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Hot Summer GPO

Posté : ven. juil. 22, 2005 9:03 pm
par Danton
Ici les courageux peuvent apprendre au monde émerveillé leurs héroïques actions pour faire de leur pays une grande puissance (comment? Ce n'est pas votre objectif? Je n'en crois pas un mot :D ), ici aussi ils peuvent négocier avec les autres monarques qui ont l'incroyable culot de partager le même but...

Je commence, n'hésitez pas à suivre le mouvement (tu rêves, mon bon, tu vas encore être le seul à pondre ces torchons lamentables et risibles dont tu as le secret :cry: )



Histoire de la Suède, par Thor Danton. Introduction.



Ma tendre amie,

Comme les hivers sont froids ici et comme ils sont longs ! Heureusement, nous ne manquons pas de bois pour nous chauffer et il se trouve toujours quelques courageux pour oser braver les éléments déchaînés afin de gagner quelques salvateurs poissons : les Suédois sont vigoureux et d’un courage inégalé :P . Mais les épreuves s’abattent sur nous comme sur Job jadis... :evil: Les percepteurs danois, maudits soient-ils, parcourent notre pays et nous saignent comme des sangsues : nos enfants meurent de faim ou de froid alors que Copenhagen l’infâme organise de coûteux feux d’artifice. Mais qu’ils tremblent, les perfides, car en vérité je vous le dis, un jour le châtiment céleste frappera cette ville de tous les vices comme jadis Sodome et Gomorrhe :twisted: !

Notre suzerain, oh le mot horrible, nous saigne, il nous tuera tous si nous ne réagissons pas. La guerre... voilà tout ce que ces maudits ont trouvé ! Mais c’est toujours nous, les pauvres, les souffrants, qui en payons le prix : nos jeunes hommes se font tuer dans les rangs danois pour une solde de misère et, une fois tombés, sont abandonné sans remords aux charognards : pas une tombe, rien :? . Quel chrétien agirait donc ainsi ? Que fait le Pape ? Est-il digne d’être encore vénéré par notre peuple ? Et nos jeunes filles ne peuvent même pas pleurer leurs compagnons perdus : elles aussi périssent, épuisées par 19 heures de travail par jour aux champs, 90% des récoltes étant confisquées par les Danois démoniaques : la faim a finalement raison de leur vaillance :cry: .

Notre royaume disparaît, notre royaume se meurt et, pendant de temps, les goinfres danois s’engraissent : notre sueur, notre sang et notre or leur permettent d’annexer le Mecklenburg et le Holstein... Dieu autorisera t-il une telle infâmie ? Sommes-nous donc damnés ? Je ne peux y croire, l’heure de la révolte sonnera un jour...

Car celle-ci ne saurait plus tarder, ma mie : les condamnés que nous sommes agitent leurs chaînes. Qu’avons-nous à perdre ? Rien puisque nous ne possédons rien :? . Maintenant, nous ne réclamons encore que du pain et des fourrures, mais le mouvement va s’amplifier, je le pressens : non aux prélèvements danois ! Non à la conscription obligatoire pour grossir leurs armées impies ! Non à toute forme de suzeraineté danoise ! Liberté, liberté, liberté !

Peuple de Suède, réveille-toi ! Aux armes ! Chassons les Danois de nos terres et prenons notre revanche sur l’injuste destin ! Bientôt, la Grande Suède sera LA référence du Nord et le misérable Danemark sera réduit à moins que rien... il connaîtra à son tour la déchéance, la peur, le froid et la faim... :twisted:

Posté : ven. juil. 22, 2005 11:23 pm
par Dandy
Extrait tiré de l'histoire du Portugal, rédigé en 1904



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Le XVeme siècle fut pour le Portugal un siecle marqué par les nombreuses découvertes réalisées par des explorateurs au service des monarques lusitaniens.

Toute la cote de l'actuelle Afrique fut découverte, et les courageuses nefs portugaises poursuivirent leur voyage jusqu'à des contrées riches mais dangereuses car sauvages : les Indes. Malheuresement on perdit trace de la flotte au large de terre inconnues à l'est des Indes.

Les fiers marins portugais avaient aussi découvert les cotes brésiliennes et commencèrent à établir des comptoire le long de la cote et à fonder les premieres colonies. Mais ces contrées, peuplées d'indiens sauvages et aggressifs commencèrent à effectuer des raids sur nos pacifiques comptoirs et tuèrent plusieurs centaines d'innocents portugais. Le royaume réagit promptement en envoyant plusieurs milliers d'hommes qui ne firent pas dans la dentelle pour pacifier le Brésil: on estime aujourd'hui à plusieurs dizaines de milliers de morts les pertes indiennes.

Mais le Portugal était une nation pacifique : il entretenait d'excellentes relations avec son cousin espagnol et était en bons termes avec les autres nations catholiques européennes. Seule la suede, sans doute jalouse de nos exploits, et obnubilée par des visions hérétiques restait froide et distante.

Le portugal pendant le premier quart du XVIe siecle répandit la vrai foi dans la foret brésilienne, sur les cotes africaines et installa des comptoirs de commerce en Inde. Sa marine, forte, était bien entretenue et menée par des hommes courageux et entrepreneurs.

En 20 ans, le Portugal aquit de grandes richesses et devint la troisieme puissance mondiale. Les nefs portugaises parcouraient le monde, et en 1518, un expedition menée par Queros partie vers l'ouest, contourna le sud du Brésil, traversa un océan calme mais interminable que les portugais nommèrent "Océan Pacifique", et enfin apercue, contre toute attente : les cotes famillierent indienne ! La terre était ronde et le Portugal venait d'en faire le tour !

Mais que ces exploits ne cachent pas les difficultés rencontrées par le Portugal durant ces années : confronté à la jalousie des autres nations europeennes, notament après un edit papale, le Portugal manqua également d'argent pour réaliser tout les projets qu'il avait en tete : trop occupé à donner à l'Eglise, les entrepreneurs manquaient de fonds pour coloniser l'ensemble des terres découvertes. Malgré un commerce proliférant, le Portugal dut emprunter à son frère espagnol.

En 1520, la glorieuse histoire de la Lusitanie ne faisait que commencer, les siècles suivants furent l'age d'or portugais !





Nous montrons là la glorieuse expedition de Queros sur des mers inconnues au début du XVIe siècle, remarquez la grace et l'excelent état des nefs portugaises !

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De plus, nous recopions ici l'extrait de missives envoyées par le monarque portugais aux autres princes européens :

"A l'Espagne et à son grand Roi, le Portugal témoigne de toute son affection. Nous souhaitons que les excellents rapports établis grace à des objectifs communs sont conservés et intensifiés ! Nous vous souhaitons la réussite divinement inspirée pour votre royaume."

"A la France, le Roi du Portugal témoigne de sa reconnaissance pour avoir libéré le Pape, nous ne souhaitons pas tout de fois voir une implantation nullement justifiée de la France dans les provinces italiennes. Nous vous souhaitons également de la réussite dans vos affaires continentales."

"A l'Angleterre, notre allié, avec qui nous partageons les memes valeurs marines, nous souhaitons se voir developper une coopération pour une meilleure gestion de nos interets outre-mer. Nous rappelons sur un ton bienveillant que la flotte portugaise est la garante de la liberté et de la sécurité dans les océans avec les navires espagnols."

"A l'Autriche, notre allié, nous souhaitons une entente mutuelle concernant la défense de la Chrétienneté dans l'Europe du sud. Nous vous souhaitons par ailleurs une bonne gestion de votre grand duché !"

"A la Suède, lointain royaume du nord, nous souhaitons tout d'abord a vous féliciter pour votre independance aquise malheuresement avec les armes contre un royaume chretien. Nous amerions toutefois que vous renonciez à vos lubies hérétiques pour vous consacrer aux affaires européennes qui vous concernent directement."

"A l'Empire Ottoman, sage empire d'une religion que nous ne comprenons pas mais que nous respectons, nous sommes heureux de voir le respect que vous portez aux chretiens sous votre responsibilité. Nous avons récemment rencontré des troupes ottomanes en Inde. Nous sommes content de vous voir découvrir le monde mais vous prevenons que les comptoirs portugais ainsi que les états indiens établis doivent etre respéctés. Nous ne tolerons aucune action belliciste dans les mers bordant l'Inde et la cote orientale africaine. Sur ces paroles sages, nous esperons voir vos affaires pacifiques prospérer."


Nous voyons dans ces lettres la grande sagesse du souverain portugais qui permirent de faire du Portugal une puissance respectée de tous. :D

Posté : sam. juil. 23, 2005 9:56 am
par Danton
Histoire de la Suède, par Thor Danton. Chapitre I . La guerre pour l’indépendance.


Ma douce amie,

Enfin ! Après des années et des années d’oppression, la tyrannie et la brutalité immonde des Danois se sont enfin retournée contre ces monstres assoiffés de sang ! Le vent de la liberté a eu raison de notre indécision, de nos peurs, de notre faiblesse... Un homme est venu du sud, un mercenaire dit-on, et tous l’ont suivi : nos chaînes ne sont plus, la fureur de nos hurlements a même fait trembler le colosse russe... Celui-ci, fourbe et perfide, est en effet venu en aide aux impies et 60.000 soldats ont envahi nos pauvres terres de l’est, mais notre glorieux héros, Hemming Godh, a dit : « Concentrez votre fureur contre le Danois cruel, buvons l’hydromel servi dans leurs crânes et apportons l’enfer à Copenhagen. Liberté et vengeance ! Guerre, guerre, guerre ! :twisted: ».

Nos hordes mal armées mais enragées ont dépecé et démembré vivants les soldats ennemis au Skane, les ont poussés dans le vide du haut des montagnes de Norvège et se sont joués de la puissante flotte danoise, rejoignant la capitale impie trois fois maudite à la seule force de nos bras et cela malgré l’eau glacée de la baltique :shock: ! « Aucune retraite ne nous est possible ! La victoire ou la mort ! Mes frères, si j’avance suivez-moi, si je recule tuez moi et si je meurs vengez-moi ! ;) ».

Nos coeurs vaillants ont eu raison, une fois de plus, des misérables, littéralement déchiquetés avec nos seules dents puis jetés à la mer, les avides requins n’attendaient que cela. Copenhagen tombée, le tyran, terrorisé, humilié, se prosterne et offre trois provinces en guise de repentir, mais cela est trop peu : des années de souffrance ne s’achètent pas aussi facilement. Le peuple crie vengeance :twisted: .

Et la boucherie repris : nos hordes éventrèrent russes et danois sans rencontrer la moindre difficulté : le châtiment était mérité ! Finalement, notre immense bonté et notre pacifisme légendaire ont repris le dessus et une paix modérée fut généreusement proposée : le Danemark mécréant renonçait définitivement à ses ‘droits’ sur le peuple de Suède et payait le prix de ses décennies de meurtres et de pillages : cinq provinces nous été cédées.

Le pays est maintenant libre et heureux, mais de grandes épreuves nous attendent encore : notre retard technologique est immense, nos revenus dérisoires, notre armée minuscule... Avons-nous une chance de devenir un jour une grande puissance ou resterons-nous à jamais un petit pays :? ? Nul en tout cas ne nous ravira plus jamais notre bien le plus précieux : la liberté !

Au monde nous disons : pendant des décennies, nous n’avons pas eu de politique étrangère, tout se décidait à Copenhagen. Cela va changer, mais, pour le moment, nous sortons à peine de notre misère et fêtons toujours notre liberté retrouvée : l’expérience nous fait cruellement défaut et nous ignorons totalement, notamment, où se situe le Portugal, qui curieusement nous félicite pour notre indépendance retrouvée mais nous reproche de l’avoir acquise par les armes au détriment d’un royaume chrétien : pensez-vous donc que nous avions le choix ? Et qui est le responsable de cette guerre : l’opresseur impie, tout chrétien qu’il était, ou le pauvre oppressé ? Nous n’avons guère entendu les royaumes chrétiens protester alors que nous souffrions de la faim, du froid, de la tyrannie danoise... :evil:

Nous nous contenterons donc pour le moment de vouer les Danois aux gémonies et d’avertir les traîtres russes : nous avons prouvé que vos hordes n’étaient rien face à notre détermination et notre courage, adoptez donc une attitude plus conciliante envers nous et laissez tomber le Danemark impie, véritable cloporte de notre époque (oui, je sais, il n’y avait pas de monarque russe à ce moment :cry: )

Posté : sam. juil. 23, 2005 11:05 am
par lemarseillais
[align=center]Messages diplomatiques :[/align]


Au roy de France, François le Ier :
Cher roy, vous connaissez nos pensées vis à vis de vous, j'espère que vous tiendrez au moins un peu compte de notre parole.
Méfiez vous des peuples par delà les montagnes.

A la Suède libérée:
Nous sommes heureux que le joug danois soit rompu. Nous avons de bonnes nouvelles pour vous, nouvelles qui sont personnelles.

Au roy du Portugal :
Nous ne sommes plus alliés cher roy, vous êtes mal informé. Nous ne sommes pas pour autant ennemi mais il aurait été malhonnête de rester allié à vous alors que nous ne reconnaissons pas le Tot ni votre prétendu souveraineté sur les mers. Portez vous bien.

Au Sultan de sultanie :
Salut mec comment ça va ? Mes marchands ont capturé quelques espagnoles que je vous offre avec joie pour votre harem...

A l'archiduc de la maison de Vienne:
En ces heures sombres gardez courage et foi. Dieu est lumière.

Au....roy...d'Espagne...:
Bonne chance, vous en aurez besoin ;)

Posté : sam. juil. 23, 2005 11:37 am
par nominoë
Excellent ton style, Danton.

Posté : sam. juil. 23, 2005 3:54 pm
par Dandy
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Lettres envoyées par le Souverain du Portugal aux Grands d'Europe.

"Au Roi Anglais : malheuresement nos moines ne sont pas encore formé à votre langue et ne nous n'entendons pas le sens du mot "Tot".
Nous sommes prets a developper une coopération pour nos interets respectifs sur le continent américain. En reconnaissant vos droits sur le continent nord americain ainsi que les voix y menant, nous esperons que vous n'aurez pas de pretentions sur les caraibes, l'amerique centrale et du sud. Nous affirmons egalement que les differentes iles de l'océan atlantique et indien sont des possessions portugaises.
Nous authorisons nos amis anglais à installer de pacifiques comptoirs sur les cotes africaines si ils le souhaitent, en échange, nous demandons que nul contestation ne soit faite concernant la colonisation de l'amérique du sud et de l'Inde.
Le Portugal n'affirme aucun droit sur les terres a l'est de l'Inde mais se reserve le droit d'intervenir en cas d'action belliciste.
Enfin, nous demanderons au Roi Anglais ce qu'il prépare avec le Roi de Suede. Nous esperons que la fievre hérétique n'a pas atteint votre ile."

"Au Roi de Suede, nous cherchons a calmer les tensions existantes entre nos deux nations : en echange de la lutte contre les hérétique et la proclamation de votre attachement a la foi catholique, nous sommes pret à vous soutenir financierement et meme a vous reserver quelques terres a coloniser, avec les cartes qui vont avec naturelement ! Nous esperons que ces sages mots seront médités."

"Aux autres nations européennes, nous attendons de vos nouvelle. Le Royaume du Portugal vous souhaite réussite et foi dans vos affaires tant qu'elles ne fassent pas couler le sang !"

Posté : sam. juil. 23, 2005 4:08 pm
par lemarseillais
Dandy a écrit : "Au Roi Anglais : malheuresement nos moines ne sont pas encore formé à votre langue et ne nous n'entendons pas le sens du mot "Tot".
Je parle du traité de Tordesillas....de cet accord du diable.

Dandy a écrit :Nous affirmons egalement que les differentes iles de l'océan atlantique et indien sont des possessions portugaises.
Nous authorisons nos amis anglais à installer de pacifiques comptoirs sur les cotes africaines si ils le souhaitent, en échange, nous demandons que nul contestation ne soit faite concernant la colonisation de l'amérique du sud et de l'Inde.
Dans la mesure où nous ne reconnaissons pas le Tot, il me paraît difficile de s'entendre pour l'Amérique ou l'océan atlantique. Et nous ne prendrons même pas le temps de réagir à cette ineptie : nulle contestation sur la colo de l'Inde. Surtout que vous ajoutez ceci :
Dandy a écrit :Le Portugal n'affirme aucun droit sur les terres a l'est de l'Inde mais se reserve le droit d'intervenir en cas d'action belliciste.
Ce qui me paraît contradictoire, car si vous reconnaissez n'avoir aucun droit, alors en vertu de quoi vous reservez vous le droit d'intervenir. Je vous le demande. Nous vous prévenons qu'employer ce genre de ton impérialiste avec nous, c'est aller tout droit dans le mur. Personne ne dictera à l'Angleterre ce qu'elle peut ou ne pas faire. Si vous vous mêlez de mes affaires alors vous trouverez un anglais où que vous irez...

Dandy a écrit :Enfin, nous demanderons au Roi Anglais ce qu'il prépare avec le Roi de Suede. Nous esperons que la fievre hérétique n'a pas atteint votre ile."
Mais cela ne vous regarde pas le moins du monde trés cher roi :D

Posté : sam. juil. 23, 2005 5:57 pm
par Danton
A notre nouvel ami, le grand Roi du Portugal


Nous pardonnons bien volontier votre ignorance de notre pays car, ne l'oublions pas, nous étions dans le même cas. Nous vous rassurons donc dès ce pas: la Suède est une nation entièrement chrétienne et nul hérétique ne s'y dissimule ;)

Nous n'avons nulle intention de rejoindre la foi islamique dont vous parlez à mots couverts et sommes ravis de tenir notre part du marché que vous proposez en proclamant haut et fort notre volonté de toujours rester fidèle à la foi chrétienne 8)

Voilà qui est fait! Merci de bien vouloir transmettre le financement et les cartes promises à Stockolm! Nous gageons que cela ne sera que le premier geste des excellentes relations que nous espérons entretenir avec votre grandeur.

Le royaume de Suède, qui n'est pas un ingrat, évitera naturellement de coloniser là où vous le souhaitez et vous fera livrer pendant trente années un tiers de nos pêches.

Nous profitons aussi de l'occasion pour vous rassurer au sujet du Roi d'Angleterre, que Dieu le garde: il avait, pensons-nous (car il ne nous a pas encore contacté ;) ) un différent avec les pêcheurs norvégiens concernant les sardines de mer du nord. Ces régions étant passés sous notre juste contrôle, il est normal que ce soit nous qui reprenions les négociations jadis menées exclusivement entre Londres et Copenhagen.

Nous pensions que votre si riche pays se concentrait surtout sur le riche commerce avec les Indes et les Amériques, mais si tel n'est pas le cas, soyez le bienvenu à Londres: la conférence pour la Sardine commencera le 8 mai. Nous ne commencerons pas sans vous, promis ;)


nominoë a écrit :Excellent ton style, Danton.

:oops:

C'est que pour un peu j'y croirais :lolmdr:

Posté : dim. juil. 24, 2005 9:53 pm
par Dandy
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Message du Roi du Portugal au Roi de Suede,

Nous sommes heureux d'apprendre votre attachement au christiannisme mais ce dont nous parlions serai de quelques déviance par rapport a la sainte religion catholique. Sachez que votre ironie et vos 2ds degrés nous ont bien amusés ! Toutefois nous attendrons quelques decennies et votre attachement a la tres sainte religion catholique avant d'effectivement conclure un marché.
Sur ces doux mots, nous vous saluons.

Posté : mar. juil. 26, 2005 7:25 pm
par Danton
Histoire de la Suède, par Thor Danton. Chapitre II. L’aube des damnés


Les fruits de la liberté mangés, et même rongés, notre destin tragique nous est retombé dessus : Ô Seigneur, pourquoi nous accables-Tu tant ? N’entends-Tu pas nos cris de détresse, de désespoir, notre famine ? Pourquoi nous laisser mourir de froid et de faim quand les Danois mécréants, juste à côté, ne cessent de s’engraisser :evil: ? En vérité je vous le dis, ces misérables sucent notre sang et bientôt se délecteront de notre âme si nous ne réagissons pas. Ils nous ont envoyé la peste, qui a dépeuplé nos maigres campagnes et a fait des ravages, malgré toutes nos prières : le Pape est resté sourd à nos appels, les autres chrétiens aussi :? .

Justement irritée par le comportement démoniaque de Copenhagen, la Pologne, notre alliée, est entrée en guerre et nous avons du suivre le mouvement : que nous reste-il en effet si ce n’est la liberté et l’honneur ? Nos braves soldats ont bravé la faim, le froid et l’inconnu pour surgir subitement au large de l’Iselande danoise à bord de si frêles esquifs que l’ennemi crut d’abord qu’il s’agissait d’épaves :lol: . Le feu impie a malheureusement eu raison de nos braves, affaiblis par tant d’années de privations et décimés par la maladie maligne.

Il a fallu repartir en arrière, la honte s’ajoutant au désespoir. Mais que pouvaient donc espérer de simples paysans contre une armée moderne ? Nous n’avions que notre courage et notre volonté : en face, ils avaient les canons et la poudre. Et nos malheurs ne se sont pas arrêtés là : le destin nous frappa encore au large des côtes norvégiennes, une rencontre terrible avec la flotte danoise qui nous coûta 20% de nos vieux navires, l’espoir déçu d’une nation de damnés :cry: .

