Etait-ce le cas pour les travaux moins qualifiés ?

J'imagine qu'a certaines périodes le simple fait d'être nourri et logé constituait déja un salaire appréciable.Boudi a écrit :Exact pour le coup du travail à la pièce, au moins pour les tailleurs de pierre : ils les marquaient à leur signe distinctif (remarque de la guide de la cathédrale de Bourges).
Etait-ce le cas pour les travaux moins qualifiés ?
En tout cas il est certain que proposer son quart de rouge et le bol de soupe ainsi qu'un campement d'ouvrier devait se faire.GA_Thrawn a écrit : J'imagine qu'a certaines périodes le simple fait d'être nourri et logé constituait déja un salaire appréciable.![]()
Difficile à dire.Je n'ai aucune idée de la quantité d'argent moyenne que pouvait posséder un paysan quelqu'un sait?
L'érosion mad, l'érosion. A cette époque il était sur une montagne le château.mad a écrit : Pas de piton, pas de prééminence particuliére, un chateau tout simplement ...
J'ai lu la même chose dans une "Histoire de France" (de Dubuy?) il y a quelques semaines.GA_Thrawn a écrit :J'avais lu aussi quelque part que les conditions et les salaires des travailleurs s'étaient améliorés après la grande peste car il y avait moins de main d'oeuvre donc les seigneurs devaient proposer des choses plus interessantes pour attirer le chaland.
Oui mais je décale ça bien plus tard, à une époque où les murs doivent faire 6 à 8m d'épaisseur pour résister aux boulets de canon. On a continué de construire en hauteur bien après les mottes, qui datent de l'antiquité ou du tout début moyen-age.aheuc a écrit :
A l'apparition des chateaux en pierre de taille, cette nécessité de construire en hauteur a dut disparaitre peu à peu je pense, les murs du chateaux se suffisant à eux-mêmes.
Et édifié dans un trou qui plus est...Leaz a écrit :Oui c'est un peu ce que je disais dans mon précédent poste, il y a des zones ou l'intérêt du château n'est pas d'être en hauteur. D'ailleurs l'exemple qu'a mis Efelle est l'un des château de la côte méditerranéenne auquel je pensais, en plein milieu de la plaine mais contrôlant les voie de communication..