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Pro Gloria et Patria - un AAR Empire Total War
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Re: Pro Gloria et Patria - un AAR Empire Total War
La défaite de Niebuhr était bien d'ampleur stratégique. La noblesse polono-lithuanienne avait enfin réussi à mettre sur pied uen armée digne de ce nom et la destruction de l'armée de Niebuhr avait enflammé les ardeurs patriotiques de toute la République. Les Prussiens vaincus! Bien des espoirs renaissaient en ce moment, et la reine Frédérique-Louise était furieuse. Comment cette nation en loques avait-elle pu bousculer le mythe de l'invincibilité de ses troupes, qui commençait enfin à s'établir?
Le général de circonstance Emmanuel Achenwall avait reçu la charge ingrate de défendre Varsovie coûte que coûte à l'aide de régiments d'infanterie écorchés et des maigres renforts qu'il avait payés de sa bourse. Bien que des barricades furent érigés partout dans la ville et qu'il fut un homme doté d'une intelligence certaine, l'espoir de remplir les ordres de Sa Majesté était maigre. Les armées ennemies ne s'y trompèrent pas et se décidèrent à un assaut rapide.
Le baron Lempicki, ivre de victoire, avait de grands plans. Il avait détaché une partie de son armée vers le Sud pour libérer Budapest avec l'aide des pandours qui s'étaient repliés dans la plaine hongroise. Plein de confiance et d'élan, il avait gravement sous-estimé l'habileté de son nouvel adversaire, ainsi que la loyauté de la garde civile de Varsovie. Celle-ci était solidement encadrée par des sous-officiers prussiens et à défaut d'être nombreuse elle faisait preuve d'obéissance. L'armée polono-lithuanienne s'était déployée gauchement et les batteries qui avaient forcés les Prussiens à se battre en-dehors de la ville se turent après la prompte charge des cuirassiers de Potsdam.
Les vétérans survivants de l'armée Niebuhr n'avaient pas eu le temps d'instruire les recrues venues en renfort, mais leur exemple encourageait les jeunes à se montrer à la hauteur. Aussi la garde civile fit-elle preuve de courage et ne flancha pas face aux salves enthousiastes des milices de Podolie. Celles-ci avaient le moral gonflé à bloc après leur victoire, mais manquaient encore de ce stoïcisme qui caractérise un ancien de la ligne, survivant de mille échaffourées et imperméable à la panique qui gagne le soldat lorsqu'il entend fuser les balles et éclater le cerveau de son camarade lignard à ses côtés. Concentrant ses forces, Achenwall parvint à faire fuir les régiments ennemis isolés sans trop de casse, augmentant ainsi sa supériorité numérique.
Les troupes qui lui restaient apparurent si faibles à Lempicki qu'il se hâta d'ordonner la retraite, la mort dans l'âme. Bon nombre de ses hommes furent rattrapés par les cuirassiers. Varsovie avait tenu!
La forteresse de Königsberg elle aussi était en proie à des difficultés. Un corps polonais était venu assiéger la très maigre garnison, composée d'un régiment de piquiers et de quelques bataillons de garde civile. Heureusement les fortifications étaient bien équipées en pièces de petit calibre, ce qui facilita la défense.
Peu impressionés par le tir brouillon des sujets prussiens, les soldats ennemis entreprirent d'escalader les murs colossaux entourant la ville en plusieurs endroits, tant et si bien que la défense fut submergée rapidement. L'entraînement militaire des jeunes hommes sur les murs était inexistant et leur courage aussi imposant qu'un grain de moutarde. Une catastrophe s'annonçait ...