L’élite de nos troupes, c’est-à-dire les seules à recevoir, parfois, à manger étaient stationnées au Jyland : leur objectif était de marcher contre Copenhagen et de piller cette ville maudite dont les entrailles pouvaient nourrir notre royaume affamé pendant au moins une décennie. C’était oublié un peu vite le destin tragique qui s’attache à nos pas défaillants depuis l’aube des temps : l’ennemi conserva toute la guerre durant une puissante flotte dans les détroits, qui réduisit à néant tous nos projets vengeurs :evil: .

Pire, les perfides quittèrent leur nid d’opulence pour s’engouffrer dans nos rangs clairsemés : même notre puissante cavalerie n’a rien pu faire, il a fallu retraiter du Jyland. Seigneur, pourquoi nous frappes-Tu donc si fort ? Aie pitié de nous, nous T’en supplions, aie pitié ! Pourquoi ne nous laisser qu’une vie de misère et de souffrance ? Comment ne pas sombrer dans le désespoir le plus profond lorsque, bravant les tempêtes et la flotte ennemie, nos valeureux combattants revinrent en Iselande... pour découvrir celle-ci désormais contrôlées par les Écossais, en guerre eux aussi contre les Danois...

Dans le grand nord, les hordes russes, fort occupées par nos alliés, étaient plutôt discrètes, mais le froid, lui, était implacable et faucha toute une génération des damnés que nous sommes. Pourtant, à force de ténacité et de fanatisme, nous avons sur conquérir deux provinces et deux autres s’apprêtaient à tomber quand la nouvelle terrible arriva : la paix était signée, le Danemark impie s’engraissait toujours plus. Immense fut notre lassitude et notre désespoir : abandonnés des hommes et de Dieu, que nous restait-il à espérer ?

Un homme audacieux proposa alors un changement pour modifier la trajectoire de notre tragique destinée : il fallait un Roi à la Suède ! Trois candidats se présentèrent : l’audacieux, peste et choléra. Le premier remporta le premier scrutin libre et démocratique de notre royaume ;) et devient roi sous le nom de Gustav Vasa. Cela apaisera t-il notre estomac souffrant et notre corps frêle rongé par la maladie et le vent glacial ? L’avenir seul nous le dira mais, pour au moins apaiser leurs consciences, certains ont sacrifié le rien qu’ils possédaient pour obtenir le pardon des fautes que nos ancêtres, Adam et Eve, ont visiblement commis : comment expliquer autrement notre misère ?

Grande fut notre colère lorsqu’il fut découvert que notre sacrifice avait été honteusement détourné par des individus lubriques et goinfres qui se disaient serviteurs de l’église et qui se nourrissaient de notre misère. Parmi eux, l’Abbé Coelio :twisted: , le plus vicieux, le plus avide de tous, fut retrouvé des dizaines de pâtés dans ses poches cousues d’or, une foule de jeunes filles achetées avec notre sang à ses pieds dégoûtants. La pendaison était encore un châtiment beaucoup trop doux pour ce monstre immoral, mais le misérable, de ses doigts graisseux, suant comme un porc, sortit de des poches dans lesquelles il avait détourné à son profit le noble sacrifice des souffrants que nous sommes la bulle papale qui lui conférait pleine autorité sur nos terres... La rupture avec Rome fut immédiate : la Suède ne reconnait plus le pouvoir du Pape, incapable de reconnaître l’oppressé du bourreau, et se détourne pour toujours du catholicisme : seul le protestantisme met en application les saines valeurs chrétiennes prônées par notre Seigneur Jésus :P .


Le Peuple Damné est et restera libre et protestant ! Puisse Dieu enfin nous venir en aide pour détourner de nous notre si tragique destin...

Posté : mar. juil. 26, 2005 8:50 pm
par Dandy
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Chroniques Portugaises.

Apres 1520, les explorateurs et conquistadors portugais furent moins nombreux, mais leurs exploits furent grands !
Les fiers marins portugais découvrirent la riche Chine. Les iles et les terres à l'est de la péninsule indienne, qui compte désormais plusieurs comptoirs portugais, furent exploré. Tout un reseau d'iles sauvages furent découvertes ainsi que quelques états primitifs. Les portugais completerent egalement leurs etablissement au Brésil, fortifiant les colonies et installant des comptoirs à l'interieur des terres. Quelques attaquent indiennes eurent lieu, vite vengées par nos courageux soldats. Ainsi l'expansion outre mer du Portugal prograissait, malgré un manque cruel de fonds. Les quelques ducats que gagnais le Portugal étaient investis dans une flotte puissante et moderne. Mais c'était sans compter sur les anglais qui pillant leurs campagnes construisirent des dizaines de navires de ligne, qui si il ne rivalisaient pas sur la qualité des nefs portugaises, posaient un probleme sur la quantité. Mais le Portugal était sage et pacifiste, plutot que de tenter une course à l'armement avec l'Angleterre, les quelques fonds, renforcés par des généreux dons de notre frère espagnol furent investis dans le commerce, permettant au portugal d'ouvrir son premier cot outre mer et de commercer dans le riche cot mexicain. Le Portugal connut aussi plusieurs crises politiques à la fin des années vingt, venant de révoltes paysannes, de croyances ridicules et de pétitions innacceptabkes. Ces crises rendirent le pays tres instable et vida les coffres, seule l'aide du monarque espagnol et les courageux sacrifices consentis par le Roi permirrent de rétablir la loi et l'ordre dans le pays.
Le Portugal, bien que présent sur la scene européene, ni prit pas part aux enfantillages des monarques francais et autrichien qui se menacait mutuelement, ni au cas hérétique suedois, que nous avons cru un moment pouvoir sauver.
En 1535, le Portugal voyait de nouveau l'argent s'accumuler dans ses coffres, un riche avenir allait s'offrir à lui !

Nous publions ici une lettre du monarque portugais, daté du milieu des années 1530 :

Au Roi d'Espagne : Nous saluons notre entente et espérons qu'elle continuera ainsi pour le bien de nos 2 nations.

Au Roi d'Angleterre : Nous nous demandons à quoi son sujet cette construction soudaine d'une flotte de guerre...Nous demandons également que les rapports avec le Roi de Suede soit eclaircis pour le bien de tous. Nous esperons enfin que votre extension de se fera pas aux depents d'autres nations, notament les nations ibériques, qui seront répondre à une telle menace. Mais c'est sur un ton amical et pacifique que nous souhaitons une réussite pour votre peuple !

Au Roi de France : Nous ne sommes pas concernée par une guerre avec l'Autriche, mais nous désaprouvons une guerre entre chrétiens.

Au Roi d'Autriche : Nous ne sommes pas concernée par une guerre avec la Frabce, mais nous désaprouvons une guerre entre chrétiens. Si toutefois une guerre éclatait, vous aurez le soutient moral et financier du Portugal.

Au Sultan ottoman : Vos affaires nous sont lointaines mais nous sommes heureux de constater votre respect pour la chrétiennété. Nous nous réjouissons également de constater vos ambitions pacifiques dans la région indienne. Nous sommes prets à traiter avec vous pour définir des zones d'influence. Nous vous souhaitons une continuation dans ces affaires pacifiques et bénéfiques dont vous faites preuves.

Au Roi de Suede : Malgré la constatation de votre hérésie, sans doute due à une faiblesse face aux epreuves que Dieu vous a envoyé, nous souhaitons garder un contact amical avec vous.

Posté : mar. juil. 26, 2005 9:08 pm
par lemarseillais
[align=center]Messages diplomatiques :[/align]


Au roy de France :
Nous avons constaté votre politique d'apaisement en Italie malgré vos conquêtes. Malheureusement pour vous, certains princes n'ont pas le meme sens moral que le votre. Meme si nous détestons la guerre, nous comprendrions si la France décidait de protèger ses intérêts par la force, face au mutisme de l'archiduc.

A roy de Suede, Gustav vasa:
Quel douleur pour votre pays ! Quel malheur pour votre peuple ! Nous espérons un prompt rétablissement de votre royaume. Vous avez toute notre sympathie

Au roy du Portugal :
Je vous ai pourtant déjà expliqué que ce que je fais chez moi me regarde, visiblement vous n'en avez cure. soit ! Mêlons nous des affaires des autres alors. Je constate que non content d'avoir pris Zanzibar, vous vous attaquez à Mascarie (un truc comme ça :D ). Une main mise ibérique sur les cot serait une condamnation de la paix mondiale chère à Notre Seigneur. Voulez vous contredire le Seigneur ? :lol:

Au Sultan de sultanie :
Bon boulot !

A l'archiduc de la maison de Vienne:
Osez réclamer d'un roi qu'il ne fasse pas telle chose, pour le faire aussitôt après est une telle fourberie qu'elle n'a pu vous être inspiré que par le ministre espagnol el bubu. Allons puissant duc ! Chassez ce scélerat de vos conseils et revenez à la sagesse de la maison d'Autriche. Votre ennemi est l'Infidele pas un chrétien.

Au....roy...d'Espagne...:
Je me demande qui se cache derrière tout le mal de notre monde ? Qui tire les ficelles assis dans son trône, baignant ses pieds dans des coffres plein d'or, s'étant déjà adonné à tout les vices du monde, coupable des septs péchés capitaux ?
Je vous en parle parce que je vous apprécie TELLLLLLEEEEEEMMMMEENNNTTTTT :D

Posté : ven. juil. 29, 2005 10:17 am
par vince
xxxx (double post)

Posté : ven. juil. 29, 2005 10:18 am
par vince
lemarseillais a écrit :A l'archiduc de la maison de Vienne:
Osez réclamer d'un roi qu'il ne fasse pas telle chose, pour le faire aussitôt après est une telle fourberie qu'elle n'a pu vous être inspiré que par le ministre espagnol el bubu. Allons puissant duc ! Chassez ce scélerat de vos conseils et revenez à la sagesse de la maison d'Autriche. Votre ennemi est l'Infidele pas un chrétien.
L'archiduc n'a à se justifier de rien. Les provinces italiennes et la république de Gênes sont sous la menace Française. Or, en tant que membres du Saint-Empire Romain Germanique, il était du devoir de l'archiduc de les protéger. L'empereur actuel étant un incapable notoire.

Quant aux infidèles musulmans, peut-être que l'archiduc s'en occupera, le jour où il sera sûr que la france n'enprofitera pas pour lui tomber dessus.

Posté : ven. juil. 29, 2005 12:25 pm
par Bubu
Déclaration espagnole

Chers cousins,

Nous n'avons jamais discuté de l'Italie avec l'Autriche. Nous n'avons pas de politique concertée dans cette région. Les insinuations anglaises peuvent donc rejoindre la fosse à purin, destination légitime de tout ce qui peut venir de Londres.

Nous saluons nos cousins portugais et autrichiens.

Charles Quint

Posté : dim. juil. 31, 2005 1:36 pm
par Lord Simileon
Communiqué de monseigneur le duc de Simileon, Connétable de France, au nom de Sa Majesté François Ier de Valois, Roi de France

Suite aux incessantes trahisons et fourberies de la Maison d'Autriche.
Suite aux menaces exercées par la Maison d'Autriche durant nos justes campagnes d'Italies formées pour défendre les biens séculiers de Notre Saint Père le Pape.
Suite à la malhonnêteté des ministres désignés par Charles de Habsbourg pour régner sur Vienne.
Nous adressons un ultimatum à Vienne : toute annexion de Gênes sera considérée comme une déclaration de guerre avec la France, et nos troupes agiront en conséquence.

Antoine de Simileon, duc et pair de France, Connétable de France

Posté : lun. août 01, 2005 8:56 am
par vince
Le roi de France, grand défenseur de Gênes, et pourfendeur des souverains désirant faire main basse sur ses richesses... :escrime:

Il y a 15 ans, vous canoniez ses murailles.
La situation ne manque pas d'ironie...

Posté : lun. août 01, 2005 12:08 pm
par Lord Simileon
L'Autriche Etat perfide, nous nous adressons dans cette missive à Madrid, où sont dictés les ordres qui suivent à la lettre les caniches viennois, a obtenu de nous la liberté de Gênes, alors qu'il ne désirait que faire le contraire de ce qu'il nous prescrivait. Nous avons atteint la les sommets de l'hypocrisie.

Duc de Simileon

Posté : lun. août 01, 2005 3:42 pm
par lemarseillais
Nous, roy de l'angle de la terre, nous l'avions dit que le roy d'Espagne est le mal qui tire les ficelles...

Posté : lun. août 01, 2005 6:13 pm
par Bubu
L'Autriche est libre de sa politique italienne. Nous ne pouvons que la prier de chercher l'appaisement. N'en demandez pas plus à Madrid.

Posté : lun. août 08, 2005 9:00 pm
par Lord Simileon
Mémoires du duc de Simileon, Connétable de France, lieutenant général des armées du Royaume


1532-1544 : La gloire de la Lys

An de grâce : tout le royaume est sur le pied de guerre. Le bon roi François a levé près de cent cinquante mille hommes. Tous fourbissent leurs épées, nettoient leurs arquebuses, sellent les destriers. En effet, le fou autrichien a osé faire insulte au Royaume de France en reniant sa parole de préserver l'indépendance de l'Italie, et par d'habiles mensonges, ainsi que par la corruption généralisée de l'entourage du doge de Gênes , il est parvenu a faire de la belle cité méditerranéenne une esclave gouvernée de Vienne. Tous les diplomates du Royaume de France sont affirmatifs : il ne s'agit que d'un prélude avant l'occupation totale de Gênes.
Dès lors, la volonté du roi est ferme et solide : il faut démontrer une fois pour toute la détermination de la France a défendre par les armes, si necessaire, sa politique extérieure.

Le 22 Juillet 1532, nous signifions à l'Autriche par chevaucheur la déclaration de guerre du roi de France. Aussitôt, les armées patiemment amassées franchissent les frontières des Pays-Bas Autrichiens, que je commande en personne. Une autre armée part pour libérer la Franche-Comté et l'Alsace. Malheureusement, la campagne des Pays-Bas commence mal : nos troupes sont vaincues aux abords d'un petit village brabançon nommé Waterloo. Je donne précipitemment l'ordre du repli, et les Autrichiens poursuivent nos cavaliers jusqu'a Paris. Inquiet, le roi donne l'ordre de livrer bataille, et je rassemble mes cavaliers à Meaux. J'avais en effet décidé dene pas m'encombrer de piétaille pour cette campagne, et je commençais à le regretter sérieusement. Heureusement, des renforts qui avaient été mis en garnison à Orléans me parviennent, et dans la retraite de mes troupes, nous faisons subitement volte-face et attendons les Autrichiens. C'est un succès : nos charges de cavalerie détruisent totalement les reîtres allemands le 20 Janvier 1533.
Aussitôt, une nouvelle campagne est relancée. La situation du Royaume est on ne peut plus bonne : le Trésor de Guerre que j'ai amassé sur ordre du roi suffit largement à subvenir aux dépenses courantes. Sur les autres theâtres d'opération, la victoire nous appartient totalement. Besançon est assiégée. Les Impériaux se terrent lâchement dans le Milanais et n'osent en sortir. De notre côté, nous rassemblons patiemment, comme toujours, des troupes afin de mener une campagne fulgurante qui libérera l'Italie une bonne fois pour toute de la botte Habsbourg.
Diplomatiquement, l'Espagne fanfaronne, comme toujours, mais ne bouge guère : la crainte des vaillants janissaires suffit aux ministres espagnols pour garder leurs soi-disants Invincibles Armadas à quai, et la piétaille ibérique tant vantée, nous apparaît bien surfaite car elle reste cachée dans ses casernes.
La campagne de printemps 1533 est fulgurante. Toute résistance autrichienne est balayée dans les Flandres, et je mets le siège devant Bruxelles. C'est la que les ambassadeurs de Vienne se jettent à mes pieds, sollicitant la pitié de la France face à une Autriche aux abois.
J'étais également las de la guerre. Elle coûtait au Trésor royal, et les gains promis étaient des plus maigres. J'acceptais alors les ouvertures des germains.
En Juillet 1533, s'ouvre le congrès de Bruxelles. Toutes nos exigences sont satisfaites après un an d'une Blitzkrieg.
Les armées du Roy sont triomphantes !
Dès lors s'ouvre une période de reconstruction, où de grands projets sont lancés, impliquant l'exploration des côtes de terres lointaines et leur occupation pour la plus grande gloire de la France.
Je pourvois également à la promotion du commerce et de la navigation : La construction d'un chantier naval sera lancée, pour batir la Marine Royale.
Des raffineries sont bâties.
Mais la diplomatie n'est pas négligée : les cantons suisses prêtent allégeance à François Ier, et nous nous rapprochons de nombreux états germaniques qui menaçés par l'expansionnisme Habsbourg trouvent amitié et protection aurpès de Paris.
Cependant, le grand âge commence à m'atteindre, après quarante années à me tenir auprès des rois de France. Je décide alors de me retirer pour laisser la place à mon fils, Ferdinand de Simileon. Je l'introduis petit à petit dans chacune de mes fonctions, après l'avoir dûment instruit, et c'est l'esprit en paix que je me retire en l'an de grâce 1544 pour écrire en paix ses mémoires et finir mes jours dans le château de Simileon.
Pour complément à ses mémoires, je joins certaines missives diplomatiques d'époque, pièces de grand prix assurément.



Diplomatie

A Londres : ami fidèle, roi au grand coeur, la seule tache a notre amitié est votre conversion à l'hérésie luthérienne. Nous ne saurions vous conseiller meilleure chose que de vous repentir et rejoindre à nouveau le giron de Notre Saint Père le Pape.
A Vienne : Fourbe archiduc, nous avons fait couler le sang de notre jeunesse pour contrer votre folie. Nous espérons que nous ne l'aurons pas à le faire à nouveau, ou il vous en cuira, car notre mansuétude ne sera pas toujours la même...
A Madrid : Vos pitoyables menaces ne sont que grossieretés à nos oreilles. La France compte grandement sur un changement de langage de votre part pour préceder une amélioration éventuelle de nos relations. Un geste d'amitié, comme la vente du Rousillon, serait particulièrement bien vu de ce côté-ci des Pyrenées.
A Constantinople : Que dire au glorieux Sultan, si ce n'est notre admiration pour sa puissance et la chaleur qui nous anime à l'égard de son beau peuple ?
A Stockholm : Nous n'entendons guère parler de vous pour l'instant, mais nous ne doutons pas que c'est fort provisoire.
A Lisbonne : Est-ce que la pâtée servie par l'Espagne a bon goût ?

Posté : jeu. août 11, 2005 3:43 pm
par lemarseillais
Cher roy de France, une telle manifestation d'amitié de votre part nous surprend. Mais comme le disais feu mon grand-père :"accueille la paix, combat la guerre" aussi tant mieux si vous nous aimez bien lol.
Quant à notre foi, elle est le résultat d'une réfléxion réfléchie ( :D ) et vos supplications n'y changeront rien.
Sur ce, portez vous bien.....mais pas trop ;)

Posté : mar. août 16, 2005 9:16 pm
par Danton
Histoire de la Suède, par Thor Danton. Chapitre III. Le châtiment divin



Ô Seigneur, nous T’en prions, fais-nous connaître Ta volonté et que celle-ci s’accomplisse enfin... Nous souffrons, nous avons faim, nous avons froid, mais notre foi reste inébranlable. Aie pitié de nous et dis nous ce que Tu attends de nous. Parle et Ta volonté sera accomplie, nous en faisons le serment, nous, le peuple damné...

Soit, le Danemark impie a déclenché Ta colère et Tu as décidé qu’il devait disparaître... Ainsi sera t-il fait. Nous T’en prions, ne déclenche pas un nouveau déluge et laisse-nous l’honneur d’accomplir Ta volonté : notre rédemption est à ce prix, le Danemark payera... :twisted:

1548, la guerre est déclarée et les chevaliers du Christ déferlent : l’Icelande et le Groenland tombent cette fois comme un fruit mûr, les défenses danoises ayant été balayées par un raz-de-marée d’origine divine. Nos frères exaltés restent sans broncher deux années durant dans les froides montagnes de Norvège, à demi-nu malgré les –30°, ce qui terrorise les impies : la certitude d’accomplir la volonté divine réchauffe nos coeurs et nos âmes :roll: .

Les diaboliques danois ont perdu la foi et se savent condamnés : résignés, ils n’opposent qu’une résistance dérisoire. Seule leur immense flotte va nous causer des soucis, empêchant une fois encore d’atteindre la capitale de tous les vices. Mais Klas Horn, archevêque de Stockholm, décide alors de s’en remettre à la volonté divine : il quitte la sécurité de nos ports à la tête de nos nouvelles galères et part en chantant le Seigneur contre l’ennemi impie.

Et le miracle fut : le vent disparaît, immobilisant complètement les fiers et puissants navires de guerre danois. La cadence s’accélère jusqu’à devenir infernale, la rédemption est au bout de nos rames et nos fiers marins y mettent tout leur coeur, poussant un immense cri de joie mystique lorsque enfin arrive le grand choc : les navires ennemis sont éperonnés impitoyablement et sombrent tous dans les eaux glaciales de la baltique, un avant-goût du froid éternel qui attend ces impies... ;)

Victoire ! Copenhagen, la ville trois fois maudite, peut enfin être assiégée et sa chute est accueillie dans le monde entier comme le triomphe de la foi et de la justice divine. Dieu nous approuve et nos pêches sont miraculeuses cette année là : Sa volonté est accomplie et le Danemark condamné nous cède trois colonies et quatre provinces. Le peuple libre étend désormais son influence sur les côtes gelées de l’Icelande et du Groenland.

