Emp_Palpatine a écrit :dans les autres langues que je connais.
Puisqu'on est sur ce thème, je signale que l'on peut dire également "que je connaisse" (que je préfère "à l'oreille").
Les deux sont quasi équivalents en terme de sens, suis-je dans le vrai ?
Le subjonctif n'est impératif qu'après certaines locutions/conjonctions et avec des verbes exprimant l'incertitude, les émotions, etc.
En l'espèce, ma connaissance de ces langues n'étant pas hypothétique mais certaine (je connais l'anglais ou l'allemand, pas l’ourdou) et n'étant pas dans un cas de figure cité plus haut, c'est l'indicatif qui est de bon aloi.
Tu ne dirais pas: ce sont les langues que je connaisse.
Vous pensez tous que César est un con? Vous pensez que le consul et son conseiller sont des cons? Que la police et l'armée sont des cons? Et vous pensez qu'y vous prennent pour des cons? Et vous avez raison, mais eux aussi! Parce que depuis le temps qu'y vous prennent pour des cons, avouez que vous êtes vraiment des cons. Alors puisqu'on est tous des cons et moi le premier, on va pas se battre.
sylvain_pva a écrit :eût-il fallu que tu le susses
Vous pensez tous que César est un con? Vous pensez que le consul et son conseiller sont des cons? Que la police et l'armée sont des cons? Et vous pensez qu'y vous prennent pour des cons? Et vous avez raison, mais eux aussi! Parce que depuis le temps qu'y vous prennent pour des cons, avouez que vous êtes vraiment des cons. Alors puisqu'on est tous des cons et moi le premier, on va pas se battre.
I am Welcomed in the Home of Ravens and Other Scavengers in the Wake of Warriors, I am Friend to Carrion Crows and Wolves. I am Carry Me and Kill with Me, and Die with Me Where the Road Ends. I am not the Honeyed Promise of Length of Life in Years to Come, I am the Iron Promise of Never Being a Slave.
Au printemps, je vais quelquefois m'asseoir à la lisière d'un champ fleuri.
Lorsqu'une belle jeune fille m'apporte une coupe de vin , je ne pense guère à mon salut.
Si j'avais cette préoccupation, je vaudrais moins qu'un chien
Au printemps, je vais quelquefois m'asseoir à la lisière d'un champ fleuri.
Lorsqu'une belle jeune fille m'apporte une coupe de vin , je ne pense guère à mon salut.
Si j'avais cette préoccupation, je vaudrais moins qu'un chien