World In Flames - L'Impossible Alliance

[Maximus]

est-ce que les alliés d'en face doivent subir assister a ces échanges ou ces derniers sont faits dans l'ambiance feutrée des salons des ambassades

[lemarseillais]

Nous épargnons nos adversaires. Ils entendent bien quelques fois certains pics mais ce dont on vous parle se fait en privé

[Danton]

Ta notion du privé est étrange

Ce forum n'est pas privé, gros poulet


L'Axe l'emportera grâce à moi et ce malgré le fardeau marseillais

[Bozocobol]

Encore un AAR qui me promet bien du plaisir...

Au final, je me demande bien ce qui m'a donné envie de jouer à ce jeu... La joute verbale entre Lemarseillais et Danton ou ma passion pour le wargame... En tout cas, la lecture de ce forum y est pour qlq chose !!!

[Bolger]

Morceau choisi du tour de mai/juin 40... Nous en sommes à la 5è impulse. Il a fait beau, l'Allemagne a effectué des ground strike dans tous les sens. Il a désorganisé une pile française en Belgique et a flippé 8 unités grâce à une impulse aérienne dantesque pour le Français (j'ai pas dit Dantonesque hein, fô po confondre ). Le pauvre Flo a réussi à perdre ses deux chasseurs et son bombardier du premier coup ! Si ça c'est pas la claaaasse !

Bref, morceau choisi sur TS (légèrement transformé ):

LM : Bon, à notre prochaine impulse je défonce le petit c.. du Français...
D : oui et moi je rétablis mon ravitaillement en Afrique
LM : Ok, ils vont prendre chers ces vilains !
D : Bien sur , je me vengerai de ma malchance au dé en Méditerrannée
LM : Mais le tour dernier, avec ta surprise, tu as eu de la moule monstrueuse !!!
D : Ce n'était pas de la moule très cher, mais un trait de génie Dantonesque !
LM : Ouais ouais, pleureuse, t'as juste fais ton boulet avec tes navires c'est tout. L'Anglais n'avais rien face à toi
D : Mais j'avais la moitié de la fleet face à moi, ce sont mes aviateurs qui ont été mauvais ! Sinon je l'aurais massacré avec toute ma flotte !
LM : Ouais, ouais, c'est ça. Lance le dé de fin de tour, on en rediscutera après.
D : Ok...... (lance le dé...) 1 ! Fin de tour...
LM : MAIS DIS-MOI QUE C'EST PAS VRAI !! T'ES VRAIMENT UN BOULET TOI ! Je viens de dépenser mon pétrole pour retourner les troupes françaises et là, tu me sors un 1 !
J'ai fais tout ça pour rien !!
D : Mais c'est pas de ma faute, c'est toi qui m'a dit de lancer le dé !
LM : Oui, mais pas de faire 1 !
D : C'est de ta faute, c'est toi qui m'a demandé de le lancer ! T'avais qu'à le faire toi-même !
LM : Mais qui est-ce qui m'a fait un boulet pareil???

Voilà....

Sinon en gros :
- L'Anglais a gagné un tour en Egypte, son aéronavale a pris le dessus sur l'aviation italienne et a chassé les navires du Duce de la Méditerranée.
- L'Allemand a pris un hex supplémentaire en Belgique.
- Le Japonais concentre ses force face aux Chinois.
- L'Italien est en force devant Alexandrie et possède 2 QG et une unité de Supply dans la zone.
- Le Français a perdu toute son aviation et a vu les bombes pleuvoir sur ses troupes (8 flips sur 8 unités en Belgique ou à la frontière franco-belge)

Fin de tour miraculeuse pour la France (l'Allemand aurait pu défoncer les premières lignes sans trop de soucis) et malheureuse pour l'Italie (pas de ravitaillement par mer en Lybie).

[Danton]

Le Gros Boulet n'a pas à se plaindre, c'est bien LUI qui a insisté pour que je lance le dé de fin de tour


Il devrait pourtant savoir que la malchance me persécute à ce niveau...