Et cinq années plus tard, tout est accompli : le Danemark honni disparait des cartes du monde, châtié conformémement à la volonté divine par ceux qui avaient le plus souffert de ses crimes abjects. Ne reste plus désormais que la Grande Suède, le peuple libre, le peuple damné, qui voit enfin un nouvel avenir, plus rayonnant, s’ouvrir à lui. Nos premiers pas dans ce monde nouveau que nous découvrons avec joie et émerveillement sont timides et incertains : vers quelle direction nous porter ? Vers quels souverains :?: ? Aucun ne nous est venu en aide durant nos décennies de servitude... Notre conscience nous guidera 8) .

ET comment aurions-nous pu, avec le destin tragique qui est le nôtre, ignorer les appels à l’aide désespérés des braves protestants de Danzig alors que les armées autrichiennes pillonaient sans raison, par plaisir barbare, la ville du nord ? Mais personne ne nous a suivi et l’Empereur a trompé la confiance mondiale en annexant Danzig puis Venise la belle... Une rédemption est-elle encore possible après de tels crimes :? ?

En vérité, archiduc, nous vous le disons humblement et sans malice aucune: soulagez votre conscience torturée et faites pénitences. Relachez Venise et Danzig et vous verrez la lumière ! Ne tournez pas le dos à Dieu et à sa volonté ! Faites comme nous, à genoux humblement devant la maison du Seigneur, attentif à la parole divine. Nous T’écoutons, Ô très haut, et Ta volonté sera accomplie.

Image[/b]

Posté : dim. août 21, 2005 2:48 pm
par vince
L'archiduc a beaucoup apprécié l'envolée lyrique et théologique du souverain suédois, mais il lui rappelle que se prendre pour le créateur (du moins parler en son nom), est un blasphème.

il est bien évidemment hors de question de libérer des villes si chèrement acquises, comme Danzig et Venise.

De plsu l'archiduc annonce au monde qu'un accord sur la cession des anciennes provinces hongroises et venitiennes vient d'être trouvé, avec l'empire ottoman. Réjouissons-nous. Des catholiques reviennent dans la communauté des croyants.

Posté : mar. sept. 06, 2005 12:28 am
par stratcom
  • EPISODE ? (1579-1593)

    Les joueurs

    Angleterre : lemarseillais
    Autriche : vince
    Empire ottoman : Jimbo
    Espagne : Bubu
    France : Elvis
    Hollande : ric novice
    Russie : stratcom
    Suède : Danton

    L'Europe en 1593

    Image

Posté : mer. sept. 07, 2005 9:40 pm
par Danton
Histoire de la Suède, par Thor Danton. Chapitre IV. La guerre contre les Habsbourgs


Prélude


Ô Seigneur, nous avons conquis notre liberté de haute lutte, nous avons lancé la construction d’une puissante flotte pour défendre nos contrées inhospitalières et nous sommes même partis installer quelques maigres colonies dans ce continent nouveau nommé Amérique. Et pourtant, les grands de ce monde nous ignorent encore et toujours, notre peuple souffre toujours de la faim et de la misère :cry: , alors il nous a fallu réagir... Le Peuple Damné n’acceptera pas son tragique destin sans au moins avoir tout tenté pour le modifier. Merci, ô Seigneur de nous laisser cette possibilité de nous sauver nous même...

Pourquoi souffrons-nous tant ? Qui monopolise donc les richesses immenses du monde à son seul profit :?: ? Qui nous en prive ? La réponse à cette légitime interrogation ne fut pas évidente pour nous qui ignorons encore presque tout du monde et de nos voisins, le conseil de Suède a longuement hésité, mais nous avons finalement basculé : le richissime roi d’Espagne nous promettait certes beaucoup, mais ne donnait jamais rien, et était en outre allié au Duc d’Autriche, le boucher de Danzig :? . Le sage roi d’Angleterre, lui, promettait peu, spolié qu’il était lui aussi, mais donnait ce qu’il pouvait : c’est grâce à lui que nous avons pu nous installer en Amérique. Le Peuple Libre se rapprocha dès lors de l’Angleterre.

Son roi, un visionnaire de génie :P , un digne descendant de Guillaume le conquérant lui même, nous a offert son amitié et a partagé avec nous ses projets... Nous sommes pacifiques de nature, Dieu en est témoin, mais puisqu’il semble nécessaire, dans ce monde de brutes belliqueuses et fourbes, de faire la guerre pour obtenir la reconnaissance mondiale... Soit, nous ne reculerons pas devant cette tâche qui nous répugne pourtant tellement et nous ferons honneur à nos glorieux ancêtres, qui prirent jadis Copenhagen d’assaut après avoir traversé la Baltique à la nage :D .

Aux armes, peuple de Suède ! Allons conquérir ce qui nous revient de droit ! Une foule en délire applaudit le départ de notre immense flotte : fini les frêles esquifs misérables, nous alignons désormais de modernes vaisseaux de guerre. Le Peuple Libre va déferler et rien ne l’arrêtera :twisted: !


La Guerre


D’ultimes négociations sont lancées avec l’Espagne mais échouent complètement : Madrid ne veut rien céder de son monopole total des richesses du monde. Ce sera donc la guerre, nous le regrettons beaucoup :cry: . Une force d’invasion atteint les Antilles et toutes les îles espagnoles tombent les unes après les autres : l’opposition fut dérisoire et nos braves soldats découvrent, émerveillés, la richesse fabuleuse de ces îles. Mais cela n’était encore rien comparé à ce qui attendait la deuxième force d’invasion, débarquée au Mexique : une richesse inimaginable l’attendait. De quoi nourrir notre peuple pendant des décennies : nous réclamons notre part ! Agissez en bon chrétien, Roi d’Espagne, et partagez avec vos frères ou vous serez damné pour l’éternité !

Le fabuleux cot de Tlaxcala tombe rapidement entre nos mains et nos vaillants soldats repoussent les hordes ennemies, mais la guerre ne sera pas une promenade de santé : Madrid mobilise en masse et le Duc de Vienne, sans la moindre raison, nous attaque sauvagement :shock: . Pourquoi cette ignoble agression ? Le Peuple Libre n’a jamais causé le moindre tort à Vienne, qui ne peut de plus rien espérer de nous puisque nous ne possédons rien.

Les impériaux aussi vont avoir de lourdes désillusions : ils espéraient nous vaincre facilement, forts de leur supériorité guerrière et technologique, mais ils sont tombés sur plus résistant que la pierre. La force d’invasion est purement et simplement anéantie, nos héros pulvérisent toute opposition et les tués sont de plus en plus nombreux dans les rangs adverses. Humilié et battu, l’Empereur, au lieu de se rendre à la raison et de négocier une paix blanche que nous aurions été heureux de lui accorder, mobilise massivement et reconstruit ses armées, qu’il relance fourbement contre nous malgré l’intervention du noble, juste et raffiné Tsar de Russie : un homme compétent et lucide :P qui a lui aussi su comprendre qui thésaurisait honteusement les richesses mondiales.

Contre toute attente, nos armées repoussent une fois encore l’ennemi et des renforts nous permettent d’espérer que le temps de la contre-offensive a enfin sonné : allons porter le fer directement chez l’autrichien ! Sus au boucher de Danzig !

Las, c’était oublié notre destin tragique, la malédiction coelienne qui s’attache à nos pas défaillants : le désastre de Flensbourg vient nous le rappeler brutalement. Le réveil fut brutal et douloureux. Tous les indicateurs indiquaient une victoire assurée, une bataille loin d’être aussi risquée que les précédentes, toutes gagnées, mais les maléfices de Satan en ont décidé autrement. Flensbourg, lieu maudit. Toute notre armée disparaît en un jour, engloutie par les torrents infernaux envoyés par le Mal :evil: . Triste jour pour nous. Holstein et Jyland sont assiégés et tombe sans que nous puissions rien faire.


La victoire


Le Duc tente alors un coup audacieux : faire passer ses armées à Copenhagen même, la fabuleuse ville de notre ancien bourreau. Comme ses soldats n’ont pas la vigueur et la conviction de nos ancêtres :roll: , une immense flotte surgit pour assurer le débarquement, un reliquat de Venise la malheureuse probablement...

Peuple de Suède, le Duc menace ta liberté, ton unique bien ! Il veut t’enchaîner à nouveau ! Aux armes ! Haro, haro sur le baudet ! La victoire ou la mort ! Plutôt mourir libre que redevenir esclave !

Nos marins, galvanisés, espoir de survie de toute un peuple épris de liberté, se lancent en hurlant contre les misérables qui veulent devenir nos nouveaux bourreaux et les dépècent sans merci, avec leurs seules dents : liberté, liberté, liberté ! La flotte autrichienne est écrasée, poursuivie, encore laminée puis disparaît définitivement de la Baltique, terrorisée par la force de notre volonté et notre courage indomptable :twisted: .

Le Duc est désormais dans l’impasse, il ne peut plus rien contre nous. Il lutte même de plus en plus difficilement contre les troupes d’élite du Tsar, qui débarquent dans nos provinces arrachées par Vienne et tentent de libérer nos frères : elles ont échoué, mais nous n’oublierons pas qu’elles ont essayé. Vive la Russie, vive le Tsar !

25.000 hommes sont mobilisés à Copenhagen et pourraient relancer le conflit contre les Autrichiens, mais notre priorité n’est pas là : la guerre se joue au Mexique, pas au Danemark. Là bas, bien loin de notre pays, la lutte est âpre et sauvage : ces terres fabuleuses vomissent sans cesse des hordes d’espagnols brutaux et sournois :? , rendant par-là même inutile ou presque le contrôle total des mers dont nous disposons avec notre allié anglais : jamais la flotte madrilèe, en effet, n’a seulement trouvé le courage de quitter ses ports protecteurs.

Mais ses troupes terrestres sont terribles et font face vaillamment à nos offensives conjugées. Le camp protestant a cependant le bon droit et l’appui divin de son côté, la victoire est donc inéluctable :D . De superbes chefs anglais mènent l’offensive plein nord, tandis que nous nous occupons du sud, prenant notamment d’assaut les riches mines d’or... autrichiennes. Nous remportons des victoires qui frisent le miracle et l’inimaginable, notre élan est irrésistible. Avec l’arrivée de nouveaux renforts, notamment autrichiens, les Habsbourgs pensent un moment pouvoir renverser la situation, mais ce n’était qu’une illusion : plus dur fut pour eux le retour à la réalité, qui marque notre incontestable victoire.

Le Peuple Libre a droit lui aussi à une partie des richesses du monde ! Notre peuple a faim, il souffre encore du froid alors que d’autres nagent scandaleusement dans l’or : c’est intolérable ! Nos renforts arrivent et, en conjonction avec nos irréductibles alliés anglais, l’offensive reprend et balaye tout sur son chemin : tout le Mexique tombe entre nos justes mains protestantes. La victoire est totale, reste juste à négocier la paix.[/b]

Posté : mer. sept. 07, 2005 9:49 pm
par Danton
Messages diplomatiques.

Angleterre. Valeureux allié et ami fidèle, nous avons lutté et nous avons vaincu, gloire à Dieu ! Notre héroïsme a permis un certain rééquilibrage des richesses du monde en faveur des laissés pour compte et, pour cela, votre nom restera à jamais dans les annales de l’Histoire comme celui d’un grand bienfaiteur de l’humanité ;) .

Russie. Votre sagacité et votre prestance ont toute notre admiration béate :P . Nous vous souhaitons plein succès pour vos légitimes projets et souhaitons renforcer les liens amicaux que nous avons récemment noués.

Hollande. Cher ami, votre royaume est jeune et énergique, rejoignez donc sans hésitation aucune les forces du renouveau et luttez avec nous pour la liberté des peuples et un juste partage des richesses du monde. Nous sommes persuadé que vous ferez le bon choix et que vous ferez honneur à votre religion.

Empire Ottoman. Nous n’avons que peu de contacts, mais ceux-ci sont toujours chaleureux : n’hésitez donc pas à vous impliquer davantage en europe. Vous ferez honneur à vos illustres prédécesseurs, nous en sommes fermement convaincus :roll: .

France. Votre riant royaume a lui aussi toute notre admiration, mais nous regrettons la faiblesse actuelle de votre implication dans les affaires européennes : soyez juste, soyez bon et Dieu vous le rendra au centuple !

Autriche. Bien cher voisin, pourquoi cette agression sauvage contre le Peuple Libre ? Lui qui n’éprouvait à votre égard que pacifisme et admiration sans borne :cry: . Qu’espérez-vous donc gagner ? Nous n’avons aucune raison de nous faire la guerre et vous aurez certainement constaté que celle-ci est d’ailleurs dans l’impasse la plus totale depuis longtemps : signons donc rapidement une paix blanche et tentons d’oublier le sang versé en vain. Dieu est miséricordieux, le Peuple Libre aussi, il peut pardonner cette folie injustifiée.

Espagne. Nous n’avons nulle haine contre vous, mais vos richesses scandaleuses ont attiré une légitime colère. Nous ne demandons qu’un partage plus équitable des richesses mondiales, rien de plus. Nous contrôlons actuellement les Antilles et le Mexique tout entier, c’est énorme et cela représente une fraction non négligeable de vos revenus colossaux. Nous sommes persuadé que, tout comme nous, vous êtes un homme de paix : celle-ci peut être facilement obtenue, le prix sera modique, voire dérisoire :roll: ... Tlaxcala pour le Peuple Libre, deux mines d ‘or pour notre valeureux allié d’Angleterre : une goutte d’eau dans l’océan pour un pays plus riche à lui seul que la moitié du monde.

Tibet. Nous étudions avec attention votre intéressante proposition et vous ferons connaître sous peu notre décision. Nos deux grands pays ont tout à gagner de notre entente.

Posté : ven. sept. 09, 2005 11:41 am
par vince
Chroniques autrichiennes

La lutte contre l'hérésie :
Après maints efforts, ces dernières années furent fastes pour la religion catholique au sein du saint-empire. Les dernièrs bastions hérétiques de notre territoires furent ramenés à la raison, donc à la vraie foi.

Premier succès retentissant, les commerçants de danzig rejoignèrent la communauté catholique. Puis suivirent les tansylvaniens, les ruthéniens (des anciens orthodoxes), et les Wurtembergeois.

A cette heure, la nation autrichienne toute entière est unie derrière le très saint-père et derrière l'archiduc.

Devant de tels succès, nous redoublerons d'effort pour lutter contre l'hérésie dans le saint-empire.


Notre cousin sauvagement agressé par les protestants

les suédois et anglais fomentèrent un plan inique et attaquèrent notre cousin de madrid. Aussitot, l'archiduc se porta à son secours, malgré la diversion russe. Le roi de Suède feindra la surprise quand nous l'attaquâmes, mais la déclaration de guerre russe n'était-elle pas destinée à nous en dissuader ?

Quoi qu'il en soit, les hordes russes se faisèrent attendre. Seuls 20 000 hommes tentèrent de libérer le Holstein suédois que nous venions de capturer. Ils furent décimés.

Les coalisés hérétiques concentrèrent leurs assauts au mexique, zone ou nous ne pouvions etre d'une grande aide pour notre cousin. La garnison de Michoagan était bien faible. D'autant qu'une mauvaise coordination avec les espagnols eut raison d'elle. Une attaque concerntrique sur Tlaxcala, assiègée, devait avoir liue, mais au dernier moment le capitaine espagnol annula l'ordre. Notre aile gauche resta donc sans protection et nous fûmes étrillés.

Dès lors, nous nous contentâmes d'harceler la suède dans l'ancien danemark continental (Holstein et Jylland). Copenhage était hors de portée, nous nous doutions bien que la flotte suèdoise gardait le détroit.
34 000 suèdois bien commandés étaient retranchés sur l'autre rive de l'elbe. Sans compter, nous multipliâmes les assauts pour les en déloger. Tout miser sur une seule bataille aurait été utopique.

Jylland et Holstein, entre nos mains, nous avons donc fait ce qui nous était possible, à savoir, accaparer des ressources ennemies, hélas cela n'a point suffit. Notre cousin, dans ses colonies devait finalement s'incliner.

Nous l'enjoingnons à céder le cot de Tlaxcala, ou deux mines, mais pas plus. Inutile d'être dépouillé pour un conflit d'une portée très limitée.

Posté : jeu. sept. 29, 2005 8:15 pm
par Danton
Histoire de la Suède, par Thor Danton. Chapitre V. L’axe du Mal menace le monde libre


Roulement de tambour et annonce à la criée sur toutes les places du pays : Tlaxcala, le fabuleux centre de commerce du Mexique espagnol passe sous contrôle officiel du Peuple Libre, qui obtient enfin la reconnaissance mondiale :P . Partout dans le monde, de pauvres hères redressent la tête, émerveillés : leur sort n’est donc pas sans espoir puisque le peuple damné, après avoir tant souffert, a réussi à briser les chaînes de l’oppression.

Le Mal peut donc être vaincu ! La Suède devient le phare de la liberté mondiale, l’espoir de tous ceux qui souffrent encore de la faim, du froid, des mauvais traitements, alors que d’autres nagent dans l’opulence la plus honteuse. Debout tous les damnés de la terre ! Suivez notre exemple et brisez vos chaînes ! Cessez donc de trembler, votre bourreau n’est pas invincible et, en réalité, tremble de peur : liberté, liberté, liberté !

Mais le despote vaincu et humilié conspire à nouveau et obtient la soumission de nouveaux valets, qui, pour quelques miettes de sa fortune colossale, n’hésitent pas à vendre leur âme : honte sur eux :evil: ! Le monstre n’en a toujours pas assez et son avidité sans borne le pousse à commettre un nouveau crime ignoble : l’annexion barbare du Portugal. Ce malheureux pays est désormais sous la botte de la pieuvre maléfique qui domine toujours le monde malgré la perte de Tlaxcla, une goutte d’eau dans l’océan et un simple retard pour son but ultime : l’asservissement total du monde :? .

Jamais le Peuple Libre, contrairement à certains, ne se soumettra au monstre : nous préférons mourir libre que nous soumettre ! Tous les miséreux opprimés comptent sur nous, nous ne leur feront pas défaut. Le Mal fait alors usage de ses pouvoirs démoniaques pour ravager notre pays : la peste s’abat, puis c’est un hiver redoutable qui ruine nos récoltes et provoque la famine, nos navires qui sombrent corps et biens. Mais, comme Job jadis, le Peuple Damné ne cède pas au désespoir et garde fièrement la foi : Dieu est avec nous, nous vaincrons !

L’axe du Mal recrute toujours plus et menace sans cesse les seuls peuples épris de liberté et de justice : à tous ceux qui soutiennent aveuglément le monstre, nous disons faites attention car le tyran ne partagera jamais le monde, il le veut tout entier et pour lui seul. Voyez qui domine les cinq continents, voyez qui monopolise les centres de commerce, voyez qui aligne des revenus supérieurs à trois fois ceux de n’importe quelle autre grande puissance. Voyez et comprenez ! Si nous tombons, la pieuvre n’aura plus besoin de vous et vous abattra sans merci :? ! Mais, alors que nous aurons au moins succombé dans l’honneur, vous périrez vous en portant toute la responsabilité du triomphe des forces maléfiques : si les ténèbres s’abattent sur le monde, ce sera de votre faute !

Debout les damnés de la terre ! Liberté, liberté, liberté !

Posté : jeu. sept. 29, 2005 11:41 pm
par lemarseillais
Tel William Wallace (que mes aieuls ont bien connu), moi, le roi d'Angleterre, je crie : LIBERTEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE !!!!!!

Posté : ven. sept. 30, 2005 10:21 am
par Touko
Message de l'Espagne

Roi de Suède, vos envolé lyriques vous font perdre la tête.
Nous n'avons jamais reconnu l'annexion de Tlaxcala, ce territoire nous a été confié par l'Eglise et Dieu lui même.
Il est de donc de notre devoir de reprendre ce qui nous a été volé.

Posté : ven. sept. 30, 2005 11:49 am
par vince
Message de l'archiduché d'autriche.

L'archiduc s'ennuie. Après les succès remporté face au comte palatin, il décida de mettre au pas les populations de Mayence et Kassel, et de faire cesser leurs rites hérétiques. Il s'attendait à quelque résistance, mais non. Ces pieuses brebis revinrent dans le giron catholique sans coup férir. L'archiduc (que l'on commence à nommer "Konvertissator"), a donc toutes les raisons de poursuivre son oeuvre de démantèlement de l'hérésie protestante dans le saint-empire. Mais le morceau sera cette fois de taille. Les dernires bastions protestants sont alliés et puissament armés (150 k), entre la saxe, le oldenbourg, la poméranie, et ce qui reste du palatinat.

Mais cela aura le mérite d'occuper l'archiduc en attendant l'expiration du traité de Bruxelles...

