Commençons par le commencement.
Déjà, décoche moi tout de suite la gestion confiée l'ordi!
Locke a écrit :
Si j'ai bien compris je n'ai pas à m'occuper des besoins des mes pop's car ils s'alimentent directement sur le marché et je n'ai donc juste qu'à importer les besoins de mes usines et de mes armées
Tout à fait.
Évidemment, au plus les impôts et les droits de douane sont élevés, au moins elles peuvent consommer facilement...
, mais voila, qu'en est-il pour se faire davantage de monnaie ? Je joue une partie avec la Bavière qui n'est pas trop trop compliquée à gérer, et je tire des bénéfices uniquement de mon agriculture et des usines déjà existantes (scieries et verreries) J'avais construit un aciérie en pensant m'en mettre plein les poches vue son importance, mais j'ai constaté que le profit était 10x inférieur à même nombre d'ouvriers que dans les autres usines et qu'en plus, l'importation de charbon et fer déstabilisait ma balance commerciale

Comment cela se fait ?
Alors...
Quelle version de victoria?
Ensuite, victoria est une course d'endurance, pas un sprint. Tu as le temps, et la précipitation et la meilleure façon de sombrer.
En début de partie, tu ne tireras pas beaucoup d'argent de tes usines, et beaucoup sont dans le rouge dès le début. Elles ne sont pas assez rentables du fait de la technologie. Au tout début, la filière textile ainsi que celle du bois sont parmi les plus intéressantes (le coton ne coûtant pas grand chose, au contraire du fer et du charbon en début de partie). Viennent ensuite, effectivement, l'acier, les conserves...
Donc, pour que tout ça soit rentable: progrès dans les technologies. Le chemin de fer joue un rôle primordial lui aussi (la fameuse révolution des transports). Atteindre le niveau 2 en rail est une priorité. Une fois ce niveau atteint, la rentabilité de l'économie (toutes choses égales par ailleurs) est quasi assurée.
Enfin, je ne perds rien à le rappeler: dans les usines, il faut un ratio de 2 employés pour 3 ouvriers.
Pour être une puissance économique, il faut s'orienter à moyen et long terme (ou espérer, sous révolution, que les capitalistes le feront eux-même

) vers la production de produits à forte valeur ajoutée, ceux qui sont les plus chers et les plus demandés sur le marché mondial: navires à vapeur, machines outils, armement, produits de luxe. Avec le produit de la vente de ces choses sur le marché, l'argent coulera à flot, les pops seront contentes, et ainsi de suite.
Mais ça n'arrive pas en cinq ans.