La campagne de France est mal partie, par SA faute, mais ce n'est que léger retard, la Victoire Finale sera mien... notre

A condition naturellement que mes instructions soient respectées à la lettre

Je vais tenter une mise à jour de l'aar, mais comme j'étais absent la moitié des sessions, ce ne sera guère aisé

[Danton]

Novembre / Décembre 1939. Quand le Dantonisme s’absente, l’Europe ronfle


Je n’étais pas présent durant cette session et le compte-rendu Marseillais fut des plus laconique . En Europe, la Wehrmacht a poursuivi son redéploiement vers l’ouest.


Dans le Pacifique, outre la fermeture de la route de Birmanie via des pressions diplomatiques intenses auprès de Londres, l’Armée Impériale Dantonienne, placée temporairement sous commandement marseillais (avec cependant des instructions très précises à respecter scrupuleusement ) poursuit son offensive victorieuse dans le sud de la Chine en prenant d’assaut les montagnes à l’est de Kwei-Yang, sans perte aucune .


Janvier / Février 1940. Le calme avant la tempête


Un temps complètement pourri vient saboter tous les espoirs de l’Axe (tour de 3 impulses à peine…)

L’Italie renforce la Lybie, le Japon fait de même pour le sud de la Chine, mais les seules actions offensives du tour seront à mettre au crédit de la France, qui bombarde Munich (-1 BP) avec ses bombardiers puis Saarbrucken avec l’artillerie de campagne.




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Les réunions secrètes entre Marseillais et Dantoniens se multiplient et un plan d’action à l’ouest est mis au point… Ne manque plus que du soleil pour passer enfin à l’offensive généralisée

[Danton]

Mars / Avril 1940. Spectaculaire entrée en guerre de l’Italie Dantonienne – Invasion de la Belgique


Un tour assez long (9 impulses), mais avec un temps complètement pourri à l’ouest (pluie, tempête, jamais de soleil)


Le front de l’Ouest

Le 3 mars, le Reich Marseillais déclare la guerre à la Belgique et lance l’invasion sous une pluie battante (sage décision collégiale de l’Axe de ne pas attendre du beau temps, qui au final ne viendra jamais ) : Rundstedt fonce sur Anvers et est rapidement renforcé par une unité de parachutiste déployée via les Junker 52 puis les assauts se succèdent, Liège et Bruxelles tombent, les panzers s’engouffrent dans les Ardennes, fortement ralentis cependant par la pluie persistante.


Bien que la chute de la Belgique soit désormais acquise, l’armée Française s’avance dans le plat pays, à la rencontre de la Wehrmacht, et un corps expéditionnaire Britannique commandé par le général Gort débarque en France. L’aviation française, elle, bombarde Munich ( -1 BP) et Prague (échec), mais le Reich semble comme indifférent à ces piqûres de moustique et masse la Luftwaffe en Belgique, n’attendant que le retour du soleil pour lancer la grande invasion. Les tempêtes succèdent cependant à la pluie et, au final, le mois d’avril s’achève sans que la ligne de front ait évolué d’un iota.


Le front méditerranéen

Graziani à peine débarqué en Lybie, Dantonlini monte au balcon de sa luxueuse résidence romaine, déclare la guerre à l’Angleterre et promet la restauration de l’Empire Romain Dantonien . Les premiers coups sont portés sur mer et ils sont plus que meutriers… Les hommes-grenouilles du Prince Borghèze fondent sur la Royal Navy à Gibraltar et surprennent le plus grand porte-avion Britannique, l’Ark Royal, qui est envoyé par le fond avec brio .

En méditerranée occidentale, les croiseurs du Duce coulent 3 convois, mais c’est en méditerranée orientale que se précipite le gros de la flotte de surface, avec une forte protection aérienne (preuve de la parfaite coopération Marseillo-Dantonienne , des bombardiers allemands déboulent aussitôt en Sicile pour renforcer la puissance de feu Italienne)

Les sous-marins de Dantonlini ne sont pas en reste et se livrent à un carnage abominable, coulant pas moins de 7 convois, ce qui porte les pertes Britanniques pour la seule impulse de surprise à 10 convois et l’Ark Royal, un succès complet pour Rome .


