Challenge LDVELH - L'Ombre de la Guillotine

[DrFlump]

Go fuck a duck, 69.

[jagermeister]

Brulez Bébert !

[Coelio]

On continue les aventures fabuleuses de Bébert

Paragraphe 69, pour Reborn, Flump, Aheuc, Sval, Strat, Jmlo et Room

Vous ripostez d'un coup de poing qui lui fait mordre la poussière en lui lançant "Go Fuck a duck !". Brusquement calmé, vous prenez pleinement conscience des conséquences de votre acte, et vous comprenez que vous ne couperez pas à la cour martiale et à la liste d'ignorés en signature du colonel Bébert. A la cour martiale, au ban par Daffy Duck, et au peloton d'exécution. Maintenant, vous n'avez plus le choix. Pivotant sur vos talons, vous courez vers la sécurité incertaine de la foule. Vous remarquez dedans un étrange personnage, qui ressemble à Léo Ferré et vous fait des signes de la main en vous encourageant : " Bravo camarade
En voila un
Qui en pissera du sang
Sur ses braies d'aristo !"Rendez-vous au 36.

Et pendant ce temps....

Paragraphe 175, pour Griffon

Abandonnant vos hommes, vous courez vous mêler à la foule, mais une fusillade nourrie retentit aussitôt derrière vous. Instinctivement, vous pivotez sur vos talons et ripostez en déchargeant votre pistolet d'un tir particulièrement putassier, sans voir — ni même vous soucier de savoir — si vous avez blessé quelqu'un de connaissance. Vous priez néanmoins pour que ce soit un de ces traitres de Franconaute qui tombe. De toute manière, il est trop tard pour revenir en arrière. La façon dont vous avez quitté l'armée est irrévocable. Rendez-vous au 36.

Et voila, les "rebelles" ont retrouvé Griffon

[Greyhunter]

J'ai une question : Griffoniste et Palpatisme ça veut dire quoi?

C'est tout un roman.

Et n'oublions pas le McClellanisme Thrawnisme.

[Coelio]

Mais que devient le clan Palpatiste ?

Paragraphe 137, pour Sent' et Jolou

En arrivant près de vous, l'homme lève son gourdin en vociférant que vous êtes une raclure réactionnaire dégueulasse, mais un coup de poing bien appliqué l'étend pour le compte. Rendez-vous au 123.

Pas mal. Sinon on peut aussi faire autrement.

Paragraphe 222, pour Thrawn et Palpat'

Vous visez rapidement et tirez pendant qu'il gesticule en demandant l'intervention de la modération. La balle l'atteint en pleine poitrine, et il s'effondre. Au moins, il ne reviendra pas troller de sitôt ! Rendez-vous au 123.

Oui c'est le début, pour l'instant le livre est gentil avec vous vous ne risquez pas encore trop votre peau

[GA_Thrawn]

vous comprenez que vous ne couperez pas à la cour martiale et à la liste d'ignorés en signature du colonel Bébert. A la cour martiale, au ban par Daffy Duck, et au peloton d'exécution.

Exceptionnel

[Coelio]

Nous retournons vers nos amis griffonistes

Paragraphe 36, pour Reborn, Flump, Aheuc, Sval, Strat, Griffon, Jmlo et Room

Instinctivement, vous laissez tomber sur le gravier votre tricorne trop voyant. Votre tunique suit le même chemin, et vous vous mêlez plus étroitement à la foule (à noter que Jmlo avait raison, cela sent fort). La cohue vous offre la meilleure protection que vous puissiez espérer. En quelques secondes, vous vous êtes suffisamment éloigné pour pouvoir souffler un peu, mais les soldats postés aux sorties des jardins et les modérateurs alertés par Bébert qui vous a signalé constituent encore un danger. Rendez-vous au 41.

Paragraphe 41, pour Reborn, Flump, Aheuc, Sval, Strat, Griffon, Jmlo et Room

Bien que vous n'ayez plus ni tricorne ni tunique, certains manifestants reconnaissent en vous un militaire. Loin de s'en inquiéter, ils vous accueillent dans leurs rangs en vous tapant sur l'épaule et en vous criant : « Bravo ! » et « Soyez le bienvenu, soldat de la France ! », vous entendez aussi un "Ah vous aussi vous en avez marre de payer autant d'impôts ?".
Le plus gros de la populace semble se diriger vers la partie des jardins occupée par la Garde suisse, et, en regardant par-dessus les têtes de ceux qui vous précèdent, vous voyez que les Suisses s'écartent pour laisser passer la foule. Vous prenez soin de rester au milieu de la cohue et n'osez pas tourner la tête vers les soldats de peur d'être reconnu. Comprenant votre situation, un homme à l'expression bienveillante, portant un étrange masque de Klingon et une grosse barbe, vous adresse un clin d'œil et s'interpose entre les gardes et vous. Vous sortez des jardins côte à côte. Il vous propose de l'accompagner, et, n'ayant aucun autre endroit où aller, vous acceptez. Vous ne comprenez pas toujours très bien ce qu'il raconte (il y a des ^^, des histoires de figurines en bois peintes, ce genre de choses) mais quel choix avez vous ? Rendez-vous au 218.

