 2200 points, plus de 50 escadrons, en pure perte.
_Quand on parle de bien soigner son OOB, il faut accorder une petite pensée à la tentation de tester les armes miracles. Ici, une batterie de roquettes 300 mm ( 460 points de coût), 36 tubes, qui a manqué sa cible à 500 près après 17 minutes de pointage. Somme qui aurait été indubitablement mieux dépensée dans de menus mortiers de 83mm ou des T34.
_Plus la carte est grande, plus le défenseur est fort. A ce petit jeu, attaquer les principaux drapeaux revient à attaquer son point fort et comporte de nombreux risques.
Pour ma défense, je plaide juste que la carte était peu boisée (beaucoup de zones à découvert )
Mais avec la fin de la partie contre henniack (appui-feu), la série des trois défaites s'achève... qui osera braver une nouvelle foi le sort
Ah, et pour ceux qui n'ont pas pu lire les petits caractères de Von Aasen :
"Remarquons quand même qu'avant ca je me suis pris une douzaine de défaites .... mais .... c'était il y a longtemps "
je sens un vent mauvais, un esprit revanchard souffler sur la lande du QG...
Re: Un desperado s'en va
Posté : ven. avr. 11, 2008 4:22 pm
par griffon
c'est quoi sur ton avatar Von ?
la "Blue Max" ?
la prochaine fois que je t'écrase dans ce jeu
c'est avec fierté que je l'afficherais comme avatar !

Re: Un desperado s'en va
Posté : ven. avr. 11, 2008 4:24 pm
par griffon
necroproject a écrit :La seule chose qui me rassure est que je sais où je vais me prendre une troisième branlée

(contre le joueur d'appui-feu).
Moralités de cette partie :
_On le savait déjà, mais confirmé, l'infanterie est une vraie brêle en assaut et se terre à la moindre balle. j'ai claqué 2200 points, plus de 50 escadrons, en pure perte.
_Quand on parle de bien soigner son OOB, il faut accorder une petite pensée à la tentation de tester les armes miracles. Ici, une batterie de roquettes 300 mm ( 460 points de coût), 36 tubes, qui a manqué sa cible à 500 près après 17 minutes de pointage. Somme qui aurait été indubitablement mieux dépensée dans de menus mortiers de 83mm ou des T34.
_Plus la carte est grande, plus le défenseur est fort. A ce petit jeu, attaquer les principaux drapeaux revient à attaquer son point fort et comporte de nombreux risques.
Pour ma défense, je plaide juste que la carte était peu boisée (beaucoup de zones à découvert )
Mais avec la fin de la partie contre henniack (appui-feu), la série des trois défaites s'achève... qui osera braver une nouvelle foi le sort

moi !
et c'est pas ton trop plein d'infanterie qui va te perdre
sur ce coup la !
Re: Un desperado s'en va
Posté : ven. avr. 11, 2008 4:35 pm
par necroproject
Une petite vue de la bataille, en fin de partie...
Les fumigènes qui sont un peu à l'Ouest, c'est le vent...
Fait également intéressant : la partie se déroulait en
28 tours variables
Re: Un desperado s'en va
Posté : ven. avr. 11, 2008 5:05 pm
par von Aasen
Quelques vues supplémentaires :
- les mortiers sont quand même utiles pour retenir de grosses vagues d'assaut :
- les Roumains disposent de 75 PaK 40 en mai 1943, celui-ci n'a pas chômé :
- les bunkers sont de vrais tueurs, celui-ci a tiré sur de l'infanterie entre 300 et 500m de distance, avec d'excellents résultats (je n'en attendais pas autant, loin de là) :
- une vue du dernier tour :

Re: Un desperado s'en va
Posté : ven. avr. 11, 2008 5:08 pm
par jagermeister
Du 75 c'est ce qu'il m'aurait fallu pour mes finlandais. :(
Re: Un desperado s'en va
Posté : ven. avr. 11, 2008 5:30 pm
par von Aasen
Eh oui, j'ai vérifié avant si les Roumains n'avaient pas de pièces antichar allemandes, je suis pas suicidaire non plus ; le plus amusant c'est que je n'ai cessé de répéter à Necro que je pouvais en avoir et que jusqu'a la fin il a cru que c'était une plaisanterie
Par contre dites-moi les Hongrois c'est la misère, je n'ai vu que des divisions de sécurité totalement sous-équipées ...
Re: Un desperado s'en va
Posté : ven. avr. 11, 2008 5:37 pm
par Boudi
Un jour, je vous raconterai comme des misérables T26 ont mis la branlée à l'élite de l'armée finlandaise !
Necro devrait normalement faire un bond, là...

Re: Un desperado s'en va
Posté : ven. avr. 11, 2008 5:54 pm
par griffon
le heros , encore tiede , a a peine mordu la poussière
que les vautours s'amassent autour de la dépouille !

Re: Un desperado s'en va
Posté : ven. avr. 11, 2008 6:00 pm
par von Aasen
c'est le but avoué de ce topic voyons

Re: Un desperado s'en va
Posté : ven. avr. 11, 2008 6:05 pm
par necroproject
Boudi a écrit :Un jour, je vous raconterai comme des misérables T26 ont mis la branlée à l'élite de l'armée finlandaise !
Necro devrait normalement faire un bond, là...

Un seul de nos soldats d'élite peut repousser 8 T26
Le problème, c'est quand arrive le 9ème...

Re: Un desperado s'en va
Posté : ven. avr. 11, 2008 6:08 pm
par necroproject
griffon a écrit :le heros , encore tiede , a a peine mordu la poussière
que les vautours s'amassent autour de la dépouille !

En même temps, 16 victoires d'affilée, il fallait bien que ca s'arrête un jour (modestie, quand tu nous tiens

)
Et que reste ce proverbe à jamais gravé dans le sang de nos hommes : la branlée n'est jamais loin de la branlette !