Le corps à corps fut vite décidé en faveur des Polonais, se précipitant vers l'arsenal au centre de la forteresse pour asseoir leur victoire. Il n'y avait plus que les piquiers pour les arrêter. Eux n'avaient pas défendu les murs, car le chemin de ronde était trop exigu pour leurs piques. La fortune vint à leur aide en celà que la ligne ennemie était visiblement à court de munitions. Pour accomplir la prouesse de vaincre les murs de Königsberg, ceux-ci avaient laissé les gibets de munitions à l'abri dans leur camp. Leurs mousquets ne donnèrent que quelques rares coups, suffisants pour faire fuir la garde civile mais pas assez impressionants pour en imposer aux piquiers. Ces derniers, reliquats des guerres meurtrières du XVIIe siècle, comptaient bien défendre leur honneur chèrement. Aussi restèrent-ils très calmes en voyant approcher les attaquants.
Au vu de l'incapacité de leurs ennemis à tirer, le carré fut formé grâce aux ordres avisés du capitaine en charge. Cette formation directement inspirée des tercios espagnols était rarement utilisée au regard de sa grande vulnérabilité à des tirs d'artillerie et des salves de mousquets. Pour la situation présente, elle était parfaite. Les Polonais en gardèrent un souvenir amer.
Après un massacre innomable, l'ennemi se retira de la place. Les victoires à Königsberg et Varsovie donnaient un peu de répit aux Prussiens pour se reprendre. Les richesses du Royaume étaient cependant limitées et la reine Frédérique-Louise dût faire face à des mécontentements dans le Brandebourg, où les étudiants étaient source de préoccupation. Le problème fut réglé avec beaucoup d'argent, ce qui empêchait la levée de nouvelles troupes. La guerre simultanée contre l'Autriche et la Pologne-Lithuanie obligeait à des choix difficiles.
Enfin, zu Dohna-Schlobitten reçut l'autorisation de marcher vers Zagreb, pour mettre au pas une des dernières régions fidèles aux Habsbourg. Ce mouvement ne fut rendu possible que par la pacification relative de Vienne, obtenue à grands renforts de privilèges et d'arrestations.





La forteresse de Königsberg elle aussi était en proie à des difficultés. Un corps polonais était venu assiéger la très maigre garnison, composée d'un régiment de piquiers et de quelques bataillons de garde civile. Heureusement les fortifications étaient bien équipées en pièces de petit calibre, ce qui facilita la défense.





Enfin, zu Dohna-Schlobitten reçut l'autorisation de marcher vers Zagreb, pour mettre au pas une des dernières régions fidèles aux Habsbourg. Ce mouvement ne fut rendu possible que par la pacification relative de Vienne, obtenue à grands renforts de privilèges et d'arrestations.

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necroproject
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Re: Pro Gloria et Patria - un AAR Empire Total War
A ce train, compte-tu effectuer prestement la jonction avec tes alliés ottoman ? Comment se comporte la diplomatie dans le jeu ?
"Donnez-moi des Hommes décidés à se faire casser la gueule, et je vous ferai de la bonne tactique."
Général Dragomiroff
AAR HOI1 Götterdammerung 100% "Numbers Cruncher", AAR CMBB Dans la neige contre le sieur Boudi, AAR CMBB Dans la gadoue contre Jägermeister, La version pdf téléchargeable de mon guide tactique Combat Mission (à compléter)
Général Dragomiroff
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Re: Pro Gloria et Patria - un AAR Empire Total War
Les Ottomans ne sont pas mes alliés, ce sont "juste" de très bons partenaires commerciaux avec qui j'entretiens des relations fort amicales. Je ne pense pas qu'ils soient capables de mettre en difficulté l'Autriche ou la Pologne-Lithuanie.necroproject a écrit :A ce train, compte-tu effectuer prestement la jonction avec tes alliés ottoman ? Comment se comporte la diplomatie dans le jeu ?