Paragraphe 218, pour Reborn, Flump, Aheuc, Sval, Strat, Griffon, Jmlo et Room

Vous vous éloignez rapidement des jardins et tournez vers l'est dans une rue tranquille, où vous remarquez bientôt une petite rangée d'humbles échoppes. Votre guide emprunte un étroit passage pour atteindre la porte de derrière de sa boutique.
— Entrez vite, dit-il. Le quartier ne va pas tarder à grouiller de soldats.
Le logis du Klingon est plongé dans la pénombre. Vous regardez autour de vous pendant qu'il ferme les volets et allume une bougie. Il se tourne ensuite vers vous.
— Je mappele Urial^^, dit-il. Vous vous présentez à votre tour.
— J'é vu ce ke vous avez fait au Palais-Royal, mon Griffon, continue-t-il. Vou ête un homme courageu, mon Jmlo. Vous pouvé couchez ici se soir si le kœur vous en dit, car, dem1, nou nou metton en quête d'armes pour nous Dfendr contre les soldat du roi.
Cela vous paraît logique. Le peuple doit pouvoir se défendre contre les agressions comme celle qui s'est produite durant l'après-midi. Vous commencez à réfléchir à la question avec votre mentalité de militaire, et vous vous rappelez que l'hôtel des Invalides recèle un important dépôt de fusils, de poudre et de munitions. A cette nouvelle, le visage d'Urial s'illumine.
— Vou ête doubleman le bienvenu dans nos rang, mon Reborn, déclare-t-il. Pour metr sur pié une opération de cette envergur, il nou faudra au moin vingt-quatre heures. D'ici la, vous êtes mon hotte. Quand nous serons organisé, peut-être accepteré-vou de prendre la tête de notre groupe de citoyens. Nous avons désespérément besoin d'un homme de votre trempe.
Autant regarder la vérité en face : en révélant à Urial un secret d'État, vous avez irrévocablement choisi votre clan. Vous acceptez son offre d'hospitalité et êtes d'accord pour vous montrer le moins possible jusqu'à ce que toutes les dispositions soient prises. Rendez-vous au 203.

[Coelio]

Nous retournons maintenant vers les loyaux combattants de Louis XVI, qui viennent de palpatiser Moradim

Paragraphe 123, pour Thrawn, Palpat', Sent' et Jolou

Comprenant qu'il n'y a pas d'issue de ce côté, la foule reflue et se dirige vers la partie des jardins tenue par la Garde suisse. De loin, vous voyez que les Suisses, ces queues plates de sous-préfectures bouffeurs de chocolat, ne tirent pas, et c'est en se faufilant entre leurs rangs que les manifestants s'échappent du piège où ils étaient enfermés. Lorsque les jardins du Palais-Royal ont enfin retrouvé leur calme, on vous donne l'ordre de ramener vos hommes à la caserne. Quand vous traversez la ville à la tête de votre compagnie, les rues parisiennes vous semblent beaucoup moins sûres qu'au début de la matinée. Vous entendez même certains gueux qui tentent de vous causer viril. Vous vous dites que cela ne se serait pas passé comme ca du bon vieux temps de Philippe de Bourgogne Rendez-vous au 143.

L'introduction est maintenant terminée. Comme vous le voyiez, vous ne risquiez rien dans ce premier épisode, qui vous a simplement permis de prendre vos marques et de commencer à choisir votre camp...pour l'instant . Les prochaines péripéties vous offriront vos premières occasions de mourir

[Emp_Palpatine]

Les Suisses qui ne tirent pas, ce n'est pas réaliste. 1789 n'est pas 1830.

[Bébert]

Ha ben d'accord, je me suis pris 7 bourre-pif, en somme...

[Coelio]