Posté : ven. sept. 30, 2005 7:02 pm
par Danton
"Les Espagnols... Ce peuple, le plus maléfique du monde, ne trouve pas ce monde assez grand pour satisfaire son avidité sans borne: il semble à ces mécréants que Dieu ne fît que pour eux les mers et la terre, et que les autres nations ne soient pas dignes ni de naviguer ni de fouler la terre ferme. Mais le soleil luit pour nous comme pour les autres et je voudrais bien voir la clause du testament d'Adam qui nous exclut du partage du monde!"

Posté : ven. sept. 30, 2005 7:42 pm
par Touko
Réponse Espagnole

Votre prose diabolique ne trompe personne.
Toute l'europe sait bien d'ou vient le danger, de ce peuple qui a annexé toute la scandinavie.
De votre flotte de pirates qui rançonnent tout navire ne batant pas le pavillon du diable.
De votre créature que vous avez installé a Londres pour poursuivre votre plan diabolique.
Mais pour vous l'heure de la rédemption est proche, et l'Espagne viendra accomplir la volonté de Dieu et nous renverrons le grand satan du nord dans sa prison de glace, de là d'ou il n'aurait jamais du sortir.

Posté : mer. oct. 05, 2005 6:27 pm
par Danton
Gare aux yeux, la suite est assez longue, mais il me fallait bien immortaliser cette grande victoire :roll:

En toute modestie naturellement :P (et en toute objectivité ;) )

Posté : mer. oct. 05, 2005 6:35 pm
par Danton
Histoire de la Suède, par Thor Danton. Chapitre VI. La croisade contre le Mal


Notre Père qui es aux cieux
que ton nom soit sanctifié
que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite
sur la terre comme au ciel.

Donne-nous aujourd’hui
notre pain de ce jour,
pardonne-nous nos offenses
comme nous pardonnons aussi
à ceux qui nous ont offensés
et ne nous soumets pas à la tentation
mais délivre-nous du Mal.


Amen


Délivre-nous du Mal, o Seigneur ! Le Peuple Libre, qui est très pieux et toujours à l’écoute de la parole divine, ne pouvait rester sourd à cette prière de tous ceux qui, comme nous, souffrent encore de la misère, de la faim et du froid :cry: . Une pacifique ambassade est envoyée à Madrid, capitale de la pieuvre maléfique qui thésaurise la quasi entièreté des richesses du monde, mais ils en reviennent atterrés : le monarque espagnol, qui nage dans l’or, n’a cessé de nous menacer ! Il nous a traîté de grand Satan ! De diable qui se cache en Scandinavie ! Oser nous dire cela à nous qui représentons le Bien :shock: !

Et il a osé ajouter qu’il avait l’intention de récupérer Tlaxcala, le maigre bien que nous avons su arracher à sa rapacité pour en faire profiter les pauvres oppressés de ce monde. Flambeau de la justice et de la pureté, le Peuple Libre empêchera les ténèbres de s’abattre sur le monde ! Le Mal peut s’attacher des valets, offrant quelques miettes de sa richesse volée aux peuples, mais nous résisterons toujours aux tentations du diable : notre âme n’est pas à vendre. Dieu est avec nous ! Et la gloire nous attend... :twisted:

Le refu de repentir sincère du Mal nous oblige à reprendre la lutte pour sauver le monde libre des ténèbres : debout tous les damnés de la terre ! Brisez vos chaînes et, ensembles, faisons trembler le tyran ! Brisons son joug infernal ! Liberté, liberté, liberté !

La guerre est déclarée en 1617, nous regrettons bien cela car nous entretenons une véritable passion pour la paix :cry: , mais le Mal ne nous a pas laissé d’autre choix et, pire, il a fait des émules : cela fait longtemps que l’archiduc a vendu son âme au diable, aussi son intervenion ne nous a guère surpris, même si elle est absurde, les impériaux n’ayant rien à y gagner, mais nous fûmes attristés de noter que la Hollande se joignait à la pieuvre... Ne comprend t-elle pas qu’en agissant ainsi elle se condamne elle même ?

Nous ne sommes que deux faibles nations (car, fort heureusement, le noble, raffiné, élégant et héroïque ;) roi d’Angleterre marche à nos côtés) contre trois monstres de puissance et de richesse mais, en vérité je vous le dis, l’heure du jugement dernier n’est pas si éloignée que vous le pensez : la lumière vaincra les ténèbres. Vive le Peuple Libre, Vive l’Angleterre, Vive le Bien !


L’assaut initial

Une fois encore, le Mexique sera le théâtre de guerre principal pour le Peuple Libre et c’est là que nous frappons tout naturellement le premier coup : nos troupes s’élancent vaillamment à l’assaut de Atlixco afin de couper en deux les possessions espagnoles : une armée ennemie est stationnée au sud, une autre juste au nord... il faut aller vite :? . La résistance fanatique de quelques escalvagistes nous retarde hélas trop et nos troupes sont prises en tenaille et facilement battues par les madrilènes avides de sang, mais qu’importe : Wrangel déboule avec toute notre cavalerie du Mexique et charge l’ennemi victorieux... qui est anéanti ! Première victoire majeure de la guerre : déjà 35.000 espagnols tués après trois mois de guerre seulement :twisted: .

Atlixco, assiégé, tombe rapidement et nous repartons dès lors au nord de Tlaxcala, dans la province de Tampico. Mais ce temps perdu a été mis à profit par l’axe du mal pour recruter en masse : deux vagues colossales se jettent sur nous et même l’arrivée inopinée de Wrangel, encore lui, ne peut rien changer à l’issue du combat :evil: ... Sauf que le Peuple Libre révèle alors aux fourbes son joker le plus important : Gustave-Adolphe, habillement dissimulé sur nos navires ! Notre glorieux monarque se précipite sabre au clair et décime les rangs ennemis : victoire :D !

L’Espagne, à ce moment, n’a virtuellement plus d’armée au Mexique et la campagne semble déjà jouée... vient alors le ‘trou noir’, un soudain et fort inopportun retour en arrière (a t-on idée de demander un retour IP sans sauver avant... :evil: ). Tout est à refaire. Et l’axe du mal connait désormais l’existence tenue cachée de notre joker : l’histoire ne se répètera pas. Les Espagnols adoptent en effet aussitôt une attitude soudainement plus prudente et même notre siège de Tenochtitlan ne les décide pas à bouger et Guga décide alors d’aller à leur rencontre : la bataille décisive a lieu à Jalisco, où, malgré l’irruption de renforts autrichiens, nous remportons une nouvelle victoire... bien moins décisive malheureusement que celle d’avant le ‘trou noir’. Et les pertes sont bien supérieurs.

60.000 autrichiens contre-attaquent en outre et reprennent Tenochtitlan et Atlixo. Guga ne peut être partout. En Europe, la flotte hollandaise échappe soudainement au blocus que nous avions établi devant ses côtes avec notre allié d’Angleterre.


La crise

Talonnés par la Navy, les Hollandais arrivent en mer de Tampico et c’est là que l’axe du Bien décide de l’affronter : une sauvage bataille commence, mais la décision viendra finalement curieusement des Espagnols trois fois maudits. Ceux-ci ne participent pourtant pas à la bataille, ils sont bien trop lâche pour cela, mais ils raflent des centaines de jeunes vierges indigènes et les sacrifient à Satan pour obtenir son aide :shock: ... Les forces du Bien reculent aussitôt, épouvantées par ce crime ignoble, et la flotte hollandaise fête sa première victoire.

La situation n’est pas meilleure sur terre : les Impériaux passent par Tlaxcala, nous infligent deux défaites puis le Mal rassemble toutes ses forces démoniaques pour terrasser l’archange du Bien lui même ! Des centaines de milliers :roll: d’autrichiens, espagnols et même hollandais se jettent comme des vautours sur nos héros dans la province de Saltillo et ce qui devait arriver arriva : Wrangel, submergé par le nombre, est laminé et quand Guga arrive enfin, il est déjà trop tard... les pertes sont terribles, le ravitaillement est coupé et Guga est pris au piège, entouré d’ennemis qui veulent sa peau. Partout en Suède, on prie et on implore le Seigneur : « délivre nous du Mal et sauve notre Guga ! »

Ce moment tragique constitue un tournant majeur de la guerre. Vitctorieux sur terre comme sur mer, l’axe du mal a eu la victoire finale à portée de main, mais c’était compter sans la volonté de Dieu ! Les protestants vaincront car le Bien ne saurait être vaincu. Tout le monde libre espère notre victoire, nous ne pouvons pas baisser les bras. Le Mal a cependant été à un chouia de son but ultime : l’asservissement total du monde. Mais le Peuple Libre et la glorieuse Angleterre (qui remporte elle quelques succès notables en Amérique du nord) vont une fois de plus réussir à faire reculer les ténèbres... Loués soient-ils, ces deux lumineux ;) !


Guga superstar

Réfugié dans les montagnes de Jalisco, notre bien aimé Roi résiste farouchement aux hordes démoniaques venues pour l’achever et passe même à la contre-offensive ! Avec détermination et, surtout, une foi inébranlable, les Suédois perforent les rangs ennemis et échappent au piège mortel : nos forces miraculées se refont une santé au nord de Tampico puis, après l’arrivée de renforts suédois mais aussi anglais, la contre-offensive est enfin lancée. Guga, Guga, Guga ! :lol:

Sonné par ce brutal retournement de situation, l’ennemi impie n’ose plus bouger et reste terré dans ses montagnes, malgré la chute des riches mines d’or de Tenochtitlan : en vérité, je vous le dis, les troupes espagnoles se salissent les chausses rien qu’en entendant le nom de l’archange du Bien :roll: , Guga superstar, qui collectionne les victoires comme les impies les vices et les crimes.

Mais la victoire sur terre ne suffit pas : il faut aussi régler le problème hollandais sur mer. Une nouvelle grande bataille a lieu dans la même mer que la précédente mais, cette fois, la victoire est totale : Maarten Tromp est poursuivi et battu encore une bonne vingtaine de fois :twisted: . L’axe du Mal a échoué, surtout que la victoire anglaise en Amérique du nord est elle aussi complète. Mais les démons peuvent encore compter sur leur immense supériorité numérique et pécuniaire (guerre à trois contre deux, ne l’oublions pas, avec un rapport de 2 pour 5 en défaveur du camp protestant :evil: ) , au Mexique, leurs troupes, bien que toujours largement supérieurs en nombre, jouent lâchement l’usure : la gloire est un mot inconnu de leur vocabulaire. Mais le châtiment viendra tôt ou tard !

Les immenses ressources espagnoles, quatre fois supérieurs aux notres, permettent un renforcement majeur de la flotte hollandaise, qui s’est repliée en Europe, où elle peut bénéficier du soutien des centaines de navires austro-espagnols. L’abandon de l’atlantique par l’axe du mal nous permet cependant de débarquer dans les Antilles, où nous pulvérisons les garnisons espagnols, tandis que l’Angleterre s’empare de la totalité du Brésil espagnol (évidemment espagnol, la pieuvre est partout). La victoire est totale, mais l’axe du mal n’a pas encore dit son dernier mot...


L’ultime offensive


L’axe du mal décide de tenter une ultime fourberie, qui ne manquait pas d’audace pour une fois : hollandais, autrichiens et espagnols unissent l’intégralité de leurs flottes, toujours très importantes, et surgissent en mer du nord... 80.000 soldats ont embarqué avec eux et les maudits espèrent renouveller l’exploit de Guillaume le Conquérant : soumettre l’Angleterre :? ! La Navy, espoir de tout un peuple épris de liberté, fait face avec courage et abnégation, mais les forces engagées sont par trop inégales et l’amiral anglais, tétanisé, s’apprête à ordonner la retraite qui serait le signal du débarquement ennemi et du déferlement des forces des ténèbres... Le début de la fin ?

Mais les hurlements terrifiants des combattants couverts de sang sont alors couverts par une immense clameur : les cors Suédois résonnent dnas la mer du nord comme les trompettes de l’apocalypse pour l’axe du mal :twisted: ! Le Peuple Libre surgit et notre glorieuse flotte, telle la foudre divine vengeresse, terrasse les maudits et la victoire change soudainement de camp : le Bien a triomphé !

Nous poursuivons impitoyablement l’ennemi avec notre allié d’Angleterre, qui est bien décidé à châtier sévèrement les fols qui ont seulement osé imaginer ce plan diabolique : débarquer en Angleterre. Ah les scélérats ;) !

Avec la même entente parfaite, l’axe du Bien unit ses forces pour l’ultime offensive au Mexique : épaulé par les intrépides Anglais, Guga déferle avec 35.000 Suédois au Michoacan et terrasse les Autrichiens, malgré l’arrivée in extremis de plus de 40.000 espagnols ! Vicoire ! L’ennemi est traqué impitoyablement et nous assiégeons ses dernières mines d’or : notre victoire est totale tant sur mer que sur terre (Brésil, Amérique du nord, antilles, Mexique...), la pieuvre maléfique doit négocier.

Certains souverains feraient bien aussi de réfléchir aux conséquences de leurs actes : Dieu les jugera un jour et le chemin à parcourir pour la rédemption devient de plus en plus long pour certains :roll: ... Repentez-vous et faites actes de pénitence avant d’être définitivement corrompus par le mal. Le Peuple Libre, lui, va continuer à prier le Seigneur. Que la paix subsiste le plus longtemps possible car tel est notre plus cher désir, nous qui détestons tant la guerre.


Notre Père qui es aux cieux
que ton nom soit sanctifié
que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite
sur la terre comme au ciel.

Donne-nous aujourd’hui
notre pain de ce jour,
pardonne-nous nos offenses
comme nous pardonnons aussi
à ceux qui nous ont offensés
et ne nous soumets pas à la tentation
mais délivre-nous du Mal.

Amen

Posté : sam. oct. 08, 2005 6:04 pm
par lemarseillais
Mémoire de guerre. Tome 1. Faire honneur à mon père.


J'avais 7 ans lorsque mon père se battit contre les hordes espagnoles loin de notre Anglia natale, par delà les mers, dans un pays chaud et exotique où les hommes et les femmes s'habillent, parlent, vivent bizarrement. Cette terre était appelé Mexique.
..... Je n'ai jamais revu mon père depuis ce jour où il embarqua à Chisterland pour rejoindre la Royal Navy à port en Kent. Il me faisait signe dela main sans penser une seule seconde que ses yeux captaient pour la dernière fois mon visage et celui de ma mère..... Il partait pour la mort..... Il fut tué au cours de la terrible bataille de Tlaxcala.
Comme c'était un officier de l'armée, ses biens personnels nous furent rapportés. Un homme s'en chargea.
Cet homme, qui devait la vie à une charge héroique de mon père contre une brigade de Tercios, me raconta quel homme de guerre était mon père. Mon immense chagrin n'en fut pas atténué mais je crois, aujourd'hui, que cela m'aida à devenir ce que je suis, à devenir un homme dont mon père serait fier.

Et j'allais avoir l'occasion de marcher sur les pas de mon père et de m'illustrer comme il le fit, contre les mêmes ennemis. En effet, l'Angleterre entrait en guerre contre l'Espagne le 1er janvier 1617. Et moi, capitaine du Liberty Surf ( :lol: ), je voguais avec une immense flotte de guerre anglaise vers les côtes hollandaises.

Posté : sam. oct. 08, 2005 6:37 pm
par lemarseillais
Mémoire de roi


J'ai longtemps appris aux côtés de ma mère, la grande Elisabeth 1er. Elle m'initia à tout ce dont devait savoir un souverain...mais ce qui m'avait le plus fasciner dans ce métier de roi, je l'avoue, c'est la guerre menée contre l'Espagne dans les années 1580.

Ma mère m'avait alors expliquer qu'il ne fallait jamais partir à la guerre sans y être prêt, sauf seulement si un serment vous y obligeait. "Et encore, me disait-elle, il faut y aller mais en prenant des précautions. Dieu ne nous fait pas roi et reine d'Angleterre pour secourir le monde mais avant tout pour guider notre peuple. Toutefois, veillez toujours à maintenir l'amitié de vos alliés fidèles et ne les abandonnez jamais. La diplomatie, mon enfant, est une arme trés puissante.....oh oui trés puissante !!"
Elle me raconta un jour, que son père et son grand-père et son arrière-grand père préparaient l'Angleterre à cela. A quoi ? lui demandais-je en regardant, sans rien y voir, des cartes de terres inconnues.
"L'Angleterre, mon enfant, est tourné vers la mer alors c'est de la mer qu'elle tirera ses richesses. Tes ancêtres l'ont façonnés pour en faire une puissance navale, moi-même je continue cette oeuvre. Toute notre politique, notre diplomatie depuis des décennies est orienté vers cet objectif. Malheureseusment, l'Espagne s'est accaparé l'essentiel des richesses de ce monde et clame partout qu'elle se les gardera."

"Vous savez, un roi (ou une reine), doit avant tout guider son peuple vers le bien être, la prospérité, la sécurité. C'est la mission dont l'a confié le Christ. Pour cela, il faut être prêt à affronter le Mal, les difficultés. Voilà pourquoi nous allons faire la guerre à l'Espagne mon enfant."

Je n'oublierais jamais ce jour où ma mère me parla, me parla, encore et encore. Ce fut ma plus grande leçon, celle qui est la plus ancrée dans ma mémoire. Elle m'apprit que l'Angleterre avait su repéré en ce royaume de Suède une future puissance de ce monde. Elle s'en était fait un allié dès que celui-ci se fut débarassé du danois trop "ibérique". Bien sur cette alliance fut cachée trés longtemps, pendant des décennies personne n'en souffla mot.
Mais ce n'est pas tout, mon royaume avait aussi fait pression sur l'Espagne pour qu'elle abandonne sa guerre contre la France alors que cette dernière était aussi opposé à l'Autriche. Et l'Espagne se plia aux demandes anglaises. "L'Angleterre a toujours manifesté un intérêt à ce que le royaume de France soit un contre-poids aux habsbourgs en Europe, pour cela il ne faut pas hésiter à l'aider si il est en difficultés" me disait-elle.
Enfin, la première grande guerre que fit mon pays contre les Espagnols avaient été préparé de longue date par l'amirauté anglaise. Tout avait été discuté, chronométré, anticipé et paramétré. Bien entendu, la Suède participa à ces préparatifs et son effort de guerre, ses pertes, ne furent pas moindre que ceux de l'Angleterre. Malgré cela nos ennemis ne s'empêchaient de qualifier nore valeureux allié de lieutenant de l'Angleterre. Jamais nous n'avons considéré la Suède autrement que ce qu'elle est : un allié à part entière et au même plan que l'Angleterre...ni plus ni moins. Toutefois, dans leur grande sagesse (l'expérience de l'amirauté parlant), les suèdois nous firent entièrement confiance et nous assumèrent donc le rôle d'état major de la guerre.
Cette guerre fut une réussite totale, un grand centre commercial, pour des pertes modiques, tombaient dans notre escarcelle. Et l'Angleterre décida que les gains de guerres seraient pour la Suède qui avait tant souffert....Il fut convenu que notre part viendrait plus tard.

Ce temps était venu....Encore une fois cette guerre fut préparée avec soin par nos services. Encore une fois la Suède se rangea à nos avis, une totale confiance elle avait dans nos capacités à ériger des tactiques et à gérer le déroulement des combats. Bien entendu, loin de moi l'idée d'avancer que le Grand Roi Gustav se plaça sous mon commandement ou autre ineptie. La Suède, d'ailleurs, a été l'étincelle qui embrasa en moi cette envie de marcher sur les traces de ma mère.
Cette jeune hollande devenait de plus en plus puissante payée par l'avare Espagne. Il était temps de réagir, le Grand roi me le fit remarqué.
Mes officiers, bien aidé par les informations suèdoises, mirent au point toute la stratégie de la guerre. Les progrès techniques anglais conditionnerait le début du conflit entre 1616 et 1618....ce fut 1617.

Posté : lun. oct. 10, 2005 1:57 am
par ric novice
Rapport de votre serviteur, Ric Gouda gouverneur de Hollande du grand empire Hasbourgs

La naissance de la hollande 1579-1622

Poursuivant le rêve bourguignon de Charles le Temeraire et dans l'esprit chevaleresque de Charles Quint, la couronne autrichienne accorde l'indépendance de la hollande.

Béni soit l'empereur des Hasbourgs, notre suzerrain adoré !

Béni soit l'espagne et ses grands roys catholiques qui nous apportent moults ducats !

La hollande malgré tout son potentiel souffre d'un retard techonologique qui nous faudra combler, cependant la donne geo politique de l'europe fait ressortir une poussée protestante des royaumes de suède et d'angleterre, puissances navales redoutables, agressives voir grotesque dans leur perception du mal

Pour accomplir notre devoir de vassal envers son maître, la jeunesse hollandaise s'emploit à construire une flotte pour concurrencer les flottes suedois et anglaises comptant près de 5OO navires.

rien n'est trop beau pour notre protecteur, 180 navires de combat constitue la flotte primitive qui devait assurer la maitrise des mers et faire flotter haut le fanion de la hollande et des hasbourgs !!!

malheuresement la menace protestante s'abbatit sur le jeune agneau qui venait de naitre, les perfides protestants voulaient tuer dans l'oeuf le redoutable concurrant qui se profilait sur mer...

Par une traitrise protestante proche du malin et du démon, les traitres profitent d'une session de territoires entre la hollande et l'espagne pour ridiculiser les hasbourgs et leur fidele valet, oups serviteur

La flotte protestante se presente aux larges de notre beau pays et la suite fut des plus ridicules...