La diplomatie est meilleure qu'a RTW, l'IA capitule quand on lui bouffe suffisament de provinces. Une nation avec qui on a de bons rapports diplomatiques est peu encline à t'attaquer. Par contre il faut faire attention à son expansion territoriale, ça énerve beaucoup les pays européens! Il est dangereux de risquer de mauvaises relations à cause de celà. On peut voir exactement les facteurs qui influent sur les relations, c'est un système à la Civ IV. On a notamment: la religion, la forme de gouvernement, l'expansion territoriale en général, l'expansion territoriale aux dépends de la nation en question (fatal), les traités commerciaux et leur durée, avoir des ennemis communs, avoir une alliance, avoir trahi une alliance, avoir assassiné des agents, avoir fait un cadeau personnel aux dirigeants (très peu efficace avec les républiques), et les doléances historiques (simulant ce qui résulte des relations avant le début du jeu, elles s'effacent avec le temps).
Je n'ai pas rencontré les problèmes dont beaucoup se plaignent (un Württemberg ultra-agressif qui te déclare la guerre même si tu es russe, pour ... ne rien faire). Certes, il y a un potentiel d'amélioration, mais en l'état l'IA diplomatique est correcte.
Re: Pro Gloria et Patria - un AAR Empire Total War
Zagreb était le centre de la défense autrichienne et regroupait de nombreuses unités d'infanterie légère. L'armée qui s'y regroupait pouvait devenir dangereuse une fois qu'elle percevrait des régiments de ligne, capables de tenir tête à l'infanterie prussienne le temps qu'elle se fasse tourner par les diaboliques pandours. La progression rapide de zu Dohna-Schlobitten fut d'autant plus heureuse, car à son arrivée il ne fut confronté qu'a des éléments légers, que son excellente cavalerie balaya sans plus de façons.
La garde civile était plus sûre, car elle s'était réfugié dans une bourgade et formait une mêlée confuse. Sans trop s'attarder aux subtilités de l'art de la guerre, le général prussien ordonna la charge à la bayonette. Ses vétérans ne firent qu'une bouchée de la populace.
Zagreb fut ainsi occupée, et les conseillers de la reine ne tardèrent pas à s'occuper des différents chefs de guerre de la région. Le centre administratif de la région était loin de valoir beaucoup dans cette contrée au terrain accidenté et aux moeurs cruelles. De nombreux chefs locaux pouvaient continuer une guerre d'usure impitoyable s'ils l'estimaient nécessaire, à l'abri des montagnes et avantagés par leur connaissance des lieux. Des émissaires firent donc le nécessaire pour gagner les faveurs des familles influentes. Le prix à payer était fort, hélas il s'agissait là d'une nécessité impérative si l'on voulait de placer durablement de puissantes garnisons en Croatie.
Réduits à quelques arpents de terre transsylvains, les Habsbourgs n'eurent d'autre choix que de demander la paix, s'abaissant à confirmer les gains territoriaux du Royaume de Prusse et à verser des compensations sous forme d'argent et d'or.
Les efforts du Royaume pouvaient désormais être tournés vers la seule République des Deux Nations. Une nouvelle fois, Varsovie était assiégée, cette fois-ci par le corps envoyé par le baron Lempicki vers Budapest, rappellé après la défaite éclatante devant les murs de la ville. Zu Dohna-Schlobitten pressait le pas et tentait de rallier l'ancienne capitale polonaise à marches forcées. Il y a peu, il était encore en train de chasser des escadrons épars de l'armée autrichienne qui semaient la terreur en Hongrie.
Alors que l'armée de secours était encore à plusieurs centaines de lieues, le baron lanca un second assaut sur les forces décimées d'Achenwall. Quelques maigres régiments étaient venus de Königsberg, notamment les célèbres piquiers de Prusse Orientale. En face, des hordes de pandours, des piquiers et de la milice des marais du Pripiet.
La défense était organisée en arc de cercle autour de Zielonka, un passage obligé pour les troupes de Lempicki. La garde civile étant le maillon faible du dispositif, elle disposait de l'abri des murs de la mairie et du domaine d'un riche noble. L'infanterie restante était protégée par des fortifications de terre, la cavalerie déployée sur le flanc gauche. Un unique canon à la gueule bourrée de mitraille soutenait l'ensemble.
