La réserve de Tchernobyl ?
Posté : sam. juil. 12, 2008 11:00 am
Tout le monde sait que depuis l'accident nucléaire, une zone autour de la centrale, incluant la ville de Tchnernobyl, a été déclarée no man's land. Cette zone a été décrite par scientifiques et journalistes comme polluée, irradiée pour les siècles à venir. J'imaginais donc une terre désertique, envahie par les chardons et autres mauvaises herbes, livrée aux cancrelats et autres insectes résistants aux radiations.
Jusqu'à ce que je tombe la semaine dernière sur ce qui suit. Oh ma source est bien modeste : le courrier d'un lecteur envoyé à la rédaction de la revue "Ca m'intéresse" ainsi que la courte réponse de la rédaction. Un courrier qui réagit à un précédent article de la revue, article que je n'ai pas à ma disposition. Mais ce courrier en laisse deviner le contenu.
Il semblerait que la zone interdite, abandonnée par les hommes, soit devenue une réserve biologique où pullulent les animaux, y compris le gros gibier, cervidés, sangliers etc... Il y aurait une sorte de conclusion presque philosophique à l'accident, confirmant que "la nature reprend toujours ses droits" et bien plus rapidement que ne l'a imaginé l'homme. Une conclusion bien heureuse au dramatique accident.
Avez vous des sources là-dessus ? Confirmez-vous cela ? Qu'en est-il des radiations prévues "pour mille ans" qui devraient liquider en 72 heures l'animal s'approchant un peu tros près de la centrale ?
Et question subsidiaire : puisqu'il y a un no man's land autour de la centrale, comment font les centaines d'employés qui continuent, si je ne m'abuse, à travailler sur les tranches en activité, et donc à priori sur l'épicentre de la zone interdite ?
Jusqu'à ce que je tombe la semaine dernière sur ce qui suit. Oh ma source est bien modeste : le courrier d'un lecteur envoyé à la rédaction de la revue "Ca m'intéresse" ainsi que la courte réponse de la rédaction. Un courrier qui réagit à un précédent article de la revue, article que je n'ai pas à ma disposition. Mais ce courrier en laisse deviner le contenu.
Il semblerait que la zone interdite, abandonnée par les hommes, soit devenue une réserve biologique où pullulent les animaux, y compris le gros gibier, cervidés, sangliers etc... Il y aurait une sorte de conclusion presque philosophique à l'accident, confirmant que "la nature reprend toujours ses droits" et bien plus rapidement que ne l'a imaginé l'homme. Une conclusion bien heureuse au dramatique accident.
Avez vous des sources là-dessus ? Confirmez-vous cela ? Qu'en est-il des radiations prévues "pour mille ans" qui devraient liquider en 72 heures l'animal s'approchant un peu tros près de la centrale ?
Et question subsidiaire : puisqu'il y a un no man's land autour de la centrale, comment font les centaines d'employés qui continuent, si je ne m'abuse, à travailler sur les tranches en activité, et donc à priori sur l'épicentre de la zone interdite ?