Prompt à servir, la hollande se joignit à ses alliés, autrichiens et espagnoles tout en etant en guerre avec l'espagne qui nous donne des droits sur une lointaine contrée

Comme un bon chien qui defend son maître, la flotte hollandaise se rut à l'attaque, toutes voiles dehors, fait feu de tous ces canons, une enorme canonade en sortie de port, la fumée épaisse se dispersant devoile la flotte espagnole(s'enfuyant après avoir embarqué 50 000 espagnoles qui assiegaient la capitale hollandaise) en flammes et sur le point de sombrer ) prise entre 2 feux !!! les notres et les protestants !!

Quelle triste jour, voila que nous fideles serviteurs des hasbourgs avons trucidé notre propre camp, on ne compte plus les uniformes espagnoles qui jonchent les canaux.

C'est la panique aprés avoir tué nos frères, la flotte anglo-suedoise 3 fois plus nombreuse fait face, le combat s'engage, les navires anglais etant les plus modernes, une grande bataille longtemps indecise mais qui verra l'alliance protestante triompher de la flotte hollandaise qui laisse 35 navires au fond de l'eau.

La queue basse, nos capitaines rentrent au port avec 140 navires.
Ne pouvant admettre un tel echec qui me ridiculiserait auprès de mes maîtres, j'ordonne une sortie desesperé comptant sur le fait que tot ou tard la flotte adverse devra aller ravitailler

Par une nuit des plus obscurs, la flotte hollandaise se faufile dans le channel et met les voiles vers les ameriques ou le contingent hollandais fait des prouesses face aux boys anglais , cependant les armées sont comptés et l'anglais deferlera tot ou tard dans nos colonies.

Notre escadron manque de peu une flotille anglaise qui acheminent des renforts et sprint jusqu'en amerique central ou nos maitres sont en difficulté, mais l'ennemi suedois a detecté notre presence et se refugie dans les ports, cependant nos amiraux interceptent la flotte anglaise qui accourt s'unir au suedois, le duel commence

En force comparables, 280 navires s'affrontent et c'et une grande victoire pour la flotte hollandaise, il s'agit maintenant de pousuivre l'anglais qui fuit pour venger nos maitres !

Le perfide se refugie apres 2 ou 3 affrontements dans un port, et reussit sa jonction avec la flotte suedoise.

Il nous faut prouver tout notre amour envers notre seigneur et stopper coute que coute le renfort protestant, ce sera le sacrifice de la flotte hollandaise !

attaquer les 2 flottes reunis, qui mouille en position defensive, le combat s'engage et malgré tout le courage, c'est une grande defaite avec une centaine de navires coulés et dispersés le long de l'amerique central et dans les caraibes.

Notre maitre espagnol nous envoya une bonne caisse d'or pour reconstituer un semblant de flotte, 30 navires en chantier et une trentaine rescapée devront faire jonction au large de la hollande pour surprendre uen flotte anglaise et la battre sechement malgré notre retard technologique avec notre nouveau leader tromp sorti droit de l'ecole navale.

Nos maitres deciderent avec nous humble vassal, l'invasion de l'angleterre, on embarqua gaiement plus de 140 000 troupes espagno-austro-hollandaise et on fonca vers l'angleterre, comme le chien de chasse qui flaire le gibier , la flotte hollandaise deja plus petite (60 navires) fonca à travers la manche oubliant que ses maitres etaient de bons nobles quelque peu engrossis et lent ... :)

Voulant faire plaisir à nos maitres et debusquer en premier la flotte anglaise, la flotte hollandaise aborde fierment les cotes anglaise et est battu par les anglais tandis que les flottes de nos maitres sont exterminés !

c'est la debandade qui sacre la victoire protestante appuyé par une conquête en amerique centrale, les tribus de guerre seront sans doute consequents

Pour amoindrir la peine de nos maitres, la hollande est disposée à ceder ranokee à l'anglais

Nos pertes sont de 150 navires, maigre consolation, nous avons coulé 50 pctde la royal navy et 40 pct pour la flotte suedoise

Enfin nous sollicitons auprès de notre maître espagnol un financement sans retenue, digne de la fidelité que nous eprouvons pour vous et notre suzerrain adoré.

Nous faisons penitence pour ne pas avoir su vous defendre et ferons de notre mieux !!! afin de vous servir dignement , moi meme j'ai recité 5 paters et 3 avé maria

De grace, grands maîtres adorés, faites dons de multiples ducats pour que votre fidèle vassal reconstitue une flotte pour chasser vos ennemis !

Ric Gouda, serviteur des Hasbourgs

Posté : lun. oct. 10, 2005 3:09 pm
par LeRenard
Proclamation Ottoman

Par la présente le Sultan Ottoman, affirme ses
prétention légitimes sur la province marchande
d'Astrakan. Cette province musulmane sera a terme
placée sous la protection Turque n'en déplaise au Barbares
du Nord.

De plus, le Sultan tient a affirmer son amitié à l'égare du peuple
de France et promet à ce dernier une aide plein et entière en cas
d'agression extérieur.

Le Sultan affirme égalment ses prétentions sur les terre,
musulmanes du sous-continent indien.

Pour finir, le Sultan proclame ses centres de commerce ouverts
aux marchands du monde entier. A condition qu'aucun monopole
quel qu'il soit, ne soit installé par les marchand d'une puissance
tierce.

Que cela soit, entendu par les autres puissances de ce monde.

Posté : jeu. oct. 13, 2005 12:23 pm
par vince
Chroniques autrichiennes 1623-1637

Après la nouvelle défaite dans les colonies américaines, face aux ignobles protestants, où le commandement de Gustav adolf de suède et la technologie ont fait merveille, l'archiduc décida de se concentrer sur sa zone d'influence naturelle, le saint-empire romain germanique, et les haut-balkans.

Il n'y alla pas par 4 chemins. Il décida de frapper fort. Ainsi, en quelques années,
- la régence croate accepta notre proposition d'annexion.
- la poméranie nous céda Berlin par la force.
- une grande offensive menée par nos meilleurs chefs militaires fut lancée contre l'alliance des allemands protestants. Le palatinat et la saxe. L'empereur Johan de oldenburg n'eut pas la témérité de renouveller sa participation à l'alliance. Sans doute avait-il eu vent de la colère de l'archiduc et de ses plans. Mais qu'il ne s'inquiète pas, son tour viendra.
Image
(offensive menée par Von mercy, von Wallenstein, Montecucoli, Gallas, von Hartzfeldt. En dialogue on voit le roi d'angleterre encore en train de se plaindre, et notre bien aimé cousin qui compatit, de guerre lasse)
Magdeboug et Anhalt furent capturés. Les souverains protestants dissidents voient leurs pays coupés en deux.
Cette offensive fut considérée comme le signal de la reconquète de la foi par d'autres pays. Ainsi le roi de pologne profita de cet élan salvateur pour envahir l'ouest-poméranie. Même le roi de France s'y mella et envahit la lorraine. Partout dans l'europe catholique, l'archiduc fut loué pour être le bras armé de Dieu et de son représentant sur terre, le très saint-père.

- En guise de remerciements pour services rendus à la couronne espagnole, notre bien aimé cousin nous céda généreusement le luxembourg. Une grand parade y fut organisé, pour célébrer l'harmonie qui règne dans la famille habsbourg.

La cerise sur le gateau
Juillet 1633, le traité de bruxelle prenait fin. L'autriche devenait libre de tout engagement portant sur la république de Gènes, vis à vis des cours européennes en général, et de la France en particulier. Le temps de convaincre (par moults ducats) son régent en place, la république de Gênes fut annexée à la fin de cette même année.
Comme l'autriche s'y était engagée, et malgré les propos calomnieux de souverains à la langue bien fourchue et dont la compétence n'eut d'égale que la longévité, les archiducs successifs ont donc respectés la parole donnée, voici un siècle.
Malgré cela, des voix se font entendre pour trouver ceci inacceptable. On croit rêver. Qu'ils sachent que l'autriche les attend de pied ferme, au cas ou ils s'aventureraient à s'obstiner dans leur folie démagogique.

Posté : mer. oct. 26, 2005 11:21 am
par Danton
Histoire de la Suède, par Thor Danton. Chapitre VII . Le déferlement des ténèbres


« Mon or, mon or, rendez moi mon or » gémissait le pitoyable roitelet d’Espagne. Écrasé et vaincu par l’axe du Bien, il venait de céder les mines d’or de Zacatecas à notre allié d’Angleterre et, tel l’avare aux 100.000 pièces d’or qui hurle à la mort quand on lui prend une misérable pièce dont il avait depuis longtemps oublié l’existence, la pieuvre maléfique ne semblait pas accepter cette perte :evil: . Nous avons distribué jusqu’à la dernière pépité extraite de ces mines aux malheureux oppressé par le fauve enragé, nous leur avons offert de nouvelles terres, les dernières que le Mal, dans sa grande avidité, n’avaient pas encore annexé, nous avons construit de nouvelles manufactures car nous avons voulu croire le Mal, qui nous parlait de paix et de repentir, d’une redistribution équitable des richesses du monde.

Pardonne moi, Seigneur, mon insousciance, ma naïveté et garde-moi comme la prunelle de l'oeil ; à l'ombre de tes ailes, cache-moi, loin des méchants qui m'ont ruiné, des ennemis mortels qui m'entourent.Ils s'enferment dans leur suffisance,l'arrogance à la bouche, ils parlent, Ils sont sur mes pas : maintenant ils me cernent, l'oeil sur moi, pour me jeter à terre, comme des lions prêts au carnage, de jeunes fauves tapis en embuscade :? .

La sombre araignée n’a jamais cessée de comploter et tissait toujours plus sa toile ignoble dans la quelle venait s’engluer tous ceux qui avaient l’âme noire : leur but est d’éteindre ce flambeau de la justice et du Bien que nous représentons si bien. Ils ont armé en secret quantités de navires et soldats. Pour la pieuvre maléfique, avoir annexé toute l’Australie, l’Indonésie, l’Afrique du sud, les Antilles, les Mascareignes, une partie de la Chine, toute l’Amérique du nord et du centre, Venise, Gènes, le Portugal... tout cela ne suffisait pas à rassasier le goinfre et son avidité sans borne. C’est l’asservissement total du monde qu’il veut, ni plus ni moins, et quelques égarés le soutiennent dans ses noirs projets, sans comprendre que leur tour viendra aussi.

Avec eux, l’ignoble frappe l’innocent agneau protestant en 1648 : 700 navires et près de 700.000 hommes contre 600 navires et 200.000 soldats à peine. Pour empêcher le déferlement des ténèbres, il nous faudra compter sur notre seul courage indomptable, la justesse de notre cause et surtout notre foi inébranlable : Lève-toi, Seigneur, affronte-les, renverse-les ; par ton épée, libère-moi des méchants. Que ta main, Seigneur, les exclue d'entre les hommes, hors de l'humanité, hors de ce monde : tel soit le sort de leur vie :twisted: !

L’immense supériorité numérique et qualitative des mécréants ne semble pas leur suffire : lâches et sans honneur, ils n’osent pas nous attaquer au Mexique et espèrent que nous quittions la sécurité de nos bases pour prendre tous les risques, à 1 contre 5. Les infâmes sont plus rapides quand il s’agit de dépouiller le monde libre ! Mesquins jusqu’au bout, ils attendent de longs mois avant d’oser enfin se lancer : pitoyable ! La bataille de Tlaxcala fut terrible et, preuve l’appui divin dont nous bénéficions, il s’en est fallu d’un rien pour que nos 50.000 héros ne triomphent des 200.000 charognards austro-hollando-espagnols. Mais que pouvions-nous espérer à du 1 contre 4 :evil: ? La retraite sur Tenochtitlan est ordonnée, où nous unissons nos forces survivantes à celles du glorieux général anglais Monck.

Tlaxcala finit par tomber et nos 30 navires qui avaient du s’y réfugier, fuyant les hordes démoniaques de l’ennemi (700 navires...), sont massacrés par l’assassin Ruyter. Le Peuple Libre dit ceci : ce crime ne restera pas impuni ! La guerre ne cessera que lorsque bous aurons envoyé par le fond la totalité de la flotte impie et pendu le criminel hollandais sur la grand-place de Stockholm :twisted: ! Qu’on se le dise ! Nous lutterons et nous vaincrons !

Les misérables finissent par trouver une étincelle fugitive de courage dans leur coeur noir et aigri pour oser enfin nous attaquer à Tenochtitlan... Vagues après vagues, les despotes fous envoient leurs hommes à la mort : pour eux, la vie humaine n’est rien, seul importe leurs sacro-saints ducats, cette richesse immense dont ils privent le monde entier. Plus de 250.000 hommes :shock: tentent d’emporter l’ultime forteresse du Bien, mais Dieu vient à notre aide et l’assaut est repoussé net par nos 50.000 braves ! Une page de gloire vient d’être écrite en lettres de sang pour les deux vertueux royaumes d’Angleterre et de Suède ! Vive le Bien !

La pieuvre maléfique ne trouve pas le courage de relancer l’assaut et, déjà, plus de 100.000 hommes arrivent d’Angleterre et de Suède pour dégager la forteresse, reprendre Tlaxcala et envoyer par le fond l’intégralité de la flotte impie. Dieu est avec nous, nous vaincrons ! En Europe, un Juste supplémentaire se lève contre les ténèbres qui déferlent : le Sultan Ali Jimbez Pacha ! On raconte que ses invincibles Janissaires sont partis à l’assaut de l’immense empire espagnol ! Le Mal peut commencer à trembler, il sera refoullé, une fois encore :P !

Chinois, Africains, Australiens, Incas, Vénitiens, Portugais, Mauritiens, Mexiquains, révoltez-vous et chassez la pieuvre de vos terres ! Français et Russes, ralliez la cause du Bien tant qu’il reste encore un espoir de faire triompher le bon droit ! Renversons le tyran avant qu’il ne devienne invincible et ne parvienne à asservir l’intégralité du monde ! Liberté, liberté, liberté !

Seigneur, écoute la justice ! Entends ma plainte, accueille ma prière : mes lèvres ne mentent pas. De ta face, me viendra la sentence : tes yeux verront où est le droit. Et moi, par ta justice, je verrai ta face : au réveil, je me rassasierai de ton visage. Je t'appelle, toi, le Dieu qui répond : écoute-moi, entends ce que je dis. Montre les merveilles de ta grâce, toi qui libères de l'agresseur ceux qui se réfugient sous ta droite.

Posté : mer. oct. 26, 2005 3:32 pm
par Coelio
message de l'Abbé Coelio, légat perpétuel du Saint-Siège

Nos prières et l'appui de la vraie foi sont engagés du côtés du grand Rey d'Espagne, très croyant face aux hérétiques protestants, qui révèlent leur diablerie au grand jour en pactisant avec le mahométan.

Que Dieu aide la très glorieuse Espagne et précipite la fourberie suédoise au plus profond des Enfers.

Posté : mer. oct. 26, 2005 4:17 pm
par Touko
Du Roi d'Espagne aux catholiques,


Mes frères, une nouvelle Reconquista est en marche.
De partout les armées de la sainte alliance partent accomplir leur devoir de bon chrétien et se rendent au mexique pour délivrer les terres catholiques de l'hérésie protestante.
le Pape et son légat, le bon Coelio nous donne tout soutient et prières pour nous accompagner dans notre tâche.
Mes frères l'heure de la victoire est proche, déja une province a été libéré du joug du fourbe de scandinavie et ses armées taillées en pièce, le chef des armées du malin, Horn, a rejoint l'enfer.
A n'en pas douter Monck subira le même sort.
Gloire soit rendu au stathouder de hollande et a notre cousin l'empereur.

PS
Nous informons l'impie qui sévit en scandinavie que ce n'est pas la mine d'or de zacatetas qui nous intéresse (du moins pour le moment) mais le centre de commerce qu'il détient illicitement depuis trop longtemps.

Posté : jeu. oct. 27, 2005 4:46 pm
par vince
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*** Message de l'archiduc Ferdinand ***

Autrichiennes , Autrichiens, chers compatriotes du Saint Empire Austro-Romain,

Comme vous le savez, les maisons d'Autriche et d'Espagne, marchent main dans la main depuis bientot 200 ans.
Comme vous le savez également, les archiducs successifs, bras armé du très saint père, n'ont eu de cesse de combattre les hérétiques luthériens et autres calvinistes puants, véritable pestilence sur terre.

Forts de ces deux principes, notre nation est à l'heure actuelle engagée dans un conflit majeur, aux cotés des armées de notre estimé cousin, et de notre fidèle et loyal vassal, le stadhouder de hollande. Le but de cette sainte alliance, est de restituer aux habsbourgs d'espagne, les terres injustement spoliées par la vermine protestante.

Les combats ont déjà commencés. La sainte alliance a réinvestit Tlaxcala. Tenochtitlan résiste encore à nos assauts, mais pour combien de temps ?

Mais ne vous y trompez-pas. Si le conflit a commencé au nouveau monde, il peut se propager en europe, voire sur nos terres, même. En effet, les vipères lubriques d'Angleterre et de Suède, affolées, paniquées, sèment le trouble dans toutes les cours européennes et viennent quémander à genou, de l'aide. Pour preuve, le calife, jusqu'alors très docile, s'est laissé convaincre. Nul doute qu'il ne puisse s'agir que d'un envoutement, de ces supôts de satan. La France n'a pas encore réagit, mais il nous faut envisager le pire, et tous les fils d'autriche ne seront pas de trop pour contrer la menace qui se profile.

Autrichiens, Autrichiens, chers compatriotes du Saint Empire Austro-Romain, l'archiduc vous promet de la sueur, du sang, des larmes, mais à la fin, la Victoire.

Posté : jeu. oct. 27, 2005 5:32 pm
par Danton
Au gueux d'Espagne nous disons ceci: c'est bien de rêver :lol:

Nous supposons que vous comptez sur les armées autrichiennes et la flotte hollandaise pour récupérer Tlaxcala? Sachez, méprisable vermissaux lâche et perfide, que ce centre de commerce est et restera suédois pour l'éternité 8)

Vos actes ignobles et vos menaces ridicules vont déclencher sur vous des représailles d'une ampleur jamais vues jusqu'ici.

Nous raserons Madrid, nous violerons vos femmes, nous massacrerons vos armées, nous dévasterons vos campagnes et vous finirez pendu comme le vulgaire criminel que vous n'avez jamais cessé d'être :P .

L'Enfer sera sur vous et l'Éternel lui-même brandira le glaive de la justice pour faire rouler à terre votre tête ignoble. Vous avez déclenché la fureur de Dieu, payez en le prix (votre association avec l’ignoble Coelio, envoyé de Satan sur terre, vous met au delà de toute rédemption possible :? )

De partout, les armées des Justes vont déferler et vos démons seront traqués partout dans le monde :twisted: .


Nous lutterons et nous vaincrons! Vive le Bien!

Posté : jeu. oct. 27, 2005 7:31 pm
par ric novice
Maison des Hasbourgs


Missive des grandioses majestés d'Espagne et d'Autriche au gouverneur de Hollande, notre vassal


cher Vassal,


Nous ne vous tenons pas rigeur du desastre et de l'infortune que connut nos forces lors de la dernière guerre contre les vils protestants.
Votre maladresse et votre impetosuité aboutit certes à la destruction de la flotte espagnole cependant nous louons votre fidelité.
Ce pourquoi en vertu de l'accord de feodalité qui nous lie,nous vous renouvellons notre confiance et nous vous ferons parvenir une somme de 10 000 ducats or pour reconstruire votre flotte
Lorsque votre suzerrain battera le ban de ses vassaux et seigneurs, nous esperons vous voir en première ligne avec votre flotte et vos hosts.
Votre flotte devra faire jonction au large de la baie de tampico pour appliquer un blocus


votre Suzerrain l'empereur d'Autriche et son cousin le roy d'Espagne



Ainsi mes maîtres ont parlé, dieu que mon seigneur est bon et juste pour me pardonner de mon incapacité à les proteger.
Au travail, utilisons au mieux ces ducats !

Et c'est ainsi que la flotte hollandaise releva la tête, en quelques années les chantiers navals mirent à flot plus de 400 navires de guerre

De grands amiraux comme de Reuters (6/7/5) et Tromp (6/5/6) ont l'honneur de commander la plus grande flotte au monde.

Nassau de Siegen sera en charge des sièges, la guerre pouvait commencer....

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Nassau de Siegen assiege le Cot de Tlaxcala, forteresse de niveau 3, et l'investit en moins de 8 mois, au large la flotte alliée composée de 400 navires hollandais et 270 espagnols font le blocus
Au centre, le general anglais monck sent sa fin approcher


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William II de Nassau repousse les boys facilement



à suivre....

Posté : dim. nov. 13, 2005 12:33 am
par ric novice
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Que Dieu accueille le general monck...au paradis ou en enfer :twisted:

Posté : mer. nov. 30, 2005 8:58 pm
par Danton
Histoire de la Suède, par Thor Danton. Chapitre VIII. Le Mal frappé en plein coeur




Avides de sang, de meurtres et de carnages, les forces maléfiques s’unissent une fois encore au Mexique et déferlent à Zacatecas : 200.000 criminels contre 50.000 preux commandés par les lumineux Monck et Horn :? . Trois jours et trois nuits, la bataille fit rage : l’héroïsme des forces du Bien fut sans égal et digne des plus grands éloges. A l’aube du quatrième jour, malheureusement, plus un seul homme encore debout :( . Lecteur de cet aar, va dire à Stockolm qu'ici ses fils sont morts pour sa liberté.

