Coelio a écrit :J'aurais tendance à conseiller la prudence au médecin, s'il n'a pas protégé Marius (s'il l'a protégé, Marius était bien visé, donc innocent, donc pas de problème). Idem pour le voyant, s'il n'a pas enquêté sur Marius (s'il l'a fait et que c'est positif, qu'il fonce... Si il l'a fait et que le maire est un assassin, en revanche, j'aurais tendance à lui suggérer de se dévoiler à un autre pour ne pas laisser aux assassins le pouvoir).

Coelio a écrit :Nous approuvons la comtesse demi-mondaine, dans son explication de la réticence de certains à contacter le sieur Kenhobby : un meurtre a été commis voila peu, la méfiance est normale.
Coelio a écrit :Je suis pour l'unité au départ, mais le comportement du maire m'inquiète un peu. Le coté insistant vis à vis des rôles spéciaux, plus son énervement de ce matin ne correspondent que très peu à ce qu'un enquêteur de la classe de Marius nous offre habituellement. Donc je me méfie un peu.
Coelio a écrit :Cela ne commence pas bien. L'Abbé l'avait dit

Coelio a écrit :
En vérité, soit les assassins ont beaucoup de chance, soit le Maire en est.
Et plus personne ne pourra nous éclairer sur le Maire, hormis le médecin, si le Maire a bien été attaqué la première fois.
Quoi qu'il en soit, je dubite.

Coelio a écrit :Il est possible que ce ne soit qu'un coup de chance des assassins, mais en mon âme et conscience, et sauf si quelqu'un innocente formellement le maire, le risque d'un maire lupin indétectable est trop fort pour être négligé. Nous ne pouvons nous permettre une épée de damoclès pareille.
Ainsi, sauf preuve de son innocence, je vote avec regrets contre Marius Kenhobby
Dicrédité par qui ?
On note toute l'onctuosité et la subtilité de l'Abbé. Il me flatte mais sort toujours la petite phrase vacharde qui instile le doute. Quand on décortique ses interventions, on s'apperçoit qu'elles sont toutes destinées à saper le front des innocents, par exemple :
- en invitant dès le départ le toubib
à ne pas me contacter pour former le front des innocents,
- en me reprochant ensuite mon insistance pour former ce front.
Du beau travail de sape en effet.