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Re: Challenge LDVELH - L'Ombre de la Guillotine

Posté : mer. oct. 23, 2013 11:46 am
par Emp_Palpatine
A la Restauration, il y aura des peintures et des oratoires en mon honneur. :o:

Re: Challenge LDVELH - L'Ombre de la Guillotine

Posté : mer. oct. 23, 2013 2:47 pm
par rooom
L'autre possibilité m'a tenté mais une fois l'adrénaline tombé, il faut surtout sauvé sa peau :o:

179

Re: Challenge LDVELH - L'Ombre de la Guillotine

Posté : mer. oct. 23, 2013 2:50 pm
par mad
Emp_Palpatine a écrit :A la Restauration, il y aura des peintures et des oratoires en mon honneur. :o:
"L'homme qui se fit découper le jarret par un boucher à l'ombre de la Bastille"
Oui effectivement, ça mériterait de passer à la postérité aux côtés du pauvre De Launey :o:

Re: Challenge LDVELH - L'Ombre de la Guillotine

Posté : mer. oct. 23, 2013 4:32 pm
par Emp_Palpatine
Pour les héros, on trouve toujours des formulations plus adaptées à l'oubli de circonstances parfois minables. :o:

Re: Challenge LDVELH - L'Ombre de la Guillotine

Posté : mer. oct. 23, 2013 6:17 pm
par Greyhunter
Comme "Il voulut être César, il finit Pompée."? :lolmdr:

Re: Challenge LDVELH - L'Ombre de la Guillotine

Posté : mer. oct. 23, 2013 6:29 pm
par Emp_Palpatine
On trouve des trucs du genre "enroulé dans le drapeau il fit le sacrifice de sa vie" ou je sais pas quoi.
Alors qu'en fait le type a glissé comme un débile et s'est fait tranché comme ça. :o:

Re: Challenge LDVELH - L'Ombre de la Guillotine

Posté : mer. oct. 23, 2013 6:36 pm
par SeNTEnZa
Greyhunter a écrit :Comme "Il voulut être César, il finit Pompée."? :lolmdr:
il n'a jamais été un héros lui ... en entrant dans le néant il a dû se sentir chez lui

Re: Challenge LDVELH - L'Ombre de la Guillotine

Posté : mer. oct. 23, 2013 6:41 pm
par griffon
Coelio a écrit :Mais, alors que sombre l'Europe dans l'instant mordoré de son déclin annoncé :frederic mitterrand:, nos glorieux vétérans ont le blues :(

Paragraphe 198 pour Aheuc, Griffon et Room
Hors d'haleine, vous essuyez votre épée sur le cadavre de votre adversaire. Au moment où vous la remettez dans son fourreau, votre attention est attirée par les cris de la populace, à l'intérieur de la forteresse. Une grande clameur salue la libération des prisonniers. Le marquis de Locke est libre, il danse sur un char de fabricant de lingerie fine ! En regardant les corps sans vie de Mad, Flump et Palpat' (enfin pour palpat' il ne reste que la tête, sur une pique. D'ailleurs vous n'êtes pas certain que c'est celle de Palpat', on dirait celle de Kadhafi. Ou de Lionnel Astier. Ou de Christophe Bourseiller.), vous ressentez un brusque remords. Tout cela justifie-t-il vraiment la mort d'un vieux camarade ? Vous éprouvez le besoin de prendre vos distances et de réfléchir à votre avenir, comme dans un film Aheucien avec Benjamin Biolay et Chiara Mastroianni. Si vous désirez trouver un endroit où vous faire oublier pendant un certain temps, rendez-vous au 179. Si, écœuré par le comportement des révolutionnaires, vous êtes l'objet d'un revirement complet d'opinion et souhaitez réintégrer l'armée, rendez-vous au 244.

c'est tout comme choix ?

je n'ai aucune envie de me faire oublier :? des remords pour quoi ? je n'ai qu'une envie

voter la mort de Louis à la tribune de la convention .....