Ce succès, obtenu à du 4 contre 1, va rendre le Mal trop confiant : la pieuvre maléfique, cupide et lâche, retourne dans son palais doré et laisse ses laquais poursuivre seuls les offensives (n’oubliez pas cet abandon, o vous les vassaux). Bel optimisme qui néglige complètement la volonté indomptable de l’axe du Bien : le monde libre compte sur nous, nous ne pouvons pas le décevoir. Jamais ne périt l'espoir des malheureux ! Lève-toi, Seigneur : que le Mal ne soit pas le plus fort, que leurs nations soient jugées devant ta face ! Frappe-les d'épouvante, Seigneur : que leurs nations se reconnaissent mortelles :twisted: !

Les Janissaires attaquent en Afrique du sud, en Sicile, dans les Mascareignes, alors que les souverains anglais et suédois se rencontrent discrètement et mettent au point un plan grandiose à la hauteur de leur grandeur :roll: . Les préparatifs commencent aussitôt, facilités par la passivité du diable espagnol qui reste terré dans son palais à compter et recompter ses innombrables ducats, attendant que ses vassaux asservissent le monde pour lui et préparant déjà la mise en esclavage de ces alliés naïfs.

Février 1651, la forteresse du Mal est assaillie ! Les troupes d’élite anglo-suédoises débarquent au Portugal, sauvagement annexé il y a des décennies par la pieuvre, et sont accueillies par des foules en liesse : la libération tant attendue par ces braves gens :P ! Nos cœurs vaillants, sans la moindre seçonde d’hésitation, s’enfoncent toujours plus profondément vers le cœur même du Mal : les ténèbres refluent, la lumière avance ! Pour la première fois depuis des siècles, cette terre trois fois maudite d’Espagne aperçoit enfin la lumière divine, apportée par nos flamboyantes armées. Qu’ils tremblent les mécréants, le châtiment de Dieu approche 8) !

A l’est de l’Espagne, ce sont les Janissaires du bon Sultan qui débarquent en masse, leurs petits navires désarmés vaillamment protégés par les navires du Peuple Libre, omniprésent dans cette lutte contre le Mal. Nos glorieux paladins écrasent inexorablement toute résistance et les démons sont traqués jusque dans leurs tanières puantes. Mais à Madrid, les portes des Enfers sont toujours ouvertes et des hordes ténébreuses déferlent toujours plus nombreuses sur le monde libre :? .

Elles sont cependant inlassablement stoppées par les armées anglo-suédo-ottomane et les provinces tombent les unes après les autres, d’autant plus facilement que le Malin reste toujours terré, frissonnant de peur, dans son palais fortifié de Madrid. Ils appèlent à l’aide et les mercenaires corrompus de Hollande et d’Autriche surgissent pour défendre le grand Satan.

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Notre bon Roi anéantit le corps expéditionnaire hollandais, nos valeureux alliés d’Angleterre exterminent les Autrichiens et les intrépides Janissaires infligent d’incroyables revers aux armées de la pieuvre : 90% du pays finit par tomber entre nos justes mains :D ! Harcelées, paniquées, les araignées madrilènes s’agitent dans tous les sens, cherchant vainement une issue : de nouvelles légions démoniaques franchissent les portes des Enfers, mais subissent le même sort que les précédentes :twisted: . Les forces armées hollandaises tentent un ultime assaut contre nos maigres colonies du grand nord américain, mais elles sont rapidement rejetées à la mer. Liberté, liberté, liberté ! Personne ne nous asservira jamais.





De tout mon coeur, Seigneur, je rendrai grâce, je dirai tes innombrables merveilles ; pour toi, j'exulterai, je danserai je fêterai ton nom, Dieu Très-Haut, Mes ennemis ont battu en retraite, devant ta face, ils s'écroulent et périssent. Tu as plaidé mon droit et ma cause, tu as siégé, tu as jugé avec justice. Tu menaces les nations, tu fais périr les méchants, à tout jamais tu effaces leur nom. L'ennemi est achevé, ruiné pour toujours, tu as rasé des villes, leur souvenir a péri.. :P

Le Mal se rend enfin à la raison et offre sa reddition, cédant un cot chinois à la glorieuse Angleterre. Victoire ! Vive le Bien ! La pieuvre nous a sournoisement attaqué, Dieu l’a punis pour ses nombreux crimes : faites amende honorable sans quoi, la prochaine fois, vous perdrez encore plus ! Repentez-vous, il est encore temps. Demandez pardon à Dieu pour toutes vos offenses, à genoux et dépouillé de toute ces richesses dont vous privez le monde libre.

Le Peuple Libre est disposé à vous guider sur le chemin qui mène à votre rédemption et à la lumière divine : selon les préceptes de notre Seigneur Jésus, nous pardonnons à nos ennemis. Quittez enfin ce chemin ténébreux et ralliez le Bien. Commencez donc par faire rouler sur la terre ferme la tête odieuse de l’Abbé Coelio ;) , représentant de Satan sur terre, et le monde libre poussera un immense cri de joie car il n’est rien de plus grand, pour le Bien, de convertir le Mal. La Lumière vous tend la main, ne la rejetez pas, ne retournez pas dans les ténèbres qui vous servent de tanière : c’est peut-être votre dernière chance de sauver votre âme corrompue.

Ils sont tombés, les païens, dans la fosse qu'ils creusaient, aux filets qu'ils ont tendus, leurs pieds se sont pris. Le Seigneur s'est fait connaître : il a rendu le jugement, il prend les méchants à leur piège.. Que les méchants retournent chez les morts, toutes les nations qui oublient le vrai Dieu !

Posté : lun. déc. 05, 2005 11:50 am
par Touko
Message diplomatique d'Espagne à l'intention de tous les
souverrains d'Europe


L'Espagne pleure ses enfants morts au combat.
combien sont-ils ?
nul ne le sait mais cette guerre a décimé la jeunesse de l'Espagne.
les campagnes désormais sont bien vides et on ne compte plus
les veuves qui chaque jour viennent mendier un bou de paim
devant le palais.
Comment en est-on arriver là ?
L'animosité entre nos nations remonte bien loin mais il est temps
croit le Roi de cesser ces querelles qui n'ont que trop duré,
qui ont fait couler bien trop de sang innocent et ont ruiné
nos empires.
Le monde est assez grand pour tous et il recelle encore quantité de
richesse qui cherche preneur.
Le Roi d'Espagne et prêt à enterrer les tambours de la guerre et à
laisser place à une nouvelle harmonie entres nos différentes puissances.
D'ailleurs c'est dans cette unique but qu'un mariage royal à été scéllé
entre la fille de notre bon Roi et le fils du roi d'angleterre.
De plus nos 2 terres chinoises seront cédées à la couronne
d'angleterre.
Mes frères il est temps de fermer la page d'un livre empli de haine
et d'ouvrir un nouveau, ou le mot paix sera le seul admis à y être
écrit.
Que notre voeux de paix soit partagé par tout les souverrains
d'Europe.

A notre cousin autrichien et à notre ami hollandais
Lorsque la couronne d'Espagne avait des problèmes
nous vous avions toujours trouvé à notre côté.
Vous avez rendu de grand services, vous avez
accompli vos missions avec bravoure et dévouement.
Pour celà nous vous serons toujours reconnaissant
même si la fortune à délaissé notre camp bien trop souvent
nous vous remercions pour les grands sacrifices que vous
avez consentit pour que nous triomphons ensemble
des épreuves imposé par notre Seigneur.

Posté : jeu. déc. 15, 2005 11:48 am
par Touko
*********Chronique d'Espagne*****************

Notre rêve de paix, si cher à notre Roi n'aura pas duré bien lontemps.
A peine les blanches colombes avaient elles chassées les vils corbeaux
qu'elles n'eurent pas même le temps de niché.
Une meute de vautours à la recherche de proie prirent leur place
et s'ensuivit un carnage.
A l'heure ou nous écrivons une guerre fait rage sur le continent,
La Hollande ainsi que notre cousin habsbourg sont en conflit avec
les Turcs ainsi que les français et les anglais.
L'Espagne s'entretenit avec l'Angleterre et nous décidames de ne pas
intervenir dans ce conflit qui ne sèmera que tristesse et désolation
des mots hélas que connaît bien notre royaume car trop souvent confrontés à la dure réalité de la guerre.
Le Roi Espagnol étant un grand humaniste il décida d'assurer une aide
d'urgence et envoya des émissaires chargés d'aider les populations
d'Armsterdam et de Vienne...
Pour le Roi aidé des populations chrétiennes en détresse n'a pas de prix
:wink:.

****Situation économique*****

La dernière guerre qui avait durement éprouvé nos finances et avaient
anhilées notre flotte marchande ainsi que provoqué plusieurs crises
politiques nous avaient précipité dans le gouffre.
Aujourd'hui nos marchands regagnent petit à petit leur place dans
les centres de commerce et le bilan économique s'en ressent
puisque la bourse de Madrid se porte beaucoup mieux.
Cette bonne santé économique actuelle nous a permis de convertir les
derniers païens d'Amérique et de nous concentrer sur un vaste projet de
fortification dans tout l'Empire.
Enfin plusieurs manufactures furent ouvertes dans la péninsule pour aider notre technologie à progresser.




Message diplomatique de Madrid à Paris

Votre entrée en guerre contre notre cousin a été très mal vu ici.
Il vous a fallu l'entrée de l'Angleterre du côté des turcs pour vous
décider...nous aurions aimé être avertit et nous nous sentons
le dindon de la farce dans cette histoire.
Ainsi toute vos prochains actes seront étudiés avec les plus grand intérêts
par nos agents...

Posté : mar. déc. 20, 2005 10:52 am
par Aedan
Le renversement du gouvernement Themarseillais

L'armée Anglaise volait de victoire en victoire quand une grave crise politique éclata au Parlement de Londres. Le 1er ministre Themarseillais fut mis en minorité et du démissioner de son poste. Ses origines Françaises et sa position proche de Paris avait fini par provoquer sa chute.

Le 2 janvier 1703, moi Lord Aedan Dosière était nommé par sa majesté 1er ministre du royaume d'Angleterre.

La Guerre en europe

Lord Marlborouth avait déjà conquis une bonne partie de l'Allemagne du nord en ce début 1703. Un corps anglais embarqua à Breme pour mettre le Siège devant Dantzig qui capitula rapidement devant la formidable artillerie anglaise rassemblée pour ce siège... pas moins de 140 canons.

Le front Anglo-Autrichien se stabilisait. Cependant il était evidenent que la route de Vienne était ouverte pour Marlborouth et que rien ne pourait plus lui barrer la route. Les forces impériales semblant à bout de force.

Sur le front Ouest par contre, la courageuse petite armée Hollandaise avait rejetté les Français de Hollande et campait désormais sous Paris. La France de Louis XIV semblait incapable de redresser la situation. Les ambassadeur Français pressèrent Marlborouth de marcher vers l'Ouest et de sauver les forces Françaises en difficultés.

C'est à ce moment que mon gouvernement souhaita ouvrir des négociations avec la France au sujet des colonies françaises d'amériques qui coupaient en deux la Nouvelle-Angleterre. L'Angleterre offrit 3 millions de ducat en échange d'un promesse de vente de la France.

Paris refusa de négocier! Marlborouth fit cependant mouvement vers le Rhin sans cependant le traverser et restant sur la rive Est.
La France exigeait 2 provinces de l'Autriche alors que ses armées étaient pratiquement battues. Ces prétentions étaient uniquement fondés sur les victoires écrasante de l'armée Anglaise en Allemagne.
La France ne voulant pas discuter de l'avenir des colonies américaines, Marlborouth garda l'arme au pied et cessa toute opération en Allemagne et laissa l'armée Française se ridiculiser seule face aux maigres forces Austro-Holladaises.


L'Empereur cependant était las de la guerre et accepta de recoaitre sa défaite bien que ses armées ne furent pas battue à l'Ouest.

L'empire cédait l'Alsace et le Luxembourg à la France et les riches mines d'or de Jalisco à l'Angleterre. Un accord modéré fut également trouvé avec l'Empire Ottoman.

Mon gouvernement pensait le conflit terminé en Europe. Mais la France était resté en guerre contre la Hollande et relançait l'invasion maintenant que l'Autriche s'était retiré. Comme toute les nations d'europe, l'Angleterre pensait que le traité de paix avec l'empereur était global! ... mais Paris ne l'entendais pas ainsi.


Cela en était trop pour mon gouvernement. La France par traitrise avait fait sortir l'Autriche de la guerre grace aux victoire Anglaise et maintenant envahissait la petite Hollande.

L'Angleterre adressa un ultimatum à la France, l'enjoignant à cesser imméditament la guerre sous peine d'intervention Anglaise.

Finalement 1 ans plus tard, une paix blanche était signé entre Paris et Amsterdam, la guerre se terminait.

Mais les sentiments de l'Angleterre vis à vis de la France avait bien changé... nous etions si déçu par l'attitude de Paris. Le parti pro-français était maintenant dans l'opposition et le nouveau gouvernement avait décidé d'être ferme vis à vis de la France

L'annexion de l'Ecosse et le renouveau de la Royal Navy

La guerre en europe venant d'être terminé, les couronnes d'ecosse et d'Angleterre annoncèrent leurs fusion cette fois définitive dans la liesse générale. La Grande-Bretagne était enfin unie.

Une conséquence importante fut l'aquisition par l'Angleterre de nouveaux port important en Ecosse. Grace à cela, la maintenance navale Anglaise augmenta de 33% et passa de 600 à 800 navires.

Il était alors temps de réorganiser la flotte Anglaise.
50 vielles galères furent désarmées et 25 galions de transports furent démantelés.

Pendant ce temps 300 nouveaux vaisseaux de ligne furent commandés aux arsenaux de Londres.

En cette année 1716, la Royal Navy comporte désormais 801 vaisseaux de ligne. Plus que jamais la maitrise des mers est et restera protestante

La Nouvelle politique américaine


La Nouvelle-Angleterre était coupée en deux et dans une position stratégique de faiblesse récurente en amérique. Il fallait des mesures energiques pour redresser la situation est pereniser la sécurité des colons Anglais d'Amérique.

Les colonies Françaises d'Amérique coupait en 3 parties les terres anglaises avec la Virginie au Sud, les terres Iroquoises à l'Ouest et La Nouvelle-Angleterre au nord.

L'Angleterre renouvela son offre de rachat de 6 villes coloniales Françaises pour 3 millions de ducat. La France se montra trés réticente. Il fallait lui montrer que l'Angleterre était sérieuse.

La mobilisation de l'armée commença. 40.000 miliciens coloniaux furent recruté, les fortifications relevée partout et enfin quand Lord Marlborouth débarqua avec ses 30.000 vétérant des guerres d'Autriche à Philadelphie, l'Angleterre était prete à faire valoir ses justes droits.

L'Angleterre annula alors l'accé militaire à ses territoires donné jadis à la France et ses juristes retrouvèrent une ancienne revendication sur le trone de France. Le pretexte était trouvé, la guerre était imminente!


La France devant le risque imminent de guerre estima qu'il était temps de négocier et accepta la vente de ses 6 provinces coloniales pour 3 millions de ducats. Lord Marlborouth prit en quelques mois le controle des villes cédés par Paris.

La Nouvelle-Angleterre était à présent réunifiée.

--------------

Au sud la Caroline demeuré enclavé dans les terres Hollandaises. La Hollande faute de place investissait lourdement dans ne nouvelles manufactures sur ses terres américaines.

La Frontière entre la Nouvelle Hollande et la Nouvelle Angleterre était confuse et source de conflit futur. La Hollande voulait sécuriser ses investissement industriels en amérique et l'Angleterre fixer une frontière naturelle sure longeant les grands fleuves de la région... un accord était donc possible dans un interet mutuel.

La Hollande accepta de ceder ses provinces de Kentucky, Alleghanies et Santee pour 2,5 millions de ducats.

En 4 ans, la Nouvelle-Angleterre s'était agrandie de 9 provinces la transformant en immense bloc compact de terres et dont la majorité des frontières naturelles sont atteintes (il reste quelques terres Françaises au sud du Saint-Laurent).

Ces aquisitions pacifiques avait couté la somme de 5,5 millions de ducat mais comme ces terres nouvelels rapportent déjà à la couronne 200.000 ducats par an, l'investissement sera rentabilisé dans les 27 ans à venir... ce qui est acceptable.


L'essort économique


La période fut particulièrement propice à l'essort technologique et maritime.

L'armée reçu ses nouveaux uniformes type "guerre en dentelles". Les protections métalliques ont désormais completement disparu. La priorité portant désormais sur le mouvement et le feu

Dans le domaine commerciale, l'Angleterre a encore acrus ses connaissance (+1 > level 10) ainsi que dans le domaine industriel (+1 > level 8)


La croissance économique poursuivit donc sur sa lancée et en seulement 13 ans, les revenus de la Couronne connurent une augmentation de 30% (passant de 400 à 520 ducats)

1716: une nouvelle crise politique, le gouvernement Dosière est renversé!

Mais la politique trop ouvertement anti-Française du gouvernement Dosière devait finir par provoquer sa chute et l'ancien 1er ministre themarseillais est annoncé comme pouvant reprendre les reines du gouvernement...

Pendant ses 13 ans au pouvoir, Sir Aedan Dosière avait oeuvré pour la gloire et la puissance de l'Angleterre. Puisse l'histoire se souvenir de lui...



Sir Aedan Dosière

Posté : mar. déc. 20, 2005 9:03 pm
par Danton
Histoire de la Suède, par Thor Danton. Chapitre IX. Les deux guerres du Mexique

Acte 1. La première guerre ou la grande désillusion

Un océan de sérénité envahit le Peuple Libre : le Mal, pour la première fois depuis des décennies, avait abandonné le langage de la guerre et son désir de paix semblait sincère. L’alliance protestante, pieuse et pacifique, n’eut malheureusement pas le temps de se réjouir de cette soudaine conversion : la France, après des siècles de léthargie, bondit soudainement sur la gazelle autrichienne :P et un sinistre jeu d’alliance fit basculer le reste du monde : l’Empire Ottoman ralliait Paris, la Hollande son allié autrichien. Fidèles à leur séculaire volonté de paix, les protestants entendaient rester neutre, mais demandaient que l’Espagne fît de même.

Son Roi, même s’il avait donné sa parole de ne pas intervenir, ne put résister aux premières défaites de ses alliés : rongé par le remord et le doute, rompre la parole donnée aux protestants ou abandonner ses alliés, l’Espagne se décida finalement pour la guerre. Nous ne pouvons pas lui en tenir rigueur, mais cette intervention rendait inévitable une riposte protestante : des engagements avaient été pris, il fallait les respecter.

Le Peuple Libre, même pris au dépourvu, réagit au quart de tour et ses troupes déferlent aussitôt : toujours en pointe, on retrouve notre bon Roi, Karl XI :P . Il bouscule l’ennemi au Mexique et, malgré un léger fléchissement du à l’usure et notre grande infériorité numérique, finit par conquérir les riches provinces espagnoles. N’écoutant que leur courage, nos preux repartent à l’assaut des Ibériques, qui se terrent lâchement dans les marais de Bayou :evil: . Malgré un terrain défavorable, c’est la victoire et l’Espagne sort aussitôt de la guerre : des émissaires français et ottomans affluent à Stockolm pour rendre grâce au Grand Roi, juste parmi les justes :lol: .

Malheureusement, notre allié anglais, qui n’a pas combattu, avait pris des engagements en notre nom auprès de Madrid et le Peuple Libre, pourtant grand vainqueur, est obligé de se contenter d’une paix symbolique (600 ducats) pour que soit honorée la parole britannique :cry: . L’issue de cette guerre non souhaitée laissera un goût amer dans les campagnes suédoises : 50.000 braves sont tombés pour emporter tout le Mexique espagnol et rien ne vient fleurir cette terre que nos preux ont arrosé de leur sang si pur. Tout juste avons-nous montré au monde notre indéfectible loyauté et l’importance que nous attachons au respect de la parole donnée.


Acte 2. La deuxième guerre ou Karl XII bénit par Dieu

La paix revient, quelle merveille ! Mais pour peu de temps, l’Autriche se jette sur l’empire ottoman, pour lui faire payer son soutien à la France… qui abandonne son allié ! Une grande conférence a aussitôt lieu à Londres :
Marlborough/Lemarseillais « Bon, il faut intervenir pour rétablir l’équilibre »
Karl XII/Danton « Oui, l’Ottoman nous a bien aidé jadis, pas question de l’abandonner : l’honneur n’est pas un vain mot chez les protestants »
Marlborough/Lemarseillais « Oui, mais nous deux, ce serait trop et déloyal »
Karl XII/Danton « Tout à fait d’accord. Bon, j’y vais alors »
Marlborough/Lemarseillais « Ah mais pas du tout, c’est moi qui y vais. Marlborough piaffe d’impatience, je n’arrive plus à le retenir :roll: »
Karl XII/Danton « Rhooo, et Karl XII, tu crois qu’il va rester sagement au coin du feu ? »
Marlborough/Lemarseillais « M’en moque, je n’ai rien fait la guerre précédente, donc c’est mon tour de batailler ».

