L'ennemi, fourbe par nature, frappe nos approvisionnements. Sa lâcheté légendaire trouve encore à s'exprimer en frappant de pauvres camions sans défense. Il n'a pas mégoté le bougre : il y a parité au niveau de la supériorité aérienne, et il a mis 11 missions d'interdictions, quand je n'en ai mis que 6. Au final, je perds 17 jerrycans et 11 obus, mes capacités réduites de 50% alors que lui perd 16 et 11, restrictions de 30%.
Rommel est furax.
Au niveau terrestre, pas mal de choses.
Mon attaque sur Bir-Hakeim se poursuit. Je vous ai parlé le post précédent d'un apport blindé salvateur et bienvenu. La baudruche s'est dégonflée totalement. Je ne bénéficie d'aucun décalage de choc, car en bon petit joueur du dimanche, j'ai "oublié" les infos qui ne me sont pas favorables : à savoir,
1- le décalage de choc ne s'applique qu'en terrain "ouvert", or là j'attaque une fortif.
2- le décalage de choc est calculé au poids. Je vous mets l'exemple de la règle, il est plus clair que ne le seront mes explications :
Exemple 1
Si l'attaque consiste en:
• une unité blindée (Shock 4) de taille 4
• une unité motorisée (Shock 0) de taille 2
• une unité d'infanterie (pas de choc) de taille 2
Le Choc de base (maximum) de toutes les unité (de l'unité blindée) = 4.
La taille des unités de choc (l'unité Blindée et Motorisée) = 6
La taille totale de toutes les unités = 8
Donc, le pourcentage d'unités de choc = 75% (6 en pourcentage de 8).
Donc 75% de 4 = 3
Choc finale de l'attaquant = 3 (le défenseur n'a pas de choc).
Si l'ennemi n'a pas de valeur de choc, les chances de combat seront
alors décalées de 3 en faveur de l'attaquant.
Bref, l'assaut se poursuit. Si les français ne bougent pas ils vont peut-être lâcher cet hex au prochain tour, leurs forces s'étant reduites de 30% et leur dispo de 25%. J'ai eu un nouveau bon jet de dé, 5, et mes pertes sont ultra limitées.
A noter que le manuel spécifie que je peux régler l'intensité de mon attaque, normale ou augmentée, mais dans la réalité je n'y arrive pas.
Pour le DAK :
La 21. commence à taper dans le dur. Si, comme attendu le bataillon panzer explose le QG empilé avec un AA, un AC et un Génie, complètement détruit, l'infanterie détruit une nouvelle reco, par contre, au plus au nord, en pointe, un bataillon d'infanterie se fait netttement stopper par deux bataillons blindés de la 22nd Armored Brigade. Les pertes sont lourdes, pour le coup je me prends le décalage de choc dans la gueule. Cette unité est à reposer d'urgence. On ne peut pas récupérer la force perdue d'une unité, mais on peut récupérer de la disponibilité. Or celle-ci est tombée à 29%.
L'engagement étant d'intensité "extrême" les pertes sont conséquentes aussi côté anglais, 11 en force, 29 en dispo. M'enfin l'avantage est dans son camp.
La 15. est partagée sur 2 secteurs :
la chasse aux reco n'a rien donné, elles ont reculé.
le mouvement vers l'Est a permis la destruction d'une nouvelle reco.
La 90. était en stand-by.
L'anglais commence à canarder les italien avec ses artilleries, mais les dommages sont minimes.
Plus au Nord, dans le secteur de Crüwell, j'ai commencé à coller le Génie sur les fortifs, pour faire des trous dedans, au cas où.
Séquence planification pour la nuit du 27 au 28.
je poursuis sur ma lancée, tout en ciconspection.
J'ai ramené la Brescia, mon unité de réserve, avec la Pavia, pour voir s'il n'y aurait pas moyen de faire un trou dans le ventre mou de l'anglais
