Septembre / Octobre 1939. Sanglante ouverture
Le front de l’Est
Le Reich Marseillais prend facilement et sans perte aucune Lodz (avec pourtant un remarquable « 4 » tiré

) et Varsovie mais, aveuglé par une trop grande confiance et une victoire facile, déserte complètement ses frontières orientales, permettant ainsi aux troupes Polonaises dépassées avec tant de mépris (au niveau de Poznan notamment) de se ruer non pas vers l’est, dans une vaine tentative de reprendre Lodz ou Varsovie, mais bien vers l’ouest : le Reich Marseillais est (déjà) envahi

!
600 bombardiers (2 unités), incapables de prendre les airs, sont écrabouillés, la Luftwaffe réussit l’exploit de perdre un tiers de sa flotte de bombardement sans qu’il y ait seulement un seul combat aérien

. Une réunion de crise haute en couleurs s’ouvre aussitôt entre les deux alliés : « Mais tu es vraiment un BOULET, c’est à peine croyable » « Tu aurais pu me le signaler, nous sommes alliés, bien qu’il m’en coûte ! » »Gros NUL ! » »Toi-même

! ». Enfin, passons

.
Suite à ce désastre, la Wehrmacht réagit et isole les troupes Polonaises en Allemagne, leur coupant le ravitaillement mais aussi toute retraite possible (la manœuvre permet au Reich d’augmenter sa production pour cause de présence ennemie sur le territoire nationale, ce qui compense quelque peu les pertes aériennes

.) Au final, la Pologne capitule, le principal est acquis

.
Le front de l’ouest
L’Angleterre et la France déclarent la guerre au Reich Marseillais et se montrent aussitôt très offensifs : quatre croiseurs et un sous-marins français déboulent en Baltique et y coulent 150.000 tonnes de convois (3 unités) allemands, le Reich étant en outre matraqué par les bombardiers alliés ( - 3 BP

)
Avec ses usines en flammes et ses convois envoyés par le fond, le Reich Marseillais, pris de court, se devait de réagir avec force et détermination : Lyon est bombardé ( -1 BP), le Danemark est envahi et conquis, ce qui bloque toute retraite à la flotte alliée de Baltique et, à l’issue de plusieurs manœuvres navales, les convois sont rétablis et un violent combat de surface se solde par la destruction de la moitié de la flotte française de Baltique (Emile Bertin coulé, Duguay Trouin endommagé puis coulé car incapable de retraiter

). Si les objectifs marseillais du tour ont tous été atteints (Pologne, Danemark), c’est au prix de très lourdes pertes
Le front de méditerranée
L’Italie Dantonienne ramène ses troupes de Somalie en Libye, la France ramène ses troupes de Syrie à Marseille.
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