Le front de l’Ouest
Des milliers de bombardiers marseillais démarrent une campagne de bombardement stratégique au-dessus du Reich, profitant du redéploiement massif de la Luftwaffe sur le front de l’Est, manoeuvre indispensable pour contrer l’Armée Rouge en pleine offensive: les usines flambent, Berlin est particulièrement éprouvée (une usine détruite
). Ce succès sera cependant le seul pour les Anglo-Saxons, qui semblent curieusement hésitants, indécis, troublés (mal conseillés affirmeront certains ).Ainsi, après avoir consacrés tant d’efforts à ouvrir la Baltique, les Marseillais évacuent complètement la zone maritime après avoir perdu le Milwaukee, pulvérisé par la Luftwaffe, et déboulent soudainement en méditerranée, où les Marines Britanniques débarquent en Sardaigne, juste au nord de Cagliari !
Mais la riposte de Dantonlini est implacable et meurtrière : massivement soutenue par l’aviation, la flotte de surface Italienne se précipite au combat avec audace, force et détermination. A l’issue de plusieurs affrontements avec l’ennemi, le résultat est sans appel : c’est un triomphe Dantonien
! Le Dunedin et le Naiad sont envoyés par le fond, 300 chasseurs Us sont massacrés, les navires amphibies sont endommagés et les flottes Anglo-Saxonnes évacuent complètement, laissant les Marines bien isolés en Sardaigne 
. La garnison Italienne de Cagliari est cependant trop réduite pour pouvoir rejeter l’envahisseur à la mer, elle se contente donc de tenir ses positions.Face à des Marseillais hésitants à l’ouest, le Dantonisme Universel affiche, lui, une farouche détermination à préserver coûte que coûte l’inviolabilité de la Forteresse Europe Dantonienne : plus l’ouverture du seçond front sera retardée, mieux ce sera. Des renforts terrestres et aériens déboulent ainsi en Italie, mais aussi en France.