Le Quartier Général

J'en aurais préféré moins mais de meilleure qualité

Il faut faire des choix et 1942 sera l'année décisive (comme à chaque fois dans ce jeu)

Tu progresses !

Début 42 il devrait avoir de gros problèmes de partisans en Biélorussie et en Ukraine.

J'ai pas le souvenir que les précédents opus simulaient bien cela cependant.

Non je pense qu'il n'y a rien de plus que les spots de partisans à garder (cela dit ils sont très nombreux en Russie.

rooom a écrit : ↑mer. nov. 21, 2018 9:14 am Non je pense qu'il n'y a rien de plus que les spots de partisans à garder (cela dit ils sont très nombreux en Russie.

La simulation est intéressante, sans être prise de tête et conforme à l'impact, finalement assez mineur (à l'exception notable de la Yougoslavie peut-être). Il suffit de mettre une unité (ou une zoc d'unité) autour des différentes zones nombreuses de partisans. Ces zones peuvent être de 2 natures : avec ou sans troupe, dans le premier cas une unité apparaît dans l'hex et occupe l'ex, dans le second cas des dommages aux infrastructures sont faits.
Avec suffisamment de troupe, on peut y faire face sans problème mais c'est encore un moyen pour disperser les troupes axistes.

L'impact des partisans n'a pas du tout été mineur sur le front de l'est !

Il ne l'est pas dans le jeu non plus , pour éviter des dommages l'axe doit "garnisoner" énormément !

griffon a écrit : ↑mar. nov. 20, 2018 8:12 pm Il faut faire des choix et 1942 sera l'année décisive (comme à chaque fois dans ce jeu)

L'Irak est faiblement défendue. Les Amerloques risquent d'arriver trop tard. Sur le front de l'Est, la situation n'est pas meilleure. L'ennemi est aux portes de Moscou, Leningrad et Stalingrad. L'infanterie soviétique est toujours au niveau 1. Je voudrais pas te saper le moral mais je le sens moyen pour les Alliés.

La sentir moyen pour les alliés ne m'a jamais sabré le moral

sinon ça se saurait !

Boudi a écrit : ↑mer. nov. 21, 2018 11:55 am L'impact des partisans n'a pas du tout été mineur sur le front de l'est !

Il est important d'un point de vue symbolique, du moral national, pour la propagande, mais l'impact militaire est très faible. Sont mobilisés tout au plus quelques divisions légèrement armées lors des grosses opérations de "police". Dans un jeu qui simule surtout ou essentiellement l'aspect militaire, la solution choisie est simple et élégante.

Je pense pas qu'on puisse écrire "l'impact militaire est très faible". C'est une grosse erreur d'appréciation.

Je te renvoie au bouquin de Masha Cerovic, chez Seuil, "Les enfants de Staline, la guerre des partisans soviétiques (1941-1944) il a l'avantage d'être très récent (2018)
http://www.seuil.com/ouvrage/les-enfant ... 2021121674

Un demi-million de combattants, ce ne peut pas être un impact militaire très faible.

Boudi a écrit : ↑mer. nov. 21, 2018 1:35 pm Je pense pas qu'on puisse écrire "l'impact militaire est très faible". C'est une grosse erreur d'appréciation.

Je te renvoie au bouquin de Masha Cerovic, chez Seuil, "Les enfants de Staline, la guerre des partisans soviétiques (1941-1944) il a l'avantage d'être très récent (2018)
http://www.seuil.com/ouvrage/les-enfant ... 2021121674

Un demi-million de combattants, ce ne peut pas être un impact militaire très faible.

Je n'ai pas lu cet ouvrage, mais j'ai pu lire une interview de l'auteur dans le n°45 de Guerre & Histoire :
Question : Que pensez-vous de l'efficacité militaire globale des partisans soviétiques.
Rép : Elle a été faible, comme partout ailleurs en Europe, je crois. Les quelques dizaines de milliers d'Allemands, de Hongrois, Slovaques, Croates ou autres auxiliaires de l'Axe tués à l'arrière, ne pèsent rien à l'échelle du conflit dantesque, et conventionnel, entre Wehrmacht et Armée rouge. Les brigades ont toujours souffert d'un manque d'arme et, encore plus, de munitions et de moyens de transmissions. Elles ont souvent souffert de la faim, des maladies, du froid. Moscou a bien envoyé des spécialistes, parachuté des moyens, mais ce n'était qu'une goutte dans l'océan des besoins.
Question : Pouvez-vous donner quelques chiffres qui permettent au lecteur de se faire une idée des dimensions de la lutte des partisans, notamment en Biélorussie ?
Rép. : il est quasi impossible de donner des chiffres précis. Je dirais que les "polizei", c'est-à-dire, en fait, tous les auxiliaires soviétiques des Allemands, ont été plusieurs dizaines de milliers, qu'il y a eu peut-être 300 à 500.000 partisans, que la lutte directe a tué au moins 500.000 civils biélorusses.

L'importance des nombres ne représente pas grand chose militairement même si cela accroît encore l'immensité de cette guerre et, le nombre et l'importance des crimes de guerre et contre l'humanité à attribuer à l'armée allemande.

Fin Avril 42


L'axe passe à l'offensive sur tous les fronts





Malte est dans le viseur



Mais les moyens employés sont insuffisants



La Luftwaffe ne peut plus etre partout à la fois , elle est en Russie




Mais la biffe "level 1 " des allemands n'a pas un punch suffisant (ce n'est pas le cas de ses Stukas )



Nous "tatouillons" les Italiens

Les cartes de situation des différents théâtres