1166 – 1187 : La France en Guerre… Joies et Peines
La guerre se poursuit contre les Impériaux. Malgré nos différentes tentatives de demandes d’arrêt des hostilités, l’ennemi refuse d’entendre raison.
La Campagne d’Italie
En Sicile, le Roide France, Louis Griffon a refait ses forces dans sa forteresse de Palerme et entame sa marche pour remonter à travers l’Italie.
La prochaine étape : Naples, nouvelle capitale du Royaume de Sicile.
Les Siciliens poursuivent leurs opérations contre la France, en particulier en Corse, et en oublie de garnir leurs villes en défenseurs. Profitons de ces erreurs en frappant au cœur de l’ennemi.
Mais, nos forces sont assez disproportionnés : Beaucoup de cavaliers, mais peu de fantassins, laissé en garnison à Palerme pour repousser un éventuel débarquement sur nos arrières. En effet, les Siciliens et leurs alliés contrôlent la Méditerranée.
Qu’à cela ne tienne, nous nous lançons à l’assaut des murs de Naples.
L’objectif étant de prendre rapidement la Porte pour permettre à nos cavaliers d’entrer dans la place.
La Porte est enfin ouverte, mais au pris de lourdes pertes parmi notre infanterie.
Nos cavaliers affrontent alors les lances ennemies dans une bataille difficile. Nos chevaliers ayant peu de liberté de manoeuvre pour bien combattre.
Profitant, d’un trou dans les rangs ennemis, nos forces s’engagent à travers les rues de Naples pour atteindre la Grand Place. Le but étant d’éviter un long combat d’attrition incertain, et ainsi de forcer l’ennemi à la reddition.
La ville est déclarée sous notre contrôle, l’ennemi dépose les armes. Mais il faut avouer que nos pertes ont été conséquentes, et notre capacité offensive bien réduite.
Heureusement après cette nouvelle victoire sur le royaume de Sicile, celui-ci reconnaît notre suprématie, et envoie un émissaire, la Princesse Adelisa, à Paris afin de proposer la paix.
La Princesse est reçue par Enguerran Marius de Poitevin, et celui-ci au nom du Royaume de France accepte la demande Sicilienne.
La guerre contre la Sicile se termine donc, après que la France est pris en possession les villes de Palerme et de Naples.
A Naples, où le Roi de France soigne ses plaies et apprécie cette nouvelle victoire à son palmarès.
Cependant, les Napolitains semblent appréciés moyennement l’occupation française, et quelques révoltes sont à signaler. Il sera nécessaire d y installer une nouvelle et puissante garnison afin de pacifier la région
La France, on voit apparaitre de nouvelles guildes qui viennent s'installer dans nos villes. Une guilde d'Explorateur à Bruges et une Guilde de Théologues à Marseille
Mais à Marseille, on ne fait guère attention à ses nouveaux arrivants.
La population et la garnison.sous le commandement de Guy Jaggermeister, seul fils naturel du Roi Lois Griffon, sont bien plus inquiets par l’activité ennemie qui règne autour de la cité phocéenne.
Ce sont d’abord, les milanais qui viennent tâter nos défenses et tentent d’enlever la ville.
Heureusement, les murailles de la ville ont été renforcées, et nos troupes peuvent observer les milanais se présenter sur la plaine, à l abri derrière nos créneaux.
L’ennemi arrive en nombre et nous ne pouvons pas les empêcher d’accéder à nos murs, tandis que leur bélier tente d’enfoncer la Porte.
Nos archers étant aux prises avec les fantassins ennemis arrivés sur les murs, laissant le champ libre pour le bélier ennemi de détruire la porte. Celle-ci finit donc par céder.alors que les combats se poursuivent sur la muraille.
Heureusement, nous sommes en place, et accueillons comme il se doit cet invité non désiré.
La bataille fait rage mais tourne rapidement en notre faveur.
Les Milanais saigné à blanc, abandonne enfin le combat.
De nombreux milanais n’ont pu s’enfuir, et ont été fait prisonniers.
Une demande rançon est donc envoyée au campement ennemi,
Mais celui-ci refuse de payer pour la libération de ses hommes, et nous sommes alors contraints de les exécuter…
La seconde bataille pour Marseille :
Cependant Guy Jaggermeister n’a pas le temps de se reposer car une lune imposante armée Impériale commandée par le Prince Adolf arrive à son tour, quelques semaines, plus tard sous mes murs de Marseille.
Et cette fois ci, l’affaire semble beaucoup plus hasardeuse.
Après un discours de Guy Jaggermeister, nos hommes se préparent au combat.
NB : J adore les scènes cinématiques et les dialogues du jeu. Le discours prononcé en anglais, mais avec un fort accent français demande à hommes de combattre pour la France, blablabla, et que nous devons vaincre si nous ne voulons pas que nos familles se nourrissent de choucroute et de saucisses accompagné de bière à la saveur fade….
Nos hommes garnissent les murs tandis que les impériaux s’alignent à distance respectable.
Cependant, les Impériaux restent immobiles, et horreur, utilisent des balistes pour atteindre nos murs. Sans pouvoir riposter, nos observons les projectiles s’écraser et endommager les remparts.
Ceux-ci finissent par céder à diverses locations, et lorsque satisfait de son travail de destruction, l’ennemi avance alors pour la bataille.
En infériorité numérique, nous recevons de plein fouet l’assaut ennemi lancé à travers les brèches et un terrible combat s’engage.
Nos hommes luttent avec l’énergie du désespoir car une défaite signerait une mort certaine. C’est donc dans une véritable débauche de fureur et de violence que la bataille se poursuit dans un amoncellement grandissant de cadavres.
Finalement, dans cette lutte incertaine jusqu’au bout, le Divin penche en faveur de notre côté, et petit à petit l’ennemi, démoraliser par ce long combat, finit par lâcher et reculer, abandonnant la place. Les derniers Imperiaux aventurés dans les rues de la ville sont isolés et éliminés.
A la fin de la journée, nos forces sont déclarées vainqueurs, mais à quel prix. Nos pertes sont effroyables, les remparts sérieusement endommagés, mais heureusement l’ennemi est en fuite.
Les hommes fourbus, se regroupent et se réorganisent, et tentent de porter aux nombreux blessés gémissants sur le champ de bataille.
C’est alors qu’au milieu d’un enchevêtrement de morts et de chevaux, on retrouve le corps sans vie de Jaggermeister, qui jusqu’au bout à galvaniser ses hommes tout en luttant lui-même pour sa propre vie, a fini par succomber aux coups ennemis
Le Royaume de France a perdu un jeune Prince, mort à l’aube de ses 20 ans, et le Roi Louis Griffon pleure un fils…