Pouf, l’Angleterre entre en guerre et n’appelle pas, comme prévu, le Peuple Libre à l’aide. Courageusement, la France se décide alors à entrer dans la danse à son tour et se jette férocement contre les Austro-Hollandais. L’Europe s’embrase, Marlborough se couvre de gloire, Karl XII se ronge les ongles auprès d’un feu et s’impatience de plus en plus : intolérable ! Ce bouillant monarque, guerrier jusqu’à la dernière goutte de son sang, ne peut accepter de rester les bras croisés alors que toute l’europe ou presque bataille :evil: . Il réunit son conseil…

« Holà, de qui se moque t-on ici ? On me considère comme le plus grand homme de guerre de mon époque et je resterais ici, bêtement, à regarder les autres combattre ? » »C’est que, Majesté, l’Europe est déjà à feu et à sang, nous ne pouvons plus intervenir » »L’honneur nous l’interdit, en effet, et c’est là notre bien le plus précieux, avec notre liberté, mais il reste bien, quelque part, un roitelet ennemi à qui botter le cul, non ? » »La russie ? » »Ah ah ah, allons du sérieux, je parle d’une guerre. Pas besoin de sortir mon sabre pour les russes : il suffit de crier bien fort pour qu’ils détalent tous. Non, non, il me faut quelque chose de plus gros, de plus vicieux » »Notre vieux copain espagnol, dit ‘Le Mal’ ;) ? » »Ah, voilà qui est mieux : il a trois fois plus de troupes que nous, le combat sera donc en notre défaveur mais, avec l’aide de Dieu, nous vaincrons ! Tout plutôt que de rester ici, où il fait si froid en plus… »

« Holà, Roi d’Espagne ? ». Extirpe sa tête de son bain d’or : « Moui ? » »Nous avons décidé, pour égayez un peu nos sombres soirées hivernales de vous faire la guerre. Motif : la Reine d’Espagne porte des robes jaunes, ce qui est insultant pour notre glorieuse nation, qui préfère le bleu :roll: » »Rhooo, mais c’est pas bientôt fini, non ? » »Vous avez deux mois pour convaincre la Reine de changer sa tenue vestimentaire, après ce sera la guerre si vous échouez » »Méchant ! La Reine n’en fait qu’à sa tête » »Si l’Espagne ne thésaurisait pas tout l’or du monde, nous pourrions nous chauffer l’hiver et ferions dès lors moins intentions aux vêtements de la Reine (si, si, n’essayez pas de comprendre :P ) » »Je garde mon or ! C’est mon or ! A moi ! » »Guerre ! »

Et le Peuple Libre, contraint et forcé par l’inique attitude de l’Espagne, aggravée par le mépris de la Reine, repart en guerre, contre son gré :D . Les Antilles et le Brésil espagnol sont envahis mais, une fois encore, le gros des combats se déroulera au Mexique : le Peuple Libre balaye l’ennemi en une vague irrésistible et assiège les forteresses ennemies. Bref, tout va bien. Jusqu’à ce que des hordes impies surgissent de partout, comme si elles n’attendaient que cela depuis longtemps et nous sommes submergé : le rapport de force est de Un contre trois en notre défaveur :? .

Seul notre fougueux Roi, Karl XII, peut encore sauver la Suède : attaqué par 70.000 espagnols dans la province de Saltillo ; il combat farouchement, mord et griffe ses ennemis qui, épouvantés, finissent par prendre la fuite : Karl reste maître du terrain avec ses… 12 canons :shock: (véridique). Il s’en est fallu d’un cheveux et Madrid a frôlé la victoire totale, mais Dieu était ave nous, il n’a pas permis que cette infâmie ait lieu. Des renforts parviennent d’Europe, ainsi que les forces des Antilles (qui ont pris une province), qui permettent de stabiliser le front et même de reprendre l’offensive : les mines d’or espagnoles tombent. Mais, pour un Ibérique fauché, trois viennent prendre sa place.

« Holà, c’est quoi cette histoire ? Le potentiel de recrutement de ces terres ingrates n’est quand même pas si élevé ? » »Le Mal possède d’immenses réserves en Europe » »Quoaaaaaaaaaaaa ? Et notre flotte alors ? Sus aux Ibériques ! »

La rencontre navale a lieu au large des côtes cubaines et c’est une grande victoire suédoise, mais les pertes infligées restent très minces, l’Ibère s’est vite réfugié dans le port de la Havane.
« Puisque c’est ainsi, comme ces gueux se moquent de nous, on va les forcer à sortir et à se battre comme des hommes ! » »Ils ne veulent pas et nous tirent la langue » »Les sournois ! Bon, allez, on débarque l’infanterie et on prend cette forteresse d’assaut, pas de temps à perdre : go, go, go ! ». La chute de la Havane oblige la flotte espagnole à retourner en mer, où l’attendent les fiers drakkars du Peuple Libre. Cette fois, le combat est violent et sans appel : c’est la déroute pour les Espagnols, qui sont traqué impitoyablement. Lorsqu’ils peuvent enfin rallier Carthagène, 220 navires ont été coulé :twisted: (contre une quarantaine pour la Suède).

Au Mexique, cependant, la Suède est toujours sur le fil du rasoir : Karl XII, décidémment béni par Dieu, échappe une fois de plus aux tueurs madrilènes : il ne lui restait plus que 3500 cavaliers (contre 45.000 espagnols !) quand, enfin , les renforts ont surgis et ont fait basculer la bataille. On raconte que le Roi d’Espagne s’est presque étouffé de dépit :P . Les troupes victorieuses du brésil et des Antilles viennent renforcer notre bon roi, qui relance l’offensive : l’ultime bataille a lieu à Saltillo, une fois encore. L’Espagnol engouffre toutes ses forces pour contrer notre irrésistible élan, la rage de vaincre est totale des deux côtés : vaincre ou mourir, il n’y a pas d’autre alternative.

Mais Dieu, comme toujours, soutient la juste cause du Peuple Libre et les Ibériques sont littéralement décimés, pulvérisés par les charges héroïques de notre valeureux Roi Karl XII, gloire à lui. Victoire !

L’Espagne reconnaît alors sa défaite et nous cède la mine d’or de Jalisco : enfin ! Le Peuple Libre possède enfin une partie infime de cet or dont il est privé depuis si longtemps. Justice est faite. Il nous a fallu deux siècles pour y arriver, mais notre objectif est enfin atteint : un repartage plus équitable des richesses du monde au profit de tous ceux qui, comme nous, n’ont rien ou presque rien. Que de sang aurait pu être évité si le Roi d’Espagne nous avait cédé cette mine d’or jadis… Nous ne demandions rien d’autre, il ne nous en faut pas beaucoup pour vivre bien, nous sommes un peuple très modeste et ceci n’est, pour votre richissime royaume, qu’une goutte d’eau dans l’océan, qui ne diminue en rien le niveau de votre bain d’or :P .

Entendez notre parole, Roi d’Espagne : vivons désormais en paix car la guerre ne mène à rien. Telle est la leçon apprise par notre bouillant Roi Karl XII, qui a déposé son sabre au coin du feu et passe désormais ses soirées à chanter, danser et jouer de la harpe, dans une pièce enfin chauffée grâce à l’or du Mexique. Quel bonheur que la paix ! Que nul ne vienne troubler notre félicité ou il lui en cuira :2gun: !


Heureux le peuple dont le Seigneur est le Dieu, heureuse la nation qu'il s'est choisie pour domaine ! Le salut d'un roi n'est pas dans son armée, ni la victoire d'un guerrier, dans sa force. Illusion que des chevaux pour la victoire : une armée ne donne pas le salut. Dieu veille sur ceux qui le craignent, qui mettent leur espoir en son amour, pour les délivrer de la mort, les garder en vie aux jours de famine. Nous attendons notre vie du Seigneur : il est pour nous un appui, un bouclier. La joie de notre coeur vient de lui, notre confiance est dans son nom très saint. Que ton amour, Seigneur, soit sur nous comme notre espoir est en toi !

Posté : mar. déc. 20, 2005 10:45 pm
par Touko
Le fauve meurtrier a encore frappé la frêle gazelle coupable de vouloir broutter l'herbe en paix.
Encore une fois nous serons l'agressé et l'agresseur est toujours le même,
le fauve venu du nord avait besoin d'étancher sa soif de sang et la gazelle ibérique était une proie de choix.
Le fauve nous envoya bien une missive pour la forme en prétextant que la femme du Roi d'Espagne portait des vêtements qui n'était pas du gout du fauve scandinave, ce à quoi le Roi d'Espagne convenait que pour 1 barbare venu des grands froids, se vétir avec des peaux de bêtes était la règle las-bas, mais à Madrid nous préférions les vêtements de soie et de coton.
Le lendemain le fauve nous déclara la guerre...
La bête frappait une fois de plus.
Nos forces au Mexique quoique nombreuses étaient dépourvu de chefs digne de ce nom.
Le seul dont nous disposions, le Marquis de leide était en Andalousie.
Ordre fut donné à la flotte royale d'apparayé au plus vite et d'amener le Marquis le plus vite possible en Caroline tout en évitant l'imposante meutte de bateaux scandinave qui sillonaient les mers du sud.
Pendant ce temps nos forces du mexique avaient ordre de se ménager et d'éviter soigneusement toute bataille rangée en fuyant si nécéssaire.
Hélas nous eûmes quand même a déplorer de nombreux morts suites à quelques accrochages avec Karl XII.
Ce n'est que 2 mois après avoir quitté l'Andalousie que Le marquis de leide débarqua en caroline.
il n'eut pas le temps de souffler qu'il se dirigea avec toutes les conscrits a marche forcé nuit et jour pour rejoindre au plus vite les forces espagnoles du mexique qui étaient en grande difficultées.
enfin après des journées sans repos a traverser les marais et forêts d'amérique il arriva en vue de Saltillo.
Sur place se trouvait l'armée suédoise affaiblit de Karl XII avec au plus 25.000 hommes et une forte artillerie.
A l'Ouest 40.000 espagnols et plus de 50 canons.
A l'Est Le Marquis de Leide avec 35.00 hommes et 30 canons.
La victoire ne pouvait nous échapper!!
La victoire ne pouvait qu'être notre!!
Le roi Karl XII sera écrasé comme le chien qu'il est!
Hélas la fortune nous abandonna, avec cette supériorité numérique écrasante nous ne parvenions a faire la différence, les suédois ne se débandaient pas et resté en formations.
Voyant celà nos troupes bien que peu éprouvés perdirent leur moral et fuirent le champ de bataille laissant Karl XII avec seulement sa garde et 12 canons!!!!!!!!
surréaliste!! lorsque la nouvelle parvenu à Madrid le Roi manqua de s'étouffer...
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Alors que les forces du Marquis se regroupent à Bayou les mines d'or du mexique commencent à tomber entre les griffes du fauve scandinave...
Une contre attaque s'imposait sinon s'en était finit et la capitulation serait inéluctable.
Mais ils nous restait un joker: la flotte suédoise était ancrée à Saltillo et ignorait la position de notre flotte.
Cette dernière mit cap sur Porto et fit le voyage d'une traite.
A Porto nombre de mercenaires et de soldats attendaient afin d'affluer au mexique.
Tout se passa bien et ce fut pas moins de 60.000 hommes qui débarquèrent et qui venait renforcer l'armée du Marquis qui comptait 35.000 hommes.
Avec cette force redoutable le marquis regagna confiance et prit la route de Saltillo afin de prendre sa revanche.
Hélas le suédois était avertit et avait retraité sur Tenochtitlan, ville anglaise et nous ne pouvons rien faire.
Il y eu bien quelques escarmouches ou les forces espagnoles taillèrent en pièce les suédoises mais rien de significatif et le suédois restait à tenochtitlan en attendant des renforts.
Qu'a celà ne tienne nous devancerons les suédois et reprandront tout les territoires perdus ainsi que le COT de Zacatecas et Karl XII piégé a tenochtitlan sera contraint à la rédition ou à la mort!!
Mais pour celà il nous fallait des troupes!
Il nous fallait répéter le stratagème précédent et convoyé des troupes
de la métropole pour les acheminer au mexique.
Cette fois c'était pas moins de 100.000 hommes qui attendaient à Porto.
Hélas le suédois avait compris et repéré notre flotte, la suite fuit une suite
de course poursuite et notre flotte se réfugia à la Havane.
Hélas 30.000 suédois débaquèrent de suite et emporta la ville contraigant notre flotte de sorti.
Privé de chefs, écrasé par le nombre et privé de vent favorable notre flotte de 300 navires ne faisait que comptait guère plus que 100 voiles quand elle fuiya vers Carthagène.
Privé de tout renfort potentiel le Marquis reçut l'odre de levé quelques troupes sur place et d'affronter les troupes suédoise qui s'étaient renforcé et étaient positionnés à Saltillo.
La bataille débuta un matin et les premières manoeuvres du Marquis se révélèrent payantes puisque les suédois reculait, hélas des renforts suédois arrivèrent et la fortune changea de camp.
Nos troupes avaient ordres de tenir le terrain coute que coute et de ne rien céder, c'était tué ou être tué...
Hé bien nombreux furent nos tués, force est de reconnaître que Karl XII était un génie de guerre et le Marquis de Léde un incapable ...mais n'ayant le choix un incapable est toujours mieux que rien...encore que dès fois...
Cette défaite scella la guerre et nous cédames la riche province de Saltillo.
La victoire aurait pu être nostre mais devant le manque cruel de chefs et face à l'excellence du commandement suédois nous durent nous incliner une fois de plus.

Posté : mer. déc. 21, 2005 3:49 pm
par vince
Chroniques autrichiennes

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Préambule :
La dernière guerre opposant la sainte alliance catholique contre les vils protestants s’était une fois de plus soldée par un échec. Malgré un gros effort dans le domaine maritime, qui permit la conquête des colonies américaines, les anglo-suédois, bien épaulés par les turcs, réussirent un audacieux débarquement sur le sol espagnol. La qualité des commandements protestants leur permit de repousser tous les assauts catholiques, tandis que les turcs harcelaient nos arrières. Notre cousin bien aimé, meurtri sur son propre sol, fut contraint de signer la reddition.

Histoires d’ « Equilibre »

Chapitre 1er : la découverte
En Autriche la désillusion était grande. Notre cousin n’avait pu recouvrer la souveraineté des terres américaines, qu’il avait jadis découvertes, colonisées, et évangélisées. Mais il nous fallait rester vigilant, car se profilait la menace d’un vieil ennemi, entré en léthargie depuis de longues décennies. En effet, la France présentait un nouveau régent, qui, se réveilla avec la lubie qui l’alsace devait lui revenir. L’alsace… une terre germanophone, autrichienne depuis des lustres. L’archiduc pensait qu’il s’agissait d’une simple galéjade, et se demandait bien au nom de quoi la France pouvait revendiquer l’Alsace. L’ultimatum qui suivit, lui fit prendre la menace un peu plus au sérieux, même s’il ne pu retenir un vibrant « AU FOU !! » lorsqu’il lut la missive. Il décida de masser l’intégralité de ses troupes à la frontière ouest de l’empire, pour parer la menace.

La déclaration de guerre parvint… Ce n’était donc pas une plaisanterie. La première vague Française déferlait sur la hollande. Des grosses armées très bien commandées, percèrent nos lignes. Les troupes hollandaises se réfugièrent derrière l’Escaut, les autrichiennes, derrière le Rhin, et attendirent les renforts.
C’est alors qu’une nouvelle incroyable nous parvint. Le sud de l’empire était à feu et à sang. Des coursiers nous apprirent que les turcs ravageaient nos campagnes des Balkans et la côte adriatique. Les turcs… encore eux… Que venaient-ils faire dans cette affaire alsacienne ? Sans doute, le calife n’avait point confiance en les généraux Français, Villars, Turenne et consorts… ou peut-être qu’il surestimait la valeur des généraux autrichiens… A moins que ce ne soit une histoire d’équilibre… L’équilibre… une notion que l’archiduc avait du mal à saisir…
Toujours est-il que l’ensemble de nos armées étant massé sur le front ouest, personne ne pouvait défendre le sud, et vienne même était menacée. L’archiduc dû y réunir d’urgence 100 000 hommes, mais le temps de la mobilisation permit au turc de contrôler de nombreuses provinces, et de marcher vers la capitale.
A l’ouest le front se stabilisait, jusqu’à ce qu’une puissante charge de cavalerie rompit le siège du Luxembourg, mené par Turenne et Vauban. Ce dernier n’en réchappa pas. Turenne s’enfuit de justesse, mais il fut traqué pendant des mois, de la lorraine, à Lyon en passant par Dijon. Charles de Lorraine, notre capitaine de l’époque exploita la faille, et les austro-hollandais regagnèrent le terrain conquis, allant même jusqu’à menacer Paris. Hélas il mourut peu de temps après, foudroyé par une dyssentrie
Au sud, le turc harcelait Vienne, mais l’archiduc Ferdinand, lui-même, prit le commandement de la garnison, et les ottomans furent repoussés de justesse, plusieurs fois.
En 1705, soit de longs mois après de début de la guerre, un jeune général autrichien, Eugène de Savoie, fit parler de lui. Il officiait dans la garnison de Michoagan, au Mexique(eh oui… ). L’archiduc, en panne de commandement ordonna son rapatriement. Quelques mois plus tard, il toucha la terre nationale en Emilie, pour prendre la tête de l’armée des Balkans. L’effet fut immédiat. Une à une, les armées turques refluèrent. Le sud était désormais sous contrôle et le calife, commença à demander à son allié de circonstance, le roi de France, que la paix serait de bon aloi. Mais ce dernier s’entêtait Il voulait l’alsace. Il mobilisa de plus belle, leva le siège de paris, et se dirigea à nouveau vers le Rhin. L’archiduc ordonna à Eugène de Savoie de prendre la direction du front ouest, de regrouper nos forces et d’infliger si possible une défaite fatale à la France. Ainsi au Luxembourg, des dizaines de milliers d’hommes confluaient. Près de cent mille de chaque côté. Ce fut une brillante victoire, et la France, désabusée, demanda aussitôt le cessez-le feu.

Chapitre 2 : la confirmation
La paix revint. Mais l’archiduc en avait gros sur le cœur. L’attaque turque, conjointe à celle de la France lui restait en travers de la gorge. Il décida de châtier le calife. Il ordonna une nouvelle mobilisation. Des armées commandées par nos brillants généraux « Eugene de Savoie » et « Von Starhemberg », à présent aguerris. L’aide de la Serbie était également requise. Notre vassal préféré, le stadhouder de hollande, serait ménagé, et donc exempté. L’archiduc espérait bien avoir un face à face avec le calife, pour lui signifier sa façon de penser. Ce fut le cas, dans un premier temps, avec la défection Française.
La configuration de la frontière austro-turque (Raguse < == > Kosovo), offre un mince couloir de transit pour les troupes. Le ravitaillement met un temps fou à traverser les montagnes de Raguse, aussi, après la prise de contrôle du Kosovo, et au vu des 140 000 turques qui nous attendaient de pied ferme autour d’Istanbul, l’archiduc comprit qu’il faudrait des mois, avant de pouvoir les déloger. Il tenta de les contourner. Eugene embarqua à destination de l’Anatolie, avec 50 000 hommes et 70 pièces d’artillerie. La flotte autrichienne, bien que désuète, bloqua le Bosphore et les Dardanelles, un temps. Smyrne tomba, mais la flotte turque, tenta une sortie et avec l’aide du vent, repoussa la notre. Eugene était isolé. L’armée turque d’istambul risquait de franchir le détroit, et sans renfort, Eugene pouvait se retrouver en mauvaise posture. Il décida de ré embarquer, et de rejoindre ses lignes. Au moins avait-il réussi à faire diversion, et l’armée de Starhemberg, toujours dans les Balkans pouvait avancer.
Mais, coup de théâtre, une flotte anglaise surgit de nulle part, et nous engagea, et nous coula (eugene avec, paix à son âme). Encore ces maudits protestants. De quoi se mêlent-ils ? Etait-ce parce que la flotte hollandaise stationnait toujours à Venise, depuis la fin de la dernière guerre ? Pourtant, le stadhouder avait reçu consigne de ne pas intervenir. Mais non. Il fallait rétablir « l’équilibre ». Encore ce maudit « équilibre ». Décidément, l’archiduc commençait à se dire que l’ « équilibre » et lui font deux, et qu’il n’y pas moyen de faire une guerre tranquille sans que quelqu’un à l’autre bout de l’Europe ne vienne s’en mêler. D’ailleurs, cette notion d’ « équilibre » lui est si peu familière, qu’il commit la même erreur que lors de la dernière guerre, à ceci près que cette fois, c’est la frontière nord qui était totalement dégarnie, laissant le champ libre à des anglais qui n’en demandaient pas tant, et envahirent les ¾ de l’Allemagne du nord, sans combattre.
Mais l’archiduc n’était pas au bout de ses surprises. La France, qui avait refusé l’invitation turque à honorer son alliance, changea son fusil d’épaule, et n’écoutant que son courage, décida de « rouler » sur la hollande, sachant que l’Autriche prise entre turcs et anglais aurait beaucoup de mal à la défendre. Finalement l’archiduc devait faire face à trois pays majeurs en Europe, avec son meilleur général au fond de la mer méditerranée. Nous fîmes ce que nous pûmes mais cette fois, c’était trop. Des rapports de batailles arrivaient tous azimuts (on raconte même que des russes auraient débarqué en Corse et dans nos colonies d’Amérique centrale). Submergé, aigri, l’archiduc demanda que les pourparlers de paix commencent. Nous nous attendions à recevoir des offres turques et anglaises. Quelle surprise de voir la France mener les débats, alors qu’elle subissait un échec cuisant face à la modeste hollande. Les coalisés, bien que vainqueurs ne semblaient pas s’être concertés sur les prises de guerre.
La France voulait absolument l’Alsace et le Luxembourg, s’appuyant sur la nette victoire anglaise.
Echoeuré, submergé, aigri, l’archiduc finit par céder, et offrit même en bonus, la riche mine d’or de Michoagan à l’Angleterre et 1000 ducats au calife.

