Le Quartier Général

Tatanka Yokanta a écrit :La suite La suite la suite

• Quelque chose me dit que tu risques d'attendre longtemps.

Pas tant que ça. On a repris après moults nouvelles péripéties dallasiennes. Le tour va se finir dans 1 ou 2 impulses.

Ben oui ... A quand la suite ?

Tatanka Yokanta a écrit :Ben oui ... A quand la suite ?

Je plousoi puissance 10, je viens de lire durand ces 4 derniers jours cet aar. Je me suis bien bidonner.
bravo a l'auteur et a son adversaire. Meme l'episode de la mouche m'a amuse

Danton est un lafrite (belge chieur, sournois, vil, tricheur, mesquin, fourbe)

On devait jouer dimanche soir, lundi soir, mardi soir et vendredi soir, avec des réserves pour mardi et mercredi car j'étais dans un hôtel sans idée de la qualité de la connexion internet.

Résultat :
Dimanche on a joué
Lundi on a pas pu à cause de la connexion de l'hôtel
Mardi on a pas pu car ce gros blaireau ne s'est pas connecté de la journée sur le QG pour voir que je lui avais dit avoir réglé le prob de la connexion.
Vendredi il m'a carrément posé un lapin

Forcément, on avance pas......

Euh... Nouvel épisode...

Mon ordi a explosé hier soir dans un déchaînement de violence aveugle et apocalyptique, des saboteurs marseillais acquis au Reich malfaisant sont soupçonnés

Bref, je n'ai plus d'ordi à présent, la série noire continue

Cet interminable tour (commencé début août si je ne me trompe pas ) n'est pas prêt de se terminer, ce qui ne m'arrange pas (je vous livre en effet les derniers jets de dé du marseillais lors des violents combats en Urss: 17, 19, 16 et 18 ). Enfin, c'est de mémoire, là je ne suis pas chez moi (plus de pc ), mais c'est dans cet ordre de grandeur. Il va nous parler de Kwajalein, je le sens

Il s'est passé énormément de choses durant ce tour non terminé, mais la malédiction qui me persécute depuis le début de la campagne de Russie ne se limite plus à présent à wif... Après la barrette de mémoire grillée, c'est l'alimentation et l'explosion pure et simple. Il y a du vaudou là dessous et je connais le coupable

Kwajalein ou l'extermination des 2 seules unités de marines américaines et d'une div sur un magnifique jet de merde (3-4 de mémoire). Plus de possibilité de débarquer dans le pacifique avant plusieurs mois et le japonais qui pleure de joie.

Tu as 3 unités de Marines

La dernière se trouve je ne sais plus où et comme je n'ai plus de pc...

Le Japon rit, j'en conviens, mais il est bien le seul

Je veux bien te rendre tes Marines si tu me rends mes blindés

Le Dantonisme l'emportera! (dès que j'aurai un pc )

Rectification, tu n'as que deux unités de Marines


Mai / Juin 1942 enfin terminé

Un tour interminable de 11 impulses

Je peux déjà vous annoncer les grandes lignes:

- Sur le front occidental, les Marseillais Anglo-Saxons ont repris pied sur le continent et commencent à afficher une production affolante .

- Sur le front de l'Est, la Fortuna a systématiquement favorisé l'attaquant: aucune attaque, marseillaise ou dantonienne, n'a échoué. Au final, attaques et contre-attaques se sont succédées pour un quasi statu quo qui n'est pas une bonne chose pour moi... (en même temps, avec la campagne de 41 ruinée par le mauvais temps, ce n'est pas une surprise)

- Sur le front Pacifique, la Flotte et l'Armée Impériale Dantonienne continue sa progression avec l'élégance et le panache qui sont les siens depuis toujours, la première contre-offensive marseillaise d'envergure s'est soldée par un désastre


En conclusion, n'étant pas un habitué de la mauvaise foi de et de la propagande , je dirais que le Dantonisme Universel est certes menacé, mais la Victoire Finale sera mienne

fafl a écrit :

Tatanka Yokanta a écrit :Ben oui ... A quand la suite ?

Je plousoi puissance 10, je viens de lire durand ces 4 derniers jours cet aar. Je me suis bien bidonner.
bravo a l'auteur et a son adversaire. Meme l'episode de la mouche m'a amuse

Merci, mais quelle est donc cette histoire de mouche?


Bon, puisque vous insistez, je me tape une fois de plus tout le boulot (feignasse marseillaise ) pour poster la suite.