Londres riposte cependant sans attendre et la Royal Navy coule le convoi de méditerranée orientale, coupant par la même occasion, déjà, le ravitaillement vers la Lybie mais, à la surprise générale, craignant la force aérienne déployée par l’Axe, les Britanniques, ce succès acquis, se replient complètement de méditerranée ! Dantonlini saute sur l’occasion, rétablit le ravitaillement vers l’Afrique et lance l’invasion généralisée de l’Egypte avec les quartiers-généraux Balbo et Graziani, soit la quasi-totalité de la force de frappe Italienne.


La guerre du Pacifique


Les Marines Nippons s’emparent sans combats de Foochow, mais, à Kwei-Yang, les Nationalistes Chinois résistent farouchement, repoussant in extremis un furieux assaut Dantonien mené par Yamamoto (assaut à +9, 11 aux dés nécessaire, 10 sorti, 2 pertes de chaque côté et la ville reste aux mains des Alliés)


Conclusion du tour. Superbe entrée en guerre de l’Italie, mais un temps complètement pourri à l’ouest casse tous les espoirs d’offensive marseillaise en France.

Pas de screens malheureusement, j’ai oublié d’en prendre…

[Bolger]

Ouais.... A ce moment là du jeu, j'étais pas fier de jouer le CW
J'avais l'impression d'être dans le summum de la nullité. Je me disais que je ne savais pas jouer.

On va commencer Sept/Oct 1940, et là.... c'est pire !

Mais je me vengerai !

[Danton]

Bah, le repli prématuré de la Royal Navy était clairement une erreur, mais des erreurs, à Wif, nous en faisons tous et allons continuer à en faire….

C’est d’ailleurs un des intérêts je trouve de jouer à 2 par camp, cela limite les bourdes car il y a 2 cerveaux (pas forcément sains au niveau de l’Axe ) qui passent tout en revue.

Mais le prochain tour de mon aar, c’est mai / juin… Et le moins qu’on puisse dire, c’est que ce fut un tour à ta gloire… Pauvre, pauvre Italie …. Le tour suivant par contre

Les va et vient de la guerre du désert se retrouvent pour une fois, même s’ils ne se déroulent pas forcément dans le désert

[Danton]

Mai / Juin 1940. L’offensive Germano-Italienne brisée sans merci


5 petites impulses de rien du tout, dont deux de pluie à l’ouest et, au final, un tour qui s’arrête prématurément sur un magistral « 1 » Dantonien, qui sera suivi du vif dialogue Marseillo-Dantonien retransmis ci-dessus par Bolger, spectateur enthousiaste de cette nouvelle brouille au sein des forces de l’Axe .


Le front de l’Ouest


Le Reich ouvre les débats avec une spectaculaire impulse aérienne qui écrabouille littéralement tout sur son passage : l’aviation française est pulvérisée, le gros de l’armée française est désorganisée ! Le succès de la Luftwaffe est complet, mais la pluie s’abat alors et Berlin doit retarder son offensive, ce qui est cependant sans conséquences réelles, les Alliés ne pouvant guère réagir : la seule option qui s’offre à eux étant en effet de renforcer le corps expéditionnaire Britannique présent en France avec le général Wavell et ses troupes, mais ce dernier se retrouve déjà sous les feux de l’offensive Italienne en Egypte !


Quand le soleil refait enfin son apparition, la Wehrmacht peut ainsi s’élancer avec confiance et détermination : les panzers écrabouillent les fantassins français encore présents en Belgique, malgré la présence de l’artillerie anti-chars (blitz à +10, 12 aux dés, 1 perte française et le reste est blitzé)

Son armée désorganisée et son aviation décimée, la France se retrouve à ce moment dans une situation plus que délicate car les Marseillais, eux, sont prêts et plus que prêts à lancer l’invasion généralisée de la France… C’est alors qu’un Destin Contraire (et hop, un habile dé Dantonien de « 1 » pour la fin du tour ) vient sceller tous les espoirs de Berlin : fin mai 1940, le territoire français reste toujours inviolé, ce qui devient plus que préoccupant, le planning de l’Axe prend du retard


Le front méditerranéen

La Royal Navy, qui souhaite faire oublier sa fuite trop précoce du mois de mars, déboule massivement en méditerranée orientale avec pas moins de six porte-avions et, cette fois, refuse de reculer d’un pouce quand la flotte de surface de Dantonlini, massivement soutenue par des chasseurs et des bombardiers venus de Sicile, arrive à son tour pour un affrontement aéro-navale où la supériorité de l’Axe est bien réelle.


