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I am Welcomed in the Home of Ravens and Other Scavengers in the Wake of Warriors, I am Friend to Carrion Crows and Wolves. I am Carry Me and Kill with Me, and Die with Me Where the Road Ends. I am not the Honeyed Promise of Length of Life in Years to Come, I am the Iron Promise of Never Being a Slave.
Etrangement j'ai pensé à toi en la sortant, je pensais bien que cela te parleraitmad a écrit :Cette référence m'a quand même beaucoup amusé
C'est mon idée prioritaire pour le prochain jeumad a écrit :Tout cela m'a donné envie de retrouver les livres traitant de la Table Ronde (enfin plutôt de ce qui se passait plus ou moins autour) de mémoire ils étaient vraiment très drôles...
Pants on firemad a écrit :Tout cela m'a donné envie de retrouver les livres traitant de la Table Ronde (enfin plutôt de ce qui se passait plus ou moins autour) de mémoire ils étaient vraiment très drôles...
Et leMalgré la lettre de votre mère, vous estimez que ce qui se passe à Paris exige plus impérativement votre présence que vos affaires de famille. Vous avez par ailleurs bien retenu le fameux théorème de Palpat'-Flump, qui stipule clairement que toute action un peu virilr peut vous mener à la mort. Cependant, une nouvelle semaine s'écoule sans apporter aucun changement à la situation. Le roi et sa famille restent en sûreté à Versailles, et le rôle de la Garde commence à dégénérer en routine monotone. Huit jours après la première lettre de votre mère, il en arrive une seconde. Cette fois encore, elle vous demande votre aide, mais son ton est de plus en plus désespéré. Elle vous indique par ailleurs que si vous ne venez pas elle va passer voir son Notaire et vous déshériter totalement au profit de sa femme de ménage portugaise. Ne voyant aucune raison impérative de demeurer à Paris pour l'instant, vous allez trouver le colonel Bébert, toujours fervent défenseur de la Famille Française, qui ne fait aucune difficulté pour vous accorder une permission exceptionnelle pour raisons de famille. On vous munit de tous les papiers voulus, et le voyage à travers la campagne se déroule sans encombre, en dehors de la nécessité de rester continuellement sur le qui-vive, à cause des bandes de malandrins qui sont de plus en plus nombreuses. Rendez-vous au 92.
Allez hop, tout le monde chez mamanMalgré la lettre de votre mère, vous estimez qu'il ne serait pas raisonnable de retourner dans le petit village où vous êtes né. A l'heure qu'il est, la nouvelle de votre désertion a dû y parvenir, et il est plus sage de rester caché à Paris, comme une respectable queue-plate de sous-préfecture. Mais, la semaine suivante, une deuxième lettre, encore plus désespérée que la première, vous parvient, et il est manifeste que votre mère a un besoin urgent de votre aide. Au mépris de toute prudence, vous vous apprêtez à quitter la capitale. Sortir de la ville ne pose pas de problème. La populace a acquis une telle puissance que plusieurs des portes sont maintenant entre ses mains. Déguisé en ouvrier agricole cherchant de l'embauche, dans un vieux manteau qui sent des pieds :jmlo:, vous traversez la campagne sans attirer l'attention. Rendez-vous au 92.