Les griffonistes passent à l'action

Paragraphe 203, pour Reborn, Flump, Aheuc, Sval, Strat, Griffon, Jmlo et Room

Au cours de la journée du lendemain, Paris se met à ressembler davantage à une ville en état de siège qu'à la capitale de la France. On se croirait sur le QG au moment de la scission de 2005 . Les citoyens élèvent des barricades, les boutiques d'armes sont mises à sac, Boudi est banni de Franconaute, et on ne voit nulle part le moindre signe d'opposition de la part de l'armée. Tout au long de la journée, le tocsin n'arrête pas de sonner, et le bruit court que des troupes étrangères de la Vigie auraient reçu l'ordre d'attaquer la ville. Les fausses alertes se multiplient, tandis que les citoyens se hâtent de protéger leurs rues contre un ennemi qui ne se manifeste pas, Von Aasen fait des rondes toutes les 5 minutes. Vous ne vous éloignez guère de la boutique d'Urial, craignant trop d'être reconnu pour oser vous aventurer plus loin. Le matin du deuxième jour, Urial vient vous réveiller. Il est accoutré d'une manière inhabituelle, avec deux pistolets croisés dans sa ceinture et un sabre qui lui bat la cuisse droite. Il a même une cocarde dans sa barbe, ce que le colonel Bébert aurait interprété comme un net déclin de la civilisation occidentale. Il vous tend un brassard tricolore et le bonnet phrygien qui est devenu l'emblème de la Révolution. — Mon ami, le moman é venu. Le peuple va maintenan passé à l'attak. Marcheré-vou à notre tete ^^?
Vous endossez vos vêtements, prenez vos armes et vous vous hâtez de descendre l'étroit escalier menant à la boutique. Plusieurs citoyens vous y attendent, tous armés comme Urial et l'air pareillement déterminé. Dehors, une foule nombreuse s'est rassemblée, mais peu de gens sont armés. Lorsque vous franchissez la porte, une clameur s'élève : — Vive la Révolution !
En entendant ces mots, vous prenez brutalement conscience de l'énormité de ce que vous vous apprêtez à faire. Mais il est trop tard pour revenir en arrière. Vous vous mettez en marche vers l'hôtel des Invalides, la foule sur vos talons, les citoyens en armes à vos côtés. A chaque carrefour, de nouveaux émeutiers viennent grossir vos rangs. Lorsque vous arrivez en vue des grilles de l'armurerie, ils sont des centaines à se presser derrière vous. Vous faites signe à Urial d'arrêter et vous avancez seul vers les grilles. Rendez-vous au 30.

Paragraphe 30, pour Reborn, Flump, Aheuc, Sval, Strat, Griffon, Jmlo et Room

Vous vous approchez des grilles en prenant bien soin de laisser votre main à bonne distance de votre pistolet. Derrière les barreaux de fer forgé, la cour des Invalides est déserte. Les portes de l'armurerie se dressent à l'autre extrémité de l'espace découvert. Elles sont fermées. Vous poussez doucement les grilles, qui s'ouvrent toutes grandes devant vous. Allez-vous essayer de parlementer avec les gardes postés derrière les portes (rendez-vous au 201) ou faire appel à la foule massée derrière vous pour envahir l'édifice (rendez-vous au 280) ?

Alors, en douceur ou en canard ?

[sval06]

En finesse pour moi - 201 donc

[griffon]

je monte sur un tonneau , le sabre en main

et je harangue la foule ! 280

[Coelio]

Mais les Palpatistes ne peuvent laisser passer cela sans réagir

Paragraphe 143, pour Thrawn, Palpat', Sent' et Jolou

Pendant près de deux jours, votre compagnie est consignée à la caserne et en profite pour lire les oeuvres complètes de Dominique Venner. Le bruit court que le petit peuple de Paris se serait rendu maître de la rue, et vous savez que ce n'est qu'une question de temps avant que vous ne soyez appelé à intervenir. Effectivement, le matin du 14 juillet, vous êtes convoqué dans le bureau du colonel. Le cœur battant, vous vous dites que le moment de faire vos preuves est peut-être arrivé.
— On nous signale qu'une foule nombreuse se dirige vers l'hôtel des Invalides, vous annonce le colonel. Elle serait conduite par un intégriste breton, accompagné d'une armée de canards. Ne me demandez pas pourquoi des canards. Comme vous le savez, ses caves abritent un important dépôt d'armes. Conduisez votre compagnie sur place pour renforcer la garnison. Vous le saluez, faites demi-tour, sortez du bureau du colonel et donnez l'ordre à votre sergent de rassembler les hommes avec l'équipement complet. Quelques minutes plus tard, toute la compagnie est au garde-à-vous.
— Soldats, la populace menace la sécurité de Paris et l'honneur du roi. En ce moment même, elle marche sur l'armurerie. Nous allons de ce pas prêter main-forte à la garnison. Et ca va causer viril.
Vous montez à cheval et sortez de la caserne à la tête de vos hommes. Rendez-vous au 79.

Paragraphe 79, pour Thrawn, Palpat', Sent' et Jolou

En chevauchant dans les rues de la capitale à la tête de vos hommes, vous vous rendez compte que la tension est à son comble. La mauvaise humeur que vous aviez observée dans la foule du Palais-Royal s'est multipliée par mille. L'envie vous démange de donner une bonne leçon à cette racaille indisciplinée, comme au bon vieux temps de la Coloniale, mais vous avez une mission à remplir et vous continuez votre chemin, les yeux fixés droit devant vous. Soudain, une clameur retentit derrière votre dos. Vous tirez sur les rênes pour arrêter votre cheval et vous vous retournez sur votre selle. L'arrière de la colonne semble se désagréger. Votre fidèle caporal, un certain Julien-Thrawn Dragoul, lui-même paraît avoir pris le large. Vous vous rendez compte que seule votre présence empêche le reste de vos soldats de déserter. Allez-vous traquer les déserteurs (rendez-vous au 213) ou poursuivre votre route vers l'armurerie (rendez-vous au 246) ?

Que fait-on des queues plates de sous-préfecture, mon lieutenant ?

[jmlo]

Je ne suis pas diplomate...

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