Une première charge de cavalerie sur le flanc droit squelettique fut repoussée, non sans mal ...
Un escadron de gendarmes lituaniens subit le même sort, taillé en pièces par les cuirassiers, toujours empressés de prouver leur bravoure.
La situation se compliqua pour les Prussiens lorsqu'il s'avéra que leurs positions soigneusement préparées avaient été tournées ...
Les piquiers polonais se ruèrent sur les gardes civils qui étaient sur un terrain dégagé et en empalèrent plus d'un sans rencontrer de grande résistance, tandis que l'artillerie placée à quelques pas se tenait silencieuse, de peur de sceller le sort d'autant de camarades que d'ennemis par un tir au milieu de cette foule.
Le résultat: un flanc droit démoli et un centre sous les tirs d'une grande masse de pandours. Ceux-ci n'aiment pas se battre au corps á corps, Achenwall fait charger à la bayonette ...
Les pandours ne se dérobent pourtant pas, pire, ils se battent comme des possédés! La ligne prussienne est inférieure en nombre et risque gros si elle n'arrive pas à briser le moral des gueux en lambeaux qui lui font face. Et de fait ...
... c'est la débâcle! Seuls restent quelques gardes civils dans la mairie et le domaine seigneurial, et les renforts de Königsberg intervenant enfin sur le champ de bataille. Une bonne partie de ces renforts, à savoir la milice de Königsberg, préfère faire demi-tour en voyant le rapport de force ...
... et se reprendre une lieue plus loin, où elle tire quelques volées contre ses poursuivants, qui ne demandent pas leur reste et s'enfuient hâtivement. Plus décidée est l'action des piquiers prussiens, chargeant les pandours de face, la bannière au vent!
Quatre bataillons de Galicie sont réduits en miettes de cette manière, tandis que la milice repousse un régiment de ligne entier! Achenwall est tombé durant les combats de retraite, et pourtant il semble rester une bonne chance à la Prusse de sortir vainqueur de cet affrontement. Hélas, la garde civile manque de munitions, elle se précipite au corps à corps mais les sabres turcs des pandours leur réservent une mauvaise surprise!
Les piquiers épuisés s'enfuient alors aussi, bientôt rejoints par miliciens et gardes civils. La défaite était devenue inéluctable, Varsovie était reconquise par les Polonais!
L'armée de secours était bien loin, et l'Europe entiére s'amusait de la défaite prussienne, jubilant en voyant les Polono-Lituaniens revigorés. Un malheur n'arrivant jamais seul, des nobles bellicistes obligèrent l'ex-empereur autrichien à tenter une nouvelle expédition militaire pour reprendre ne serait-ce que la Hongrie. Frédérique-Louise ne voulait pas voir ses nouvelles terres ravagées et ordonna à zu Dohna-Schlobitten d'occuper le dernier bastion Habsbourg, la Transsylvanie. Von Anhalt-Dessau devra secourir Varsovie, son action coûtera cher à la couronne car jusque là, son armée tenait à l'oeil d'éventuels rebelles autrichiens. Son départ n'était possible qu'après la levée de nouveaux régiments de dragons et la baisse des impôts.



Réduits à quelques arpents de terre transsylvains, les Habsbourgs n'eurent d'autre choix que de demander la paix, s'abaissant à confirmer les gains territoriaux du Royaume de Prusse et à verser des compensations sous forme d'argent et d'or.















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necroproject
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Re: Pro Gloria et Patria - un AAR Empire Total War
Trop d'humanité, manque de brutalité. ô kaiser, rappelles-toi, avec trois décennies d'avance, l'assertion péremptoire du maréchal Suvarov : la balle est une imbécile, la baïonnette est ton amie.