Je ne vivrais pas vieux mais qu'importe :o:

Qui voudrait passer , à force de compromis , de l'état de suppôt des tyrans à celui de conventionnel

avant de finir directeur , consul et cerise sur le gâteau pair du roi sous Charles X ? :froid:

Qui serait assez vil ? :?

179 mais juste quelques mn pour rendre hommage au patriote Urial

Re: Challenge LDVELH - L'Ombre de la Guillotine

Posté : mer. oct. 23, 2013 6:58 pm
par Coelio
La deuxième partie est passée, vous êtes encore 10 en piste :clap:

Enchainons sur un nouvel épisode et laissons un peu se dérouler l'histoire...

Paragraphe 114 pour Reborn, Sval, Strat et Jmlo
Mêlé à la foule exubérante, vous vous esquivez sans vous faire remarquer et vous vous éloignez aussi vite que possible de la scène du carnage. Vous entendez cependant un type avec un faucille et un marteau vous hurler dessus en vous voyant vous éloigner "Belle trahison Patrocle !". Vous ne comprenez pas ce qu'il vous veut ni qui est ce Patrocle. Vous atteignez bientôt un quartier plus tranquille et moins peuplé que celui que vous venez de quitter. Il ne vous reste plus qu'à vous démarquer complètement de la populace. Après vous être débarrassé de votre brassard tricolore et de votre bonnet phrygien, vous allez frapper à la porte d'une modeste maison meublée. Rendez-vous au 179 rejoindre les extreme-griffonistes qui EUX ont risqué leur peau pendant que vous étiez au bistrot.
Paragraphe 179 pour Reborn, Aheuc, Sval, Strat, Griffon, Jmlo et Room
Louer une chambre dans une pension de la ville et vous y faire oublier ne présente aucune difficulté au milieu d'un tel chambardement. Vous écrivez à mots couverts à votre mère pour lui communiquer votre adresse, en lui recommandant de ne la révéler à personne. Les semaines suivantes s'écoulent lentement. Vous vous levez à 14h, puis enchainez avec une sieste à 15h et passez votre nuit à regarder du snooker à la télé.
Les jours se suivent, jalonnés de petites escarmouches entre factions loyalistes et révolutionnaires, mais, d'un côté comme de l'autre, on paraît marquer le pas dans l'attente de l'étincelle, surgie d'on ne sait où, qui mettra le feu aux poudres et déclenchera l'inéluctable affrontement. En surface, la ville a repris son aspect habituel, mais, sous ce calme apparent, les rancœurs et les injustices demeurent. Paris est une poudrière qui n'attend qu'un brûlot pour exploser (ou un screen de Griffon)... A la mi-août, vous recevez une lettre. Reconnaissant l'écriture de votre mère, vous vous hâtez de l'ouvrir. Enfin des nouvelles de votre famille !
Cher Philippe,
J'espère que cette lettre vous trouvera en bonne santé. Vous m'avez demandé de ne parler de vous à personne. Il y a trois jours, deux militaires sont venus me demander si j'avais de vos nouvelles. Ils ont déclaré que vous étiez un déserteur et que vous aviez trahi le roi. Je ne les ai pas crus. Philippe, mon fils, que vous est-il arrivé ? J'aurais voulu pouvoir vous annoncer de vive voix les graves nouvelles que j'ai à vous apprendre, mais je comprends que vous devez rester caché durant quelque temps. Philippe, mon fils unique bien-aimé, votre père n'est plus. Je sais que ce sera un choc terrible pour vous. Je vous jure qu'il n'a pas souffert. Il s'est éteint paisiblement dans son sommeil, il y a plus d'une semaine de cela.
J'ai pensé qu'il serait dangereux pour vous d'assister aux funérailles, c'est pourquoi j'ai tardé à vous écrire. Cependant, Philippe, maintenant que je suis seule, j'ai besoin de votre aide. Je n'ai personne d'autre à qui m'adresser. Le baron de Gilou a introduit une action en revendication sur les biens de votre père. Il semble qu'il ait prêté de l'argent à votre père il y a bien des années de cela et qu'il n'ait jamais été remboursé. Mon fils chéri, vous devez agir dans cette affaire selon votre cœur. Vous êtes le seul à savoir quel danger vous ferait courir votre retour à la maison.
N'oubliez jamais que je vous aime plus que tout au monde.
Votre mère affectionnée,
Antoinette d'Auvergne

Si vous êtes disposé à prendre le risque de retourner chez vous, rendez-vous au 92. Si vous estimez plus prudent de rester à Paris, rendez-vous au 29.

