Paragraphe 34, pour Thrawn, Palpat', Jolou et Sent
Comprenant qu'il serait vain de tenter de vous frayer un chemin à travers la cohue, vous faites entrer vos hommes dans la boutique d'un fabricant de chandelles, de l'autre côté de la place, face à la Bastille. Là, vous grimpez rapidement l'escalier, en dépit des protestations du boutiquier craintivement réfugié derrière son comptoir, et vous déployez votre petite troupe devant les fenêtres du dernier étage. D'un coup de crosse de pistolet, vous fracassez une croisée en faisant pleuvoir des éclats de verre sur le pavé irrégulier de la chaussée. Ce ne sont pas les cibles qui manquent, et vous ouvrez posément le feu sur la populace agglutinée autour du portail de la prison qui vous fait face. Tiens un gros barbu en masque de klingon. Et hop, en même temps avec son costume bariolé il est pas dur à tirer. Ah il y en a un avec une faucille et un marteau, mais il est caché derrière une cinquantaines d'hommes armés jusqu'au dent, mais exclusivement pacifiques, bien entendu. Vos hommes canardent la foule par les autres fenêtres. Quelques manifestants, parmi les plus proches, tentent de riposter, mais ils sont rapidement éliminés par vos tireurs d'élite. D'autres essayent sans grande conviction de pénétrer dans la boutique du rez-de-chaussée, mais votre sergent y a posté des hommes pour empêcher toute intrusion, et ils sont facilement repoussés. Malgré l'aide que vos tirailleurs apportent aux défenseurs de la forteresse, les émeutiers amènent un chariot lourdement chargé devant le portail et s'en servent comme d'un bélier pour l'enfoncer. A la troisième tentative, la porte cède, et la populace s'engouffre dans la brèche. La Bastille est prise. Il faudra penser à établir d'urgence un couvre feu pour les japonaises et les calamars. Le sort de ses occupants semble désormais réglé, et vous devez veiller à la sécurité de vos propres hommes. Ayant atteint son objectif, la foule risque maintenant de se retourner contre vous. Aussi, après avoir commandé à vos soldats de poursuivre un tir de harcèlement, vous mettez-vous en quête d'une autre issue. La place sur laquelle donne la maison est une voie de repli trop exposée. A l'arrière du bâtiment, une petite porte donne sur un passage qui, pour l'instant, paraît relativement sûr, mais peut-être pas pour longtemps. Vous remontez à l'étage supérieur ; vous devez maintenant prendre une décision : allez-vous évacuer vos hommes par la porte du passage (rendez-vous au 178) ou leur faire attaquer les émeutiers (rendez-vous au 73) ?