Fais sonner la charge aux éléphants, suivis de la plus fidèle garde des compagnons, ouvrant la voie à ta nombreuse infanterie de peltastes et autres tirailleurs macédoniens. Massacre le polonais car il est fait pour ca. Mais avant, cours sonder l'impératrice d'Autriche dans son dernier trou.
Fais sonner la charge aux éléphants, suivis de la plus fidèle garde des compagnons, ouvrant la voie à ta nombreuse infanterie de peltastes et autres tirailleurs macédoniens. Massacre le polonais car il est fait pour ca. Mais avant, cours sonder l'impératrice d'Autriche dans son dernier trou.
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Général Dragomiroff
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Bob Terrius
- Le Marin

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Re: Pro Gloria et Patria - un AAR Empire Total War
Hum.necroproject a écrit :Mais avant, cours sonder l'impératrice d'Autriche dans son dernier trou.
Ca sent pire?
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GA_Thrawn
- Calimero

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- Localisation : De retour dans le sud
Re: Pro Gloria et Patria - un AAR Empire Total War
Von aasen le seulecide est de retour! Et il continue de perdre contre l'IA des total war
(comment ça il a vaincu l'autriche...
)
C'est ca d'avoir une femme sur le trône elle est trop faible, trop gentille. Il te faut un Roi!
C'est ca d'avoir une femme sur le trône elle est trop faible, trop gentille. Il te faut un Roi!
« Il est deux catégories de Français qui ne comprendront jamais l’histoire de France : ceux qui refusent de vibrer au souvenir du sacre de Reims ; ceux qui lisent sans émotion le récit de la fête de la Fédération. »
Marc Bloch
Marc Bloch
Re: Pro Gloria et Patria - un AAR Empire Total War
Éléphants = cuirassiers ; peltastes = garde civile ; phalanges = infanterie de ligne, dans ce cas je comprendsnecroproject a écrit :Fais sonner la charge aux éléphants, suivis de la plus fidèle garde des compagnons, ouvrant la voie à ta nombreuse infanterie de peltastes et autres tirailleurs macédoniens. Massacre le polonais car il est fait pour ca. Mais avant, cours sonder l'impératrice d'Autriche dans son dernier trou.
Non avons perdu une bataille, mais nous n'avons pas perdu la guerre!GA_Thrawn a écrit :Von aasen le seulecide est de retour! Et il continue de perdre contre l'IA des total war(comment ça il a vaincu l'autriche...
)
C'est ca d'avoir une femme sur le trône elle est trop faible, trop gentille. Il te faut un Roi!
Pour les rois ou reines, c'est pas moi qui décide
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- Enregistré le : mer. août 18, 2004 5:26 pm
- Localisation : Brest
Re: Pro Gloria et Patria - un AAR Empire Total War
je suis toujours convaincu qu'une troupe de piquiers
(si bien dirigée
)
peut encore faire la différence au 18 ème !
(si bien dirigée
peut encore faire la différence au 18 ème !
SOL INVICTVS
Au printemps, je vais quelquefois m'asseoir à la lisière d'un champ fleuri.
Lorsqu'une belle jeune fille m'apporte une coupe de vin , je ne pense guère à mon salut.
Si j'avais cette préoccupation, je vaudrais moins qu'un chien
Lorsqu'une belle jeune fille m'apporte une coupe de vin , je ne pense guère à mon salut.
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Re: Pro Gloria et Patria - un AAR Empire Total War
Bien sur! J'en ai peu mais ils sont utiles en général!
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Moradim
- Empereur spammique

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- Enregistré le : mer. oct. 26, 2005 10:29 am
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Re: Pro Gloria et Patria - un AAR Empire Total War
Grande specialité ca de l'IA a ETW , te tourner tes troupes avec la cavalerie pour charger tes pauvres canons ou d'autres troupe plus faible . 
Dieu est tout puissant , il peut tout .
ET si dieu avait crée une dimension ou il ne peut rien et ou il n'est pas .
ET si dieu avait crée une dimension ou il ne peut rien et ou il n'est pas .