Re: Challenge LDVELH - L'Ombre de la Guillotine

Posté : mer. oct. 23, 2013 7:04 pm
par Reborn
92 - On part au secours de sa maman ! Image

Re: Challenge LDVELH - L'Ombre de la Guillotine

Posté : mer. oct. 23, 2013 7:07 pm
par Coelio
Quant aux royalistes dragoulistes qui ont laissé le cadavre de Palpat' en haut d'une pique :

Paragraphe 178 pour Thrawn, Jolou et Sent'
L'anarchie règne dans les rues. Les boutiques sont mises à sac, et les ruelles sont jonchées de cadavres. La garnison de la Bastille s'est défendue avec énergie, avant de succomber sous le nombre. Palpat' aussi d'ailleurs. Mais vous vous dites que vous n'allez pas forcément raconter à votre hiérarchie que vous l'avez laissé se faire tuer tout seul. En ramenant vos hommes au Palais de Justice, vous vous heurtez à quelques îlots de résistance, mais, tout éprouvée qu'elle soit, votre petite troupe est encore un adversaire trop dangereux pour les bandes indisciplinées qui vous barrent la route. Quelques volées de balles bien ajustées suffisent à disperser les plus téméraires. Lorsque vous vous éloignez du théâtre de la bataille, les vociférations de la populace victorieuse s'estompent dans le lointain, mais les cris des infortunés défenseurs résonnent encore dans vos oreilles. Ou serait-ce les cris des jeunes asiatiques que le marquis de Locke est allé visiter pour se défouler de ses mois d'incarcération ? Les pertes et les désertions ont réduit l'effectif de votre compagnie de plus de la moitié, depuis qu'elle est sortie du quartier, quelques heures seulement auparavant. On vient de mettre plusieurs canons en batterie pour protéger l'accès de la caserne. En haut lieu, quelqu'un prend cette émeute très au sérieux, et, en regardant les survivants en lambeaux de votre compagnie, vous ne pouvez vous empêcher de lui donner raison... et espérer qu'il n'est pas trop tard pour la France et pour le roi. En arrivant dans la cour d'honneur, vous rompez les rangs et vous vous hâtez d'aller vous présenter à votre colonel, le fameux colonel Bébert. Rendez-vous au 277.
Paragraphe 277 pour Thrawn, Jolou et Sent'
Les graves nouvelles que vous apportez n'amènent aucune réaction visible chez le colonel Bébert. Il vous écoute, le visage fermé, impénétrable. Son oeil droit est aussi est fermé d'ailleurs, et il a des cocards partout. Vous jugez plus prudent de ne pas lui poser de questions.
— C'est ce que je craignais, dit-il. La populace a pris l'initiative. Nous ne sommes plus maîtres de la rue. Et j'ai payé pour le savoir. Ca m'a rappelé les milices fascistes de Valls quand nous manifestions pacifiquement avec mes amis de Civitas.
Il tend la main vers le plan de Paris suspendu au mur, derrière son bureau, et vous demande quelles sont les artères encore dégagées. Vous continuez votre rapport, et l'expression du colonel devient encore plus dure. Lorsque vous avez terminé, il hoche la tête.
— Vous ne pouviez pas faire grand-chose, capitaine. Nous avons sous-estimé la puissance de la foule. Cela dit, on nous demande d'envoyer des troupes à Versailles de toute urgence pour renforcer la garnison. Vous avez déjà eu affaire à la populace, aussi je vous envoie là-bas avec vos hommes. Et vous avez de la chance, Versailles c'est nettement mieux que Paris, les gens vont à la messe au moins.