Chapitre 3 : expérimentation
La france qui détenait donc deux provinces germanphones, était onc l'objet de toute notre rancoeur. L'archiduc voulait savoir s'il avait bien compris la notion d'équilibre, et il dépêcha des émissaires en Angleterre, en Suède et chez le calife. Tous furent très clair : ils n,'interviendraient pas, si l'autriche attaquait la france. Heureux comme un gamin, l'archiduc se dit "Ca y'est !!! J'ai enfin compris ce que c'était que l'équilibre !!!". Du moins, il le pensa, car après réflexion, il ne voit pas trop la différence entre la future guerre qui se profile et les deux précédentes... M'enfin, toute à la joie de sa nouvelle connaissance, l'archiduc s'en alla gaiement

Chapitre 4 : conclusion
Après tout, l’archiduc n’est pas mécontent. Il l’a certes payé un cher prix, mais à présent cette notion d’ « équilibre », du moins celle pratiquée eu Europe, lui est un peu plus familière, et il saura l’exploiter.

Posté : lun. janv. 16, 2006 3:49 pm
par ric novice
Proclamation Hollandaise


Fidèle comme un Hollandais, telle est la maxime que le monde retiendra !

En effet il n’y a pas plus fidèle que le peuple hollandais envers son Suzerrain le grand Roy d’Autriche (même lassie le chien)

Là ou le monde n’est que coups bas , trahisons, domination de certains pays jaloux et prompt à voler le bien des autres, la Hollande aura montré son abnegation envers son seigneur, le grand archiduc des Hasbourgs

La Hollande aura beaucoup souffert des attaques incessantes des protestants voir des turcs et de la France, avec courage elle defendit son maître et son cousin espagnol, accumulant des campagnes guerrières prompt à ruiner n’importe quelle pays comme les deux invasions de la france qui echouerent de peu à chaque fois mais au prix de maneuvre difficile et d’un recrutement de mercenaires titanesque

La hollande allait droit à la faillite si notre maître adoré ne nous avait pas desengagé pour un temps de nos obligations de vassal, cette période de 25 ans fut l’occasion pour la Hollande de montrer tout son potentiel et rattrapper ses voisins.

Aujourd’hui la Hollande est revenu dans la tête des nations avancées mais notre jeune république sous tutelle autrichienne ne pourra jamais rivalisé avec des pays maritimes comme l’Angleterre ou la suède car nos capacités à soutenir une flotte sont limités par rapport à nos voisins.

Mais l’essentiel est ailleurs, la fidelité a plus d’importance à nos yeux que la quantité de navires que pourront envoyer les vils protestants, l’amour de notre seigneur sera plus fort que les coups bas.

Cette proclamation inabituelle d’un humble serviteur n’engage pas notre suzerrain mais le peuple hollandais est fatigué de ces pays qui sous couvert de combattre le mal, n’amène que destruction et malheurs dans le monde.

Nous, humble serviteur, invitons donc les pays d’Angleterre et de Suède à se repentir et à changer de conduite.

Ceci n’est pas un appel à de futures conflits mais les voeux que le peuple hollandais a émis à l’occasion de la nouvelle année 1740

Diplomate Ric au nom de la Hollande, un des vassals du Grand Roy d’Autriche

Posté : lun. janv. 16, 2006 7:22 pm
par lemarseillais
Le roi d'Angleterre aimerait savoir si les souverains du monde serait intéréssé par une grande conférence pour la détente et le désarmement des puissances flottes de guerre ?

Posté : mar. janv. 17, 2006 12:34 am
par Touko
Réponse espagnol

pour faire court:

absolument pas!

Posté : jeu. févr. 09, 2006 11:53 am
par Touko
Chapitre I: La gloire retrouvée de l'Espagne!

Le sang devait couler et il a coulé!
les anglais, ce peuple insulaire de pirates et de marchands truands,
tous plus fourbes les uns que les autres;
ce peuple qui avait batti leur fortune sur le racket de l'espagne;
ces asservisseurs du monde libre, trucideur de liberté;
son roi mégalomane et démoniaque...

La noble espagne, symbole de la liberté même, le berceau des hommes
cultivé et libres, grande mécène des peuples libres et heureux ne pouvait
laisser un danger pareil se développer...

C'est ainsi que le Roi d'Espagne décida d'apporter le modèle espagnol
à ses voleurs de poules!
Les armées de la liberté étaient prêtes, avec pour une fois de bons
chefs à leur têtes, tant dans la marine que dans l'armée de terre!
Cordobà est nomé grand amiral de la flotte espagnole.
Castanos promu chef suprème de l'armée de terre.

Le plan était simple:
une victoire contre l'angleterre devait passer par un débarquement et une
victoire en angleterre même!
les colonies du mexique seront farouchement défendues pour fixer
l'attention de l'angleterre et le brésil laissé vide pour attirer les anglais et nous donner du temps pour préparer un grand débarquement espagnol sur le sol anglais.
L'invincible armada était prête, c'était la plus grande flotte jamais rassemblée:
1094 vaisseaux à la pointe de la technologie!

la force d'invasion n'était pas en reste:
230 000 hommes!

tout était prêt pour le choc!

le 5 juillet 1791 l'amée d'invasion espagnole était au large des côtes
du pays de galles!

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en quelques jours et à travers une marche triomphante les provinces tombèrent!
le pays de gales, les midlands, lincoln, et nous voilà devant Londres même!
la capitale de la débauche et de la luxure, l'orgueilleuse qui faisait ombrage à notre grand empire!
mais la route était barée par 100 000 anglais et Castanos ne disposait plus que de 190 000 hommes!
qu'importe, la confrontation devait avoir lieux!
mais elle tourna en désastre:
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nos troupes refluèrent brutalement, ils ne restait pas plus de 20 000 hommes valides! mais heureusement Castanos en faisait partie!
Cordoba devait intervenir aves ses vaisseaux pour secourir les malheureux! mais Nelson ne l'entendait pas ainsi et accouru avec ses
vaisseaux, méprisant Cordoba et ses talents, méprisant les navires espagnols qu'ils appelaient "coquilles de noix", il chercha la confrontation
et l'obtenu. elle eu lieu le 28 novembre 1791.
ce fut la plus grande bataille navale de toute l'histoire, et Cordobà en sera
le héros!
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victoire!! Nelson est écrasé! il s'en tire avec moins de 250 navires
alors que Cordobà en conserve plus de 800!
Pour la première fois l'Espagne acquit la supèriorité navale!
Cordobà met toute voiles en direction de Porto ou attend
260.000 hommes prêt a envahir l'angleterre et cette fois
prendre Londres!
Se sera chose faites le 12 novembre 1792!
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Ce que nul n'avait réussi depuis Guillaume le conquérant, nous l'avons fait! les soldats paradent à Londres devant une foule heureuse!
Liberté! Liberté! crient les malhereux...

La paix fut ensuite vite signée, l'angleterre ne pouvant inverser la donne.
Cordobà et Castanos furent accueillis à Madrid avec les honneurs du
à leurs exploits!
L'Espagne à du attendre plus d'un siècle pour venger de nombreuses
humiliations mais que la victoire est belle!
Pour une fois elle s'assit sur le trône réservé aux vainqeurs,
la place qu'il lui était dû depuis si longtemps lui revient enfin...
mais que de sacrifices pour une gloire si éphémère...
Mais l'histoire retiendra l'année 1792 comme le réveil
du lion espagnol qui somnolait, non l'Espagne n'est plus endormie!
L'Empire est à son apogée!

Posté : jeu. févr. 09, 2006 7:48 pm
par Danton
Histoire de la Suède, par Thor Danton. Chapitre X. L’inexorable déclin d’une nation


La glorieuse épopée de Karl XII marqua l’apogée de la puissance du Peuple Libre : entièrement seul et sans le moindre soutien de notre loyal allié anglais, nous avions su vaincre le colosse espagnol, la première puissance mondiale, qui alignait pourtant des revenus et des effectifs militaires entre deux et trois fois supérieurs aux notres :D ! Hélas, hélas, trois fois hélas, sic transit gloria mundi. Après la conquête de cette mine d’or, notre cible légitime depuis plus de 150 ans, la Suède connut une période de paix sans précédent, malheureusement troublée par la frénétique course aux armements que se livraient certaines grandes puissances, Espagne en tête :evil: .

Il apparut très vite que la Suède avait atteint ses limites et ne pouvait plus suivre cette course folle : nos revenus commerciaux ne cessaient de baisser, nos marchands étaient sans cesse harcelés. Quelques manufactures supplémentaires furent construites pour enrayer l’inexorable déclin, mais rien n’y fit : nos revenus continuaient de chuter et le Peuple Libre dut se rendre à l’évidence, il fallait désormais songer en priorité à défendre nos biens maigres possessions, le temps des légitimes conquêtes était terminé :( .

Un rapprochement diplomatique avec l’Espagne, aussi lasse que nous des guerres incessantes qui ravagaient l’europe, fut réalisé, mais l’Ibère, malheureusement, ne stoppa pas pour autant sa course aux armements. La Hollande, elle, était plus florissante que jamais et rattrapait son retard technologique à une vitesse ahurissante. La paix régnait, c’était le principal pour le Peuple Libre, pacifique par nature.

Ses marchands harcelés et manquant cruellement d’espace vitale, notre allié anglais fut contraint et forcé d’entrer en guerre contre l’axe austro-Hollandais et il fit appel à nous. Comment aurions-nous pu ne pas répondre positivement à cette demande :?: ? L’Angleterre est notre allié depuis 250 ans maintenant, nos deux royaumes sont frères. La guerre reprit donc mais il apparut rapidement que, pour la Suède, les choses avaient bien changées : fini le temps des fougueux assauts au cœur même du mal, il fallait maintenant songer à préserver nos forces que nous savions bien inférieurs à celles de nos ennemis, surtout si l’Espagne intervenait, ce qui était quand même probable.

Les Autrichiens apprirent à leurs dépends notre volonté de défendre avec le plus grand fanatisme nos maigres biens : plus de 100.000 de leurs soldats, commandés par le fougueux Von Lacy, déferlèrent au Holstein… Ils ont tous été écrasés et renvoyés chez eux avec force coups de canons :twisted: . Son allié de Pomméranie se montra lui plus obtus et lança pas moins de 5 assauts contre cette province, toujours avec le même résultat : le Peuple Libre ne cédait pas un mètre de terrain.

Dans l’ouest de l’amérique du nord, quelques raids étaient lancés pour capturer les comptoirs hollandais de la région, rien de bien méchant : l’activité suédoise fut quasi nulle durant toute cette guerre, le mérite de la victoire revient à la seule Angleterre. Afin que le monde ne confonde pas prudence et couardise, un fougueux assaut suédois fut lancé contre San Bernandino, place-forte hollandaise de l’ouest américain. 25.000 soldats ennemis ont été balayés comme des fétus de paille et cette bataille marqua définitivement notre victoire dans cette région disputée :P .

En côte de Hollande, notre puissante flotte participa avec la Royal Navy à une courte mais victorieuse bataille navale contre la flotte hollandaise, submergée sous le nombre des navires protestants. Ce fut là toute la modeste participation de la Suède, qui se contenta dès lors, pour signer la paix, d’un tribut purement symbolique (deux comptoirs niveau 1…).

Il est cependant intéressant de constater que le Peuple Libre, à l’issue de cette guerre, avait retrouvé cette prospérité qui lui échappait depuis maintenant quelques décennies : la guerre nous ferait-elle du bien :roll: ? Toujours est-il que nos revenus ont retrouvé leur niveau de notre apogée, sous Karl XII. Mieux, un nouveau centre de commerce est apparu dans une de nos provinces d’amérique du nord.

Liberté, liberté, liberté !

Posté : jeu. févr. 09, 2006 7:51 pm
par Danton
Histoire de la Suède, par Thor Danton. Chapitre XI. La coalition des affreux fait plier l’alliance protestante


En Suède, tout n’était que paix et amour, on parlait même de démobiliser la flotte de guerre, si coûteuse, et d’utiliser les ducats ainsi épargnés pour venir en aide aux malheureux de ce monde, quelle que fut leur nationalité. Mais le Malin agissait dans l’ombre et préparait meurtres et pillages, ne supportant pas que la paix règne sur le monde :evil: .

En 1778, sans préavis aucun et sans la moindre raison valable, la Hollande, l’Autriche, l’Espagne, la France et l’Empire Ottoman décidèrent d’un injuste embargo commercial contre la sainte alliance protestante, qui n’existait même plus de fait (plus d’alliance militaire). Cet acte ignoble restera pour toujours une tache sombre sur l’honneur souillé des souverains concernés : la coalition des 5 affreux, comme l’histoire l’appèlera, avança alors des revendications folles pour lever ses embargos destinés à nous nuire, qu’il n’est pas inutile de comparer avec les très modestes demandes protestantes après sa dernière guerre victorieuse : jusqu’où ira donc l’ingratitude :? ?

La vindicte des affreux se concentrait principalement contre l’Angleterre, mais le Peuple Libre n’abandonne pas ses alliés, jamais : nous avons aussitôt mobilisé massivement, malgré la chute terrible de nos revenus (30% en moins… :cry: ). Profondément et légitimement choqué, notre allié d’Angleterre refusait la guerre injuste et inégale et décida de négocier. En Suède, pendant ce temps, on mobilisait toujours plus et les réserves monétaires fondaient comme neige au soleil, les forces armées devenant disproportionnées pour nos faibles moyens. Le Peuple Libre succombera peut-être mais pas sans lutter. Dieu, en outre, était avec nous car notre cause était juste et bonne.

Mais la guerre ne vient pas : notre frère anglais, en effet, dans sa grande sagesse, nous évita ce sort tragique : il céda aux iniques exigences des 5 affreux (4 provinces, dont deux avec manufacture + 5000 ducat, jamais conditions aussi lourdes n’avaient été imposées depuis l’aube des temps :? ). Pour la première fois depuis des siècles, l’alliance protestante avait subi la terrible loi des vaincus. Les 5 affreux n’avaient cependant aucune raison de se vanter : le tigre royal n’a aucun mérite à terrasser l’innocent petit lapin.

Lasse de la guerre, l’alliance protestant n’avait même de rancœur ou de volonté de revanche : les 5 affreux voulaient visiblement effacer des siècles de défaite, voilà qui est fait. Le monde retiendra que, face au mortel danger, les protestants sont restés unis comme les doigts d’une main : rien ne pourra nous séparer. Certains affreux adeptes du changement de veste incessant devraient en prendre de la graine (suivez mon regard :roll: ).

Toujours est-il que cette paix tombait fort bien : le Peuple Libre courrait à sa perte, ruiné par les folles dépenses militaires et les embargos meurtriers. Ceux-ci levés, une bouffée d’air frais, mais bien maigre, juste de quoi ne pas nous noyer. Un envoyé du Sultan arriva alors discrètement à Stockholm : il offrait un accord commercial. Nous avons naturellement sauté sur l’occasion et, grâce à celui-ci, nos marchands se sont rapidement taillé la part du lion dans les nombreux et très riches centres de commerce ottomans. La prospérité revenait !

Comme il se doit, il y avait une contrepartie à cette grande générosité : le Sultan demandait notre aide pour sa future guerre contre l’Autriche. Le Peuple Libre, encore traumatisé par la coalition des affreux, donna sa parole et se mit à lorgner vers Danzig la riche. L’heure était venue, la guerre allait reprendre (vous avez bien compris ? Pour toute plainte concernant l’intervention suédoise, adressez-vous au Sultan ;) ).

Posté : jeu. févr. 09, 2006 7:56 pm
par Danton
Histoire de la Suède, par Thor Danton. Chapitre XII. La campagne d’Autriche

L’honneur du Peuple Libre était engagé, il ne pouvait pas se dérober et, le 24 août 1790, la guerre était déclarée contre un autrichien déjà en butte aux coups de butoir ottoman, mais prévenu par nous quelques mois avant notre intervention. A notre grande surprise, la Hollande, alliée de l’Empereur, n’intervient pas, c’était pourtant ce que nous avions prévu. Mais cette petite et courageuse nation avait eu trop souvent à souffrir des invasions des grands de ce monde et aspirait désormais à la paix, légitime et juste espoir que nous partageons :P .


Acte I. La course vers Vienne

Les armées suédoises débarquent en Hinterpommern, rapidement prise d’assaut puis livrent de titanesques batailles contre les impérieux dans les provinces de Poznan et Wiekepolska : 90.000 autrichiens sont exterminés. Poznan est capturé, mais les pertes sont lourdes et la Suède marque la pause, le temps d’amener sa deuxième vague puis l’assaut reprend, irrésistible : les hordes autrichiennes reconstituées (plus de 100.000 soldats) sont écrasées lors de batailles à Wiekepolska, Silesia, Moravie et Bohème, toutes ces provinces tombent entre nos justes mains et l’europe, médusée par tant de hardiesse, apprend alors l’existence du pari suédo-ottoman : le premier à Vienne gagne l’apéro :D .

Or, la capitale impériale est assiégée depuis de longs mois par les ottomans, il importe donc de ne pas traîner : malgré les pertes, immenses, le Peuple Libre repart en avant, toujours plus loin de ses bases : une grande bataille a lieu en Ostmarch, à 50 km de Vienne seulement :twisted: ! La Suède avait l’avantage jusqu’à ce que tombe la terrible nouvelle : Vienne venait de tomber entre les mains du Sultan. Le pari était perdu et le désespoir s’empara de nos armées, honteuses de n’avoir pas su arriver les premières (les mauvaises langues osèrent chuchoter que nous sommes partis pour ne pas devoir payer l’apéro au Sultan, mais cela est totalement faux :roll: : la vérité est que les Autrichiens se battaient comme des fous). Terrible défaite, le mirage de Vienne disparaissait.


Acte II. Courage, fuyons, mais pas sans rendre les coups

« Bon, assez rigolé, on s’en va maintenant » décida le général en chef de nos armées qui, talonnées par les hordes autrichiennes, filèrent comme l’éclair vers la Baltique, havre de paix suédois : défaite en Moravie, perte de la province, défaite en Silésie, perte de la province, défaite en Wiekepolska, perte de la province.

« On se casse, on se casse ! » hurlaient nos braves soldats qui en réalité retraitaient sans même combattre, mais les Autrichiens faisaient la sourde oreille et refusaient de nous laisser partir en paix. Les scélérats. Pour les punir de leur inique attitude, des renforts sont envoyés sur le continent et, une fois nos armées regroupées, le Peuple Libre établit le siège de Danzig, le riche centre de commerce… qui tombe rapidement.

Toute la flotte autrichienne, qui s’y était réfugiée, doit alors quitter précipitamment ce port protecteur. Nos navires vengeurs n’attendaient que cela : les 80 rafiots autrichiens sont envoyés par le fond après dix petites minutes de combat seulement, pour le prix de 8 blessés légers dans nos rangs ;) . 100.000 impériaux ivres de rage envahissent alors nos dernières conquêtes, mais sans trouver nos forces armées, qui ont réalisées un mouvement de repli stratégique vers la Suède.


Acte III. Ultimes boucheries

Nos troupes reconstituées, un débarquement en force est exécuté à Danzig, toujours suédois : 75.000 impériaux sont balayés comme des fétus de paille :twisted: . S’en suit alors deux bataille particulièrement sanglantes à Poznan et Hinterpommern, qui achèvent de convaincre le Peuple Libre qu’il est temps de mettre fin à cette petite promenade digestive. Naturellement, notre décision n’est en rien motivée par la soudaine paix signée entre l’Empire Ottoman et l’Autriche, qui cède Venise au glorieux Sultan 8) .

Trois provinces autrichiennes, dont Danzig la riche, sont toujours suédoises, mais l’Empereur a été un adversaire valeureux et nous décidons d’être magnanime avec lui, lui offrant une généreuse paix blanche (A Vienne, l’on raconte que les impériaux, libérés de la menace ottomane, allaient de toute façon récupérer leurs provinces perdues en moins de deux mois, mais ce n’est que mensonge et vantardise :lol: ).

Le bain de sang était terminé, le Peuple Libre avait respecté sa parole donnée au bon Sultan et avait enfin réalisé son vieux rêve séculaire : voir le drapeau suédois flotter fièrement, mais temporairement, sur Danzig la belle.

La paix revenue, c’est avec stupéfaction que nous avons appris la surprenante défaite de notre allié d’Angleterre, attaqué par l’Espagne : la preuve était faite que nous étions indispensables pour l’alliance protestante (encore heureux ;) ).