Mai / Juin 1942. Le tour le plus long (quasi 4 mois IRL )


La guerre du Pacifique

Alors que le Japon Dantonien, surpris, a atteint en quatre petits mois l’ensemble de ses objectifs de la première vague, la riposte marseillaise s’organise enfin et les Etats-Unis jettent dans la bataille leurs considérables moyens . Leurs sous-marins déboulent en mer du Japon, l’US Navy surgit massivement au large des îles Marshall et, enfin, des fantassins débarquent en Australie, à Sydney.


La pression Dantonienne s’accentue en effet dans le sud du Pacifique : Wewak, en Papouasie, Guadalcanal, dans les îles Salomon et, toujours plus au sud, Port Vila, dans les îles Hébrides, tombent sous les coups des Marines Nippons, qui s’enfoncent sans rencontrer de résistance sérieuse. Plus inquiétant encore pour les Alliés Marseillais, deux porte-avions déboulent en mer de Tasmanie et s’attaquent aux navires amphibies Us réfugiés dans le port de Sydney : ils sont endommagés, mais évitent la destruction complète .


Pris à la gorge, les marseillais décident de riposter enfin et lancent une puissante opération combinée dans les îles Marshall afin de stopper la marée Impériale Dantonienne, mais les cafouillages se multiplient : la petite flotte lancée dans les Mariannes échoue à couler les convois de ravitaillement nippons, les bombardiers lancés contre Kwajalein sont pris à partie par la chasse Nippone, qui abat plus de 50 bombardiers (un Nav de porte-avion) et, enfin, quand l’élite US entre en action, la farouche résistance des troupes Impériales offre à Tokyo sa première grande victoire défensive contre l’ennemi américain ! Deux grandes unités de Marines US sont massacrées, Kwajalein reste dans les fermes mains Dantoniennes, malgré la destruction de sa garnison (3 pertes Us contre une garnison Nippone !)


Le Dantonisme Universel enfonce le couteau dans la plaie en expédiant deux porte-avions dans les Mariannes, qui coulent l’Héléna, endommagent le Saint-Louis et provoquent le repli Us de la zone maritime. Des renforts sont en outre envoyés à Kwajalein, tombeau des Marines US .



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Plus à l’ouest, l’Armée Impériale avance en Birmanie, mais le mauvais temps complique les opérations et les premiers renforts Britanniques surgissent dans les montagnes à la frontière Indienne. 150.000 tonnes de convois (3 points) sont néanmoins envoyés par le fond par les sous-marins Japonais, maigre résultat.



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Conclusion. Une fois de plus, la chance infernale marseillaise, omniprésente en Europe, semble s’arrêter aux frontières du Pacifique

Le front de l’Est


L’Armée Rouge fête le retour du beau temps à sa sinistre manière : Joukov lance toutes ses forces dans la bataille, s’abattant comme un gros lâche contre Guderian, qui vient de franchir héroïquement le Dniepr au sud de Dnepropetrovsk, mais qui se retrouve bien seul suite à l’ignoble contre-offensive de Yeremenko. 900 bombardiers s’abattent contre le héros, la Luftwaffe intervient en vain et le matraquage désorganise l’ensemble des unités qui viennent de franchir le grand fleuve (à noter un triple D10 marseillais qui se passe de tout commentaire quand on sait que les petits résultats sont les meilleurs pour bombarder : 1, 2 et 3… )


A la tête de 1.500 T-34, Joukov, à peine freiné par une nouvelle (et vaine ) intervention de la Luftwaffe, écrase les panzers, Guderian est rapatrié de toute urgence à Berlin (blitz), nomme la 4° unité de la Garde Mécanisée suite à cette victoire et poursuit impitoyablement sur sa lancée : le quartier-général Antonescu est pulvérisé ainsi que 300 B-109, le désastre est complet (Note de l’auteur : le coup marseillais était particulièrement vicieux en ce sens que l’écrasement d’Antonescu n’a été rendu possible que suite à la promotion de l’unité mécanisée après la victoire contre Guderian…)


A Berlin, la colère est à son comble, le Dantonisme Universel exige une riposte sanglante et impitoyable : le 8 mai, l’Opération Représailles est lancée et confiée au Groupe d’Armée Centre. Il s’agit d’une attaque de très grand style, menée de main de maître : les Stukas et l’artillerie pilonnent les positions Soviétiques au nord de Gomel et à l’est de Smolensk, puis un troupeau de 2.500 panzers, soutenu par le largage de deux unités de parachutistes Germano-Italiens s’élance à l’assaut !

