Les années 1848-1850 sont marqués par les révoltes libérales.
Si la Navarre, le Pays Basque, Les asturies demeurent fermement réactionnaires et royalistes les ouvriers castillans semblent gagné par l'agitation.
Le senor Boudierrez, ancien agitateur, passé au service de la police à la suite d'une sombre affaire de moeurs impliquant un bilan comptable et une chèvre, adresse des rapports alarmistes à Madrid.
Les philippines se révoltent aussi.
En 1850 les révoltes s'achèvent dans toute l'europe avec le triomphe des conservateurs.
La Hongrie, la Lombardie ont été écrasé par l'Autriche et la Russie a maté la Pologne.
La France et l'Angleterre nous faisant toujours la gueule on se tourne alors vers la Prusse avec qui nous formont une alliance.
Comme nous l'a dit l'ambassadeur, "Berlin c'est la capitale de la Réaction et de la CurryWurst je vous assure."
Ils sont protestants certes, mais parfois il faut savoir transiger...
On mari donc le Roi au laideron du Roi du Prusse.
Les universités sont reprise en main par le pouvoir avec un enseignement pas du tout orienté!
Obéit à Dieu, à ton Roi et à ton Père tels sont les mots qu'apprennent les élèves du primaire.
Et je peux vous dire qu'on a pas de problèmes de violence scolaire! Le premier qui bronche c'est 15 ans de service militaire à Cuba ou dans les Philippines.
Z'avez vu s'ils ont l'air heureux les petits philippins?
En 1853 un coup d'état d'un général libéral renverse le gouvernement du Honduras.
Le Roi y voit l'occasion de reprendre pied en amérique centrale.
60000 espagnols débarquent rapidement et balaient les rebelles. Le Honduras est transformé en satellite espagnol.
La Reconquista a commencé!
L'Espagne est maintenant fortement ancré dans l'orbite prussienne.
L'armée d'active de métropole contre 120000 hommes en métropole et 40000 autres dans les colonies.
La constitution d'un service militaire et d'une milice des provinces permet de lever en quelques mois 1200000 hommes de plus si besoin en était.
« Il est deux catégories de Français qui ne comprendront jamais l’histoire de France : ceux qui refusent de vibrer au souvenir du sacre de Reims ; ceux qui lisent sans émotion le récit de la fête de la Fédération. »
Marc Bloch