Le front de lOuest
Désespéré par la lenteur de la Wehrmacht, Berlin concentre une fois de plus toutes ses forces pour briser enfin le front français, fort d’un rapport de force de 3 contre 1 en faveur du Reich Marseillais (pion offensive joué
Au nord de Metz, des centaines de blindés lourdement soutenus par l’artillerie et des dizaines de milliers de fantassins partent à l’assaut et déferlent vagues après vagues, à du 10 contre 1 : le déséquilibre des forces est total, les lignes françaises sont enfoncées et les panzers exploitent aussitôt, se ruant sur les arrières de la ligne Maginot désormais quasi coupée du reste de la France
Au sud de Lille, la pince se referme avec la même violence contre l’élite de l’armée blindée Française : des milliers de panzers soutenus par des centaines de Stukas. Le haut commandement Dantonien saisit aussitôt toute la gravité de la menace qui pèse sur ses lignes et tente un coup d’une folle audace : les reliquats de la flotte aérienne française décollent et, avec un talent inégalé, les bombardiers arrivent à passer les hordes de B-109 qui patrouillent au-dessus des lignes. Malheureusement, ce support défensif ne suffira pas : les hordes mécanisées adverses sont bien trop nombreuses et pulvérisent tout sur leur passage
La marée impie se répand alors comme un nuage de sauterelles affamées : les panzers poursuivent en effet sur leur lancée et écrasent le malheureux quartier-général Georges, présent en deuxième ligne et pas assez protégé. Les faubourgs nord ouest de Paris sont atteints, la France est sectionnée par le double succès nazi.

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Mais ce n’est pas un quelconque petit marseillais qui dirige les forces alliées aux forces trois fois inférieures et, bien que pris par surprise par une guerre à laquelle il ne s’attendait pas après des décennies de paix le Dantonisme Universel réagit avec toute la vigueur qui lui a permit de dominer le monde
Le Bomber Command de son côté lance un raid massif contre les panzers qui ont atteint les faubourgs de Paris : le succès est au rendez-vous, les avant-gardes marseillaises sont neutralisées par cet habile coup Dantonien. Les Franco-Anglais colmatent comme ils peuvent la brèche, mais le front s’est dangereusement élargi et fragilisé, une partie de la ligne Maginot, prise à revers, est évacuée.
Alors que le Reich réorganise sa pince nord frappée par le Bomber Command, la pince sud repart à l’assaut, panzers en tête : cette fois, c’est à Sedan que le front français est brisé et l’exploitation permet aux chars marseillais d’atteindre les rives de la Seine. Les reliquats de l’Armée de l’Est française sont par contre ignorés. Faute de disposer de moyens offensifs, la France ne peut que réadapter son dispositif. Une nouvelle ligne de front est ainsi établie devant la Seine, pour défendre Paris, avec des poches de résistance à Lille et dans la partie nord de la ligne Maginot. L’axe Lille-Paris est lui la responsabilité du corps expéditionnaire Britannique, dont les bombardiers frappent à nouveau avec succès les panzers.
Une fois encore, le Reich doit réorganiser sa pince nord mais s’abat sauvagement au sud de Sedan : un déluge aérien sans précédent s’abat sur les lignes françaises, noyées ensuite sous une masse compacte de blindés. La bataille des frontières est terminée se gargarise le Gros Râleur, mais c’était bien mal connaître le Dantonisme Universel : « L’envahisseur a brisé notre front défensif ? Eh bien, c’est le moment de contre-attaquer ! Envahissons l’Allemagne

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Aussitôt dit, aussitôt fait : l’Armée de l’Est quitte la protection de la ligne Maginot et passe avec hardiesse à l’offensive ! Saarbrucken est pris d’assaut après de violents combats, pas moins de 1000 bombardiers marseillais, incapables de décoller, sont pulvérisés et le monde incrédule apprend l’incroyable nouvelle : l’Armée Française est en Allemagne
C’était une fois encore sous-estimer la farouche Volonté Dantonienne. Alors que l’Armée des Alpes remonte précipitamment, abandonnant complètement la frontière avec l’Italie, pour soutenir les troupes alliées dans la proche bataille de Paris, l’Armée de l’Est, elle, poursuit sur sa lancée et lance une vigoureuse offensive dans les Ardennes Belges ! Le quartier-général Leeb est taillé en pièce, à Berlin l’on rit jaune
Une triple offensive est alors lancée par la Wehrmacht. La première frappe Metz et l’intrépide armée de l’est, qui résiste contre toute attente aux furieux assauts des nazis humiliés par la vigueur insoupçonnée du Dantonisme Universel. La seçonde concentre une grande partie du troupeau blindé, qui profite de sa supériorité mécanisée pour percer dans les plaines au sud de Paris : la Seine est franchie
La farouche résistance Dantonienne ne peut cependant dissimuler la gravité de la situation : l’envahisseur est aux portes de Paris, déjà bombardée par les Stukas. Certains parlent d’évacuer au plus vite le corps expéditionnaire Britannique avant qu’il ne soit trop tard, d’autres brûlent les archives, mais une voix puissante se fait alors entendre de Londres : « Evacuer ? Comme un Marseillais froussard qui déserte au plus petit problème
Le 25 août 1940, alors que Berlin planifie déjà sa marche triomphale sur les Champs Elysées, l’Armée Dantonienne passe à la contre-offensive : l’Opération Retour du Bâton

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