Au matin du 22 novembre 1942, les forces de l'axe ont tenté de rétablir un semblant de ligne de bataille à 60km au sud du Don.
En revanche, peu de dispositions ont été prises pour véritablement protéger les flancs, et en particulier le flanc sud de la VI.AOK et des bouts du 4.PzAOK qui s'étaient lancé à la conquête de la ville. La 29.ID mot qui est une des meileures unités de ce secteur se trouve dangereusement exposée.
Les ordres sont donnés à la formidable masse de manoeuvre soviétique. Il s'agira au sud de gagner Kalatch (comme à l'historique) et de fermer la nasse, et dans le même temps d'étalir une ligne de fron un peu sérieuse plus au sud, pour empêcher une contre-offensive allemande visant à dégager Stalingrad et servir de base àl'offensive ultérieure en direction de Rostov, à des centaines de km de là.
Au nord est de Stalingrad, il s'agira de réduire à nénant les derniers ilôts de résistance, et pareillement de rejoinre Kalatch pour fermer la poche et de s'établir sur une base de départ pour la prochaine offensive, prévue fin décembre, en direction de Kharkov: cette ville doit être libérée absolument!
Petite précision sur l'échelle de la bataille: le tour simule 3 jours de combat (le scénarion repréesnte donc une centaine de jours de combats), l'hexagone représente 10km, le terrain est immense et il est illusoire de vouloir construire une ligne continue sur toute la largeur du front. Ce scénario permet donc des manoeuvres de débordement du plus bel effet!
Il retrace les opérations allant du début d'Uranus jusqu'à la fin de la contre-attaque de Manstein en mars 43.
Les points de victoire sont à Stalingrad, mais aussi beaucoup plus à l'ouest, évidemment. Donc pour le russe, anénatir la VI.armée ne suffit pas, il faut aussi fermer la porte du Caucase et prendre Bielgorod et Kharkov (pour simplifier).
Les pions soviétiques représentent en général une DI, une brigade blindée ou motorisée pour les corps blindées, un régiment de cavalerie pour les corps de cavalerie.
Voici donc la situation au départ du T2 (22 novembre)
Ce coup-ci, ce sont les italiens qui en prennent pour leur grade, en bordure du Don sur l'aile est des forces soviétiques (pion bleu ciel):
La torino disparaît
La Duc D'Aoste aussi
D'autres positions, notamment roumaines, sont débordées et prises d'assaut. Le 48.PzK qui regroupaiet une division blindée roumaine et une PzD allemande est presque anéanti. De manière générale, les troupes d'Antonescu sont laminées...
Plus à l'Ouest, des régiments appartenant aux 44.ID et 384.ID, bloqués sur des hauteurs surplombant la boucle du Don à 30km de Stalingrad sont encerclés et anéantis dans la foulée. Il ne reste quasiment rien de ces deux divisions.
Enfin, sur le secteur sud de Stalingrad, les postions de la 29.IDmot sont débordées. Seul un bataillon de char de cette division d'élite résiste encore après 3 jours de combat.
En revanche, des assauts sont menées à l'intérieur de la ville même de Stalingrad, et là, la 62ème armée enregistre de lourdes pertes. Mais malgré cela, les positions fortifieés allemandes sont amoindries (les unités perdent leur marquer "F") et ils grillent des munitions et du carburant, ce qui n'est pas plus mal (le toaux de disponibilité baisse).
Sutout, l'objectif est rempli, à la fin de la séquence, la VI.Armée est coupée de ses bases et ne peut plus être ravitaillée que par air:
Une flanc garde au sud est également établie:
Plus au nord est, des troupes frâiches peuvent également s'établir plus à l'avant après la réduction des poches de résistances.
