griffon a écrit :j'aime bien cette analyse que je partage totalement
"This essentially ahistorical, and indeed hysterical approach, can only be understood as a feature of the politics of the reactionary right of our own time"
C'est pas une analyse historique.
C'est une prise de position politique. Ce n'est pas du langage "scientifique", c'est de l'imprécation.
Pour répondre à Palpat , bien sur qu'il y eu des combats , des massacres apres Savenay
et toujours des deux cotés mais comme l'ensemble des bleus et patriotes du pays
etc, etc, etc
L'ensemble des "patriotes" (déjà, rien que ce terme

) exterminés?! On se demande qui affabule et exagère dans tout ça.
'Vais finir par ressortir mes bouquins.
Mais le reste, les jugements à l'emporte-pièce nauséabonds sur "c'est des prêtres, faut les tuer", sans commentaire...
Surtout que le mouvement, qui commence contre la conscription, est paysan, et que c'est ce qui fait sans doute le plus bugguer (et qui a sans doute le plus provoqué la furie sanguinaire de la république) le logiciel de la vision hagiographique de la révolution.
Et j'vais pas me répéter sur les colonnes infernales et autres joyeusetés républicaines mises en place en 1794, quand l'Armée Catholique et Royale est vaincue en 1793.
D'autant plus que la question qui m'intéresse ici n'est pas les causes de l'affaire de vendée ou de comportement de la république. Contrairement à toi, et à certains ici, je considère que la fin justifie les moyens. Ce qui m'intéresse, c'est la qualification de ce qui s'est passé, et rien n'a pour l'instant prouvé qu'il ne s'agissait pas au sens Onusien d'un génocide, à tout le moins de crimes contre l'huma' systématiques.
Et que certains s'en revendiquent et s'en félicitent en dit long sur l'idéologie qu'ils défendent.