500 T-34 et une unité d’infanterie d’élite sont pulvérisées, les panzers s’engouffrent dans la brèche, mais, dans leur volonté de traquer les fuyards marseillais (et d’atteindre un jour Moscou ), les blindés prennent des risques sérieux, la pointe avancée, qui atteint les faubourgs de Bryansk, est ainsi fort isolée, à la merci d’une contre-attaque. De l’audace, toujours de l’audace, encore de l’audace se dit-on à Berlin : la chance ne sera pas toujours du côté marseillais (tu parles, Charles)




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A suivre

La Fortuna, une fois de plus, ne va guère sourire à l’Audacieux Danton (c’est moi ) : menés par Timoshenko, les marseillais contre-attaquent au centre, dans les forêts et, comme toujours, l’intervention de la Luftwaffe ne servira à rien : les Stukas et B-109 sont repoussés . L’attaque n’en demeure cependant pas moins très risquée… Mais la chance infernale marseillaise fera la différence : 750 panzers sont atomisés, les attaquants sont intacts et en pleine forme pour repartir sur leur lancée .


Des événements dramatiques en Europe Occidentale limitent la réaction de la Wehrmacht (impulse combinée nécessaire ), qui décide de bétonner sa défense en attendant de pouvori repartir en avant. Des stukas sont envoyés contre Yeremenko (échec, ô surprise ), d’autres prennent position à portée des panzers, qui sont regroupés en plaine, force de frappe redoutable et quasi invulnérable. En outre, dans le grand nord, le Groupe d’Armée Nord de Leeb pousse toujours plus à l’est : les faubourgs de Vologda sont atteints, la route de Mourmansk est définitivement et complètement coupée.


Arrive alors l’ignoble coup du Destin, un de plus : les tempêtes incessantes ont ruinés la campagne à l’est de 41, la neige tombe pile au mauvais moment pour ruiner à présent la campagne de 42 . Yeremenko, survivant du raid aérien de la Luftwaffe, rassemble toutes les unités Soviétiques spécialisées dans les combats sous la neige et lance l’assaut contre des panzers aux moteurs complètement gelés, incapables de se défendre et trop mollement soutenus par les Stukas en butte eux aussi aux éléments climatiques particulièrement défavorables (note de l’auteur : attaque à +9… Avec exactement les mêmes unités, mais avec du beau temps, cela aurait été du +3 seulement, autant dire qu’il n’y aurait pas eu de contre-attaque. Mais bon, il n’y avait « que » 10% de chance d’avoir de la neige à cette impulse décisive…)


Un carnage abominable (et un « 16 » roulé pour conclure en beauté, tant qu’à faire… ), plus de 1.000 panzers pulvérisés, vient sceller les espoirs de victoire du Groupe d’Armée Centre et, à Berlin, l’on ressort les manuels de la campagne de Russie de 1812 : le calvaire de la Grande Armée va-t-il se répéter ? 50% de la force blindée combinée des GAC et du GAN ont en effet disparus.

Le Dantonisme Universel expédie sur le front tout ce qu’il peut pour stopper la horde furieuse et, au nord de Gomel, une farouche bataille commence : les T-34 se heurtent avec violence aux fanatiques du Régime Dantonien, les parachutistes allemands et les fantassins SS Autrichiens. Le choc est d’une rare violence, les Dantoniens retournent en Allemagne pour se réorganiser (blitzés), mais les marseillais montrent enfin des signes de fatigue et d’essoufflement .

De nouveaux éléments dramatiques en Europe occidentale interdit une réaction efficace (impulse combinée à nouveau nécessaire ) : harcelé sur deux fronts, victime du climat, de la malchance, d’une erreur stratégique à l’ouest (j’y reviendrai) et des explosions informatiques au pire moment, le Régime semble vaciller, mais c’est à ce moment que, contre toute attente, l’Armée Rouge Marseillaise cesse son offensive vers l’ouest et se replie prudemment. Il n’en fallait pas plus pour redonner confiance et combativité au Dantonisme Universel qui, alors qu’il était il y a peu encore si proche du gouffre, ordonne une contre-offensive de grande ampleur sur l’ensemble du front de l’Est !