Et pourtant, contre toute attente, les désastres se succèdent pour l’Axe, qui perd avion sur avion sans jamais infliger la moindre perte en face (un bombardier abattu, les autres sont tous repoussés ), ce qui finit par contraindre la flotte de Dantonlini au repli précipité, qui laisse Balbo et Graziani isolés en Lybie, non ravitaillés.


Pour faire bonne mesure, les Bolgeriens endommagent la moitié des transports Italiens et ratent de peu l’autre moitié, réfugiée dans le port de Bardia et non ravitaillée. A Rome, c’est l’incrédulité : plus de transports disponibles, plus de ravitaillement vers l’Afrique, une aviation décimée, un Marseillais Boudeur (t’avais qu’à lancer le dé toi-même pour la fin du tour ) , c’est le désastre complet…


La guerre en Chine


Zzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz



Conclusion du tour : désastreux pour l’axe. Une impulse aérienne très réussie en France, suivie d’un blitz blindé, puis une fin de tour prématurée qui laisse le territoire français toujours inviolé fin mai 1940. Pas mieux en méditerranée, où un désastre aérien semble déjà sceller le sort de la campagne d’Afrique.


Toujours pas de screens, suis-je donc distrait, mais j’en ai pour le tour suivant

[Archange]

Ca veut dire quoi "unité blitzée" ?

[Bolger]

Elles sont retirées du jeu et arrivent en renforts le tour suivant

[Danton]

Juillet / Août 1940. Chute de la France


Le front de l’ouest

Le Reich Marseillais réédite sa tactique du mois de mai et démarre le tour avec une impulse aérienne, qui rencontre un succès certain : les renforts aériens français sont massacrés, les blindés sont désorganisés. L’aviation Britannique tente de riposter avec des bombardements sur Bruxelles et Anvers, mais la Luftwaffe repousse l’assaut avec autorité : la suprématie aérienne allemande à l’ouest ne sera de fait jamais réellement contestée .


Mais reste à obtenir à présent des succès terrestres, Rundstedt lance l’assaut (pion offensive joué). Une première attaque blindée au sud de Bruxelles contre les chars français se termine en gros bide (blitz +14, 4 sur 2D10… Repli français sans perte aucune ), la seçonde, plus au sud, obtient plus de succès (blitz +10, 11 sur 2D10), mais, là aussi, n’inflige pas la moindre perte aux alliés, qui colmatent au mieux les brèches.


Les résultats misérables de l’offensive Von Rundstedt ne laissent pas le choix à l’Axe : il faut jouer le seçond pion offensive, sur Guderian. Une manœuvre habile est élaborée, mais l’exécution se révèle une fois de plus laborieuse. L’attaque blindée au sud de Lille bute sur les français, qui se replient sans perte aucune pour réorganisation (blitz +16, 3 sur 2D10… résultat Blitz) : les panzers exploitent aussitôt la percée, écrabouillent le quartier-général Billotte (overrun) et atteignent les faubourgs de Paris . La branche sud de la tenaille peut alors s’abattre sur sa proie : panzers et parachutistes percent le front (blitz +11, 12 sur 2D10) et exploitent jusqu’à la Seine, isolant les troupes françaises de la ligne Maginot.




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Au prix de lourdes pertes (deux pions offensives joués), l’Axe, à ce moment, a bien enfoncé le front français, tous les espoirs sont permis, mais la France va lancer brutalement une contre-offensive non pas contre les panzers qui ont percés, trop dangereux, mais bien contre les maigres troupes qui assurent leurs arrières, afin de couper le ravitaillement des panzers. Les chances de succès sont cependant très minces, mais un premier assaut lancé contre les parachutistes marseillais provoque la stupeur au sein de l’Axe : les troupes Germaniques sont balayées par la Furia Francese ! (assaut à + 4 seulement, mais pouf, 20 sur 2D10 )


Le deuxième assaut vise la petite division blindée allemande 2-6 : un succès isolerait complètement les panzers, le général Flo est très proche d’infliger une sévère correction aux envahisseurs marseillais ! Cet assaut échoue cependant (+3, 10 sur 2D10), à Berlin l’on pousse un immense soupir de soulagement. A Rome par contre, l’on presse l’allié douteux de lancer sans attendre l’assaut sur Paris, trop peu défendue.