— De quels renforts puis-je disposer pour remplacer les soldats que j'ai perdus ? demandez-vous.
— D'aucun, rétorque-t-il. Je n'ai pas trop de tous les hommes en état de tenir un fusil pour défendre les rues qui entourent ce quartier général. Donnez une heure de repos à votre compagnie, puis mettez-vous en route pour le Palais. Moi je vais retrouver les pouilleux qui m'ont amoché et je vais leur montrer que dans le barreau aussi on cause viril, comme dirait mon copain Karim Achoui.
Rendez-vous au 261.
Paragraphe 261 pour Thrawn, Jolou et Sent'
Les semaines suivantes s'écoulent lentement. En surface, la ville a repris son aspect habituel, mais, sous ce calme apparent, les rancœurs et les injustices demeurent. Paris est une poudrière qui n'attend qu'un brûlot pour exploser... A Versailles, le service de la Garde n'est pas épuisant, et vous avez tout le temps de réfléchir à votre situation. Un peu comme Sent' au quotidien en fait. Il est évident que le spectre de la mort ne va pas tarder à planer de nouveau sur les rues de la capitale. A la mi-août, vous recevez une lettre. Reconnaissant l'écriture de votre mère, vous vous hâtez de l'ouvrir. Enfin des nouvelles de votre famille !
Cher Philippe,
J'espère que cette lettre vous trouvera en bonne santé. J'aurais voulu pouvoir vous-annoncer de vive voix les graves nouvelles que j'ai à vous apprendre, mais je comprends que votre devoir vous interdit de vous éloigner du roi. Philippe, mon fils unique bien-aimé, votre père n'est plus. Je sais que ce sera un choc terrible pour vous. Je vous jure qu'il n'a pas souffert. Il s'est éteint paisiblement dans son sommeil, il y a près d'une semaine de cela.
J'ai pensé que vous ne pourriez pas arriver à temps pour l'enterrement, c'est pourquoi je ne vous ai pas écrit plus tôt. Cependant, Philippe, maintenant que je suis seule, j'ai bien besoin de votre aide. Je n'ai personne d'autre à qui m'adresser. Le baron de Paton a introduit une action en revendication sur les biens de votre père. Il semble qu'il ait prêté de l'argent à votre père il y a bien des années de cela et qu’il n’ait jamais été remboursé.
Mon fils, vous devez agir dans cette affaire selon votre conscience. Vous êtes le seul à savoir où se trouve votre devoir. N'oubliez jamais que je vous aime plus que tout au monde.
Votre mère affectionnée,
Antoinette d'Auvergne

Si vous décidez de rentrer chez vous, rendez-vous au 92. Si vous estimez que votre place est dans la capitale, rendez-vous au 238.
Alors, qui va voir maman ? :o:

Re: Challenge LDVELH - L'Ombre de la Guillotine

Posté : mer. oct. 23, 2013 7:13 pm
par GA_Thrawn
On s'en fout de la vioque, ma place est auprès du roi!

238

Re: Challenge LDVELH - L'Ombre de la Guillotine

Posté : mer. oct. 23, 2013 7:21 pm
par SeNTEnZa
rentrer en Auvergne ??? ... plutôt se faire couper la tête à Paris 238

en plus j'imagine bien une vieille souricière sur l'autre option... :goutte:

Re: Challenge LDVELH - L'Ombre de la Guillotine

Posté : mer. oct. 23, 2013 7:21 pm
par griffon
C'est ici que ca se passe

29

Re: Challenge LDVELH - L'Ombre de la Guillotine

Posté : mer. oct. 23, 2013 7:32 pm
par jolou
Moi je dis, je reste avec mes compagnon d'armes (Déja qu'on en a perdu un car on c'est séparé, Pov Palpat :chicos: ) Go au 238