Le 25 juin, le reliquat de panzers passe à l’offensive au nord : le Finlandais Mannerheim écrabouille deux grandes unités de fantassins Soviétiques et menace les flancs des T-34 victorieux mais en plein replis néanmoins (les Gros Lâches ). Plus audacieux encore, au sud, Manstein relance un assaut à travers le Dniepr, juste à l’est de Kiev et, cette fois, les défenseurs sont pulvérisés, la Wehrmacht franchit le grand fleuve et prend position sur la rive orientale, prête pour la campagne d’été ! Le Dantonisme Universel et Eternel n’a pas dit son dernier mot ! L’Armée Rouge effectue alors un replis partie au sud, mais qui reste très limité.




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Danton a écrit :le général Umezu tente aussitôt l’assaut, qui demeure risqué, contre la grande ville chinoise farouchement défendue par Mao : la victoire est totale, le très important bastion communiste tombe entre les mains de l’Armée Impériale, qui remporte là son plus éclatant succès sur le continent depuis des mois . Cerise sur le gâteau, le quartier-général Mao est pulvérisé au cours de l’assaut.[\quote]

Danton a écrit :L’attaque n’en demeure cependant pas moins très risquée… Mais la chance infernale marseillaise fera la différence

C'est marrant la différence de traitement vous ne trouvez pas ? J'ai relu tous les passages sur la guerre sino-japonaise de 39 à 40 (avant que la Chine soit définitivement out) et pas une seule fois je n'ai lu le mot chance, moule, chatte, cocu ou assimilé pour désigner les attaques victorieuses du boulet alors même qu'il a aussi parfois lancé des assaut "très risqués" à +6 (comme moi en Russie). Edifiant non ?

Danton a écrit : la Luftwaffe intervient en vain et le matraquage désorganise l’ensemble des unités qui viennent de franchir le grand fleuve (à noter un triple D10 marseillais qui se passe de tout commentaire quand on sait que les petits résultats sont les meilleurs pour bombarder : 1, 2 et 3… )

Et ça continue dans la pleurnicherie . Pourquoi tu ne relèves que mes jets de dés mais jamais les tiens ? Alors oui j'ai fait 1,2,3 avec le 1er des 2 bombardiers de 4 que j'ai envoyé (car même s'il n'a pas servi, le 2e était prévu et a été bouffé). Tu viens de faire exactement la même chose récemment en retournant 3 pions avec 2 bombardiers (5 et 3) est ce que tu vas en parler dans ton aar ? Oh je sais que non , tu vas plutôt parler de ce ground strike que tu as totalement foiré avec 2 bombardiers à 6 et 5 de souvenir .


Lecteurs, au cas où vous ne le sauriez pas, vous participez à un examen de manipulation de l'opinion publique que passe le gros boulet pour son doctorat de mauvaise foi

lemarseillais a écrit :. Pourquoi tu ne relèves que mes jets de dés mais jamais les tiens ?

Tu veux que je précise mes jets de dés?

Pas de soucis, le bon peuple QGéens a le droit de savoir.

Alors, mon dernier jet de dé pour un combat, c'était en URSS, et j'ai fait... J'ai fait?

Voyons, un combat, c'est 2D10...

Et j'ai fait? J'ai fait?

Tiens? On ne t'entends plus subitement?


Ah oui, 2


Tu as raison, je me dois de le préciser, ainsi nul n'ignorera que la malchance continue de me persécuter


Combat avec un très honorable +7, désastre sans nom suite à un 2 sur 2D10, tu as raison, je me dois de préciser mes jets de dés, tous plus pourris les uns que les autres

Oh, les combats aériens, j'oubliais les combats aériens!

Forces égales et, dans les 4 derniers combats, un résultat édifiant: 4 unités allemandes pulvérisées (avec notamment un "20"... De ton côté naturellement ) contre... Contre? Ah oui, aucune.

T'as raison, je dois vraiment préciser les jets de dés, gros cocu tricheur

lemarseillais a écrit :[ Tu viens de faire exactement la même chose récemment en retournant 3 pions avec 2 bombardiers (5 et 3) est ce que tu vas en parler dans ton aar ?

Négatif, j'avais 3 bombardiers: 6, 5 et encore 5, donc bon, avec une force pareille, striker les 3 unités n'a rien d'exceptionnel (et encore n'y suis-je arrivé que tout juste, le dernier jet de dé m'ayant permis de clouer la 3° unité )

Curieux comme ta mémoire semble défaillante