La Wehrmacht obtempère et prend d’assaut la capitale française (assaut à +4, 10 sur 2D10, 1 perte des deux côtés), mais les troupes victorieuses sont désorganisées et non ravitaillées ! Ce problème avait cependant été anticipé et une ingénieuse manœuvre a été élaborée par les états-majors Marseillo-Dantoniens : une offensive blindée écrabouille le quartier-général Georges (blitz +12, 10 sur 2D10) et permet aux panzers d’exploiter la brèche : les faubourgs sud de Paris sont atteints, le ravitaillement est rétabli dans la capitale conquise ! Metz est pris d’assaut pour la forme.


La campagne de France est désormais gagnée, les pertes allemandes restent raisonnables, mais la France, perdue pour perdue, lance alors une contre-offensive généralisée qui va laminer la Wehrmacht victorieuse : un corps mécanisé allemand est pulvérisé (assaut à +4), ainsi que l’héroïque division blindée 2-6, qui ne résiste pas à ce nouvel assaut (à -1 pourtant…). Ce baroud d’honneur terminé, la France dépose les armes, le gouvernement de Vichy est installé .

[Danton]

Le front méditerranéen

Fortement escortée par l’aviation, la marine de surface de Dantonlini revient en méditerranée orientale et engage une bataille aéro-navale avec une très forte supériorité numérique. Cela ne suffit de nouveau pas et le carnage est complet, deux Nav Italiens sont pulvérisés , la Royal Navy, elle, s’en sort comme une fleur et tente de riposter avec une attaque au port à Bardia, contre un transport Italien isolé, qui esquive cependant.


Mais le pire restait à venir : des troupes Britanniques débarquent à Gabès, en Tunisie et, prenant l’Axe complètement de court, marchent sur Tripoli, qui est pris d’assaut ! Chute de la Lybie. (A ma décharge, j’ignorais que cette manœuvre était possible : nous avons tous appris durant la campagne de France que les limites d’engagement pour non coopération Franco-Anglaise ne s’appliquaient pas en dehors du territoire national, la Tunisie étant ainsi libre d’accès pour les troupes Britanniques. Déplaisante découverte, mais je ne me laisserai pas surprendre une deuxième fois )


Avec la chute annoncée de la Lybie, les troupes Dantoniennes en Egypte semblent déjà condamnées, quand une instruction arrive des états-majors Marseillo-Dantoniens : de l’audace, encore de l’audace, toujours de l’audace ! Et le 2 août 1940, après avoir claqué une unité de ravitaillement, le général Graziani rassemble tout le troupeau pour l’assaut de la dernière chance ! Alexandrie est matraquée par l’aviation Italienne puis la ville est prise d’assaut par les fanatiques Dantoniens ! (assaut à +5, pouf, 15 sur 2D10)


Londres réagit précipitamment et transporte le corps d’infanterie Britannique qui vient de prendre Tripoli à Damiette, engageant au passage une nouvelle bataille sur mer où, malgré les pertes déjà subies, les Germano-Italiens concervent une nette supériorité aérienne. Las, une fois de plus, cela ne suffit pas et la défaite est complète, la marine de surface de Dantonlini doit se replier, laissant l’Egypte isolée .


Pour le moment cependant, l’unité de ravitaillement grillée permet toujours d’avancer, droit vers le Caire, ce qui contraint Wavell à un repli précipité derrière le Nil, abandonnant derrière lui une unité d’artillerie, qui semble condamnée, la capitale Egyptienne avec elle. C’est là qu’un nouveau « 1 » vient mettre fin au tour de façon plus que prématurée…



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L’Algérie, le Maroc et la Tunisie passent Français Libre.


Conclusion : un tour très violent avec de nombreux retournements de situation (dans le Pacifique ? Quoi, dans le Pacifique ?) qui laisse les deux camps sur leur faim. La France est vaincue, mais les pertes allemandes sont conséquentes, l’Italie a remporté une victoire majeure devant Alexandrie, mais est écrasée sur mer et maudite avec la fin prématurée du tour.